Vente des biens immobiliers de Ajavon : Soglo dénonce une « persécution » et demande des explications à Yayi et Talon

Les biens immobiliers (18) de Ajavon seront bientôt vendus aux enchères. A quelques jours de cette échéance qui choque la sensibilité des Béninois, j’ ai choisi la formule de la lettre ouverte pour interpeller à la fois, Boni Yayi et le Président Talon

Mes chers enfants,

Les biens immobiliers (18) de Ajavon seront bientôt vendus aux enchères. A quelques jours de cette échéance qui choque la sensibilité des Béninois, j’ ai choisi la formule de la lettre ouverte pour interpeller à la fois, Boni Yayi et le Président Talon

A Messieurs les Présidents Patrice TALON Et Boni YAYI

Cotonou-Bénin

Cotonou, le 23 février 2023

Objet : Lettre ouverte A/S Persécution à l’encontre de notre compatriote Sébastien AJAVON.

Excellences Messieurs les Présidents Patrice TALON et Boni YAYI,

Je passe par ce canal pour vous interpeller publiquement par rapport aux cycles de persécutions dont fait l’objet notre compatriote et homme d’affaires, Sébastien AJAVON depuis plusieurs années.

J’aurais pu prendre encore une fois mon bâton de pèlerin et m’entretenir avec chacun de vous deux sur le sujet. Mais, je préfère le faire en prenant à témoin les 12 millions de Béninois que nous sommes ainsi que la communauté internationale.

Le déferlement d’actes de provocation, d’humiliation et de sabotage à l’encontre de Monsieur Sébastien AJAVON suscite de grandes interrogations auprès de nous.

Peut-être, qu’il existe une raison que le grand public ignore et qui justifie que tous les biens de l’homme d’affaires soient saisis ou détruits jusqu’à ses objets personnels et intimes vendus aux enchères comme s’il était déjà banni de la République.

Même les pires criminels ont leur place dans la République après avoir purgé la juste peine à l’issue d’un procès équitable.

Sous le régime de Monsieur Boni YAYI, il avait déjà subi une vague d’attaques de ses sbires. En tant que Chef de l’État, vous ne vous êtes pas privé de l’invectiver sur la place publique.

Il était comparé à un autre déclaré ‘’vertueux’’ par vos soins, alors même qu’il était le président du Conseil National du Patronat du Bénin.

Après c’est le tour du régime de Monsieur Patrice TALON.

Mais pourquoi tant de haine à son encontre ?

Messieurs les Présidents Boni YAYI et Patrice TALON vous devriez comprendre que ces agissements vindicatifs viennent heurter notre mode de vie et violent notre conscience tout simplement. Et, je me dois de vous en parler haut et fort pour susciter le débat public.

Ce qui se passe actuellement sous votre régime, Monsieur Patrice TALON est inconcevable, vous qui aviez eu maille à partir avec les institutions, notamment la justice de notre pays dans un passé encore récent. Et pourtant, vous avez pu conserver vos droits de citoyen Béninois au point de briguer la magistrature suprême.

A cette époque, je suis personnellement intervenu auprès des autorités françaises pour vous éviter une extradition alors que votre tête était mise à prix ici même dans votre pays, le Bénin.

Pourquoi alors cette intolérance vis-à-vis d’un autre fils de ce pays ? Le Bénin ne saurait être l’otage d’une vengeance personnelle ou d’une vendetta secrète.

Si Monsieur Sébastien AJAVON, autrefois employeur de milliers de concitoyens béninois aujourd’hui au chômage, mérite vraiment le processus de bannissement actuellement en cours contre sa personne, ses proches et ses biens nous devons en parler sur la place publique et de façon contradictoire.

Ce pays a toujours été un havre de paix pour ses fils et même pour les étrangers qui y vivent. Des milliers d’hommes d’affaires y ont prospéré avec des fortunes diverses, sans vivre sous la terreur, la ruse ou la rage. Pourquoi devrait-il devenir un calvaire pour ses propres fils ?

