Bénin-Police Républicaine : Talon promeut 40 Officiers supérieurs, liste

Promotion chez les flics ! Patrice Talon vient de promouvoir 40 officiers supérieurs de la police républicaine. La signature du décret Numéro 2024-746 du 31 Janvier 2024 portant promotion de 40 Officiers supérieurs de la Police républicaine au titre de l’année 2024, par le chef de l’Etat, entérine la décision.

Promotion chez les flics ! Patrice Talon vient de promouvoir 40 officiers supérieurs de la police républicaine. La signature du décret Numéro 2024-746 du 31 Janvier 2024 portant promotion de 40 Officiers supérieurs de la Police républicaine au titre de l’année 2024, par le chef de l’Etat, entérine la décision. Téléchargez le fichier ci-dessous pour découvrir les Officiers promus. 

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Mise à la retraite d’office des FDS : le directeur des Pensions annonce une bonne nouvelle aux agents concernés

Dans un entretien accordé au journal Le Matinal, le directeur des pensions et des rentes viagères a évoqué les « avantages exceptionnels » accordés aux agents concernés par la mise à la retraite d’office des Forces de défense et de sécurité.

Dans un entretien accordé au journal Le Matinal, le directeur des pensions et des rentes viagères a évoqué les « avantages exceptionnels » accordés aux agents concernés par la mise à la retraite d’office des Forces de défense et de sécurité. Lire ci-dessous les propos de Christian Ahotondji Gbaguidi pour en savoir plus.

« La mise à la retraite d’office des Forces de sécurité et de défense est en application de la loi portant statut de ces agents. Et en la matière, le gouvernement a pris le décret 2024-008 du 9 janvier 2024 fixant les modalités d’octroi d’allocations de mise à la retraite d’office à ces agents-là. Dans ce décret, le gouvernement a accordé des avantages exceptionnels. Quand on va à la retraite, on ne bénéficie que d’une pension de retraite. Mais en dehors de cette pension de retraite, le gouvernement a octroyé une allocation exceptionnelle à telle enseigne que la pension plus l’allocation donnent le salaire de base des intéressés. C’est-à-dire leur salaire sans les avantages. Déjà le 1er mars, ces agents auront leurs allocations plus leurs pensions de retraite pour la première année. Mais à partir de la 2ème année, ils pourront bénéficier d’une allocation unique calculée sur la base du temps restant pour la retraite normale.

On n’a jamais vu cela. Ceux qui sont allés à la retraite avant eux, doivent comprendre que quand on va à la retraite, on a droit qu’à une pension de retraite. Mais, cette fois-ci, le gouvernement a donné une allocation exceptionnelle d’abord pour la première année, et pour le reste du temps,

il y a une allocation unique calculée sur la base du temps restant pour aller à la retraite normale. Nous travaillons de concert avec la direction de l’organisation du personnel des armées et on a formé une équipe mixte pour travailler 24 heures sur 24 heures pour pouvoir liquider la pension et les allocations prévues dans le cadre de ce décret. Donc, je peux rassurer les intéressés et l’opinion publique qu’il n’y aura pas de retard et que toutes les dispositions sont prises ».

Source : “Le Matinal”/ A.T.

Bénin-Sécurité : Alassane Séidou justifie la mise à la retraite forcée des agents des FDS et rassure

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique réagit à la mise à la retraite forcée des agents des Forces de défense et de sécurité (FDS) et assimilés du Bénin. Au mirco du journal Le Matinal, Alassane Séidou a laissé entendre que c’est « une mesure qui a été prise pour améliorer la compétence et l’efficience de la Police », avant de rassurer sur les dispositions prises pour permettre aux concernés de vivre une retraite aisée.

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique réagit à la mise à la retraite forcée des agents des Forces de défense et de sécurité (FDS) et assimilés du Bénin. Au mirco du journal Le Matinal, Alassane Séidou a laissé entendre que c’est « une mesure qui a été prise pour améliorer la compétence et l’efficience de la Police », avant de rassurer sur les dispositions prises pour permettre aux concernés de vivre une retraite aisée. Lire ci-dessous les propos du ministre de l’Intérieur rapportés par Le Matinal.

