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Le parti Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) tient une rencontre décisive demain mardi 26 janvier. L’assise qui réunira les membres du bureau politique au siège du parti permettra d’évoquer la présidentielle de 2021.
Loin des désaccords et attaques personnelles entre les membres, le bureau politique aura à faire le point des parrainages obtenus par les probables candidats, mais aussi et surtout à discuter du duo qui va représenter les ‘‘cauris’’ à la présidentielle du 11 avril 2021.
Saura t-on le nom du candidat du parti FcBe à l’issue de cette rencontre ?
Première réaction de la colistière de Patrice Talon après sa désignation. A l’occasion de son retrait de formulaire de parrainage ce lundi 25 janvier 2021 au siège de la Commission électorale nationale autonome (Céna), Mariam Chabi Talata s’est de façon laconique prononcée sur sa désignation comme vice-présidence, du chef de l’Etat dans le cadre de la présidentielle de 2021.
« Comme vous j’ai appris l’information. J’attends que le chef de l’État qui est celui qui choisit son colistier ou sa colistière, qu’il se prononce là-dessus . C’est tout ce que j’ai à dire. C’est une surprise pour moi aussi », a-t-elle répondu d’après des propos rapportés par Argos Adihounda du journal L’Africain.
Interrogé par Frissons Radio, Alassane Tigri a donné la position du parti Les Démocrates au sujet de la présidentielle de 2021. Selon lui, le « parti n’est nullement dans une logique de boycott ».
Toutefois, il a fait remarquer que le parti Les Démocrates a conditionné sa participation au scrutin présidentiel du 11 avril 2021 à la satisfaction de certaines exigences.
L’ancien ministre a notamment cité la tenue d’un dialogue national pour discuter des questions liées au parrainage.
En attendant, Alassane Tigri confie que le parti évolue selon « agenda ».
Le nom du colistier de Patrice Talon est connu. Du moins si on en croit les informations relayées ces 24 heures par les soutiens et communicants du pouvoir.
Et selon ces derniers, le chef de l’Etat, candidat à sa propre succession à la présidentielle du 11 avril 2021 a jeté son dévolu sur une femme.
1ère vice-présidente à l’Assemblée nationale, et ancienne Directrice de l’Enseignement Secondaire au Ministère de l’Enseignement Secondaire Mariam Talata Chabi serait désignée par Patrice Talon pour le poste de vice-présidence.
Si l’information venait à être confirmée, l’Union progressiste, son parti, serait, sans doute, le grand gagnant.
Pas un seul doute ! Le grand évènement politique de ce week-end a eu lieu à Lokossa.
Dans une synergie d’actions, le mouvement Les Bataillons de Patrice Talon et le Cadre de Concertation des Jeunes (CCJ) viennent d’activer le bouton du K.O pour ‘‘le compétiteur né’’ dans le cadre de la présidentielle de 2021.
Main dans la main, ils ont organisé un géant meeting de soutien au président de la République ce samedi 23 janvier 2021 à Lokossa, après son ‘‘Oui’’ d’Adjohoun.
Joie, assurance, et détermination se lisaient sur les visages de Laurent Zomaï, Président CCJ, de Olivier Agonglo, Président du mouvement Les Bataillons de Patrice TALON, mais aussi et surtout sur les visages des plus de 5.000 citoyens présents sur le stade municipal de Lokossa, tous, mobilisés pour un seul objectif : la réélection du président Patrice Talon dès le premier tour.
Pour le Cadre de concertation des jeunes (CCJ) et les Bataillons de Patrice Talon, la gestion des cinq années de gouvernance plaide en faveur d’un second mandat pour le chef de l’Etat.
Les prouesses du Programme d’actions du Gouvernement avec la réalisation des grands travaux (asphaltage, projet Arch, microcrédit Alafia, fin du délestage pour la réalisation de maria Gléta 2) sont, pour les organisateurs du géant meeting, une raison suffisante pour offrir un K.O retentissant au président Talon, au soir du 11 avril.
Lentement, mais sûrement, la Commission électorale nationale autonome (Céna) s’achemine vers la délivrance des 159 formulaires de parrainage aux élus dans le cadre de la présidentielle de 2021.
Après neuf jours d’opération, et suite aux passages du député Aké Natondé et du maire Luc Atrokpo, ce vendredi 22 janvier, l’équipe de Tiando a satisfait 153 parrains.
Avant le 31 janvier, date de clôture, la Céna est à seulement 6 élus pour boucler la boucle.
