« Je ne me positionne ni d’un côté ni de l’autre, mais… », Richard Boni Ouorou sur le dossier Boko-Homéky

Chers Amis,

Je pensais sincèrement que les temps de coups d’État appartenaient au passé et que nous étions désormais appelés à engager un dialogue constructif pour parvenir à des consensus éclairés sur nos politiques publiques.

Cependant, je ne peux que m’alarmer face à l’agitation de certains responsables politiques. Plutôt que d’éduquer, ils semblent vouloir semer la confusion, attisant la méfiance pour affaiblir nos institutions déjà relativement discréditées . Je leur dis : attention ! Car demain, vous serez dans la même position, et vous ne souhaiterez pas être traité de dictateur. Une radicalisation pourrait en découler.

Il est essentiel de rappeler qu’aucun relevé bancaire ordinaire ne mentionne « effet de police ». En tant que leaders, il est de notre devoir de fournir des informations précises à nos concitoyens, et non de les plonger dans là confusion pour en tirer des bénéfices politiques . Je ne me positionne ni d’un côté ni de l’autre, mais je refuse d’être le catalyseur d’une peur infondée sous prétexte que mon adversaire aurais agi de la sorte. Il est lui et je dois être moi !

À trop regarder dans l’abîme, nous risquons d’y sombrer. À trop désigner le mal chez autrui, celui-ci peut finir par nous envahir. Soyons conscients que nos citoyens attendent de nous un leadership éclairé. Un bon guide se doit d’être informé et de chercher la lumière avant de l’offrir.

Je ne souhaite pas incarner une opposition qui suscite le ridicule, mais plutôt bâtir une opposition fondée sur la vérité, l’éducation, et l’échange d’idées. C’est ainsi que j’ai été formé, et c’est ce message que je désire transmettre à mes concitoyens.

Merci et prenez soin de vous.

Boni Richard Ouorou 
Président mouvement libéral

Bénin : Ouorou brise le silence sur ses rapports avec Talon et Yayi, puis clarifie son combat politique

Pour qui roule Ouorou? Talon ou Yayi? C’est la question qui est sur toutes les lèvres au royaume des kpakpatos; conséquence de sa présence sur tous les fronts et de ses nombreuses œuvres sociales au profit des populations. Mais parce que dans son dictionnaire, il n’y a pas de sujet tabou, le président du mouvement Libéral Bénin a, comme à son habitude, abordé le sujet dans un franc parlé.

Pour qui roule Ouorou? Talon ou Yayi? C’est la question qui est sur toutes les lèvres au royaume des kpakpatos; conséquence de sa présence sur tous les fronts et de ses nombreuses œuvres sociales au profit des populations. Mais parce que dans son dictionnaire, il n’y a pas de sujet tabou, le président du mouvement Libéral Bénin a, comme à son habitude, abordé le sujet dans un franc parlé.

En marge d’une rencontre avec les 77 délégués communaux du mouvement Libéral à Parakou, le mois dernier, Richard Boni Ouorou en a profité pour mettre les points sur les i au sujet de ses supposés rapports avec le président Patrice Talon et l’ancien président Boni Yayi.

Il soutient qu’il n’a aucun rapport direct avec les deux hommes.

« parmi toutes ces personnes, je n’ai aucun ami. Le président Boni Yayi, je ne le connais pas. Je ne l’ai jamais vu. Je le dis et je vais le redire, parce que ce n’est pas un mensonge, je ne l’ai jamais vu et lui-même ne peut pas dire qu’il m’a déjà vu une seule fois », a t-il clarifié, tout en reconnaissant qu’il a eu à échanger plusieurs fois avec le président du parti Les Démocrates « au téléphone pendant des mois ».

Il marque ensuite un arrêt et fait observer qu’on n’a pas besoin d’être du parti Les Démocrates pour dire qu’on est forcément de l’opposition, rappelant qu’il y a plusieurs partis politiques au Bénin qui se revendiquent de l’opposition.

S’agissant de l’actuel locataire de la marina, Richard Boni Ouorou a confié que c’est en 2026 qu’il a vu pour la première fois, sans toutefois échanger avec lui. 

