Notice: Function _load_textdomain_just_in_time was called incorrectly. Translation loading for the updraftplus domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /var/www/clients/client4/web4/web/wp-includes/functions.php on line 6085 policier – Kpakpato Medias
‘‘Drôle’’ de procès au tribunal de Cotonou ce mercredi 28 mars 2023. Un jeune homme a été jugé pour avoir déchiré l’uniforme d’un flic.
‘‘Drôle’’ de procès au tribunal de Cotonou ce mercredi 28 mars 2023. Un jeune homme a été jugé pour avoir déchiré l’uniforme d’un flic.
A la barre, le mis en cause a avancé qu’il essayait de se dégager de l’emprise du policier quand la tenue s’est déchirée, rapporte Bip radio Cotonou..
Son avocat a ajouté que des dispositions ont, néanmoins, été prises pour réparer le tort causé au policier. Regrettant l’acte de son client, il implore la clémence du juge.
Absent à l’audience, le policier n’a pas pu être écouté.
Le dossier a donc été renvoyé au 12 avril pour entendre le son de cloche de ce dernier, précise la même source.
L’affaire fait grand bruit au Gabon. Un Policier, la trentaine, est en cavale suite à plusieurs parties de jambes en l’air avec sa belle-fille âgée de 14 ans à Tchibanga (Nyanga, sud du Gabon).
L’affaire fait grand bruit au Gabon. Un Policier, la trentaine, est en cavale suite à plusieurs parties de jambes en l’air avec sa belle-fille âgée de 14 ans à Tchibanga (Nyanga, sud du Gabon).
Selon Info241, le mis en cause est en service au commissariat de Tchibanga. Le Policier est soupçonné d’avoir joué à ‘’tchoki-tchoki’’ avec sa belle-fille, une mineure de 14 ans. Et ce, contre l’avis de cette dernière.
D’après le site Gabonais, le Policier vivait en concubinage avec la mère de la victime dans la province de la Nyanga.
Le mis en cause « serait passé à l’acte à plusieurs reprises, et ce, dans la chambre conjugale du couple. À chaque sortie de piste, l’agent de police entrainait de force la gamine dans ladite chambre », explique info241.com.
Dans un premier temps, les frères cadets de la victime ont alerté leur mère sur le fait que son tendre époux ‘’sautait’’ sa belle fille. Chose inimaginable à ses yeux.
Toutefois, elle décide de surveiller de près les faits et gestes de son mari policier. La vérité ne tardera pas à sortir. Selon la même source, le Policier sera pris la main dans le sac.
Pris en flagrant délit, le mari a préféré placer ses espoirs dans la fugue. Face à sa libido qu’il n’a pas pu contrôler, le Policier est aujourd’hui volatilisé dans la nature.
Pendant ce temps, sa femme et fille de la victime a déposé une plainte. Depuis lors, ses collègues policiers sont à ses trousses.
Les Salvadoriens découvrent avec horreur le visage d’un ancien policier, Hugo Osorio, 51 ans, qui pourrait être le pire tueur en série de ce pays. Des fouilles dans sa maison sont toujours en cours et, selon des journalistes, une quarantaine de corps pourraient être découverts au total.
Les Salvadoriens découvrent avec horreur le visage d’un ancien policier, Hugo Osorio, 51 ans, qui pourrait être le pire tueur en série de ce pays. Des fouilles dans sa maison sont toujours en cours et, selon des journalistes, une quarantaine de corps pourraient être découverts au total.
Le Salvador, un des pays réputés les plus violents au monde, est secoué depuis plusieurs jours par une affaire sordide. Hugo Osorio, un ancien policier, pourrait être le pire tueur en série de ce pays après la découverte dans sa maison d’une vingtaine de cadavres. Plusieurs médias affirment même qu’une quarantaine de corps pourraient être retrouvés au total.
