« Reporter Bénin Monde » étend ses tentacules et devient « REPORTER MEDIAS MONDE »

Après le 229, Reporter Bénin Monde va à la conquête du monde. Le groupe de presse dirigé avec rigueur et professionnalisme par Pesce Hounyo devient désormais REPORTER MEDIAS MONDE.

Après le 229, Reporter Bénin Monde va à la conquête du monde. Le groupe de presse dirigé avec rigueur et professionnalisme par Pesce Hounyo devient désormais REPORTER MEDIAS MONDE.

Ce changement de nom a été annoncé à travers un communiqué dont Kpakpato Medias a reçu copie. « Dans le cadre de l’expansion de nos activités sur divers canaux digitaux, nous avons le plaisir de vous annoncer la transformation de notre plateforme de création de contenus. Désormais, « Reporter Bénin Monde » devient « REPORTER MÉDIAS MONDE » », indique le communiqué.

:Cette nouvelle dénomination, qui entre en vigueur depuis ce mercredi 31 juillet 2024  symbolise une étape cruciale dans l’engagement de REPORTER MEDIAS MONDE « à fournir des informations de qualité et variées » aussi bien au plan national qu’au-delà des frontières béninoises.

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Pesce Hounyo, Promotrice de REPORTER MEDIAS MONDE et Louis P. Houndégnon, ancien Directeur Général de la Police nationale

Dans sa nouvelle vision, le médias propose à ses nombreux lecteurs, ses abonnés et autres  de nouvelles émissions exclusives,  des interviews et reportages inédits, des enquêtes approfondies, des directs interactifs, et bien plus encore,

Une semaine spéciale qui aura lieu du 29 juillet au 04 août est initiée pour marquer cette transition. REPORTER MEDIAS MONDE invite les internautes, les abonnés et les partenaires à y participer.

Manassé AGBOSSAGA

COMMUNIQUE DE PRESSE 

 

REPORTER MÉDIAS MONDE : NOUVEAU NOM, NOUVELLE VISION

Dans le cadre de l’expansion de nos activités sur divers canaux digitaux, nous avons le plaisir de vous annoncer la transformation de notre plateforme de création de contenus. Désormais, « Reporter Bénin Monde » devient « REPORTER MÉDIAS MONDE »: Cette nouvelle appellation symbolise une étape cruciale dans notre engagement à fournir des informations de qualité et variées à notre audience, qui s’étend aujourd’hui bien au-delà des frontières béninoises.

À partir du mercredi 31 juillet 2024, notre nouvelle identité sera officiellement lancée, reflétant notre ambition de nous établir comme une plateforme Trait d’Union entre communautés et dirigeants, tant au Bénin qu’à l’international. Ce changement de nom s’accompagne d’une nouvelle direction et d’une vision renouvelée, centrées sur l’innovation, la diversité des contenus et l’interaction avec nos abonnés.

Une série d’événements et de programmes spéciaux marquera cette transition durant la semaine du 29 juillet au 4 août 2024. Les internautes pourront découvrir sur nos plateformes :

– De nouvelles émissions exclusives,

– Des interviews et reportages inédits,

– Des enquêtes approfondies,

– Des directs interactifs, et bien plus encore.

Nous invitons tous les internautes, notamment nos abonnés et partenaires, à nous rejoindre durant cette semaine spéciale pour découvrir notre nouvelle vision et partager cette évolution avec nous.

Le journaliste Alain Foka annonce son départ de Rfi

Encore quelques jours, et le très célèbre Alain Foka va faire ses adieux à Rfi. Le journaliste a, sur ses canaux officiels, annoncé son départ du média français à la fin du mois d’octobre

Encore quelques jours, et le très célèbre Alain Foka va faire ses adieux à Rfi. Le journaliste a, sur ses canaux officiels, annoncé son départ du média français à la fin du mois d’octobre. Intégralité de son message.

« Après une trentaine d’années de bons et loyaux services où j’ai essayé sur les antennes de RFI de vous donner à la fois une lecture africaine de l’actualité internationale avec Médias d’Afrique (en quotidienne pendant 16 ans) et Le Débat africain (en hebdomadaire pendant 12 ans), ainsi qu’une meilleure visibilité des champions africains avec Afrique + (en Hebdomadaire pendant 5 ans), et une version africaine de l’histoire contemporaine de notre continent à travers Archives d’Afrique (en hebdomadaire pendant 31 ans);

j’ai décidé et choisi de quitter la RFI à la fin de ce mois d’octobre 2023.

