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C’est le Conseil des ministres du mercredi 10 avril 2024 qui annonce la nouvelle. Selon le communiqué dudit Conseil, « les activités des partis politiques et les activités à caractère politique des associations sont…
C’est le Conseil des ministres du mercredi 10 avril 2024 qui annonce la nouvelle. Selon le communiqué dudit Conseil, « les activités des partis politiques et les activités à caractère politique des associations sont suspendues jusqu’à nouvel ordre sur toute l’étendue du territoire national malien ».
La junte militaire au pouvoir met en avant la situation sécuritaire du pays.
» Les partis politiques et les associations sont régis respectivement par la Loi n°05-047 du 18 août 2005 portant charte des partis politiques et la Loi n°04-038 du 05 août 2004 relative aux associations. Au sens de ces lois, les partis politiques sont des organisations de citoyens unis par un idéal, prenant la forme d’un projet de société, pour la réalisation duquel ils participent à la vie politique par des voies démocratiques. Quant à l’association, elle est la convention par laquelle plusieurs personnes mettent en commun d’une façon permanente leurs connaissances ou leurs activités dans un but autre que de partager des bénéfices. La loi relative aux associations n’autorise pas les partis politiques à former des regroupements sous la forme associative. Ces regroupements sont constitués sous la forme d’associations non déclarées qui n’ont plus d’existence légale depuis l’adoption de l’Ordonnance n°2024-008/PT-RM du 28 mars 2024 portant modification de la loi relative aux associations.
Face aux multiples défis auxquels le pays est confronté, les Autorités de la Transition ont engagé des actions holistiques prenant en compte aussi bien les questions sécuritaires que celles de développement pour assurer le bien-être des populations.
Malgré la volonté et la disponibilité des Autorités à agir avec le consensus du peuple et la clarté des dispositions législatives et règlementaires qui encadrent les actions des partis politiques et des autres formes d’organisations à caractère politique, les actions de subversion des partis politiques et de leurs alliés ne font que se multiplier », peut-on lire dans le communiqué du Conseil des ministres.
Reste désormais à savoir la réaction des partis politiques, eux qui ont récemment appelé au retour de l’ordre constitutionnel au Mali.
Fin de la réception des déclarations de candidatures pour les législatives du 08 janvier 2023. Après le lancement de l’opération, le vendredi 28 octobre dernier, la Céna a clôturé l’enregistrement des déclarations de candidatures mercredi 02 novembre.
Et à l’arrivée, des partis de la mouvance et de l’opposition ont franchi le portail de la Céna pour officialiser leurs candidatures aux législatives du 08 janvier 2023.
Premier parti à ouvrir le bal, les FcBe. Viendront ensuite l’UP le Renouveau, le Bloc Républicain, NFN, Moele Bénin, Les Démocrates, MPL et UDBN.
Ces différents partis seront soumis à l’exercice de vérification de complétude du dossier.
Un exercice réussi avec brio par sept partis qui réussiront à obtenir leur récépissé provisoire.
Par contre, au niveau de la Nouvelle force nationale, un flou s’observe.
Jusqu’à ce jeudi 03 novembre à 9 heures, le président du parti était toujours à la Céna.
Il a confié aux quelques médias restés jusqu’à l’aube, que le parti NFN aura son récépissé à 15 heures.
A 09 heures, où nous quittions la Céna, sept sur huit partis ont obtenu leur récépissé provisoire.
Ils devront revenir à la Céna pour compléter leurs dossiers.
Deuxième jour de réception des déclarations de candidatures à la Commission électorale nationale autonome (Céna), ce samedi 29 octobre. Et comme au premier jour, aucun parti n’a franchi le portail de la Céna, pour déposer son dossier dans le cadre des législatives du 08 janvier 2023.
Visiblement, l’heure est toujours aux tractations dans les états-majors ou même à la recherche de certaines pièces constitutives au dossier de candidature.
Et ici à la Céna, ni parti politique de la mouvance ni de l’opposition ne s’empresse pour afficher son intention de prendre part au scrutin.
Pendant ce temps, agents de la Céna, journalistes et observateurs sont, comme dans une salle de cinéma où les principaux acteurs, refusent de monter sur scène pour prester.
Mais, un malin qui ne saurait duré, puisque le chronogramme tire à sa fin.
Après vendredi et samedi, les partis politiques ont désormais 4 jours.