« J’ai vu Patrice Talon une fois dans ma vie en 2016, alors que j’étais chargé de communication du Général Robert Gbian Gbian. Il m’avait envoyé le représenter pour signer le protocole de la rupture et je suis allé. Et c’est ce jour-là que Patrice Talon est venu et il a envoyé le ministre Sacca Lafia. Moi, j’étais assis à côté du ministre Lafia. Quand il est venu, il ne nous a même pas salué », a-t-il confié.

Richard Boni Ouorou marque un second arrêt et lance : « moi matin; midi et soir, je critique le régime actuel.  Je le dis à qui veut l’entendre, que je suis opposé à la pratique politique actuelle. Mais ce que je refuse de dire, et que les gens veulent entendre de ma bouche, c’est de dire que je suis opposé à Patrice Talon et je dis non. Si vous voulez, vous pouvez sortir d’ici et dire que c’est Patrice Talon qui l’a donné l’argent, c’est votre problème. De vous à moi, je n’ ai rien à branler.

Richard Boni précise son combat politique

Après cette mise au point, le président du mouvement Libéral indique que son entrée en politique n’est pas dirigée contre quel’qu’un. « Je ne veux pas combattre une personne. Pourquoi je vais combattre une personne? Nous avons combattu Mathieu Kérékou. Il est parti. Nous avons dit que nous sommes en démocratie. Voilà où nous en sommes aujourd’hui. Nous avons combattu Nicéphore Soglo, il a fait un mandat, il est parti. Voilà où nous en sommes. Qu’est ce qu’on n’a pas dit de Yayi dans ce pays. Yayi Boni est parti, nous sommes dans quoi aujourd’hui », a-t-il fait constater.

Face à ce constat d’échec, le président du mouvement Libéral Bénin soutient qu’Il « faut faire un combat politique qui permet de réformer un système rétrograde au lieu de faire un combat de personne et maintenir un système défaillant qui reproduit les mêmes inégalités avec différentes personnes ».

Chacun est désormais situé sur les raisons de son engagement politique.

Manassé AGBOSSAGA

Tournée de reddition de comptes : Richard Boni Ouorou dénonce une « balade » inutile

Les membres du gouvernement étaient en tournée gouvernementale du 25 mai au 09 juin dernier. Et comme si cela ne suffisait pas, les députés et maires ont pris le rélai depuis quelques jours et parcourent  les arrondissements du Bénin pour évoquer les réalisations de la Rupture. Une sortie qui n’a pas sa raison d’être, selon Richard Boni Ouorou.

Les membres du gouvernement étaient en tournée gouvernementale du 25 mai au 09 juin dernier. Et comme si cela ne suffisait pas, les députés et maires ont pris le rélai depuis quelques jours et parcourent  les arrondissements du Bénin pour évoquer les réalisations de la Rupture. Une sortie qui n’a pas sa raison d’être, selon Richard Boni Ouorou.

Ce mardi 30 juillet 2024, le président du mouvement Libéral Bénin a désapprouvé l’initiative gouvernementale et parle plutôt « d’une balade de reddition des comptes ».

Pour Richard Boni Ouorou, les réalisations du régime de la Rupture, si elles en existent, n’ont pas besoin de publicités avant d’être visibles par les populations.  » Lorsque les choses sont bien faites, il n’est pas nécessaire de faire du porte-à-porte …pour que cela soit remarqué. Les populations le ressentent directement dans leurs assiettes », fait-il obserser.

Fidèle partenaire des initiatives de jeunesse, le président de la fondation Terrien.nes fait remarquer que le budget consacré à la « promenade » gouvernementale  » « pourrait être bien mieux utilisé pour subventionner des activités » au profit des « jeunes ».

Les nombreux jeunes béninois à la quête de sponsor pour booster leurs projets ne diront sans doute pas le contraire.

Manassé AGBOSSAGA

Médiation de Yayi et Soglo dans la crise Bénin-Niger :   Ouorou a vu juste, il n’est pas Politologue pour rien

Une mise au point avant d’aborder le fond du sujet. Ce « kpakpatoya » n’a pas pour but de ravir la vedette aux deux anciens présidents ou encore de présenter Richard Boni Ouorou comme l’artisan principal du rapprochement entre les  autorités béninoises et nigériennes.