Est-ce une telle ‘’Nation’’ que vous ont légué nous vos devanciers ou vos pères ?

Toute tentative visant à mettre en péril notre vivre ensemble est à combattre avec la dernière énergie.

Partout, les États font leur possible pour protéger leurs opérateurs économiques en leur offrant les meilleures conditions pour leur permettre d’aller à la conquête du monde impitoyable du commerce international.

C’est inadmissible que, pendant ce temps, chez nous au Bénin, être homme d’affaires devienne un boulet qui conduit à la déchéance. Et les pouvoirs publics sont mis à contribution pour cette hideuse besogne. J’en ai honte et je m’indigne.

Messieurs les Présidents Patrice TALON et Boni YAYI, nous Béninois, attendons vos explications.

Vivement que le bon sens et la sagesse regagnent vos cœurs !

Affectueusement,

Nicéphore Dieudonné SOGLO

#conferencenationale

#benin

#Soglo

Ancien Président de la République

Vente sur saisie immobilière : plusieurs immeubles de Sébastien Ajavon mis aux enchères

L’Etat béninois met aux enchères 18 immeubles de l’homme d’affaires Sébastien Ajavon, après leur saisie, …

L’Etat béninois met aux enchères 18 immeubles de l’homme d’affaires Sébastien Ajavon, après leur saisie, il y a environ un an. Lire l’avis de vente sur saisie immobilière pour plus de détails.

 

Un responsable de l’USL, ex parti de Sébastien Ajavon publie un livre

Géraldo Gomez sort bientôt un livre. L’ancien Secrétaire général adjoint chargé des questions stratégiques de l’Union sociale libérale (USL), ex-parti de l’opposant Sébastien Ajavon, publie ‘‘DOULEURS ACTUELLES :

Géraldo Gomez sort bientôt un livre. L’ancien Secrétaire général adjoint chargé des questions stratégiques de l’Union sociale libérale (USL), ex-parti de l’opposant Sébastien Ajavon, publie ‘‘DOULEURS ACTUELLES : Paradoxes et angoisses !’’ La sortie de l’ouvrage est prévue en mars 2023.

M.A  

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Géraldo Gomez

PRESENTATION-

Douleurs actuelles est un regard sur les paradoxes actuels de nos sociétés, leurs conséquences sur la société, la famille, et les pistes pour les transcender et en tirer meilleur profit. Une société des moyens de communication développés mais dans laquelle l’individu ne s’est jamais senti aussi seul au sein de la famille mononucléaire, sur le marché du travail, sur le plan des relations humaines, sur le plan religieux … Qu’est -ce qui est en cause ? Quelle est la part des moyens de communication eux-mêmes ? Celle de chaque individu ? Celle de la structuration de nos sociétés ? Une société où, plus que jamais, l’homme est devenu un loup pour l’homme et la femme, alors que le projet social envisageait une égalité des chances, une promotion des droits de l’homme et de la femme.

Le chemin parcouru semble devenir une différenciation, une lutte, une résistance, une défiance, pour aboutir à une séparation voire une ségrégation, une balkanisation de ce qu’il était prévu égaliser. Une société qui transpose cette lutte acharnée au sein de la famille nucléaire comme pour prendre acte d’un échec sur le plan public, échec qu’il faudrait compenser à un niveau estimé mieux maîtrisable, un milieu pourtant fondé sur le sentiment de l’amour avec le risque qu’à l’amour se substitue la compétition. Une société dans laquelle la compétition ne se limite pas aux parents géniteurs mais s’étend aux enfants. Chaque partie de la famille est posée en altérité au lieu de faire un. Il est désormais important de se montrer individuellement capable de s’assumer sans l’apport des autres membres de la famille, soit par un sens aigu de la famille à qui l’on souhaite apporter le maximum, soit par une méfiance absolue vis-à-vis de ladite famille plutôt perçue comme source de difficultés.