Le chef de l’Etat a donné une assurance au peuple béninois au sujet de la présidentielle du 11 avril 2021. Recevant les vœux du corps diplomatique, des présidents d’institutions ce jeudi 21 janvier 2021, Patrice Talon a rassuré que les dispositions sont prises par son Gouvernement pour offrir un scrutin présidentiel festif, comme il l’a martelé lors de sa tournée nationale.
« Cette année 2021 sera marquée au plan politique national par l’élection présidentielle d’avril prochain. Ce sera la première étape après la reforme du système partisan, une étape majeure. Mon gouvernement s’active pour faire de ce rendez-vous un moment d’unité, de communication et de consolidation des acquis du processus démocratique au Bénin », a-t-il déclaré.
REUNION STATUTAIRE DE LA COORDINATION NATIONALE DU PARTI Les Démocrates ( LD )
COMMUNIQUE FINAL
L’an deux mil vingt et un et le jeudi vingt et un janvier s’est tenue au siège annexe du parti « Les Démocrates » à Jéricho, Cotonou, la réunion statutaire de la Coordination Nationale du parti.
Au début de la séance, le Président du parti a présenté les vœux de bonne et heureuse année 2021 à la Coordination Nationale et aux militants du parti « Les Démocrates ».
Ensuite la déclaration d’appartenance à l’opposition du parti « Les Démocrates » a été lue par le Président Eric HOUNDETE.
Plusieurs autres points ont été abordés portant sur la question de la création du Front pour la Restauration de la Démocratie et sur les questions électorales.
Des discussions et débats, on peut retenir les résolutions suivantes :
La Coordination Nationale en montrant sa disponibilité pour prendre part à des élections libres, transparentes et inclusives exige du Gouvernement le respect des décisions de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP).
La Coordination Nationale rappelle à l’attention des militantes et militants en particulier et du peuple Béninois en général que les exigences du Front pour la Restauration de la Démocratie doivent être des conditions sine qua non pour une organisation apaisée de la prochaine élection présidentielle.
La Coordination Nationale rappelle au Président de la République que son mandat prend impérativement fin le 05 avril 2021 à zéro heure. En conséquence, toutes les dispositions doivent être prises pour l’organisation des élections présidentielles avant cette date.
Les militantes et militants sont invités à finaliser l’installation des différentes structures de base et à rester mobilisés afin de faire respecter les décisions de la CADHP pour une élection présidentielle inclusive, juste et transparentes.
La Coordination Nationale rappelle que les conditions de désignation et d’investiture du candidat du parti sont régies par les articles 64 à 68 des Statuts et 67 à 71 du Règlement Intérieur. En conséquence, le parti n’a donné mandat à aucun individu pour négocier le parrainage en son nom ni se prévaloir de son investiture. La Coordination Nationale met en garde contre toute manœuvre tendant à faire croire que le parti « Les Démocrates » a démarché et obtenu des parrains.
Depuis sa résidence privée à Saint- Amour en France, à une heure de Genève dans le jura celui qui incarne une alternative crédible face au pouvoir de Patrice Talon, annonce officiellement sa candidature à l’élection présidentielle de 2021. Après s’être prosterné devant la mémoire des fils et filles du Bénin tombés sur le front des combats pour la restauration de la démocratie, l’avocat Ferdinand Lawson décline ses priorités en plusieurs axes stratégiques dont l’urgent constitue les assises nationales. Elles se tiendront dans les 90 jours après son investiture.
Les rideaux sont définitivement tombés sur la candidature de l’avocat Ferdinand Lawson à l’élection présidentielle 2021. Après s’être retiré de la course en 2016, Ferdinand Lawson revient au-devant de la scène pour proposer une alternative crédible aux Béninois. Plusieurs points forts ont ponctué sa déclaration qu’on peut qualifier de «pragmatique ». Après avoir passé le quinquennat de Patrice Talon, Ferdinand Lawson s’interroge sur l’endettement du Bénin. Selon lui, l’opacité qui entoure cette problématique de dette publique au Bénin doit interpeler tout le monde. Il reconnait cependant que l’endettement n’est pas en soi un problème dès lors qu’il est responsable et qualitatif ; c’est-à-dire qu’il finance l’économie productive, source de croissance, de développement et de bien-être social. Il n’a donc pas caché son amertume face à la gestion du pouvoir Talon.
« Nous estimons que l’action du Chef de l’État a ensuite péché par une gouvernance trop personnelle et totalement centralisée à la présidence, faisant des ministres des agents d’exécution serviles d’instructions présidentielles non discutables » s’est offusqué Lawson qui propose à travers sa candidature une sortie immédiate de la crise de confiance entre le peuple et l’Etat souverain.