Alassane Seidou, « Il ne s’agit pas d’une mesure punitive encore moins d’une volonté du gouvernement de réduire les effectifs de la Police »

« Il ne s’agit pas d’une mesure punitive encore moins d’une volonté du gouvernement de réduire les effectifs de la Police. Il ne s’agit pas d’une mesure punitive parce que cela ne découle pas d’une procédure disciplinaire. Il est vrai dans la procédure disciplinaire, au nombre des sanctions de second degré, cela est prévu, la retraite d’office, mais ce n’est pas le cas cette fois-ci. On fait des recrutements de 2000 agents par an depuis près de deux ans et la dynamique sera maintenue pendant des années. C’est dire que l’intention n’est pas de diminuer les effectifs.

Aujourd’hui, parmi les agents de la Police, nous avons des agents qui n’ont pas une capacité de rendement appréciable. Nous avons des agents qui ont occupé des postes de responsabilités qui sont telles que aujourd’hui, il est difficile de les remettre dans l’organigramme parce qu’ils risquent d’être commandés par des gens qu’ils avaient commandé par le passé et dans une structure aussi hiérarchisée, dans un corps aussi hiérarchisé que la police, c’est difficile de les faire commander par des gens qu’ils avaient commandés par le passé. Souvent, ils sont sans poste, sans attribution. Ce sont tous ces gens que nous avons voulu passer à la retraite d’office. Au niveau de la Police, il y a plusieurs corps. Il y a le corps des agents de Police, le corps des brigadiers, des officiers et le corps des inspecteurs généraux.

Par rapport à l’effectif global, chaque corps doit représenter une certaine proportion. Lorsque le corps qui est supérieur à une proportion est trop importante, les agents qui sont au niveau du corps inférieur, ne peuvent pas avancer normalement parce qu’on doit respecter ces proportions-là. Et c’est ce qui se passe aujourd’hui au niveau de la Police. Nous avons beaucoup d’officiers, des officiers de différents grades, ce qui fait que ceux qui sont au niveau inférieur, ont du mal à évoluer et si on ne les fait pas avancer, ils seront démotivés. Il y a en a qui démissionnent. Or, nous avons besoin d’eux pour moderniser la Police. Le gouvernement ne peut pas laisser les agents aller à la retraite sans mesures d’accompagnement. Donc, des mesures ont été prises.

La première mesure, c’est que lorsque vous êtes admis à la retraite d’office, la pension que vous percevez, c’est exactement la pension que vous devriez percevoir si vous aviez eu une carrière qui s’est déroulée normalement jusqu’à la fin.

En dehors de cela, au cours de l’an 1 de la mise à la retraite d’office, vous avez une allocation mensuelle compensatrice qui représente la différence entre votre pension et votre dernier Salaire sans les primes et les indemnités.

Au cours de l’an 2, il est prévu une allocation complémentaire qui représente la différence entre la pension et le salaire et à partir de l’an 3, vous avez aussi une allocation complémentaire, mais qui représente la moitié de la différence entre la pension et le salaire jusqu’à la date normale de votre retraite. Donc, il y a quand même des mesures d’accompagnement, qui permettent d’atténuer les effets et de toutes les façons, il y a des mesures d’accompagnement pour que cela ne soit pas trop ressenti par les agents qui vont à la retraite tant attendue que ce n’est pas une mesure punitive.

C’est une mesure qui a été prise pour améliorer la compétence et l’efficience de la Police ».

Source : “Le Matinal”/Abdourhamane Touré

Route des pêches : endetté et informé de la démolition de son bar, un promoteur se suicide

Quand le projet route des pêches tue indirectement ses fils. Un promoteur de bar, qui exerce sur le long de la route des pêches, a mis fin à ses jours, le lundi 29 janvier 2024.

Quand le projet route des pêches tue indirectement ses fils. Un promoteur de bar, qui exerce sur le long de la route des pêches, a mis fin à ses jours, le lundi 29 janvier 2024.

Selon Matin Libre, qui rapporte cette triste nouvelle, l’homme n’en pouvait plus de ses soucis, provoqués, en partie, par ledit projet.