Cette multiplicité des altérités s’affermit également dans le système éducatif avec ses bonheurs comme ses misères. Des concepts tels que la différenciation, le parcours individuel, et bien d’autres font apparaître le nouveau genre d’apprentissage qui renforce l’individu dans sa singularité plutôt que faisant d’un corps dont il ne dépend pas seulement en fonction de ce que lui-même y apporte. Dans cette société des douleurs actuelles, on a pris conscience des singularités pour enseigner à tous à en prendre conscience et espérer construire un mieux-vivre ensemble. Mais les résultats semblent démontrer que chaque singularité prend plutôt en grande estime vitale la nécessité de faire se reconnaître à l’autre comme une fin en soi. Ma singularité doit être reconnue et acceptée, admise de tous, à tous les niveaux. Mais à quelle fin ? Ces observations et analyses se confirment en passant en revue des lieux essentiels de notre vie en société (nouveaux lieux ou plus anciens) : les religieux, les acteurs politiques, les acteurs de la société civile, les nouveaux maîtres (coaches et motivateurs). A mes yeux, il est illusoire de rechercher la satisfaction d’un désir ou un bonheur quelconque en dehors d’un cadre où l’on pourra le partager. Le cadre idéal pour ce partage est la famille pour laquelle chaque compagne s’emploie à y installer et maintenir une communication bienveillante, une attitude positive et pour laquelle on revendique une sécurité maximum. Le bonheur ne peut exister que pour soi. Il est conquis en compagnie des siens avec qui on organise le temps et l’espace.

UN EXTRAIT DU LIVRE

« Les couples ont un comportement forgé sur celui qu’ils adoptent et que les plus jeunes générations adoptent également : la recherche de la solution en dehors de soi. C’est ce que j’appelle « la mode Google » qui consiste à rechercher dans une base de données constituée par des per- sonnes inconnues de soi le sens et la solution à une situation particulière. « La mode Google » dont il est question ici ne se limite pas au puissant moteur de recherche sur Internet. Elle s’étend à la société entière considérée comme une puissante base de données, plus puissante que toute autre personne présente au sein d’un foyer. Mais le propre des moteurs de recherche est de renvoyer, selon les requêtes que nous lui transférons, toutes les réponses jugées utiles par ses propres soins et pouvant satisfaire pour la question posée. L’avalanche de réponses dé- ployée par le moteur de recherche impose d’avoir des capacités d’analyse fermes pour les décrypter. »

Saisie des biens de Sébastien Ajavon : Jacques Migan, ancien soutien et avocat de l’ex-magnat de la volaille dédouane Patrice Talon et clarifie

Jacques Migan se prononce sur la saisie des biens de Sébastien Ajavon. Interrogé par Radio Bénin, l’ancien Bâtonnier a tenu à faire une mise au point. Face à la polémique, l’ancien soutien du candidat Sébastien Ajavon à la présidentielle de 2016 jure que cette opération est à l’aboutissement d’une procédure démarrée sous le régime de Boni Yayi.    

Les Béninois (ses) ont découvert sur les réseaux sociaux, la saisie des biens de Sébastien Ajavon, à Cotonou le vendredi dernier. Conséquence sans doute, du dossier de remboursement de crédit de TVA où l’homme d’affaires et sa société CAJAF Comon  ont été condamnés à payer à l’Etat Béninois, plus de 156 milliards de FCFA pour les préjudices subis par l’administration fiscale et pour les préjudices non fiscaux . Jacques Migan, ancien bâtonnier, mais aussi et surtout ancien soutien du candidat Sébastien Ajavon à la présidentielle de 2016 et ex-avocat de l’homme d’Affaires, désormais engagé avec la Rupture, s’est empressé de dédouaner Patrice Talon, clarifiant qu’il s’agit d’un dossier apolitique qui remonte à l’ancien président Boni Yayi.

Jacques Migan se prononce sur la saisie des biens de Sébastien Ajavon. Interrogé par Radio Bénin, l’ancien Bâtonnier a tenu à faire une mise au point. Face à la polémique, l’ancien soutien du candidat Sébastien Ajavon à la présidentielle de 2016 jure que cette opération est à l’aboutissement d’une procédure démarrée sous le régime de Boni Yayi.

