Bénin : La date de l’inhumation de Roger Gbégnonvi dévoilée

Le programme des obsèques de Roger Gbégnonvi est connu. Retrouvé mort à son domicile le 12 juillet dernier, l’ancien ministre de l’Alphabétisation sera conduit à sa dernière demeure le mercredi 26 juillet 2023 à Ouidah.

Le programme des obsèques de Roger Gbégnonvi est connu. Retrouvé mort à son domicile le 12 juillet dernier, l’ancien ministre de l’Alphabétisation sera conduit à sa dernière demeure le mercredi 26 juillet 2023 à Ouidah.

Selon le programme des obsèques, il sera inhumé dans l’intimité familiale.

Mais avant ça, une messe d’enterrement a lieu le mercredi à la Basilique de l’Immaculée Conception.

Le mardi 25 juillet, date de démarrage des obsèques, une veille-messe a lieu au Couvent St Dominique (Congrégation des dominicains)  à Cotonou.

Des moments où familles, amis, proches, parents autres rendront un ultime hommage à l’une des grandes voix de la défense du régime la Rupture.

M.A

Carnet noir : Décès de Roger Gbégnonvi

Roger Gbégnonvi n’est plus. L’ancien ministre de l’Alphabétisation a été retrouvé mort à son domicile à Ouidah, ce mercredi 12 juillet 2023

Roger Gbégnonvi n’est plus. L’ancien ministre de l’Alphabétisation a été retrouvé mort à son domicile à Ouidah, ce mercredi 12 juillet 2023, rapporte Fraternité. Les circonstances de son décès sont pour l’heure inconnues. Condoléances à sa famille biologique et à ses proches.

M.A

Les reproches de Gbégnonvi aux députés LD, à Ajavon et Soglo (Opinion)

Dans le brouhaha des mots et des choses, au milieu de moult problèmes dont la solution presse, certaines instances d’intercession ou de décision peuvent oublier (si jamais elles l’ont entendu) le coup de tonnerre qui éclata un jour sous la plume de l’évangéliste Luc : « Vois donc si la lumière qui est en toi n’est pas ténèbres ! » (11/35) Paradoxale invitation à faire très attention à ce que la solution envisagée dans le désarroi ne passe à côté du problème à résoudre ou, pire, ne l’aggrave. Il est ainsi, dans l’actualité béninoise récente, trois générosités qui relèvent d’une bonne foi totale mais qui, regardées de près, manquent peut-être leur but.

Dans le brouhaha des mots et des choses, au milieu de moult problèmes dont la solution presse, certaines instances d’intercession ou de décision peuvent oublier (si jamais elles l’ont entendu) le coup de tonnerre qui éclata un jour sous la plume de l’évangéliste Luc : « Vois donc si la lumière qui est en toi n’est pas ténèbres ! » (11/35) Paradoxale invitation à faire très attention à ce que la solution envisagée dans le désarroi ne passe à côté du problème à résoudre ou, pire, ne l’aggrave. Il est ainsi, dans l’actualité béninoise récente, trois générosités qui relèvent d’une bonne foi totale mais qui, regardées de près, manquent peut-être leur but.

​Générosité 1.- Prière collective dite tous les jours dans plusieurs langues sur une radio confessionnelle à large diffusion. L’on supplie « Jésus, Marie et Joseph […] d’épargner la vie de l’enfant non né, que j’ai adopté spirituellement, et qui est en danger d’être avorté. Amen ! » Et l’on est quitte. Il y aurait en effet trop de soucis administratifs et financiers pour une famille généreuse prête à adopter en vrai, physiquement, l’enfant né mais abandonné. Hélas, « Les enfants de la rue » existent ! Nés de viols répétés. Abandonnés par les violeurs aux filles violées. Ayant trop peu, à 25 ans, pour nourrir environ 6 enfants aux géniteurs en fuite, les filles-mères finissent par ne plus s’inquiéter de l’absence de leurs enfants dans la case-dortoir, mais savent que leurs filles dans la rue peuvent être engrossées à 12-13 ans, à l’instar d’elles-mêmes, par des salauds qui s’enfuiront. Le crime à l’infini ? L’interrogation laisse perplexe, désarmé et impuissant tout cœur généreux. S’en remettre au chapelet et à La Sainte-Famille ?