Cela a été une expérience enrichissante, et je vous remercie pour votre large soutien puisque pendant toutes ces années ces rendez-vous ont toujours été parmi les plus suivis de l’antenne de RFI. Je remercie également mes collaborateurs qui ont été particulièrement dévoués à la cause : Delphine MICHAUD, Olivier RAOUL, Foch NGUYEN, Lucie BOUTELOUP, Albert MORIN, Nicolas BENITAS, Aby DIOUF, Sarah SAKHO, Marie Hélène ROLLIN, et j’en oublie…

Je voudrais également remercier des soutiens et amis de la maison : Damien HOULES, Ludovic DUNOD, Juan GOMEZ, Yasmine CHOUAKI, Eric AMIEN, Corinne MANDJOU, Claire HEDON, Vladimir CAGNOLARI, Jessica TAIEB, Anne Marie CAPOMACCIO, Alain DE POUZILHAC, et bien sûr mon frère, complice, et ami de toutes les batailles depuis une trentaine d’années : Claudy SIAR.

Une pensée pieuse pour Amobé MEVEGUE, Jean Karim FALL, et Henri PERHILLOU.

Soyez rassurés, ceci n’est qu’un au revoir, je dirais même un nouveau départ, puisque je continuerai de vous proposer le narratif africain sur ma plateforme digitale où vous êtes déjà plusieurs millions à me suivre et où je vous espère encore plus nombreux.

Archives d’Afrique se poursuit également plus que jamais en vidéo sur ces plateformes digitales Alain FOKA Officiel (AFO) avec dans le même temps des reportages, des documentaires, des entretiens, des chroniques, et bien d’autres contenus africains.

L’histoire de la chasse doit cesser d’être racontée du seul point de vue du chasseur. Ceci est donc un nouveau départ pour une plus grande vulgarisation de la pensée, du projet, de la vision africaine dans un monde en profonde mutation. Une grande surprise dans les mois prochains. Une renaissance….

Je ne vous en dis pas plus pour l’instant.

Captation : Sébastien Faye – Thomas Olland
Montage et animations : Sébastien Faye – Thomas Olland

Mes réseaux sociaux officiels
https://linktr.ee/alainfoka »

Jeune Afrique réagit à sa suspension au Burkina-Faso et dénonce une atteinte à la liberté de presse

La « suspension jusqu’à nouvel ordre de tous les supports de Jeune Afrique au Burkina Faso », décrétée le 25 septembre par les autorités de transition burkinabè à la suite de la publication sur notre site d’articles faisant état de tensions et de divergences de vue au sein de l’armée, est une atteinte de plus à la liberté…

Annoncée lundi 25 septembre, la décision du gouvernement burkinabè est une nouvelle atteinte à la liberté de la presse.

La « suspension jusqu’à nouvel ordre de tous les supports de Jeune Afrique au Burkina Faso », décrétée le 25 septembre par les autorités de transition burkinabè à la suite de la publication sur notre site d’articles faisant état de tensions et de divergences de vue au sein de l’armée, est une atteinte de plus à la liberté d’information dans un pays, celui de Norbert Zongo, qui fut longtemps cité comme un pionnier en la matière.

Censure d’un autre âge

Outre qu’elle ne traduit pas une grande sérénité de la part de ceux qui l’ont prise, cette décision dont les attendus, tels qu’ils figurent dans le communiqué gouvernemental, rappellent ceux utilisés à l’époque des partis uniques, contribue un peu plus à faire de la région et du Burkina Faso en particulier, une zone de non-information.

La direction et les rédactions de Jeune Afrique Media Group s’élèvent contre cette censure d’un autre âge, tout en souhaitant que ses auteurs puissent la reconsidérer. Pour notre part, nous n’entendons pas priver nos lecteurs burkinabés de leur droit à une information pluraliste, vérifiée et équilibrée.

Jeune Afrique

Burkina-Faso : Le gouvernement suspend la diffusion de tous les supports du journal ‘‘Jeune Afrique’’

Au Burkina-Faso, le gouvernement a annoncé ce lundi 25 septembre 2023  la suspension  jusqu’à nouvel ordre, la diffusion de tout support du journal Jeune Afrique

Au Burkina-Faso, le gouvernement a annoncé ce lundi 25 septembre 2023  la suspension  jusqu’à nouvel ordre, la diffusion de tout support du journal Jeune Afrique. Lire ci-dessous le communiqué pour découvrir la raison.