A la vérité, quand le premier des Béninois reste convaincu que le « Bénin est un désert de compétences » au point de se passer de Conseiller sur des secteurs clés pour éviter des crises inutiles, il est important de mettre en lumière ces nationaux qui dans leur sagesse et leur intelligence arrivent à proposer des solutions ou stratégies pour désamorcer la bombe.

Une mise au point avant d’aborder le fond du sujet. Ce « kpakpatoya » n’a pas pour but de ravir la vedette aux deux anciens présidents ou encore de présenter Richard Boni Ouorou comme l’artisan principal du rapprochement entre les  autorités béninoises et nigériennes.

A la vérité, quand le premier des Béninois reste convaincu que le « Bénin est un désert de compétences » au point de se passer de Conseiller sur des secteurs clés pour éviter des crises inutiles, il est important de mettre en lumière ces nationaux qui dans leur sagesse et leur intelligence arrivent à proposer des solutions ou stratégies pour désamorcer la bombe.

Vif du sujet

C’est le cas de Richard Boni Ouorou. Parce que votre site a de la mémoire, Kpakpato Medias peut témoigner qu’il fait partie des rares acteurs politiques, sinon le premier à plaider pour un dialogue afin de résoudre la crise Bénin-Niger.  Face aux souffrances des populations, des transporteurs et commerçants, le président du mouvement Libéral Bénin a très tôt appelé tous ceux qui pouvaient contribuer au dégel la crise à s’inviter dans le débat.

A l’annonce de la médiation de Boni Yayi et Nicéphore SOglo, Richard Boni Ouorou a  donc applaudi des deux mains l’initiative des deux anciens présidents du Bénin.

« Je tiens à vous informer que les anciens présidents de notre pays sont en route pour Niamey, au Niger, afin de tenter de résoudre la crise qui affecte nos deux nations depuis quelque temps. Cette initiative me remplit de joie et d’espoir », a-t-il immédiatement écrit dans la soirée du 24 juin dernier à l’annonce du déplacement de Boni Yayi et Nicéphore Soglo au Niger pour rencontrer les autorités nigériennes.

Au-delà de cette joie, le président du mouvement Libéral Bénin a fait preuve d’une grande clairvoyance. Tel un spécialiste de gestion des conflits,  Richard Boni Ouorou a fait une suggestion pour ne pas capoter la mission de médiation.

“J’ai bon espoir que leur mission ne vise pas à prendre des engagements définitifs, mais plutôt à préparer le terrain pour une rencontre bipartite entre notre président et son homologue nigérien, M. Tiani. Une telle rencontre, où les deux chefs d’État pourraient discuter directement des solutions à apporter, serait en effet la clé pour dénouer cette crise complexe”,avait-il recommandé indiquant qu’il “est naturel de se demander jusqu’où leurs actions peuvent aller sans un mandat explicite de notre chef de l’État, Patrice Talon”.

Yayi et Soglo ont fait exactement comme ça

Plus d’un mois après son message, tout porte à croire que les faits donnent raison à Richard Boni Ouorou. A Niamey, Boni Yayi et NIcéphore Soglo se sont comportés comme de véritables médiateurs. Pas de déclaration à la presse nigérienne. Ils ont également gardé le silence sur le contenu de leurs échanges avec les autorités nigériennes à leur retour.

Et comme l’avait recommandé le président du Mouvement Libéral Bénin, les deux anciens présidents ont ensuite été reçus au palais de la marina pour échanger avec le président Talon.

L’arrivée mercredi dernier à Cotonou d’une délégation de haut niveau conduite par le Général de Brigade Mohamed Toumba, Ministre d’État pour “discuter de plusieurs sujets d’intérêt commun” entre le Bénin et le Niger est sans doute signe  d’espoir d’un dénouement de la crise.

En attendant ce jour heureux avec l’ouverture des frontières, côté Niger, on peut  sans risque de se tromper, dire que les faits ont donné raison à Richard Boni Ouorou. Comme quoi, il n’a pas volé son titre de Politologue.

Manassé AGBOSSAGA

Affaire bases militaires françaises au Bénin : Richard Boni Ouorou fait une mise au point à l’AES et interpelle le Gouvernement Béninois

Richard Boni Ouorou se prononce sur la polémique de l’existence ou non de bases militaires françaises au Bénin. Sur la question, le Politologue a d’abord fait une mise au point aux Etats accusateurs, notamment le Niger ou encore le Burkina-Faso, avant d’inviter le Gouvernement béninois à la transparence.