Une source du quotidien Matin Libre confie que le Promoteur s’est suffisamment endetté pour investir, à plusieurs reprises, dans le bar. Seulement voilà, l’homme n’a pas été épargné par les opérations de déguerpissement en raison des travaux entrant dans le cadre du projet route des pêches.

Alors qu’il aurait récemment contracté un nouveau prêt pour relancer son activité, il aurait été informé de la démolition de son bar. « Des agents de la mairie se seraient rendus sur les lieux lundi dernier pour lui notifier que son emplacement serait réduit de quelques mètres ( soit 4mètres) », raconte Matin Libre.

Informé, il « disait avoir marre de la vie, n’avoir personne, aucune issue pour se sortir de cette impasse“ confie la même source contactée par le journal.

Après le départ des agents, le promoteur se serait enfermé pour se passer la corde au cou. Introuvable pendant quelques heures, il a finalement été retrouvé la corde au cou.

L’homme a été transporté d’urgence à l’hôpital, mais a été déclaré mort.

Le promoteur qui menaçait de mettre fin à ses jours ou de s’enfuir a finalement mis sa menace à exécution.

Un acte qui interpelle les gouvernants.

M.A

Natitingou : une enseignante en prison après le décès de plusieurs élèves

A l’Ecole primaire publique Dassagaté de Natitingou, une enseignante n’est plus libre de ses mouvements. L’institutrice a été interpellée suite au décès d’au moins trois élèves.

A l’Ecole primaire publique Dassagaté de Natitingou, une enseignante n’est plus libre de ses mouvements. L’institutrice a été interpellée suite au décès d’au moins trois élèves.

Le lundi dernier, alors qu’elle s’apprêtait à rejoindre son domicile, son véhicule a cogné plusieurs écoliers dans la cour de l’école suite à une mauvaise manœuvre. Trois écoliers sont décédés sur place et d’autres ont été conduits en urgence.

Gardée au commissariat après le drame, l’institutrice a été présentée au Procureur de la République près le Tribunal de première instance de deuxième classe de Natitingou, le vendredi dernier, rapporte Bip Radio.

Selon la même source, le procureur a décidé de la mettre sous mondat de dépôt en attendant son procès.

Affaire à suivre donc …

M.A

Mise à la retraite forcée des fonctionnaires des FDS : Le PCB condamne et alerte sur les conséquences

La décision de mise à la retraite forcée de milliers de fonctionnaires des Forces de défense et de sécurité (FDS) et assimilés du Bénin suscite des contestations dans le rang des formations politiques. Après le Mouvement populaire de libération (MPL), c’est autour du Parti communiste du Bénin (PCB) de condamner sèchement la décision et d’alerter sur les conséquences.

La décision de mise à la retraite forcée de milliers de fonctionnaires des Forces de défense et de sécurité (FDS) et assimilés du Bénin suscite des contestations dans le rang des formations politiques. Après le Mouvement populaire de libération (MPL), c’est autour du Parti communiste du Bénin (PCB) de condamner sèchement la décision et d’alerter sur les conséquences.

La position du Parti communiste du Bénin (PCB) sur la mise à la retraite forcée de milliers de fonctionnaires des Forces de défense et de sécurité (FDS) et assimilés est sans ambages. Pour les Communistes, il s’agit d’une « manœuvre inacceptable et contraire aux intérêts supérieurs du pays ».

« A la dimension de l’effectif des Forces de Défense et de Sécurité de notre pays, il s’agit là d’un véritable cataclysme », avance le PCB..

Les conséquences

Le PCB condamne cette décision et insiste sur les conséquences négatives.

« 1°- Du point de vue politique : C’est plus que jamais la destruction de nos Forces de Défense et de Sécurité au profit des armées étrangères (françaises, rwandaises et autres). C’est la destruction de nos Forces de Défense et de Sécurité par l’effet de démoralisation que cela entraîne au sein de ces Corps Stratégiques. En effet, cette mesure constitue une menace (une épée de Damoclès) à tout Corps habillé qui devrait désormais faire docilité et exécuter toute décision  venant des Autorités Politiques sous peine d’être radié du Corps sous couvert de mise à la retraite d’office.