« Cela remonte au président Boni Yayi.  L’Etat étant une continuité, c’est normal que le judiciaire reprenne ce dossier qui est complètement indépendant de l’Exécutif », clarifie t-il d’abord, avant d’expliquer « la saisie qui a été opérée est relative au volet fiscal qui concerne le dossier Etat du Bénin contre monsieur Sébastien Ajavon, sa société ainsi de suite. Que la vente aux enchères puisse se faire de manière judiciaire, il est indiqué que les biens dont s’agit soient portés à un endroit non seulement sûr, mais accessible à ceux qui voudraient enchérir ».

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Pour Jacques Migan, l’opération menée le vendredi au domicile de l’ex-magnat de la volaille, actuellement en exil en France n’a alors aucune visée politique.

« Donc, je voudrais que les Béninois et les Béninoises sachent que le dossier Etat Béninois contre Sébastien Ajavon est un dossier qui n’a rien à voir avec la politique », soutient-il, avant d’enfoncer le clou « Monsieur Ajavon est intervenu dans ce dossier en tant que commerçant,  si vous préférez comme nous aimons le dire, homme d’affaire ».

En octobre 2016, Jacques Migan s’affichait comme le porte-parole du Collectif d’avocats qui défend Sébastien Ajavon dans l’affaire présumée de trafic de drogue. Avant ça, il avait soutenu la candidature de celui qu’il préfère aujourd’hui qualifier de « commerçant ».

Attitude et retournement de veste qui suscitent des interrogations sur les soutiens de Sébastien Ajavon à l’époque.

Interrogation kpakpatotique, évidemment !!!

Manassé AGBOSSAGA

Côte d’Ivoire; Ce merveilleux geste de Soro à l’endroit d’une détenue politique qui doit inspirer l’opposition béninoise…Yayi, Soglo Koutché, Ajavon, Houndété en premiers

En exil et engagé dans un combat politique contre son ex-mentor, Guillaume Soro a prouvé qu’il avait du cœur, mais aussi et surtout qu’il savait accompagner ceux qui étaient prêts à faire la bataille du respect de la constitution à ses côtés. Son soutien financier à une ex détenue  politique en dit long

En exil et engagé dans un combat politique contre son ex-mentor, Guillaume Soro a prouvé qu’il avait du cœur, mais aussi et surtout qu’il savait accompagner ceux qui étaient prêts à faire la bataille du respect de la constitution à ses côtés. Son soutien financier à une ex détenue  politique en dit long

En août 2020,  Pulchérie Gbalet, présidente d’Alternative citoyenne ivoirienne (ACI), une association avec laquelle elle milite dans la société civile est arrêtée avec trois de ses collaborateurs lors d’une manifestation pacifique contre un troisième mandat du président Alassane Ouattara.

Pulchérie Gbalet, présidente d’Alternative citoyenne ivoirienne (ACI)
Pulchérie Gbalet, présidente d’Alternative citoyenne ivoirienne (ACI)

Pendant son séjour carcéral, Guillaume Soro qui avait notamment appelé à des manifestations contre la violation de la constitution va apporter son soutien moral et financier à Pulchérie Gbalet, mais aussi à sa famille.

Au-delà des mots, Guillaume Soro va se charger de remettre une enveloppe financière à elle et à sa famille.

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A sa sortie de prison il y a quelques jours, et après huit mois de détention provisoire, elle a confirmé avoir reçu, de la part de l’ancien Premier Ministre Guillaume Soro «  une seule fois la somme de 400 mille francs CFA dans le mois d’Août, ensuite 150 mille francs CFA par mois à sa famille durant toute la période de sa détention ».

Quel merveilleux geste de celui que les ivoiriens appellent désormais ‘‘Anselmo Bruit’’ !

Yayi, Soglo, Ajavon, Koutché doivent à aller à cette école

Au Bénin,  nombreux sont ces jeunes, hommes, femmes, vieux qui séjournent en prison. En attente d’un procès, ils ont été arrêtés dans le cadre des manifestations contre la prolongation de 45 jours du mandat présidentiel de Patrice Talon.