Richard Boni Ouorou se prononce sur la polémique de l’existence ou non de bases militaires françaises au Bénin. Sur la question, le Politologue a d’abord fait une mise au point aux Etats accusateurs, notamment le Niger ou encore le Burkina-Faso, avant d’inviter le Gouvernement béninois à la transparence. Détails ci-dessous.

« Chers amis,

Sur la question de l’établissement de bases militaires françaises au Bénin , il est impératif de souligner que le Bénin exerce son droit souverain de prendre des décisions stratégiques en matière de sécurité nationale et de lutte contre le terrorisme, sans avoir à se justifier auprès de ses voisins.

Cette indépendance décisionnelle est comparable à celle du Niger, qui a engagé une coopération avec la Russie sans consultation préalable du Bénin.

Ainsi, le respect mutuel de la souveraineté nationale est essentiel et exigible de par et d’autre.

Par ailleurs, il est crucial que la population béninoise, en raison de son histoire complexe avec l’ancienne puissance coloniale, exige une transparence totale de la part de son gouvernement concernant toute forme de coopération militaire notamment avec la France pour éviter les dérives semblables à celles de la république sœur de Cote-d’Ivoire.

Une telle transparence est non seulement un droit démocratique, mais également une nécessité pour garantir la légitimité et l’acceptabilité de ces initiatives au sein de notre nation.

Prenez soin de vous et excellente semaine ».

Boni Richard Ouorou

Richard Boni Ouorou offre un géant concert aux populations, en bonus des lots à gagner

Rendez-vous culturel à ne pas manquer ! Le président du mouvement Libéral Bénin offre un géant concert aux populations du septentrion.

Peut être une image de 10 personnes, instrument de musique et texte
Baptisé le « Concert de la Jeunesse », l’événement aura lieu le vendredi 28 juin en face du marché Zongo à 19h. Des artistes chanteurs et comédiens de renom seront de la partie pour égayer le public. A titre d’exemple : Alpha Mim, Siba Franco Junior, Raïma Yari, Francky Danton, Manouton.

Peut être une image de texte qui dit ’WESTAFRICOM Lots à gagner Dinor. 이 BIZIDOSLONG.CRAINPARFUME RIZ100%LONC CRAINPARFUME 1363393831K 1000 3HΣΙΚ Sac de riz Bidon d'huile Pagne Vlisco GLOBAL bleTBи 25 Téléphone portable Bon de séjour Enveloppe d'argent CONCERT DE DELA LA JEuNESSE 28 JUIN I 19H00 CONCERT LIVE AVEC L'ORCHESTRE GARDEN VOICE RAIMA YARI SIBA FRANCO JUNIOR ALPHA MIM AD DINE MANOUTON- FRANCKY BANTON HANGAN CREW AZIZ TOURE OZIRIX FREDL SUSPECT Lieu: Esplanade en face du marché Zongo Géant concert offert par Richard Boni OUOROU Président du mouvement libéral Partenaire officiel Liberal’
Parrain de ce show inédit, Richard Boni Ouorou réserve plein de surprises aux personnes qui effectueront le déplacement. En effet, sac de riz, bidon d’huile, pagne vlisco, portables et autres lors à gagner sont également au programme du « Concert de la Jeunesse ».

« Dans un monde où les défis du quotidien peuvent souvent nous diviser, nous avons une belle opportunité de nous retrouver et de célébrer ce qui nous unit plutôt que ce qui nous sépare. La vie est trop précieuse pour être gaspillée en querelles. Ensemble, faisons de ce moment un symbole de paix, de convivialité et de solidarité. Venez partager des rires, des sourires et des souvenirs inoubliables. Peu importe nos différences politiques, notre humanité commune nous lie », exhorte le président du mouvement Libéral Bénin.
Prenez donc le rendez-vous…

M.A

Bénin: Richard Boni Ouorou révèle les failles du système bancaire (Opinion)

Sur sa page Facebook, le Politologue et émérite homme d’affaires béninois béninois révèles les plaies du secteur bancaire béninois. Lire ci-dessous son opinion pour en prendre connaissance.