Générosité 2.- Dès leur élection, certains députés de la 9ème législature ont eu la généreuse idée de se rendre en visite dans l’une des prisons renommées du Bénin. Mais ils seront restés à mi-chemin parce que, à l’intérieur de la prison, ils n’auront embrassé que leurs amis prisonniers. « Chaque député [étant] le représentant de la Nation tout entière », ils auraient dû montrer de la sympathie pour tous et promettre de voter des lois en faveur d’un plus grand respect des droits de l’homme dans toutes les prisons du Bénin. Sorti du conclave, le Pape élu visite tel hôpital et telle prison de Rome. Il n’y choisit pas les siens. A tous il apporte son réconfort. Les hommes et les femmes accablés ont besoin de la générosité de tous ceux qui peuvent leur en donner. A Lampedusa, le Pape François n’a pas choisi parmi les migrants.

Générosité 3.- Deux articles de la Constitution garantissent au Bénin de garder vivants et actifs plusieurs anciens Présidents de la République. Forts de leur acquis unique, ils disent et conseillent leur bon sens. Ainsi, le 23 février 2023, le plus prestigieux d’entre eux a-t-il interpellé les Béninois sur le sort d’un « compatriote et homme d’affaires […] autrefois employeur de milliers de concitoyens béninois aujourd’hui au chômage ». Puissant homme ! Ayant eu maille à partir avec la justice, il a pris les chemins de l’exil, demandé et obtenu le statut de réfugié politique. L’exil est une prison. La prison est un exil. Mais il faut préférer la prison-exil pour ses possibles arrangements humanitaires domestiques. On eût donc aimé voir l’homme d’affaires quitter l’exil, rentrer au pays, commencer avec courage à purger sa peine, pendant que ses avocats travaillent à obtenir qu’il soit rejugé dans des conditions qui lui permettent de se disculper vraiment. On eût donc aimé savoir l’ancien Président à l’œuvre avec générosité dans les coulisses pour ce retour à l’amiable, qui respecte le droit et la justice.

La générosité 1 pêche par son raccourci étriqué. La 2 et la 3 pêchent en ce qu’elles se limitent à Jean de La Fontaine : « Selon que vous serez puissant ou misérable, / Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. » Or il y a 12 millions de concitoyens hostiles à toute générosité de sacristie et de palais entre gens cooptés. Générosités à redresser donc. De ceux qui prient et décident pour eux, les Béninois attendent la plus grande justice adossée à une générosité partagée, non pas égoïste et élitiste, mais rayonnante, lumière répandue sur tous.

Par Roger Gbégnonvi

Bénin : Le message de Roger Gbégnonvi aux exilés (Opinion)

Même les observateurs distraits savent que les Béninois n’en ratent pas une au chapitre des mots proférés, pas forcément écrits, chez ce peuple grosso modo analphabète. Soulevé par l’étincelance de leur faconde en 1948, Emmanuel Mounier avait atterri chez eux en plein quartier latin parisien sous les tropiques dahoméens. Successeurs des Dahoméens, les Béninois, loin d’ignorer le mirage mouniériste, lui ont conféré réalité, ainsi qu’on en a eu la preuve récemment à la veille lointaine des législatives du 8 janvier 2023, quand le mot quitus prit du poil de la bête et envahit tous lieux, rues, buvettes, maisons, etc.