Ces derniers paient ainsi le prix de leur engagement aux côtés des leaders de l’opposition.  Sans moyen, ils sont délaissés à eux seuls et souffrent.

L'ancien président Boni Yayi
L’ancien président Boni Yayi

Il y a quelques jours, des jeunes étaient obligés de lancer un appel pour venir à l’aide à Thibaut Ogou, président d’un mouvement acquis à la cause de l’opposition actuellement en prison.

Au-delà des messages de soutien, Yayi, Soglo, Koutché, Ajavon, Houndété et les autres leaders de l’opposition doivent poser des actes à l’endroit des hommes et femmes qui ont cru en eux et répondu à leurs appels.

Manassé AGBOSSAGA

Sébastien Ajavon : Son parti réagit à sa nouvelle condamnation et apporte des clarifications

Sébastien Germain Ajavon a été condamné à 5ans d’emprisonnement ferme, à 2.400.000 FCFA d’amende ferme pour usage de fausse attestation et escroquerie, ce lundi 01er mùars. La cour le condamne à payer à l’État béninois à titre de dommage et intérêt les sommes de: 80.958.254.863 FCFA pour préjudices subis par l’administration fiscale, 60.000.000.000 FCFA pour les autres préjudices non fiscaux.

Mais à travers un communiqué son parti l’Union sociale libérale a  réagi et apporté plus de clarifications. Lire le communiqué !!!

COMMUNIQUE DE L’UNION SOCIALE LIBÉRALE (USL)

NOUVELLE INSTRUMENTALISATION DE LA JUSTICE BENINOISE CONTRE SÉBASTIEN AJAVON : CE QU’IL FAUT SAVOIR

Il s’agit d’un vieux dossier datant de 2013 dans lequel la société COMON S.A. était plaignante et avait gagné contre l’Etat béninois. Ce dernier lui devait alors plus de 13 milliards de crédit de tva.

Afin d’éviter de payer les dommages et intérêts qui s’élevaient à environ 50 milliards, l’Etat était entré en négociation avec ladite société et un protocole d’accord a été signé le 31 décembre 2014 aux termes duquel l’Etat a reconnu devoir environ 13 milliards, ce qui ne représentait que le principal, étant donné que dans les accords la société COMON SA a consenti ne plus percevoir les dommages et intérêts.

Précisons que ce protocole d’accord a été enregistré au niveau du Tribunal de Première Instance de Cotonou.

Le gouvernement du Président Yayi Boni s’est alors engagé à payer la société COMON SA de façon échelonnée par des certificats de détaxe.

Le paiement a commencé vers la fin du régime du Président Yayi Boni et s’est poursuivi avec l’actuel gouvernement jusqu’ en octobre 2016 avant d’être interrompu avec la fameuse affaire de 18k de cocaïne introduits dans l’un des conteneurs destinés à la Société COMON SA.

A partir de ce moment le gouvernement dirigé par Patrice Talon n’honore plus l’engagement de l’Etat.

Pire, c’est ce gouvernement qui, en représailles dépose plainte pour faux et usage de faux et escroquerie.

Comme dans l’affaire dite 18 kg de cocaïne où la justice béninoise a tranché définitivement, celle-ci qui a été vidée en faveur de la société COMON SA par la justice béninoise (sans aucun appel des deux parties), est réchauffée par la CRIET dont les missions sont perceptibles.

Au Benin, le gouvernement du Président Patrice TALON tente une fois de plus de faire passer la victime COMON SA, légendaire premier contributeur fiscal du Bénin, pour un bourreau économique.

Cette situation appelle juste quelques questions soumises à la réflexion:

1. Si le gouvernement dit de la Rupture a continué à payer les 13 milliards à la société COMON SA, serait-il donc complice d’usage de faux et escroquerie?