Sur sa page Facebook, le Politologue et émérite homme d’affaires béninois révèle les insuffisances du secteur bancaire béninois. Lire ci-dessous son opinion pour en prendre connaissance.

« Faire des affaires dans notre pays est devenu un véritable défi, et notre secteur bancaire est l’un des obstacles majeurs à surmonter. Nos banques, malheureusement, ne sont pas à la hauteur des standards internationaux.

Comment peut-on espérer attirer des investisseurs étrangers tout en maintenant un secteur bancaire aussi désuet ? Tous les hommes d’affaires que j’ai rencontrés partagent ce sentiment : nos institutions bancaires sont dépassées. Par exemple, lorsqu’on effectue un paiement international, il n’est pas rare de voir les fonds retournés sans explication valable.

De plus, ouvrir un compte entreprise est un processus interminable. Cela fait deux semaines que j’attends un RIB et je n’ai toujours rien reçu. Dans d’autres pays, il suffit de prendre rendez-vous, de se rendre à la banque, de faire le KYC (Know Your Customer) et de signer les documents de conformité pour sortir le même jour avec tous les documents nécessaires.

Du coup, plusieurs prestataires préfèrent se faire payer en argent comptant. Comment l’état compte dans de telles situations s’alimenter s’il ne peut plus contrôler les revenus des entreprises et s’assurer de prélever ses impôts?

Cette situation me laisse perplexe et sincèrement attristé. Devrais-je envisager de fermer mon entreprise et de retourner d’où je viens ? Cela signifierait laisser plusieurs personnes sans emploi, un choix que je ne prends pas à la légère.

Je tiens à souligner que j’aime profondément mon pays. Cependant, sur le plan des affaires, et pour l’instant, des pays comme le Togo semblent plus attractifs. Il est crucial que nous modernisions notre secteur bancaire pour rester compétitifs sur la scène internationale.

On ne peut pas tout politiser et la peur des adversaires politiques ne doit pas refléter sur les politiques économiques et le domaine des affaires.

Excusez mon impertinence!

Prenez soin de vous,

Richard Boni Ouorou

« Aligner les conditions de tout un pays sur sa propre situation de président millionnaire ne… », les vérités de Ouorou à Talon

En déplacement au Brésil, Patrice Talon a laissé entendre que le Bénin n’a pas besoin d’aide pour son développement. Et à Richard Boni Ouorou, de lui rappeler, dans une tribune, intitulée « A mon président » « qu’aligner les conditions de tout un pays sur sa propre situation de président millionnaire ne reflète…

En déplacement au Brésil, Patrice Talon a laissé entendre que le Bénin n’a pas besoin d’aide pour son développement. Et à Richard Boni Ouorou, de lui rappeler, dans une tribune, intitulée « A mon président » « qu’aligner les conditions de tout un pays sur sa propre situation de président millionnaire ne reflète pas la réalité vécue par la majorité de nos citoyens ».  

« À mon président.

Cher Président, il est indéniable que le Bénin et de nombreux pays africains ont encore besoin d’aide, et ce, pour des raisons bien fondées. Prêter de l’argent à un pays comme le nôtre peut être considéré comme une forme d’aide, étant donné les défis économiques et sociaux auxquels nous faisons face. Une économie instable, une main d’œuvre précaire et mal formée, des institutions faibles, un taux de chômage peu enviable, un état interventionniste au risque de faire fuir l’investissement privé local …

Les réalités de nos concitoyens, comme celle de la tante mentionnée, qui se retrouvent à labourer la terre avec des outils rudimentaires pour subvenir à leurs besoins, illustrent clairement que l’aide est nécessaire. Aligner les conditions de tout un pays sur sa propre situation de président millionnaire ne reflète pas la réalité vécue par la majorité de nos citoyens.

Il est louable de vouloir afficher un orgueil africain et une volonté d’indépendance, mais il est également essentiel de reconnaître les défis auxquels notre pays est confronté. Nous devons travailler ensemble, avec l’aide de la communauté internationale et grâce à des politiques gouvernementales efficaces, pour améliorer les conditions de vie de nos concitoyens.