Même les observateurs distraits savent que les Béninois n’en ratent pas une au chapitre des mots proférés, pas forcément écrits, chez ce peuple grosso modo analphabète. Soulevé par l’étincelance de leur faconde en 1948, Emmanuel Mounier avait atterri chez eux en plein quartier latin parisien sous les tropiques dahoméens. Successeurs des Dahoméens, les Béninois, loin d’ignorer le mirage mouniériste, lui ont conféré réalité, ainsi qu’on en a eu la preuve récemment à la veille lointaine des législatives du 8 janvier 2023, quand le mot quitus prit du poil de la bête et envahit tous lieux, rues, buvettes, maisons, etc.

​Les Béninois connaissaient le mot mais ont toujours jeté sur son contenu un voile des plus honteux. En effet, quand il s’agit de cet « Acte qui arrête un compte et qui atteste que la gestion de celui qui le tenait est exacte et régulière », tout bon Béninois choisit le camp du silence légèrement coupable. Sur le sujet quitus, le Béninois est d’une sincère humilité. Par exemple, s’il décide finalement, hors délai, de rembourser l’argent emprunté, il le fait à compte-gouttes, à intervalle irrégulier, accompagnant sa bonne volonté de la jérémiade sur « la dureté des temps », tant et si bien que le pauvre créancier, pour sauver un zest d’amitié et ne point paraître le tortionnaire de son ami, finit par céder : « Ecoute, n’y pensons plus, oublie le reste ! » Oui, le Béninois a du mal avec le quitus, beaucoup de mal á être quitte.

​Vis-à-vis de l’Etat, la cause est unanimement entendue. Sur le non-quitus, les citoyens béninois ont conclu entre eux un pacte tacite mais inviolable, qui va du presque-parfait au plus-que-parfait de l’indicatif. « L’hydre fiscale » nous prend déjà sournoisement tout notre argent sur tout ce que nous consommons, et la loi, en plus, nous obligerait à des déclarions d’impôt pour remettre spontanément à l’Etat de l’argent et encore de l’argent ? Si cela s’appelle quitus et être quitte vis-à-vis de l’Etat, eh bien, l’Etat devra galérer et accepter d’être enfariné ! Et l’on est disposé à un bout de prison, d’exil ou de maquis, pour lui faire toucher du doigt à quel point on s’en balance de ses impôts et de son quitus.

​Or l’inviolable consensus national sur le non-quitus a été violé sur le quitus à montrer par les citoyens désireux de se porter candidats à la députation. Le ci-dessus plus-que-parfait est devenu imparfait. Inattendue rupture. Les violeurs : ces gens-là veulent passer du côté de l’Etat pour créer des lois qui vont nous créer des problèmes. Et puis, couverts par l’immunité parlementaire, ils ne feront qu’engranger et ne paieront plus jamais rien. Alors, qu’ils payent maintenant, rubis sur l’ongle ! Quitus donc ! Les non-violeurs : si nous acceptons que ces gens-là montrent leur quitus, nous acceptons notre propre condamnation. Soyons donc zen, restons fidèles à jamais au non-quitus ! Logiques tranchées, opposées. Dans les buvettes, face aux bouteilles et aux canettes passées de vie à trépas, ambiance, furie verbale, bris de verre !

En venir aux mains ? Oh, que non ! Même au plus fort de la jactance, le Béninois le plus engagé n’engage pas son corps pour une idée ; la prison, l’exil ou le maquis, c’est encore la vie, mais l’hôpital, c’est peut-être la mort. Donc pas de bagarre.

Au demeurant, la Cour Constitutionnelle est intervenue pour trancher sagement entre les deux camps. Elle a si bien accordé violeurs et non-violeurs que la paix est sur le Bénin et sur les enfants du Bénin.

​Et voici que cette décision circonstancielle de la Cour Constitutionnelle vaut appel subliminal à nos exilés pour cause de quitus. Assurés que l’arbitraire n’est pas béninois, que les juridictions sont indépendantes, ils s’empareront du courage de revenir, et la République les accueillera avec la dignité qu’elle doit à tous ses enfants, et dans le respect de la loi qui gouverne tous ses enfants.