2°- Du point de vue des effets individuels : Il s’agit d’un désastre psychologique. A moins d’une semaine, on vous annonce votre cessation de service dans un Corps où vous avez passé déjà au moins 20 ans. Et ceci sans aucune préparation psychologique préalable ! Désastre individuel, désastre familial et social. Avec des risques sanitaires graves, de déchéance physique et morale. Tant de zèle et d’attachement au service de la Patrie pour être ainsi remercié en monnaie de singe. Inacceptable ! Cela constitue un découragement au patriotisme, avec un effet inévitable à ne plus se sacrifier au service de la Patrie », prévient le parti dans un communiqué publié le 24 janvier dernier.

Le parti ajoute qu’au « moins des centaines de milliers de personnes sont concernés, si l’on sait les rapports sociaux existant dans notre pays ».

Le PCB dit s’associer à eux dans cette « dure épreuve » et demande à chacun « de faire preuve de force morale pour ne pas sombrer physiquement et moralement ».

Visée politique

Si la décision s’appuie sur les textes de lois n°- 2020-16, 2020-17, 2020-18, 2020-19 tous du 03 Juillet 2020 portant respectivement Statut Spécial des personnels de la Police républicaine, Statut des fonctionnaires des Douanes, Statut Spécial des fonctionnaires des Eaux, Forêts et Chasses, Statut spécial des personnels militaires des Forces armées béninoises, le PCB soutient qu’elle « a une visée politique » d’exclusion, et de règlement des comptes ».

Pour le PCB, la « visée répressive et de règlement des comptes ne fait l’ombre d’aucun doute ».

« Il s’agit ni plus ni moins de réprimer tous fonctionnaires des Forces armées, de police, etc qui à tort ou à raison, ne se sont pas montrés zélés dans l’accomplissement des ordres donnés par le pouvoir autocratique de Patrice Talon » lors des violences électorales.

No comment !!!

M.A

Bénin : voici le décret portant modalités d’octroi d’allocation de mise à la retraite d’office aux fonctionnaires des FDS et assimilés

A travers un décret en date du 09 janvier 2024, le Gouvernement avec à sa tête Patrice Talon a fixé les modalités d’octroi d’allocation de mise à la retraite d’office aux fonctionnaires des Forces de défense et de sécurité et assimilés.

A travers un décret en date du 09 janvier 2024, le Gouvernement avec à sa tête Patrice Talon a fixé les modalités d’octroi d’allocation de mise à la retraite d’office aux fonctionnaires des Forces de défense et de sécurité et assimilés. Lire ci-dessous le décret ou téléchargez le fichier pour plus de détail. Decret-n°2024-008-Modalites-doctroi-dallocation-de-mise-a-la-retraite-doffice-aux-fonctionnaires-FDS-et-assimiles-1 (1)

DÉCRET N° 2024-008 DU 09 JANVIER 2024 portant modalités d’octroi d’allocation de mise à la retraite d’office aux fonctionnaires des Forces de défense et de sécurité et assimilés.

LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, 

CHEF DE L’ÉTAT, 

CHEF DU GOUVERNEMENT, 

Vu la loi n° 90-32 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin, telle que modifiée par la loi n° 2019-40 du 07 novembre 2019;

vu la loi n° 86-14 du 26 septembre 1986 portant code des pensions civiles et militaires, telle que modifiée par la loi n° 2015-19 du 15 novembre 2016;

vu la loi n° 2020-16 du 03 juillet 2020 portant statut spécial des personnels de la Police républicaine;

vu la loi n° 2020-17 du 03 juillet 2020 portant statut spécial des fonctionnaires des Douanes;

vu la loi n° 2020-18 du 03 juil. 2020 portant statut spécial des fonctionnaires des Eaux, Forêts et Chasse ;

vu la loi n° 2020-19 du 03 juillet 2020 portant statut spécial des personnels militaires des Forces armées béninoises, telle que modifiée par la loi n° 2020-28 du 02 septembre 2020;

vu la décision portant proclamation, le 21 avril 2021 par la Cour constitutionnelle, des résultats définitifs de l’élection présidentielle du 11 avril 2021;

vu le décret n° 2023-507 du 10 octobre 2023 portant composition du Gouvernement;

vu le décret n° 2021-574 du 03 novembre 2021 portant attributions, organisation et fonctionnement du Ministère de la Défense nationale;

