Bénin : « L’amende applicable à la contravention de défaut de port de casque est désormais fixée à 5000 FCFA » (Communiqué)

Depuis le 1er mars 2024, la Police républicaine, conformément à ses prérogatives, a repris sur toute l’étendue du territoire national, le contrôle du respect des règles de la circulation sur les voies publiques. 

Cotonou, le 24 AVR 2024 

Communiqué RadioTélévisé 

Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique communique

Depuis le 1er mars 2024, la Police républicaine, conformément à ses prérogatives, a repris sur toute l’étendue du territoire national, le contrôle du respect des règles de la circulation sur les voies publiques

L’accent mis par la Police sur le port de casque en particulier, dont la finalité réelle est d’éviter les nombreux décès consécutifs aux traumatismes crâniens dus aux accidents de la circulation, est diversement apprécié et source d’incidents malheureux entre agents de la Police et usagers de la route

Au regard de cette situation, le Gouvernement, tout en insistant sur la nécessité du respect de la règlementation en vigueur en matière de circulation sur les voies publiques dans notre pays, rappelle aux agents de la Police républicaine leur devoir de professionnalisme en toutes circonstances et invite les populations au calme et à la sérénité

En tout état de cause, la hiérarchie policière est instruite pour prendre les mesures disciplinaires ou engager les actions judiciaires qui conviennent le cas échéant, contre les fonctionnaires de la Police républicaine qui se rendraient coupables d’atteintes injustifiées aux droits des citoyens sur la voie publique

Par ailleurs, l’amende forfaitaire applicable à la contravention de défaut de port de casque est désormais fixée à 5000 FCFA

Le Gouvernement compte sur le sens élevé de patriotisme de chacun et de tous, pour une circulation publique responsable

Alassane SEIDOU 

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Bénin-Politique : « Catégorisation fantaisiste alimentée et entretenue à dessein aux fins de déstabilisation de l’opposition dans l’opinion  publique », selon le parti GSR

 

CATEGORISATION FANTAISISTE DE PARTIS POLITIQUES  ALIMENTEE ET ENTRETENUE A DESSEIN AUX FINS DE  DESTABILISATION DE L’OPPOSITION DANS L’OPINION  PUBLIQUE : 

 LE PARTI GRANDE SOLIDARITE REPUBLICAINE (GSR-La  Main dans la Main) réagit. 

C’est par correspondance, N°021-S2/2022/VP1/Pt/GSR/SA du 07 Septembre  2022, que le Président du GSR, Monsieur Antoine GUEDOU VISSETOGBE, a  appelé l’attention, du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique (MISP) sur  l’obligation qui lui est faite par l’article 6, 2e tiret de la Loi N° 2019-45 du 25  Novembre 2019 portant statut de l’opposition, nous citons: << transmettre dans  un délai ne pouvant excéder deux (02) mois au journal officiel en vue de sa  publication >> l’enregistrement Année 2022/N°050/MISP/DC/SGM/DPPAE/SA  du 19 Juillet 2022 par lequel, acte lui a été donné de l’appartenance du GSR à  l’opposition conformément à la résolution N°1 de la Conférence des Instances  Dirigeantes du Parti tenue le 12 Février 2022.

Téléchargez les fichiers ci-dessous pour plus de détails

CATEGORISATION FANTAISISTE

Lettre Publication de l’enregistrement

 

Police républicaine : Le ministre de l’Intérieur Alassane Séidou justifie les désertions et cite trois raisons

Des désertions sont enregistrées dans le rang des Forces de défense et de sécurité du Bénin, notamment au niveau de la Police républicaine. Lors de son passage sur l’émission ‘‘Gouvernement en Action’’ diffusée ce vendredi 3 juin 2022, initiée dans le cadre du bilan de l’An 1 Talon 2, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique Alassane Séidou a justifié cet état de choses, évoquant trois raisons.