Jour J ! La Commission électorale nationale autonome (Céna) reçoit dès ce vendredi 28 octobre 2022 les dossiers des déclarations de candidature dans le cadre des législatives du 08 janvier 2022.
Jour J ! La Commission électorale nationale autonome (Céna) reçoit dès ce vendredi 28 octobre 2022 les dossiers des déclarations de candidature dans le cadre des législatives du 08 janvier 2022.
L’institution en charge des élections au Bénin ouvre ses portes aux partis politiques à 08 heures. Et ce jusqu’au mercredi 02 novembre 2022.
A la veille du démarrage de la réception des déclarations de candidature pour les élections législatives du 08 janvier 2023, le Président de la CENA s’est adressé aux partis politiques.
Tout en souhaitant bonne chance aux partis, il a invité ces derniers à « faire preuve de diligence, d’attention et de rigueur dans la constitution des dossiers de candidatures afin de s’assurer aussi bien de leur complétude, de la validité des pièces que de l’éligibilité des candidats ».
« … Il est attendu des partis politiques et des candidats un travail minutieux et de précision dans le montage de leurs dossiers » a exhorté Sacca Lafia.
Il a ensuite rassuré que la CENA, de son côté, entend jouer sa partition Sacca Lafia a alors rassuré les uns et les autres que toutes les dispositions appropriées sont déjà prises pour recevoir les délégations mandatées pour le dépôt et l’enregistrement des déclarations de candidatures.
Après la fixation de la date des élections législatives de 2023 par la Cour constitutionnelle, l’heure est désormais aux appels, adresses et doléances et autres. C’est le cas de Alimatou Badarou.
Après la fixation de la date des élections législatives de 2023 par la Cour constitutionnelle, l’heure est désormais aux appels, adresses et doléances et autres. C’est le cas de Alimatou Badarou.
De passage sur la chaîne de télévision E-Télé, ce dimanche 06 mars 2022, la coordonatrice de l’Organisation des femmes républicaines du parti Bloc républicain a fait une demande pressante aux responsables des partis, tout bord confondu.
Elle a demandé aux présidents des différents partis de « mettre les femmes à des positions éligibles » lors des législatives du 8 janvier 2023 pour le compte de la 9è législature.
L’ex directrice générale du Conseil national des chargeurs du Bénin (CNCB) a appelé les chefs de partis à faire confiance aux femmes et à faciliter une forte représentativité de la gente féminine au Parlement.
Elle dit connaître des femmes battantes et compétentes pour faire gagner les partis dans les différentes circonscriptions électorales.
Pour Alimatou Badarou, les responsables des partis ont l’occasion d’accompagner la vision du chef de l’Etat, qui accorde une place de choix à la femme, et qui n’a pas hésité à désigner une femme pour être sa colistière.
Et si elle reconnait que les 24 sièges réservés d’office aux femmes (article 144) est une avancée, la coordonatrice de l’organisation des femmes républicaines du Bloc républicain invite les uns et les uns et les autres à ne pas se contenter de cela pour ne pas positionner plus de femmes sur les différentes listes.
Abdoulaye Bio Tchané, Bruno Amoussou, Eric Houndété, Jacques Ayadji, Paul Hounkpè, Expérience Tébé, …sont donc interpelés !!!
Vent de démission au Bloc républicain. Après la démission du ministre Jean-Michel Abimbola, il y a quelques jours, un autre membre très influent vient de claquer la porte.
Wilfrid Kintossou, président de la section France du Bloc Républicain (BR) vient de sauter avec une très grande vitesse du ‘‘cheval cabré’’.
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Il a annoncé sa démission du parti ce vendredi 7 mai 2021. Wilfrid Kintossou est reste évasif sur les raisons de son départ du Bloc républicain, évoquant toutefois des raisons personnelles.
En outre, Chams-Deen Taïrou, membre fondateur du Bloc républicain a annoncé son départ. Il a confirmé la nouvelle à nos confrères de Guérite Tv Monde.
Mauvaise ambiance chez Abdoulaye Bio Tchané à moins de deux ans des législatives de 2023.
Fidélité, intégrité, logique, honte…ces mots n’existent pas dans le dictionnaire de Jacques Ayadji. L’ex syndicaliste reconverti acteur politique est l’incarnation d’un homme sans principe, sans parole,…Preuve, le faussée entre ce qu’il a dit hier, et ce qu’il fait aujourd’hui.