vu le décret n° 2023-251 du 10 mai 2023 portant attributions, organisation et fonctionnement du Ministère du Cadre de Vie et des Transports, en charge du Développement durable;

vu le décret n° 2023-357 du 12 juillet 2023 portant attributions, organisation et fonctionnement du Ministère de l’Economie et des Finances;

vu le décret n° 2023-372 du 19 juillet 2023 portant attributions, organisation et fonctionnement du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique ;

sur proposition conjointe du Ministre de l’Économie et des Finances, du Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, du Ministre du Cadre de Vie et des Transports, chargé du Développement durable et du Ministre délégué auprès du Président de la République, chargé de la Défense nationale,

le Conseil des Ministres entendu en sa séance du 09 janvier 2024,

DÉCRÈTE

Article premier 

Conformément aux statuts des Forces armées béninoises, de la Police républicaine, de la Douane et des Eaux Forêts et Chasse, tout fonctionnaire des Forces de défense et de sécurité et assimilés mis à la retraite d’office, bénéficie d’une allocation de mise à la retraite d’office, sans préjudice de la jouissance immédiate de la pension de retraite.

La pension de retraite est calculée avec prise en compte des avancements automatiques d’échelon jusqu’à la date de retraite normale en considération du grade acquis à la date de mise à la retraite d’office.

Article 2 

Les modalités d’octroi de l’allocation de mise à la retraire d’office sont fixées comme suit :

1. Durant l’année 1 de sa mise à la retraite d’office: Outre la pension de retraite à laquelle il a droit immédiatement, tout fonctionnaire mis à la retraite d’office bénéficie d’une allocation mensuelle correspondant à la différence mensuelle entre son salaire à la date de sa mise à la retraite d’office hors primes et indemnités de responsabilité et le montant de sa pension. Cette allocation est versée mensuellement jusqu’au 31 décembre de l’année 1 de sa mise à la retraite d’office.

2. Allocation complémentaire après la fin de l’année 1 de mise à la retraite d’office :

tout fonctionnaire dont la date de retraite normale est située dans l’année 2 suivant l’année 1 de sa mise à la retraite d’office, bénéficie d’une allocation complémentaire correspondant au total des différences mensuelles telles que définies ci-dessus, calculé sur le nombre de mois de l’année 2 antérieurs à la date de sa retraite normale;

tout fonctionnaire dont la date de retraite normale est postérieure à l’année 2, bénéficie d’une allocation complémentaire correspondant à la totalité des différences mensuelles de l’année 2 et à la moitié de la totalité des différences mensuelles de la période s’étendant au-delà de l’année 2 jusqu’à la date de sa

retraite normale.

L’allocation complémentaire est versée en une fois à la fin de l’année 1.

Pour l’application des dispositions du présent article, tout mois est considéré comme un mois entier quel que soit la date considérée du mois.

 Article 3 

Le Ministre de l’Économie et des Finances, le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, le Ministre du Cadre de Vie et des Transports, chargé du Développement durable et le Ministre délégué auprès du Président de la République, chargé de la Défense nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’application du présent décret.

Article 4 

Le présent décret, qui prend effet pour compter de la date de sa signature, abroge toutes dispositions antérieures contraires.

Il sera publié au Journal officiel.

Fait à Cotonou, le 09 janvier 2024 

Par le Président de la République, Chef de l’État, Chef du Gouvernement,

Patrice TALON 

Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique,

Alassane SEIDOU 

Le Ministre de l’Economie et des Finances,

Romuald WADAGNI

Ministre d’Etat

Le Ministre délégué auprès du Président de la République, chargé de la Défense nationale,

Fortunet Alain NOUATIN 

Le Ministre du Cadre de Vie et des Transports, chargé du Développement durable,

José TONATO 

Bénin : « veut ou pas », retraite forcée pour Philippe Houndégnon et 314 fonctionnaires de Police, liste

« D’accord ou pas », plusieurs fonctionnaires de Police sont obligés de se mettre en « mode veilleuse ». Ils sont précisément au  total 315 Officiers et sous-Officiers, selon un message Radio Téléphone Porté en date du 19 janvier 2024.