Les priorités de Ferdinand Lawson à la tête du Bénin
«Je voudrais offrir l’occasion à chaque fils et fille de cette nation d’écrire avec moi les pages de notre histoire démocratique à travers des échanges approfondis, posés et sereins, sur une question qui a toujours été et qui restera essentielle en matière de politique : le retour à l’ordre démocratique » a promis Lawson au peuple béninois. Il s’engage instaurer une gestion inclusive du pouvoir d’Etat.
Sur le plan de l’éducation, l’avocat annonce une fracture politique entre le méthode du quinquennat de Talon. Il a une vision claire et sans équivoque.
« En matière de formation du peuple Béninois, investir dans l’éducation et la formation pour des ressources humaines qualifiées, aptes à satisfaire les besoins du marché, à entreprendre et à créer des activités génératrices d’emplois et de richesse constitue l’axe principal de ma gouvernance ».
Il avoue avec sincérité et dévotion qu’investir aussi, et massivement, dans les infrastructures physiques et immatérielles restera sa priorité. « Mon pays le Bénin est encore en quête d’émergence. Tout, ou presque, reste à construire » a déclaré Lawson. Pour associer le peuple à l’avenir de la nation, il annonce des assises nationales dans les trois mois qui suivent sa prise du pouvoir. Plusieurs autres priorités sont déclinées dans sa déclaration.
Cellule de Communication
Lire l’intégralité de la déclaration
DECLARATION DE CANDIDATURE A L’ELECTION PRESIENTIELLE D’AVRIL 2021
Béninois et Béninoises !
Combattants de la démocratie !
Peuple Béninois libre et debout !
Je voudrais, à l’entame de mon propos, saluer la mémoire des dignes fils de notre chère et commune patrie, tombés sur le front de la démocratie, de l’état de droit et de justice. Je m’incline devant leur mémoire. Je salue le cœur serré tous mes concitoyens en détention ou contraints à l’exil pour leurs opinions et/ou combattants politiques. Mes chers frères, votre participation personnelle à la construction de notre nation constitue pour moi une source de confiance en la restauration de la démocratie et de l’état de droit sur la terre de nos aïeux : Akaba, Bio Guera, Béhanzin et j’en passe. Votre engagement continu témoigne de notre ambition commune de poursuivre ensemble le combat pour le retour à un processus de développement durable, dans un esprit de solidarité et de dialogue confiant avec chaque Béninois et chaque Béninoise.
En décidant ce jour, depuis ma résidence privée à Saint- Amour en France, à une heure de Genève dans le jura de déclarer ma candidature à l’élection présidentielle d’Avril prochain, je voudrais offrir l’occasion à chaque fils et fille de cette nation d’écrire avec moi les pages de notre histoire démocratique à travers des échanges approfondis, posés et sereins, sur une question qui a toujours été et qui restera essentielle en matière de politique : le retour à l’ordre démocratique.
En effet, dans l’histoire des nations, la question de la dette des États a souvent nourri interrogations et débats, voire controverses, aussi bien entre spécialistes qu’au sein de l’opinion publique. La problématique se pose encore aujourd’hui dans tous les pays, et peut-être de façon plus critique dans les pays en développement, au regard des besoins immenses et urgents en investissements pour le présent et l’avenir. Mais l’opacité qui entoure cette problématique au Bénin nous interpelle tous ; nous Ferdinand Lawson, ne pourrions rester indifférents à la question de la dette nationale seulement en cinq années de gouvernance.
L’endettement n’est pas en soi un problème dès lors qu’il est responsable et qualitatif ; c’est-à-dire qu’il finance l’économie productive, source de croissance, de développement et de bien-être social. Mais la dette contractée à la tête de chaque Béninois croît sans véritable impact sur le quotidien du citoyen.
En matière de formation du peuple Béninois, investir dans l’éducation et la formation pour des ressources humaines qualifiées, aptes à satisfaire les besoins du marché, à entreprendre et à créer des activités génératrices d’emplois et de richesse constitue l’axe principal de ma gouvernance.
Nous, Ferdinand Lawson, investir aussi, et massivement, dans les infrastructures physiques et immatérielles restera ma priorité. Mon pays le Bénin est encore en quête d’émergence. Tout, ou presque, reste à construire malgré les cinq années dites de fracture d’avec les vieilles politiques régressionistes.