Dans la nuit du 7 mai, ce sont les cris de Jackeline Cristina Palomo, 26 ans, la dernière victime d’Hugo Osorio, qui ont mis fin à la carrière criminelle de cet ex-flic de 51 ans. Alarmés, les voisins d’Hugo Osorio dans la rue Estévez, à Chalchuapa (environ 90 km à l’ouest de la capitale San Salvador), ont appelé la police.
Le tueur a été interpellé et des fouilles chez lui ont débuté par la suite. 18 cadavres ont été exhumés à ce stade. Quatorze de ces corps ont été retrouvés dans un terrain appartenant à l’ancien policier, en face de sa maison, a indiqué le ministre de la Justice et de la Sécurité Gustavo Villatoro.
Un type complètement cinglé
Hugo Osorio est un homme robuste d’1m70. Il est entré dans la police en 1997 mais il en avait été chassé en 2005 après des accusations d’abus sexuels sur mineure. Il avait purgé une peine de prison pour ces faits jusqu’en 2011.
Le criminologue judiciaire Israel Ticas le décrit comme un « type complètement cinglé ». Il se serait notamment adonné à des rituels macabres pour terrifier ses victimes avant de les assassiner. Les enquêteurs, qui évoquent « un psychopathe sexuel », parle d’un « tueur en série » qui « chassait » ses proies sur les réseaux sociaux en offrant soit du travail, soit de l’aide pour émigrer aux Etats-Unis.
Selon The Guardian, des mandats d’arrêt ont été émis contre neuf suspects qui aurait pu aider Hugo Osorio à commettre ses méfaits.
Une majorité de féminicides
Plusieurs proches de personnes disparues se rendent depuis plusieurs jours devant la maison du tueur pour obtenir d’éventuelles réponses. Les fouilles doivent durer encore un mois.
La majorité des corps jusqu’ici découverts sont ceux de femmes. Au Salvador, un pays de 6,7 millions d’habitants, 70 femmes ont été tuées en 2020, et plus d’une certaine en 2019, selon les chiffres officiels.
D’après Jannet Aguilar, une chercheuse indépendante qui travaille pour des fondations et des agences de l’ONU et de l’Union européenne, il y a eu au Salvador plus de 40 000 disparitions au cours des 15 dernières années : « le pays n’a pas idée de l’envergure qu’a atteint ce phénomène (…) car cela a été caché, occulté ».
Un policier a tué par balles, dimanche dans le XVIIIe arrondissement de Paris, un homme qui l’avait menacé avec un couteau lors d’une agression aux circonstances encore floues, a-t-on appris auprès de la police et du parquet. Le policier a tiré avec son arme de service sur cet homme alors que, pris en chasse, ce dernier s’était retourné pour lui donner des coups de couteau, à l’angle de la rue Boinod et de la rue des Poissonniers, a-t-on indiqué de source policière.
Le parquet de Paris indique à Libération avoir «saisi le deuxième district de police judiciaire de l’enquête ouverte du chef de tentative d’homicide volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique et l’Inspection générale de la police nationale de l’usage de son arme de service par le policier et de ses conséquences. Les investigations permettront d’établir ultérieurement les circonstances des faits. Il n’est à cet instant fait état d’aucun élément susceptible de relier ces faits à un acte de nature terroriste».
Vers 11 heures, rue des Amiraux, alors qu’il surveillait devant un immeuble les vélos de collègues en intervention pour un différend familial, le policier a été pris à partie par l’agresseur présumé, dont l’âge n’a pas été précisé, a indiqué la source policière. Ce dernier l’a ensuite menacé avec une arme blanche avant de prendre la fuite. C’est lors de cette poursuite que le policier a fait usage de son arme quand l’homme s’est retourné pour lui donner des coups de couteau, a-t-on poursuivi de même source.
Sur place, les pompiers ont prodigué à l’individu un massage cardiaque, sans parvenir le ranimer. L’identité de la personne décédée n’a pour l’heure pas pu être établie avec exactitude.