« D’accord ou pas », plusieurs fonctionnaires de Police sont obligés de se mettre en « mode veilleuse ». Ils sont précisément au  total 315 Officiers et sous-Officiers, selon un message Radio Téléphone Porté en date du 19 janvier 2024.

Parmi les flics envoyés en retraite forcée à compter du mois prochain, on peut noter la présence de Louis Philippe Houndégnon.

Perte de son grade de Général, subtilement nommé Secrétaire permanent de la Commission nationale de lutte contre la radicalisation, l’extrémisme violent et le terrorisme, avant d’être plus tard suspendu,…l’ancien patron de la Police nationale sous le régime défunt n’est visiblement pas au bout de ses peines depuis l’arrivée au pouvoir de Patrice Talon. .

Loin du cas Houndégnon, le message radio laisse croire que cette décision vise à restructurer les unités de la Police républicaine.

No comment !

M.A

Ci-dessous la liste des fonctionnaires de la Police contraints à la retraite 

Source Liste : Fraternité  

Libération des individus et moyens roulants saisis : le DGPR met en garde ceux qui utilisent son nom pour faire ça

Avis aux personnes qui utilisent le nom du Directeur général de la Police républicaine (DGPR) pour s’immiscer dans la conduite des affaires judiciaires en sollicitant des faveurs de diverses natures, notamment, la libération des criminels et des moyens roulants gardés pour nécessité d’enquête ! A travers un communiqué en date du lundi 22 janvier 2024, la cellule de communication de la police républicaine met en garde leurs auteurs et invite les commandants d’unité à s’assurer de l’identité de tous les usagers des commissariats de Police qui se feraient passer pour son émissaire, et à les interpeller le cas échéant afin qu’ils répondent de leurs actes devant les juridictions compétentes.

Avis aux personnes qui utilisent le nom du Directeur général de la Police républicaine (DGPR) pour s’immiscer dans la conduite des affaires judiciaires en sollicitant des faveurs de diverses natures, notamment, la libération des criminels et des moyens roulants gardés pour nécessité d’enquête ! A travers un communiqué en date du lundi 22 janvier 2024, la cellule de communication de la police républicaine met en garde leurs auteurs et invite les commandants d’unité à s’assurer de l’identité de tous les usagers des commissariats de Police qui se feraient passer pour son émissaire, et à les interpeller le cas échéant afin qu’ils répondent de leurs actes devant les juridictions compétentes. Lire ci-dessous l’intégralité du communiqué.

COMMUNIQUE

Il revient avec insistance au Directeur général de la Police républicaine que des citoyens, se disant proches de lui, parcourent certaines unités, tentant de s’immiscer dans la conduite des affaires judiciaires en  sollicitant des faveurs de diverses   natures, notamment, la libération des criminels et des moyens roulants gardés pour nécessité d’enquête etc.

Le Directeur général de Police républicaine se désolidarise de ce comportement très peu orthodoxe et met en garde leurs auteurs contre les déconvenues qui en découleraient. Aussi, tient-il  à rappeler que ses instructions à l’endroit des commandants d’unités se donnent dans les formes prescrites par les textes en vigueur et  passent par les canaux officiels.

C’est pourquoi, dans le souci de mettre définitivement un terme à cette pratique, il invite instamment les commandants d’unité à s’assurer de l’identité de tous les usagers des commissariats de Police qui se feraient passer pour son émissaire, et à les interpeller le cas échéant afin qu’ils répondent de leurs actes devant les juridictions compétentes.

                                                                                                                                                                                                  Cotonou, le 22 janvier 2024

                                                                                                                                                                                                   La cellule de communication

Bénin-Concours d’entrée dans l’armée de l’air 2023 : les résultats des test psychotechniques connus

Le test psychotechnique organisé dans le cadre du concours d’entrée dans l’armée de l’air 2023 a livré son ver

Le test psychotechnique organisé dans le cadre du concours d’entrée dans l’armée de l’air 2023 a livré son verdict. Téléchargez le fichier ci-dessous pour découvrir les candidats qui ont réussi à tirer leurs épingles du jeu.

bénin-liste-des-candidats–retenus-au-concours-d’entrée-dans-l’armée-de-l’air