Lire le communiqué intégral :

« Le Gouvernement burkinabè se désole de la publication ce lundi 25 septembre 2023 d’un nouvel article mensonger sur le site du journal Jeune Afrique, intitulé : « Au Burkina Faso, toujours des tensions au sein de l’armée ».

Cette publication fait suite à un article précédent dudit journal sur le même site à la date du jeudi 21 septembre 2023, dans lequel Jeune Afrique alléguait que « Au Burkina Faso, la grogne monte dans les casernes ».

Ces affirmations faites à dessein sans l’ombre d’un début de preuve, n’ont pour seul but que de jeter un discrédit inacceptable sur les Forces armées nationales et par-delà l’ensemble des Forces combattantes qui se battent avec abnégation pour la souveraineté et la dignité de notre peuple sur la terre libre du Burkina.

En faisant délibérément le choix de la contre-vérité et de la manipulation grotesques, dans la négation totale de toute éthique professionnelle du journalisme, Jeune Afrique a choisi son camp, celui de l’intoxication et de la désinformation orchestrées par des officines occultes dont les maîtres à penser essaient de semer le chaos dans notre pays pour mieux l’asservir et l’exploiter.

Le devenir historique du Burkina Faso n’est pas tributaire des états d’âme de journalistes égarés et la cabale médiatique lancée contre notre pays et nos vaillantes forces de défense et de sécurité se heurte, pour le malheur de ses initiateurs et de leurs commanditaires, à la vigilance de notre peuple et du Gouvernement de Transition qui a ainsi décidé en toute responsabilité de la suspension jusqu’à nouvel ordre de tous les supports de diffusion de Jeune Afrique au Burkina Faso à compter de ce lundi 25 septembre 2023.

Le Gouvernement restera intraitable avec tout acteur médiatique qui mettra sa plume au service d’intérêts étrangers à ceux du peuple burkinabè. Il rassure les populations qu’il reste viscéralement attaché à la défense des intérêts vitaux de notre peuple et s’assumera chaque fois que l’intérêt supérieur de la Nation le commande. »

Ouagadougou, le 25 septembre 2023, le porte-parole du gouvernement burkinabè, Rimtalba Jean Emmanuel OUÉDRAOGO.

 

Burkina-Faso : Radio Omega autorisée à reprendre la diffusion de ses programmes après sa suspension pour avoir donné la parole à un soutien de Bazoum

Radio Oméga peut reprendre ses activités. Le gouvernement du Burkina-Faso a, à travers un communiqué en date du 10 septembre, annoncé la levée  de la mesure de suspension de la diffusion de ses programmes à compter du 11 septembre 2023. Le 10 août dernier, le gouvernement burkinabais avait annoncé, la suspension jusqu’à nouvel ordre, de la diffusion des programmes de Radio Oméga après un entretien réalisé avec le porte-parole du mouvement ‘‘restaurer la démocratie’’  au Niger, Ousmane Abdoul Moumouni.

Radio Oméga peut reprendre ses activités. Le gouvernement du Burkina-Faso a, à travers un communiqué en date du 10 septembre, annoncé la levée  de la mesure de suspension de la diffusion de ses programmes à compter du 11 septembre 2023. Le 10 août dernier, le gouvernement burkinabais avait annoncé, la suspension jusqu’à nouvel ordre, de la diffusion des programmes de Radio Oméga après un entretien réalisé avec le porte-parole du mouvement ‘‘restaurer la démocratie’’  au Niger, Ousmane Abdoul Moumouni. Lire ci-dessous le communiqué.

 COMMUNIQUE

Le Gouvernement a décidé de suspendre la diffusion des programmes de Radio Omega depuis le 10 août 2023, au nom de l’intérêt supérieur de notre Nation. Cette décision prise en toute responsabilité a également été motivée par les manquements de ce média aussi bien au plan de l’éthique que de la déontologie qui gouvernent l’exercice du journalisme. La mesure de suspension a fait l’objet d’un #recours de l’Observatoire burkinabè des médias (OBM) qui, dans une correspondance à l’attention du Ministre de la communication, de la culture, des arts et du tourisme, a demandé de « plaider auprès des plus hautes autorités pour la levée de la suspension des émissions de la station ».

Le Gouvernement a examiné avec beaucoup d’attention la requête formulée par l’OBM à la demande de Radio Oméga et entendu l’argumentaire selon lequel « l’équipe de la radio a tiré les leçons de cette sanction » dont elle a fait l’objet. Il n’a pas de raisons de douter de la noblesse de la démarche de l’OBM et donne une suite favorable à la requête de l’observatoire par la levée de la mesure de suspension de la diffusion des programmes de Radio Oméga à compter du 11 septembre 2023.