Des désertions sont enregistrées dans le rang des Forces de défense et de sécurité du Bénin, notamment au niveau de la Police républicaine. Lors de son passage sur l’émission ‘‘Gouvernement en Action’’ diffusée ce vendredi 3 juin 2022, initiée dans le cadre du bilan de l’An 1 Talon 2, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique Alassane Séidou a justifié cet état de choses, évoquant trois raisons.

Dans un franc-parler, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique a justifié les désertions enregistrées dans le rang de la Police républicaine. Alassane Séidou a notamment mis en avant trois raisons pour expliquer ce phénomène. Il a cité les contraintes liées à la profession, l’arrêt du rançonnement et les opportunités.

Les trois raisons

Alassane Séidou a indiqué que les opportunités constituent la première raison. « … Aujourd’hui, pour être recruté à la Police, il faut avoir le Bac. Et parmi les recrues, il y en à qui ont le Master, parfois même dans des spécialités très pointues. Quelqu’un par exemple qui a la Licence ou plus, qui intègre la Police, il a l’ambition d’appartenir aux groupes des Officiers. Il veut évoluer dans le corps. C’est une ambition tout à fait légitime. S’il constate qu’il ne peut pas arriver dans la classe des Officiers en moins de dix ans ou même plus, s’il trouve une opportunité ailleurs, il déserte. Il s’en va. Et on constate qu’il est parti. Ça arrive il y en à qui partent pour trouver mieux », a expliqué le ministre de l’Intérieur. Seconde raison avancée par Alassane Séidou, c’est l’arrêt des rançonnements.

« La seconde raison, c’est qu’il y a des gens qui viennent à la Police parce qu’ils pensent qu’à la Police, on peut vite s’enrichir comme cela se faisait par le passé, les rançonnements qui étaient la règle. Tout le monde le sait. C’était devenu la norme », fait d’abord remarquer le ministre, avant de poursuivre, « mais aujourd’hui, ce n’est pas possible. Je ne peux pas dire que c’est au niveau zéro, mais de toute façon, aujourd’hui c’est très compliqué de le faire ».

En dernier point, le ministre de l’Intérieur a cité les contraintes liées à la profession. « La troisième raison, c’est qu’aujourd’hui à la Police, il y a du boulot. La Police républicaine est basée sur la mobilité. Vous devez bouger. Vous devez aller partout, sur les routes, dans les quartiers. Donc, il y a beaucoup de contraintes », a dit Alassane Séidou, avant de conclure « ce sont les trois raisons fondamentales qui amènent certains à déserter ».

Manassé AGBOSSAGA

Bénin-Des individus qui simulent leur enlèvement avec de faux ravisseurs : Le ministre de l’Intérieur Alassane Séidou dénonce et met en garde

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique était face aux hommes des médias ce mardi 31 mai à Cotonou. A l’occasion, Alassane Séidou a dénoncé la multiplicité des cas de faux enlèvements avec la complicité de faux ravisseurs.

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique était face aux hommes des médias ce mardi 31 mai à Cotonou. A l’occasion, Alassane Séidou a dénoncé la multiplicité des cas de faux enlèvements avec la complicité de faux ravisseurs.

Dans sa déclaration, ce mardi, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité a d’abord rappelé que le Bénin enregistre depuis 2019, « une nouvelle forme de criminalité qui consiste à procéder à l’enlèvement de proches, de responsables politico-administratifs ou de personnes fortunées avec exigence de paiement de rançon avant leur libération ».

Mais si une « tendance baissière » de ces cas s’observe, Alassane Séidou a fait remarquer que « l’orchestration des enlèvements par la plupart des prétendues victimes pour tirer un profit financier en partageant la rançon payée par leurs parents avec des ravisseurs factices » gagne du terrain.

Avec fermeté, l’autorité a mis en garde les auteurs et complices de ces actes. « La police républicaine en liaison avec les autorités judiciaires ne ménagera aucun effort pour débusquer les citoyens indélicats qui s’adonnent à de telles pratiques » a assuré le ministre de l’Intérieur, invitant « les populations à une franche collaboration avec les forces de sécurité publique ».