En leur présence, en présence de leurs avocats, ils obtiendront le meilleur, toujours relatif. Puissent nos exilés revenir sur fond des vies du quitus.

Roger Gbégnonvi

 

Politique : Roger Gbégnonvi révèle le premier homme politique Béninois qu’il a « adulé »

Sur l’émission ‘’Diagonale’’, l’ancien ministre de l’Alphabétisation a ouvertement exprimé toute son admiration pour …

Décédé à l’âge de 98 ans le 28 juillet 2018, Emile Derlin Zinsou reste encore dans l’esprit de Roger Gbégnonvi. Sur l’émission ‘’Diagonale’’ de Bi News, Roger Gbégnonvi a exprimé tout son amour et toute sa considération pour l’ancien président de la République du Dahomey, aujourd’hui Bénin.

Sur l’émission ‘’Diagonale’’, l’ancien ministre de l’Alphabétisation a ouvertement exprimé toute son admiration pour Feu Emile Derlin Zinsou, décdé en 2018. Roger Gbégnonvi a notamment révélé qu’il est le premier politicien Béninois qu’il a admiré.

« Le premier homme politique que j’ai adulé, c’est le président Emile Derlin Zinsou », a-t-il déclaré.

Pour lui, Emile Derlin Zinsou alliait volonté, rigueur et volonté pour mettre l’ex-Dahomey sur les rails du développement.

Message

« Il avait une volonté. Il avait une vision », avance l’ancien ministre du président Boni Yayi, avant de déplorer « les militaires lui avaient promis cinq ans au moins. Après 17 mois, ils sont allés le descendre parce qu’il avait de la rigueur et le Dahomey n’était pas habitué à la rigueur ».

BENIN – Avec le départ du Président Emile Derlin ZINSOU, je perds un très  grand ami : « DEMAIN, IL FERA JOUR… » - Le Blog de Benoît ILLASSA - Une  passion pour le BENIN
L’ancien président du Dahomey Emile Derlin Zinsou

Puis d’exprimer ses profondeurs regrets : « il est parti… Je dis bon Dieu, nous avons perdu notre sauveur ».

Né à Ouidah le 28 mars 1918, Dr Émile-Derlin Zinsou docteur en médecine de la faculté de Paris, accède à la magistrature suprême en 1968. En réalité, le lieutenant-colonel Alley et la junte militaire font de lui, président de la République, après l’échec de l’élection présidentielle du 5 mai 1968.

Mais le 10 décembre 1969, après seulement dix-huit mois d’exercice, Émile Derlin Zinsou est renversé par un coup d’Etat, orchestré par le chef d’état-major des forces armées, le lieutenant-colonel Maurice Kouandété. Le pays enregistre là son cinquième coup d’État depuis son indépendance en 1960 et est logiquement baptisé « l’enfant malade de l’Afrique ».

Manassé AGBOSSAGA

Roger Gbégnonvi : « Komi Koutché est un homme tourmenté » à cause de l’exil

Connu pour ses prises de position en faveur du Gouvernement, Roger Gbégnonvi s’invite dans le débat ‘‘Komi Koutché-Lionel Zinsou’’. Interrogé sur les propos tenus par l’ancien ministre de l’Economie et des finances à l’endroit de l’ex-premier  ministre sur les antennes de Rfi, il a ouvertement désavoué le président du mouvement ‘‘S’engager pour le Bénin’’. Et ce, tout en lui trouvant des circonstances atténuantes…

 

Connu pour ses prises de position en faveur du Gouvernement, Roger Gbégnonvi s’invite dans le débat ‘‘Komi Koutché-Lionel Zinsou’’. Interrogé sur les propos tenus par l’ancien ministre de l’Economie et des finances à l’endroit de l’ex-premier  ministre sur les antennes de Rfi, il a ouvertement désavoué le président du mouvement ‘‘S’engager pour le Bénin’’. Et ce, tout en lui trouvant des circonstances atténuantes…

Sur la chaîne de télévision E-Télé, l’ancien ministre de l’alphabétisation de ‘‘courte durée’’ dans le gouvernement de Boni Yayi a désapprouvé les propos de Komi Koutché à l’endroit de Lionel Zinsou.