2. Commence-t-on à payer une dette qu’on ne reconnaît pas?

3. L’Etat n’est-il plus une continuité au Bénin ?

4. Dès sa prise de fonction, le président Talon ne s’est-il pas payé lui-même plusieurs dizaines de milliards sur la base d’une décision de justice?

5) Les sociétés du Président Talon n’ont-elles pas toujours bénéficié des faveurs de détaxe sans même aucun recours à la justice?

A chaque Béninois épris de justice et de paix de répondre à ces questions en son âme et conscience.

Dans tous les cas, la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples est déjà saisie du dossier depuis juin 2020. Sa décision est attendue pour rétablir le droit acquis de l’intéressé par des décisions de justice devenues définitives.

La justice triomphera

L’Union Sociale Libéral #USL

Sébastien Ajavon : Sa « promesse » au peuple béninois

Sébastien Ajavon fait une promesse au peuple béninois. Et ce,  à l’occasion de son 56è anniversaire, célébré ce mardi 19 janvier 2021.
 Dans un message de gratitude publié sur sa page facebook, l’ex-magnat de la volaille actuellement en exil a fait la promesse d’un Bénin bientôt libre.  

« Il y a dans ce qui me lie à chaque Béninoise et à chaque Béninois une affection profonde et une fraternité que rien ne viendra jamais trahir.

En ce jour où Dieu me fait grâce d’une année de plus, j’ai reçu de chacun et de tous le témoignage que même loin, jamais je n’ai été si présent dans vos cœurs.

Je vous fais la promesse que nous serons toujours côte à côte aux rendez-vous de l’histoire et qu’il n’y aura sur notre chemin aucune peur assez grande pour nous empêcher de dire ensemble LIBERTÉ », a-t-il écrit.

Manassé AGBOSSAGA

Kpakpato Sans Payer : Après Constantin Amoussou, un autre jeune de l’USL prépare son retour dans la mouvance présidentielle

Décidément, le mot fidélité n’existe pas chez les jeunes de l’Union sociale libérale (USL). Pour cause, un autre jeune est sur les traces de Constantin Amoussou, lui  qui avait lâché  Pascal Koupaki et la  Rupture pour atterrir  chez Sébastien Ajavon, avant d’effectuer  un revirement à 200 à l’heure pour revenir dans la grande famille présidentielle.

Franck Kpassassi, puisque c’est de lui qui s’agit pourrait abandonner l’USL pour effectuer son retour dans mouvance.

De passage sur Canal 3 ce dimanche,  l’homme qui avait  tourné dos à Abdoulaye Bio Tchané pour rejoindre Sébastien Ajavon   a laissé les indices de son come-back.

Franck Kpassassi

« J’admire beaucoup la philosophie de gestion de Patrice TALON. Il peut compter sur moi pour rempiler. Je reste dans la dynamique que Patrice TALON sera le prochain Président de la République », a-t-il déclaré d’après des propos rapportés.

Si Ajavon n’a pas compris cet ‘‘atalakou’’, il sait à présent grâce à notre Kpakpato Sans Payer.

Manassé AGBOSSAGA

Abdoulaye Gounou, député à l’Assemblée nationale : « Le Bénin n’a pas d’exilé politique…personne n’est persécutée »

C’est le député du Bloc républicain,  Abdoulaye Gounou qui le dit. Dans un entretien accordé à Frissons Radio, il a martelé qu’il « n’y a pas d’exilé politique » au 229.

« Le Bénin n’a pas d’exilé politique… », défend Abdoulaye Gounou.

Abdoulaye Gounou

Pour lui,  les citoyens béninois qui ont quitté le pays l’ont fait dans le but de fuir la justice.

«  il se fait qu’il y a des personnes,  qui de façon volontaire  ont quitté le pays pour ne pas avoir à répondre devant les juridictions », fait remarquer Abdoulaye Gounou.

Il invite ces derniers à rentrer au bercail pour affronter la justice de leur pays.  «  Ils ont le droit de revenir, qu’ils reviennent laver leur honneur », lance Abdoulaye Gounou, avant de marteler à nouveau «  Personne n’est persécutée au Bénin ».