Alassane Séidou a notamment  invité les populations à   dénoncer « tous comportements suspects en ce domaine afin que leurs auteurs subissent la rigueur de la loi ».

Les populations sont donc interpellées

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Manassé AGBOSSAGA

Grogne à la Police républicaine : Les Ex-commandants et commandants adjoints de brigades en courroux

Grogne en silence à la Police républicaine. Les Ex commandants de brigade sont en courroux. C’est l’Agence Bénin Presse (ABP) qui révèle cette information.

D’après l’ABP, les Ex-commandants et commandants adjoints de  brigades en service dans les unités de  police républicaines fustigent « leur position actuelle dans leur unité respective et du traitement à eux infligés ».

Ces derniers supporteraient «  de moins en moins d’être aux ordres de leurs collègues inspecteurs de police, autrefois techniquement moins gradés qu’eux ».

En outre, les promotions, les ports de galon et la gestion des carrières provoquent également l’ire des Ex-commandants et commandants adjoints de  brigades.

Police Républicaine

 « Pour ne rien vous cacher, l’humiliation est de trop. Ça devient insoutenable… », se désole  sous le couvert de  l’anonymat un Ex-commandant de brigade en service dans  une unité de police républicaine, rapporte l’ABP.

Les ex-commandants  s’étonnent de cette situation alors que  « l’assemblée nationale et le chef de l’Etat ont déjà faire leurs boulots.

 « Selon les différents témoignages, seule l’ouverture des formations d’une année des ayants droit, comme prévu par les textes, pourra à nouveau  leur doper le moral et leur permettre de reconquérir leur place au sein de cette force de police moderne et républicaine », conclu l’ABP.

Le Directeur général de la Police républicaine  et le ministre de l’Intérieur sont donc interpelés.

Manassé AGBOSSAGA

Après les observations du ministère de l’Intérieur : ‘‘Les Démocrates’’ chez Lafia ce jour

Le parti ‘‘Les Démocrates’’ se déplace au ministère de l’Intérieur et de la sécurité ce lundi 05 octobre 2020. D’après  certaines sources dont Frissons Radio, les responsables de la nouvelle formation politique d’opposition y seront dans la matinée.

les démocrates
logo les démocrates

Il y a quelques jours, le parti avait adressé un courrier à Sacca Lafia pour plus de lumière sur les observations faites faîtes, jugées « floues » par endroit.

 Mais selon Frissons Radio,  le ministre de l’Intérieur n’a pas répondu au courrier des responsables du parti.

Le déplacement des responsables du parti ce lundi est il pour rencontrer le ministre  où pour remettre la version corrigée de leur dossier d’enregistrement ?

Réponse dans les heures à suivre !!!

Manassé AGBOSSAGA

Délivrance du récépissé au parti ‘‘Les Démocrates’’ : Pas de fumée blanche, Lafia fait durer le suspense

Toujours pas de fumée blanche pour le parti ‘‘Les Démocrates’’! Les responsables doivent encore patienter pour leur récépissé provisoire.

Toujours pas de fumée blanche pour le  parti ‘‘Les Démocrates’’! Les responsables  doivent encore patienter pour  leur  récépissé provisoire.

Convoqué   dans l’après-midi de ce mercredi 22 septembre au ministère de l’Intérieur et de la sécurité, les responsables du parti ont, en lieu et place du précieux sésame,  plutôt, eu droit à des observations pour corriger leur dossier d’enregistrement.

Le 29 juillet dernier,  les membres fondateurs de ‘’Les Démocrates’’ avaient déposé les pièces constitutives du dossier de création du parti au ministère de l’intérieur pour examen.

Sacca Lafia prend visiblement son temps et faire durer le suspense.

Manassé AGBOSSAGA