À vous, chers défenseurs de la démocratie, je redis notre respect et notre affection. Votre courage et les sacrifices immenses que vous avez consentis pour la défense du retour à l’état de droit resteront à jamais gravés dans nos cœurs et nos esprits. C’est pourquoi je placerai les cinq prochaines années sous le signe de L’UNION ET LA RÉCONCILIATION NATIONALES. Après ces cinq dernières années éprouvantes et douloureuses, nous Ferdinand Lawson, allons-nous présenter face à celui qui a défiguré notre démocratie et profané notre constitution. Si l’action de Patrice Talon a permis de relancer l’économie et d’amorcer un changement de mentalités, il n’en demeure pas moins que son quinquennat a déchiré la fibre patriotique en démontrant une implacable chasse aux sorcières. Une justice expéditive incarnée en une juridiction d’exception distribuant les 10 ans et 20 ans à tour de bras à de potentiels candidats aux présidentielles de 2021 afin de baliser le terrain à un plébiscite de fait.
Nous estimons que l’action du Chef de l’État a ensuite péché par une gouvernance trop personnelle et totalement centralisée à la présidence, faisant des ministres des agents d’exécution serviles d’instructions présidentielles non discutables ; qui a fini par ternir un début de quinquennat prometteur. C’est pour mettre un terme à cette page lugubre de notre histoire démocratique, que nous pensons que le Bénin a besoin aujourd’hui de retrouver un nouveau souffle pour surmonter la crise démocratique, la déception et l’amertume très palpables et très généralisées au sein de la classe politique en général et dans le nord du pays en particulier. Le pays a besoin de l’Union et de la réconciliation nationale, lesquelles doivent être mises en œuvre par le retour de tous les exilés politiques. Pour entreprendre ce chantier, nous allons organiser des assises politiques nationales dans les 90 jours suivant notre investiture. C’est d’abord une redistribution des cartes, en rendant la démocratie au peuple, en lui rendant les moyens et la volonté de choisir ses représentants locaux et nationaux.
Bref, l’inciter à revenir aux urnes, lui rendre le goût et la confiance en la politique. L’Union et la réconciliation nationales, c’est aussi un partage plus équitable et plus motivant des richesses produites. Nous ne laisserons personne sur le bord de la route et je permettrai à chacun de vivre avec décence et dignité. Nous agirons toujours en fonction du plus grand bien pour le plus grand nombre. Nous allons susciter l’adhésion plutôt que de l’imposer. L’union et la réconciliation nationales, c’est sortir des divisions stériles et des égoïsmes qui ont plongé le pays dans l’ornière. Nous resterons ouverts aux personnes de bonne volonté agissant sincèrement pour le bien du plus grand nombre. Ce pays ne sera plus jamais victime du pouvoir personnel. Pour ce faire je déclare ce jour 20 janvier 2021 depuis ma résidence privée à Saint- Amour en France, ma candidature à la fonction suprême. Nous allons porter la voix de chaque Béninois et de chaque Béninoise pour que renaisse le Bénin.
Dans le cadre de l’organisation de l’élection présidentielle des 11 avril et 09 mai 2021, la Cour constitutionnelle, lance un appel à candidatures pour le recrutement de ses délégués de centre de vote, d’arrondissement, de commune ou de département.
CONDITIONS A REMPLIR
– Pour tous les postes, le candidat doit :
Être de nationalité béninoise ;
Être domicilié dans la localité où il /elle postule ou en avoir une bonne connaissance
– Par type de poste, les niveaux requis sont le baccalauréat pour le poste de délégué de centre de vote, le grade A3 ou un niveau équivalent pour les postes de délégué d’arrondissement ou délégué communal, le grade A1 ou un niveau équivalent pour le poste de délégué départemental.
DOSSIER DE CANDIDATURE
Le dossier de candidature est constitué des pièces ci-après :
Une demande motivée précisant le poste et la localité souhaitée ;
Une copie du diplôme requis ou la preuve du grade ou du niveau équivalent;
Une copie de la Carte Nationale d’Identité ou de toute autre pièce en tenant lieu (Passeport, Permis de conduire, Carte de la Liste Electorale Permanente Informatisée (LEPI), Carte d’identité biométrique, Livret de pension civile ou militaire comportant la photographie du titulaire, certificat d’identification personnelle) ;
Une attestation de résidence.
DEPOT DES DOSSIERS
Les dossiers de candidature seront déposés auprès des mairies, des préfectures ou du Secrétariat général de la Cour constitutionnelle impérativement du lundi 22 février au samedi 27 février 2021 à 17 heures précises.
La demande et les pièces exigées doivent être mises sous pli fermé adressé à Monsieur le Secrétaire général de Cour constitutionnelle avec la mention « CANDIDATIURE AU POSTE DE DELEGUE ……. (A PRECISER) ».
Par ailleurs, en lieu et place du dépôt physique auprès des mairies, préfectures ou au secrétariat général de la Cour, une inscription en ligne est possible sur le site de la Cour constitutionnelle à l’adresse est : www.courconstitutio