Le Gouvernement demeure attaché à la liberté d’opinion et de presse ainsi qu’à l’exercice responsable du métier de journaliste. Cependant, il réaffirme son opposition ferme à toute conception étriquée, qui consacre le droit de porter dans l’espace public, la justification intellectuelle de l’asservissement et de la barbarie contre les peuples en lutte pour leur dignité et leur souveraineté au nom d’un principe paradoxal de liberté, qui in fine assassine la liberté.

Le Gouvernement n’entend pas transiger sur la défense des intérêts vitaux de notre peuple principalement sur ceux liés à la sauvegarde de la paix et de la sécurité.

Il interpelle les organisations professionnelles des médias sur l’exigence d’un discours médiatique qui ne compromette pas les chances de notre victoire collective contre les forces du mal et de domination des peuples du Sahel en lutte pour la liberté et l’indépendance totale.

Le Porte-parole du Gouvernement 

R. Jean Emmanuel Ouédraogo

Gabon : Les autorités suspendent provisoirement la diffusion de RFI et France 24

Au Gabon, les autorités ont décidé de suspendre provisoirement la diffusion des programmes  RFI et France 24. Cette mesure, lue sur la télévision publique, intervient après les élections générales qui ont eu lieu samedi dernier.

Au Gabon, les autorités ont décidé de suspendre provisoirement la diffusion des programmes  RFI et France 24. Cette mesure, lue sur la télévision publique, intervient après les élections générales qui ont eu lieu samedi dernier.

Mais, dans un communiqué, le groupe France Médias Monde n’a pas tardé à dénoncer l’interruption des signaux de RFI et France 24, prise par la Haute autorité de la communication du Gabon.

Regrettant cette « suspension provisoire », France Médias Monde dénonce une décision « sans fondement […] qui prive les Gabonais de deux de leurs principales sources d’information fiables et indépendantes».

M.A

Rfi, Gazette du Golfe et maintenant Radio Omega, quand la presse paie le lourd tribut du coup d’Etat de Tchiani

La presse première victime du coup d’Etat au Niger. C’est ce qui se dessine plus de deux semaines après le putsch mené par le Général Tchiani, commandant de la garde présidentielle et qui était censé assurer la sécurité du président Bazoum.

La presse première victime du coup d’Etat au Niger. C’est ce qui se dessine plus de deux semaines après le putsch mené par le Général Tchiani, commandant de la garde présidentielle et qui était censé assurer la sécurité du président Bazoum.

La guerre de la communication et de l’information a lieu. Et désormais, de Paris à Ouagadougou, en passant par Cotonou, plusieurs organes de presse font les frais de ce coup d’Etat.

Au Niger, les autorités militaires ont coupé les signaux de Rfi et France 24.

Au Bénin, le groupe de presse ‘‘La Gazette du Golfe’’ a été suspendu par la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac) pour un commentaire de l’un de ses journalistes sur la crise nigérienne. Le groupe de presse est notamment accusé de faire l’apologie de coup d’Etat.

Au Burkina-Faso, c’est la Radio Oméga qui a été suspendue par les autorités après un entretien réalisé avec un pro Bazoum.

A la vérité, ces différents médias ont été sanctionnés pour avoir seulement fait leur travail. Quel sort alors pour les médias nigériens qui tenteraient de critiquer la junte militaire ? Quel sort pour les médias maliens qui s’aventuraient à dénoncer le coup d’Etat nigérien ? Quel sort pour les médias béninois qui, peut-être, face aux abus des gouvernants  vont ces coups d’Etat, moment éphémère de joie ?

Il se dégage ici que la liberté d’expression est menacée. En fonction des sensibilités et de la position  des gouvernants du pays, il est risqué pour les médias d’aller dans un sens contraire et d’exercer correctement la profession de journalisme. Bienvenue dans la dictature avec ces mesures arbitraires.

Et kpakpatotiquement parlant, si le Général Tchiani a fait son coup d’Etat et que désormais, il jouit d’un titre ronflant de chef d’Etat, pourquoi c’est à la presse d’en payer le lourd tribut ?

Manassé AGBOSSAGA

Burkina-Faso : Le Gouvernement suspend Radio Oméga pour avoir donné la parole à un soutien de Bazoum (Communiqué)

Au Burkina-Faso, le gouvernement a annoncé, ce jeudi 10 août 2023, la suspension jusqu’à nouvel ordre, de la diffusion des programmes de Radio Oméga après un entretien réalisé avec le porte-parole du mouvement « restaurer la démocratie » au Niger, Ousmane Abdoul Moumouni.

