Kpakpato Sans Payer: Le remplacement de Mahougnon Kakpo réjouit les enseignants…ils ont sorti cette blague pour célébrer son départ

Walaye !  Quand béninois te déteste,  tu en as pour toute la vie. Et surtout, prie pour que l’occasion de se moquer de toi ne se présente, jamais à eux. Sinon, …..

Walaye !  Quand béninois te déteste,  tu en as pour toute la vie. Et surtout, prie pour que l’occasion de se moquer de toi ne se présente, jamais à eux. Sinon,

Ce n’est pas Mahougnon Kakpo qui nous dira le contraire. Lui qui entend tout, voit tout, lit tout depuis l’annonce de son débarquement du Gouvernement.

En effet, c’est la fête chez les enseignants depuis qu’ils ont appris ce mardi 25 mai, le départ de Mahougnon Kakpo du ministère des Enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle.

Kpakpato Sans Payer: Le remplacement de Mahougnon Kakpo réjouit les enseignants…ils ont sorti cette blague pour célébrer  son départ
Kpakpato Sans Payer: Le remplacement de Mahougnon Kakpo réjouit les enseignants…ils ont sorti cette blague pour célébrer son départ

Ça saute sur les réseaux sociaux ! ça rit ! ça commente ! ça blague.

Parlant de blague, il y en a une qui fait le buzz. Extrait kpakpatotique : «  Kakpo Mahougnon, fondateur  de l’#aspiranat, cette #réforme_échec s’en va !

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Son nom n’a pas été retenu dans la base de données. Il n’a pas atteint le seuil de réussite », ont ironisé les enseignants à l’annonce du nouveau gouvernement de Patrice Talon.

Dieu, pardon, donne-nous, bon travail, pour qu’on quitte dans ‘‘Kpakpato Sans Payer’’  ça là.

Manassé AGBOSSAGA

Enseignement secondaire et technique : Des proviseurs, comptables, et plusieurs agents suspendus pour mauvaise gestion

L’ambiance est aux sanctions chez le ministre Mahougnon Kakpo. A travers une note de service 063/Mestfp/Dc/Sgm/sa en date du 23 février 2021, et signée du ministre en personne, le chef du service social scolaire de la Direction départementale, des proviseurs, comptables et intendants de lycées et plusieurs agents ont été suspendus de leur fonction jusqu’à nouvel ordre.

Il s’agit des cadres en service à la Direction départementale des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle de Djougou; lycée agricole Médji de Sékou; lycée technique agricole d’Adja-Ouèrè; lycée technique agricole d’Adjahonmè; lycée technique agricole d’Akodéha, lycée technique industriel d’Ina, lycée technique agricole d’Ina, de Banikoara, Djougou; Kika et Kpataba.

Ces derniers sont accusés de  « mal gouvernance et mauvaise gestion assortis de préjudices financiers dûment constatés par les structures compétentes du ministère ».

Et selon la note, « Les agents concernés sont invités à prendre toutes les dispositions en vue de passer service sans délai aux intérimaires ».

Manassé AGBOSSAGA

Bénin/Education: Les sorties pédagogiques, activités culturelles et excursions interdites

Les sorties pédagogiques, excursions et activités culturelles sont interdites dans les établissements d’enseignement secondaire, publics et privés. La décision a été prise par les autorités du ministère des enseignements secondaire, technique, et de la formation professionnelle à travers une note circulaire en date du 19 février 2021 et signée de Garba Ayouba, directeur de cabinet. Lire la note  en image pour plus de détails.

30 heures de cours par semaine : Le porte-parole des pré-insérés conteste et alerte sur les conséquences fâcheuses d’une décision « indigne »

Le porte-parole de la Fédération des collectifs des pré-insérés conteste la nouvelle trouvaille de Mahougnon Cakpo. Dans un entretien accordé à Frissons Radio, Ferdinand M. a critiqué le quota horaire de 30 heures de cours par semaine au lieu de 20 heures, récemment décidé par le ministère des Enseignements secondaire et de la formation professionnelle.

Le porte-parole de la Fédération des collectifs  des pré-insérés conteste la nouvelle trouvaille de Mahougnon Cakpo. Dans un entretien accordé à Frissons Radio, Ferdinand M. a critiqué  le quota horaire de 30 heures de cours  par semaine au lieu de 20 heures, récemment décidé par le ministère des Enseignements secondaire et de la formation professionnelle.

Mahougnon Cakpo, ministre des Enseignements secondaire et de la formation professionnelle

Le premier porte-parole des   pré-insérés a insisté sur les multiples conséquences fâcheuses de cette décision qu’il juge « indigne ».