Le chemin vers l’autosuffisance et la prospérité viendra grâce à un effort continu, non seulement de votre part en tant que président, mais aussi de vos prédécesseurs et de vos successeurs. Il est important de rester humble et réaliste quant aux besoins de notre nation et de saisir toutes les opportunités d’aide et de coopération qui peuvent nous permettre de progresser vers un avenir meilleur pour tous les Béninois.

Prenez soin de vous président et vous tous terrien,ne,s libéraux ».

Richard Boni Ouorou [❤️]

 

Rencontre entre Ouorou et la cohorte Top Entrepreneur Donga : du lourd se prépare pour booster les jeunes entrepreneurs

Les bénéficiaires du Programme Top Entrepreneur Cohorte Donga ont été conviés à une séance  le mardi 16 avril 2024 à Djougou, sur invitation du Politologue Boni Richard Ouorou, Président de la Fondation Terrien.ne.s et du Mouvement LIBÉRAL.

Les bénéficiaires du Programme Top Entrepreneur Cohorte Donga ont été conviés à une séance  le mardi 16 avril 2024 à Djougou, sur invitation du Politologue Boni Richard Ouorou, Président de la Fondation Terrien.ne.s et du Mouvement LIBÉRAL.

Au cours de cette réunion, qui a duré environ une heure, les participants ont eu l’occasion d’échanger avec le Président sur deux volets essentiels : le Volet Top Entrepreneur et le Volet Politique de ses actions.

Volet Top Entrepreneur : Nouvelle Approche en Vue

Le Volet Top Entrepreneur a été le point central des discussions. Les bénéficiaires ont été informés des investissements considérables effectués par le Président, s’élevant à environ 5 à 6.000.000f CFA par cohorte, couvrant les frais de déplacement, d’hébergement et de prestation des consultants formateurs. Cependant, malgré ces investissements, les résultats n’ont pas été à la hauteur des attentes, notamment en raison du niveau de connaissance élémentaire des bénéficiaires. En réponse, le programme sera temporairement suspendu jusqu’au 05 mai prochain, date à laquelle il sera relancé sous la direction du Président, avec une nouvelle approche. Cette approche consistera à sélectionner attentivement cinq personnes par cohorte, afin d’analyser et d’évaluer leurs plans d’affaires, et de les accompagner tant sur le plan technique que financier.

Volet Politique : Transformation du Mouvement Libéral

Dans un autre registre, il a été annoncé que le mouvement Libéral sera prochainement transformé en parti politique au niveau du ministère de l’Intérieur. Toutefois, il a été souligné avec fermeté que le Programme Top Entrepreneur n’est en aucun cas un outil politique visant à amener les bénéficiaires à adhérer au parti du Président. Le programme reste neutre par rapport aux affiliations politiques des bénéficiaires. Néanmoins, ceux qui partagent les idées du Président et qui ne sont pas encore membres fondateurs d’un parti politique auront l’opportunité de rejoindre le nouveau parti en cours de création.

En somme, cette réunion a permis de définir les nouvelles orientations du Programme Top Entrepreneur Cohorte Donga, axées sur un accompagnement plus ciblé des entrepreneurs locaux, ainsi que de clarifier le lien entre le programme et le paysage politique local.

Reporter Bénin Monde

31/31 Jours : Richard Boni Ouorou toujours proche des communautés

L »engagement de Richard Boni Ouorou envers les communautés est sain. Rien n’entravera son souci des autres et sa volonté de servir confient souvent ses proches… 

L »engagement de Richard Boni Ouorou envers les communautés est sain. Rien n’entravera son souci des autres et sa volonté de servir confient souvent ses proches…

Les actions entreprises durant le carême musulman à l’endroit des communautés sans aucune  distinction illustrent clairement cette détermination sincère et débarrassée de tout calcul politique. Sa vision entend transcender les querelles partisanes, et s’inscrit résolument dans une démarche humaine.

Le dévouement envers le bien-être collectif comme le témoigne ses multiples actions spontanées est un pilier fondamental de sa ligne parce qu’il reste profondément convaincu que la générosité et la solidarité sont pour l’ Afrique les véritables moteurs du progrès social.

Plus que jamais le leader à la façon de faire qui bouscule compte bien rester proche des communautés malgré les interprétations des uns et des autres…

À suivre…
S.E