Au Burkina-Faso, le gouvernement a annoncé, ce jeudi 10 août 2023, la suspension jusqu’à nouvel ordre, de la diffusion des programmes de Radio Oméga après un entretien réalisé avec le porte-parole du mouvement « restaurer la démocratie » au Niger, Ousmane Abdoul Moumouni. Lire le communiqué.

COMMUNIQUE   

Le Gouvernement se désole de la diffusion sur # _Oméga, du Groupe Oméga médias, d’un entretien émaillé de propos injurieux à l’encontre des nouvelles autorités nigériennes, ce jeudi 10 août 2023. En faisant le choix délibéré de diffuser cet entretien réalisé par ses soins, Radio Oméga prend des libertés inacceptables avec l’éthique et la déontologie de la profession de journaliste et renie sa responsabilité en tant que média.

Présenté comme le porte-parole d’un mouvement récemment créé pour dit-il « restaurer la démocratie » au Niger, Ousmane Abdoul Moumouni, l’invité de Radio Oméga a lui-même révélé la nature profonde de leur organisation qui milite clairement pour la #violence et la guerre contre le Peuple souverain du Niger qui a pris courageusement son destin en main pour l’indépendance véritable du pays et s’opposer à la domination et à l’oppression d’où qu’elles viennent.

Le discours sur l’utilisation de « tous les moyens » à l’encontre du Niger tient à la stratégie du chaos que ces hommes entendent déployer contre l’Etat, la République et le Peuple nigérien. Aujourd’hui revêtu du manteau de la vertu républicaine et démocratique, ils n’ont d’autres visées que de légitimer et servir de cheval de Troie pour une attaque lâche et barbare contre le peuple frère du Niger au prétexte de défendre l’Etat de droit et la démocratie.

Voilà à quel genre de personnage Radio Oméga a fait le choix de donner la parole pour porter à l’échelle la vision et les projets funestes d’une organisation qui n’a rien à envier aux mouvements terroristes qui écument le Sahel.

Le Gouvernement prend acte de cette liberté éditoriale et assume en toute responsabilité la décision de suspendre dès ce jeudi 10 août 2023 et ce jusqu’à nouvel ordre, la diffusion des programmes de Radio Oméga au nom de l’intérêt supérieur de la Nation.

La guerre que nous menons contre le terrorisme doit aussi se gagner dans le champ de la communication et le Gouvernement entend rester ferme contre toute forme d’apologie de la violence contre les peuples en lutte pour leur dignité, leur liberté et leur souveraineté. Il réaffirme son attachement à la liberté d’opinion et de presse dans le strict respect des règles d’éthique et de déontologie de la profession.

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Un journaliste mexicain tué par balles

Nelson Matus, journaliste mexicain, a été tué par balles le samedi 15 juillet dernier à Acapculco (ouest).

Enième crime contre les hommes des médias dans le monde. Et cette fois-ci, le drame a été enregistré au Mexique

Nelson Matus, journaliste mexicain, a été tué par balles le samedi 15 juillet dernier à Acapculco (ouest).

La triste nouvelle a été confirmée par  le parquet régional, annonçant l’ouverture d’une enquête pour « délit d’homicide qualifié par arme à feu ».

Nelson Matus a été assassiné sur le parking d’un commerce.

Luis Martín Sánchez Iñiguez, journaliste et correspondant du journal « La Jornada » dans l’État de Nayarit (nord-ouest du Mexique), fut retrouvé le 08 juillet dernier.

M.A

Campagne de distribution gratuite de tablette et ordinateur par la fondation Terrien-nes : ça touche Taneka FM !

La campagne de distribution gratuite de tablette et ordinateur s’étend à la Radio communautaire Taneka initiée par la  fondation Terrien-nes ! Après la radio solidarité de Djougou,  la radio en ligne Crystal News, la radio Daïbi, nos confrères de la 93.5 FM ont …

La campagne de distribution gratuite de tablette et ordinateur s’étend à la Radio communautaire Taneka initiée par la fondation Terrien-nes ! Après la radio solidarité de Djougou,  la radio en ligne Crystal News, la radio Daïbi, nos confrères de la 93.5 FM ont reçu, ce jeudi 02 mars 2023, à leur tour, les représentants du président Richard Boni Ouorou pour la remise de don. Taneka Fm est une station locale qui couvre Copargo et environs.

M.A