Komi Koutché, Sébastien Ajavon, Léonce Houngbadji, Valentin Djènontin et autres  apprécieront !!!

Manassé AGBOSSAGA

Non-délivrance du récépissé à l’USL: Jacques Migan révèle comment Sébastien Ajavon bloque la reconnaissance légale du parti

L’Union sociale libérale (USL) n’a pas une existence légale,   à la date de jeudi 24 décembre 2020. Dans un entretien  accordé à Esae TV, l’ancien Bâtonnier Jacques Migan et membre du Bloc républicain a justifié cet état de chose, évoquant les raisons de la non délivrance du récépissé à l’USL.

L’Union sociale libérale (USL) n’a pas une existence légale,   à la date de jeudi 24 décembre 2020. Dans un entretien  accordé à Esae TV, l’ancien Bâtonnier Jacques Migan et membre du Bloc républicain a justifié cet état de chose, évoquant les raisons de la non délivrance du récépissé à l’USL.  Jacques Migan a mis en avant l’article 13 de la charte des partis politiques, pour glisser sur Sébastien Ajavon.  Selon lui,  ce dernier,   membre fondateur ne vit pas au Bénin. « On a un seul domicile, on peut avoir plusieurs résidences. Or il se confirme que l’un des membres fondateurs de ce parti que l’on appelait l’USL qui est Sébastien Ajavon ne vit pas au Bénin, parce que bénéficiant de statut de refugier politique en France. Il ne peut pas être membre fondateur », souligne t-il, d’après des propos rapportés par le journal Evènement Précis.  En outre, il fait remarquer que Sébastien Ajavon a été condamné à une peine infamante. Puis de faire ce rappel au sujet de l’article 13 de la Charte des partis qui stipule: « …ne peuvent être membres fondateurs ou dirigeants ou membres d’un parti politique que les personnes remplissant les conditions suivantes : jouir de ses droits civils et politique et ne pas avoir été condamné à une peine afflictive ou infamante ».   Jacques Migan indique alors que pour ces deux raisons, à savoir la peine infamante et le fait qu’il ne vit pas au Bénin, Sébastien Ajavon bloque la reconnaissance légale du parti  USL.  Il invite alors les responsables du parti à ne pas laisser les documents de Sébastien Ajavon dans le dossier d’enregistrement quand le parti décidera de formaliser son existence politique. Donklam Aballo, Géraldo Gomez et consorts apprécieront !!!  Manassé AGBOSSAGA
Me Jacques Migan

Jacques Migan a mis en avant l’article 13 de la charte des partis politiques, pour glisser sur Sébastien Ajavon.

Selon lui,  ce dernier,   membre fondateur ne vit pas au Bénin. « On a un seul domicile, on peut avoir plusieurs résidences. Or il se confirme que l’un des membres fondateurs de ce parti que l’on appelait l’USL qui est Sébastien Ajavon ne vit pas au Bénin, parce que bénéficiant de statut de refugier politique en France. Il ne peut pas être membre fondateur », souligne t-il, d’après des propos rapportés par le journal Evènement Précis.

En outre, il fait remarquer que Sébastien Ajavon a été condamné à une peine infamante. Puis de faire ce rappel au sujet de l’article 13 de la Charte des partis qui stipule: « …ne peuvent être membres fondateurs ou dirigeants ou membres d’un parti politique que les personnes remplissant les conditions suivantes : jouir de ses droits civils et politique et ne pas avoir été condamné à une peine afflictive ou infamante ».

Jacques Migan indique alors que pour ces deux raisons, à savoir la peine infamante et le fait qu’il ne vit pas au Bénin, Sébastien Ajavon bloque la reconnaissance légale du parti  USL.

Il invite alors les responsables du parti à ne pas laisser les documents de Sébastien Ajavon dans le dossier d’enregistrement quand le parti décidera de formaliser son existence politique.

Donklam Aballo, Géraldo Gomez et consorts apprécieront !!!

Manassé AGBOSSAGA