Le temps a permis aux béninois de mieux découvrir l’homme qui s’est beaucoup révélé sur les antennes de Radio Tokpa et qui se plaisait à se jouer ‘‘les saints’’. Oui, le temps « second nom de Dieu’’, a montré comment Jacques Ayadji peut dire et se dédire, comment il peut laper l’assiette dans laquelle il a craché. Le temps a : montré comment l’ex syndicaliste peut ravaler ses vomissures à condition de bénéficier des avantages d’un régime.
Qu’est ce qu’il n’a pas dit sur Talon
Avant la présidentielle de 2016, Jacques Ayadji, s’était donné pour mission de vilipender le candidat Patrice Talon. Sur les chaines de radio, dans la presse écrite et sur les réseaux sociaux, l’ex secrétaire général du Syntra-Tp ne manquait pas de sortir les munitions pour mettre en exergue la dangerosité du personnage Talon. Morceaux choisis, grâce aux archives des sites des quotidiens La Nouvelle Tribune, Soleil Bénin Infos et autres :
« L’élection de Patrice Talon sera catastrophique, scandaleuse… On ne peut pas mettre à la tête de ce pays un bourreau…Patrice Talon est libre d’être candidat, …mais nous les béninois avons le devoir de faire échec à son élection… Patrice Talon a mis ses moyens au service du KO de 2011…Patrice Talon défend ses intérêts, le pays peut mourir…Patrice Talon n’a pas d’amour pour le Bénin… Si Patrice Talon est candidat, je serai candidat. S’il annonce sa candidature, à la minute qui suit, je serai candidat contre lui ».
Ravale ses vomissures
Au second tour de la présidentielle de 2016, Jacques Ayadji sous un pseudo prétexte du combat contre la colonisation a ravalé ses vomissures. L’homme qui a annoncé que l’élection du magnat du coton serait une catastrophe a appelé les béninois à voter pour le candidat Patrice Talon. On est au début de l’épisode du feuilleton ‘‘ le caméléon Ayadji en action’’.
Comme certains béninois qui manquent de crédibilité entre leurs propos et leurs actes, l’ancien syndicaliste n’a pas hésité à accepter par la suite sa nomination au poste de directeur général intérimaire des infrastructures. Jacques Ayadji accepte ainsi de servir les intérêts du « bourreau ». Patrice Talon a, beau manqué d’amour pour le Bénin et être plus intéressé par ses intérêts, il ne voit pas d’inconvénient à travailler avec lui.
A cet instant là, Jacques Ayadji amorce sa métamorphose définitive. A sa prise de fonction en juillet 2016, il n’hésitera pas à lancer qu’il entre au couvent.
« Je suis aujourd’hui directeur général des travaux publics. Je change de statut. Je rentre au couvent. Cela veut dire que je ne suis plus libre de dire comme je veux, ce que je veux », prévenait l’homme lors de sa prise de fonction.
Mais là encore, Jacques Ayadji n’a pas tenu parole. Il a fait le contraire de ses déclarations. En effet après sa nomination, Jacques Ayadji trouvait le temps nécessaire pour attaquer les décisions de la Cour constitutionnelle présidée à l’époque par le Professeur Théodore Holo. Sans scrupule, comme s’il était encré dans le style Talon, il ne manquera pas d’inviter les autorités actuelles à « jeter à la poubelle les décisions de la Cour constitutionnelle.
Et si Jacques Ayadji a, après sa nomination, gardé le réflexe de vilipender la Cour constitutionnelle, cela n’a pas été le cas pour son combat contre le néocolonialisme. En effet, l’homme qui avait combattu la candidature de Lionel Zinsou au point de courir à Abomey pour une pause-photo sur la statue de Béhanzin n’a pipé aucun mot quand Patrice Talon a, après 58 d’indépendance, décidé de confier la gestion du port de Cotonou à un belge.
Pour confirmer son égarement, l’ex syndicaliste devenu amoureux du « bourreau Talon » a lancé ce jeudi 28 juillet son mouvement politique dénommé Mouvement des élites engagées pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin). Mieux, il a confirmé sa présence dans la mouvance présidentielle. Jacques Ayadji exclut ainsi son retour dans le monde syndical. Il conforte au contraire sa présence dans le monde des avantages et privilèges du pouvoir. Servir le « bourreau » ne pose donc pas de problème à ce dernier. L’éthique, les valeurs, les propos du passé ne sont donc pas dans le dictionnaire de Jacques Ayadji.