 « Plusieurs raisons justifient notre indignation, avec un tel quota horaire, les enseignants se retrouveraient avec près d’une dizaine de classe.  Ce qui humainement, pédagogiquement, psychologiquement n’est pas supportable  pour un enseignant de qui on attend compétence et performance.  Avec 30 heures de cours par semaine, les enseignants seront inefficaces, le niveau des apprenants va drastiquement baisser.  Nous aurons les plus mauvais résultats aux examens nationaux, il y aura la chaos, la mise en chômage de plusieurs centaines voire des milliers de pré-insérés ..la ruine de l’école béninoise », avance t-il.

Mahougnon Cakpo est donc interpelé !!!

Manassé AGBOSSAGA

Education : Un Plan Science pour renforcer l’attractivité de l’enseignement des disciplines et filières scientifiques

Le gouvernement du Bénin ne veut pas laisser perdurer le désintérêt de plus en plus grandissant des élèves et étudiants pour les matières et filières scientifiques voire technologiques. A travers, le Plan Science, l’un des pans du Projet d’appui à l’enseignement secondaire, le gouvernement du Bénin par le biais du ministère des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle avec l’appui de l’Agence française de développement œuvre pour le renforcement de l’attractivité de l’enseignement des disciplines et filières scientifiques dans les écoles et universités du Bénin.

Manassé AGBOSSAGA

En réalité, c’est en marge de la 14è réunion annuelle des académies africaines des sciences (AMASA-14) que le coordonateur du Projet d’Appui à l’enseignement secondaire  a rassuré les participants sur la détermination des autorités béninoises à inverser la tendance. Wilfrid Djènontin a, dans sa communication sur les stratégies de l’enseignement des sciences sur l’éducation aux changements climatiques, montré le dispositif en cours pour faire renaître les matières scientifiques dans les écoles et universités du Bénin.

Il a dans ce sens abordé le Projet d’Appui à l’enseignement secondaire, démarré dans sa phase active en 2017 et financé par l’Agence française de développement à hauteur de six milliards. Wilfrid Djènontin a souligné dans sa communication que ce projet qui bénéficie de l’attention particulière du ministre des Enseignements secondaire, technique, et de la formation professionnelle, Mahougnon Kakpo  est initié, d’une part,  pour favoriser l’accès au premier cycle du collège par la construction des salles de classe, d’autre part, pour accompagner l’élaboration des reformes en cours dans le secteur éducatif et leur mise en œuvre.

Et à en croire le communicateur, ce projet va contribuer au   pilotage des établissements, à l’entrée en vigueur de la pratique des projets d’établissement et contrat de performance, au changement du dispositif de formation continue des enseignants, au changement du concept  de collège, au changement de la vision de l ’enseignement des sciences,.

Sur le dernier avantage, Wilfrid Djènontin indique que l’un des volets dudit  projet est la mise en place d’un Plan Science. Selon le coordonateur du Projet d’Appui à l’enseignement secondaire, ce plan vise à renforcer l’attractivité de l’enseignement des disciplines scientifiques  et l’attractivité des filières scientifiques.

Dans sa présentation, Wilfrid Djènontin a alors ressorti la démarche et le  processus mis en place par le ministère pour que ce plan devienne une réalité. Il confie alors que cette démarche comporte cinq étapes.  Wilfrid Djènontin évoque dans un premier temps la cartographie ou le recensement  de toutes les initiatives au plan national et international qui promeuvent l’enseignement des filières scientifiques et techniques. Le coordonateur du Projet d’Appui à l’enseignement secondaire indique que cette étape donnera place à l’état des lieux de l’enseignement des sciences (les causes profondes du désenchantement pour les filières scientifiques). L’état des lieux fait, il s’agira de passer à la recherche des solutions qui doivent aboutir à la réécriture des programmes d’études, la redéfinition des filières de formation. Viendra ensuite, l’étape du cadre de la mise en œuvre le plan science, explique Wilfrid Djènontin. Il a confié à l’assistance que le Centre pour l’éducation à la science en Afrique,  en Méditerranée et en Europe (Cesame), pourrait être la structure de veille.

Si cela est fait, l’étape ultime, celle de la mise en œuvre du Plan Science deviendra une réalité, ajoute t-il.

Dans sa communication, Wilfrid Djènontin a tenu à préciser   que le Plan Science du ministère n’est pas dépendant de l’éducation aux changements climatiques,  mais veut prendre en compte la problématique de l’éducation aux changements climatiques.

Face au réchauffement climatique et à l’effet de serre, il a fait savoir que le Plan Science va prendre en compte les résultats des réflexions sur l’éducation  aux changements climatiques.

Aussi a-t-il  plaidé pour que chaque acteur s’investisse à fond dans la mise en œuvre du projet.

De quoi mériter des acclamations à la fin de sa communication.