 

« J’ai le sentiment et même la certitude que le ministre Komi Koutché n’a pas le bon discours, n’a pas la bonne méthode », a d’abord fait remarquer  l’Universitaire, avant d’ajouter d’un ton presque, ironique, « mais je le comprends ».

En effet, Roger Gbégnonvi met en avant la situation politique de l’ex argentier national pour justifier sa posture ou ses frasques, lui qui est en exil aux Etats-Unis.

Dans un jeu de comparaison, où il compare  la prison à l’exil, l’Universitaire fait remarquer  que la prison même si ce «  n’est pas la joie », donne des raisons d’espérer à une sortie de prison, sans oublier que le détenu peut recevoir la visite de ses proches.

Par contre, poursuit il « quand vous êtes exil et que ça dure et que ça a l’air de ne pas pouvoir s’arrêter, l’exil devient un tourment ».

Et de conclure «  Je comprends que Komi Koutché soit aujourd’hui un homme tourmenté ».

No comment !!!

Manassé AGBOSSAGA

Politique : Candide Azannaï défonce Roger Gbégnonvi

Le président du parti Restaurer l’Espoir règle ses comptes avec tous les détracteurs des membres de la Coalition nationale de la Résistance. Et Roger Gbégnonvi en a fait les frais ce jeudi 27 juin à la conférence de presse de Candide Azannaï…

Candide Azannaï n’a pas épargné Roger Gbégnonvi lors de sa conférence de presse, le jeudi 27 juin 2019 à Cotonou. Il a ouvertement critiqué  l’ancien ministre de l’alphabétisation de Boni Yayi.

Manassé AGBOSSAGA

Le président du parti Restaurer l’Espoir règle ses comptes avec tous les détracteurs des membres de la Coalition nationale de la Résistance. Et Roger Gbégnonvi en a fait les frais ce jeudi 27 juin à la conférence de presse de Candide Azannaï.

Le président du parti Restaurer l’Espoir a ouvertement critiqué l’ancien ministre de l’alphabétisation de Boni Yayi, reconverti depuis peu en chroniqueur.

Alternant humour et critique, Candide Azannaï a d’abord reconnu un mérite à Roger Gbégnonvi. « Je (Ndlr : Roger Gbégnonvi)  sais qu’il a une belle plume », soutient le président du parti Restaurer l’espoir.

Toutefois, il fait savoir que cette qualité est mal exploitée par ce dernier. « Il a une belle plume,  mais il a un esprit un peu éteint,  vindicatif,  rétrograde. Il aime critiquer tout le monde facilement…Ce qui est admirable chez Gbégnonvi,  c’est qu’il a une belle plume. Il écrit à l’endroit et à l’envers,  c’est une technique », ironise t-il ensuite.

Pour illustrer ses propos,  Candide Azannaï revient brièvement sur une réaction de Roger Gbegnonvi lorsqu’il avait démissionné de son poste de ministre délégué chargé à la défense. « C’est comme ça qu’un jour,  moi j’ai démissionné,  il me dit non,  que je ne devais pas  publier ma démission,  je ne devais pas démissionner et publier.  Que si je démissionne,  je dois rester caché à cause du chef », raconte t-il.

Face à cela, Candide Azannaï invite Roger Gbégnonvi à se mirer avant de critiquer les autres. « Il faut qu’il se mire un peu avant de s’attaquer aux autres « », recommande t-il.

Puis de conclure, « Roger Gbégnonvi n’est pas  une référence ». Roger Gbégnonvi qui n’a jamais pardonné Boni Yayi après son limogeage du gouvernement ne manquera sans doute pas de répondre à Candide Azannaï