Quand un homme de cette nature se donne le vilain plaisir de critiquer une noble corporation, il y a de quoi solliciter une messe de prière pour l’aider à retrouver ses esprits.
Sans doute agacé par les derniers propos des députés de la 8è législature, élus dans un contexte très particulier, Guy Dossou Mitokpè sort de sa réserve. Très discret sur l’actualité politique nationale et dans une posture de ‘‘coach’’ depuis un bon moment, l’ancien député a taclé les représentants du peuple.
Sur sa page facebook, il a dénoncé l’arrogance de ces derniers, qu’il qualifie de « dépité » et non de député.
« Et comme si cela ne suffisait pas, ces dépités nommés sont arrogants », a fustigé le secrétaire général du parti Restaurer l’Espoir.
Le Parti du renouveau démocratique (PRD) s’accroche à l’opposition malgré tout. Sans députés, maires, conseillers communaux ou des cadres nommés à divers postes de responsabilités par le Chef de l’Etat, le parti de Me Adrien Adrien Houngbédji refuse de remettre pied dans l’opposition.
En effet, à l’occasion d’une rencontre de la Direction exécutive nationale tenue ce 26 janvier pour aborder de la désignation du candidat aux élections présidentielles de 2021, le parti s’est plaint à demi-mot de sa situation au sein de la mouvance tout en rejetant l’idée de retourner dans l’opposition.
« A l’entame des débats, le président du Parti a exposé qu’en prélude à la réunion de la Direction exécutive nationale de ce jour, et aux assises prochaines du Bureau politique et du Congrès, il a reçu une première fois du 16 novembre au 12 décembre 2020 en consultation, chaque structure horizontale et verticale du parti, a recueilli dans un premier temps leurs ressentiments et légitimes frustrations face au sort fait au PRD, a partagé avec eux, l’analyse de la situation, et les a renvoyés à une rencontre ultérieure pour restituer les fruits de leur réflexion avant toute prise de décision ; que cette deuxième consultation a eu lieu du 14 au 23 janvier et qu’à l’issue de celle-ci, les différentes structures ont unanimement affirmé leur appartenance au PRD, exprimé leur détermination à suivre les consignes du parti, rejeté l’idée de rejoindre l’opposition, rappelé que le parti est de la mouvance et déclaré qu’elles feront campagne et feront voter pour le candidat de la mouvance, en l’occurrence le président Patrice Athanase Guillaume Talon », peut-on lire du communiqué signé du secrétaire général du parti.
Puis d’inviter le chef de l’Etat à penser au PRD et à ses cadres : « « Toutefois, elles ont unanimement souhaité avoir l’assurance que le PRD , ses cadres et ses militants seront traités avec plus d’égards, que le rôle et la place du Parti sur l’échiquier politique national et dans les institutions dirigeantes du pays soient l’objet de toutes les attentions ».
La Commission électorale nationale autonome (Céna) associe toutes les parties impliquées dans l’organisation de la présidentielle de 2021 pour la réussite du processus électoral. Pour cause, elle a échangé avec les représentants de partis politiques régulièrement enregistré ce mardi 26 janvier 2021 au chant d’oiseau de Cotonou.
Trois temps forts ont marqué ce rendez-vous où étaient notamment présents les représentants de l’Union progressiste, du Bloc républicain, de la FcBe, de la FcdB, du parti Les Démocrates, de l’UdBn…
D’abord le discours de bienvenue du président de la Céna. A l’occasion, Emmanuel Tiando a fait remarquer que l’organisation de la présidentielle de 2021 n’est pas que l’affaire de la Céna. Il a indiqué que les partis, acteurs clés, ont un rôle primordial à jouer dans le succès du processus électoral.
Pour lui, il est alors important d’informer ces derniers sur le déroulement du processus électoral et recueillir leurs suggestions, car insistera t-il, la Céna tient à l’organisation d’un scrutin libre, crédible et transparent.
Le décor planté, place aux communications. Rufin Domingo se chargera de développer le thème « présentation du calendrier électoral et la liste des pièces à fournir pour les déclarations de candidature », et Richard Dégbéko abordera le thème « rôles et responsabilités des partis et des candidats dans le processus électoral ».
Une étape qui ouvrira la voie à la dernière phase avec les questions et réponses.
Satisfaits des réponses données par la Vp, Geneviève Boko Nadjo, et du président Emmanuel Tiando, notamment sur le parrainage, le recrutement des agents électoraux, les représentants des partis présents ont donné leur accord pour la réussite du scrutin présidentiel.