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Adé Fidégnon était l’invité de l’émission « Plateau des législatives « , une initiative de plusieurs médias en ligne, à savoir Reporter Bénin Monde Tv, Icône TV, Daabaru, et Kingo Tv. L’invité de Peace Hounyo, et Sergitos est notamment revenu sur les initiatives et actions prises par le Cadre d’outillage de la jeunesse à l’engagement et au militantisme citoyen (Cojem) à travers les « Conférences citoyennes » pour un scrutin apaisé en janvier 2023.
Pour Adé Fidégnon, la société civile est un « maillon clé dans le processus de démocratisation ». Dans cette lancée, il a confié que le Cadre d’outillage de la jeunesse à l’engagement et au militantisme citoyen (Cojem) entend jouer sa partition pour le bon déroulement des législatives.
D’où la naissance des « conférences citoyennes », un programme qui est sous la coupole du patrimoine social, et qui « vise à sensibiliser, à toucher de l’intérieur, à amener les jeunes des 24 circonscriptions électorales à comprendre que la nation est une et indivisible, et à ne pas se faire manipuler par aucun acteur politique indélicat, et à
Adé Fidégnon était l’invité de l’émission « Plateau des législatives « , une initiative de plusieurs médias en ligne, à savoir Reporter Bénin Monde Tv, Icône TV, Daabaru, et Kingo Tv.
L’invité de Pesce Hounyo, et Sergino Lokossou est notamment revenu sur les initiatives et actions prises par le Cadre d’outillage de la jeunesse à l’engagement et au militantisme citoyen (Cojem) à travers les « Conférences citoyennes » pour un scrutin apaisé en janvier 2023.
Pour Adé Fidégnon, la société civile est un « maillon clé dans le processus de démocratisation ». Dans cette lancée, il a confié que le Cadre d’outillage de la jeunesse à l’engagement et au militantisme citoyen (Cojem) entend jouer sa partition pour le bon déroulement des législatives.
D’où la naissance des « Conférences Citoyennes », un programme qui est sous la coupole du patrimoine social, et qui « vise à sensibiliser, à toucher de l’intérieur, à amener les jeunes des 24 circonscriptions électorales à comprendre que la nation est une et indivisible, et à ne pas se faire manipuler par aucun acteur politique indélicat, et à s’engager de façon patriotique dans le processus électoral », dira t-il.
Outre les « Conférences Citoyennes » pour outiller la jeunesse sur les notions civiques et leurs responsabilités, Adé Fidégnon a laissé entendre que des missions d’observation et autres actions sont en cours pour repousser les causes des violences électorales et pour s’assurer du respect du processus électoral.
En attendant, l’invité de l’émission « Plateau législatives » a appelé la jeunesse à ne pas se laisser manipuler par les intox, le langage haineux. Il a également demandé aux acteurs politiques de prioriser l’intérêt général, appelant à l’harmonie et au dialogue.
Et de conclure par une formule riche en sagesse, « les élections, c’est pour un temps. Le développement, c’est pour toujours ».
C’est l’avis du président du parti Restaurer l’Espoir. Pour Candide Azannaï, les partis politiques et la société encore crédibles doivent boycotter les élections organisées par la Rupture, notamment les législatives de 2023. La raison…
C’est l’avis du président du parti Restaurer l’Espoir. Pour Candide Azannaï, les partis politiques et la société encore crédibles doivent boycotter les élections organisées par la Rupture, notamment les législatives de 2023. La raison…
Le coordonnateur de la Résistance nationale l’a fait savoir dans son courrier adressé à l’Abbé Nathanaël Soedé, Aumônier National des Cadres et Personnalités Politiques, à quelques jours de la rencontre tenue le vendredi 20 mai dernier à Cotonou, sous le thème «Législatives 2023 au Bénin: Des élections libres, transparentes et apaisées, contribution de l’Eglise ».
Expliquant les raisons de son absence à la rencontre initiée par l’Eglise catholique du Bénin, le président du parti Restaurer l’Espoir a martelé « qu’en l’état, les partis politiques sérieux et la Société civile non corrompue et non encore pervertie n’ont aucun rôle à jouer dans la tenue de quelque élection politique nationale en République du Bénin ».
Le « problème n’est pas dans la tenue d’une quelconque élection », fait-il remarquer, ajoutant que « les élections dites législatives projetées pour 2023, n’apporteront aucune solution aux dégâts commis à la démocratie et à l’État droit en République du Bénin par le pouvoir dictatorial dit de la rupture sur instigation de Monsieur Patrice Talon ».
Le président du parti Restaurer l’Espoir soutient que le Bénin est dans la « crise et l’impasse » depuis les législatives 2019. de .
« C’est à ce pouvoir et à lui seul qu’incombe de dire son rôle et sa responsabilité dans le dénouement pacifique….Patrice Talon sait ce qu’il doit faire», lance Candide Azannaï, avant de prévenir «Il le fait ou à défaut, le Peuple l’y contraindra le moment venu ».
Le président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) a échangé avec les acteurs de la société civile ce vendredi 02 octobre 2020 à Cotonou. Emmanuel Tiando n’a pas manqué de réagir aux différentes propositions des Organisations de la société civile au sujet de la présidentielle de 2021, notamment la demande de suppression du parrainage.
Le président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) a échangé avec les acteurs de la société civile ce vendredi 02 octobre 2020 à Cotonou. Emmanuel Tiando n’a pas manqué de réagir aux différentes propositions des Organisations de la société civile au sujet de la présidentielle de 2021, notamment la demande de suppression du parrainage.
Sur cette requête, le président de la Céna a fait remarquer que l’institution qu’il préside n’a pas compétence en la matière.
Tout en reconnaissant la pertinence de certaines propositions, Emmanuel Tiando a rappelé que c’est l’Assemblée nationale qui vote les lois électorales, qui sont ensuite mises en application par la Céna.
Il a invité alors les Organisations de la société civile à plutôt se rapprocher des députés ou à défaut de la Cour constitutionnelle.
Et de marteler : « Nous sommes enfermés dans la loi ».
Les acteurs de la société civile se préoccupent de la bonne tenue des législatives de 2019. Réunis au sein de la plateforme dénommée ‘‘Task force citoyenne de la Cedeao pour la gouvernance, la démocratie et la paix’’, ces derniers ont, à l’occasion d’un point de presse tenu à la maison de la société civile ce jeudi 27 décembre 2018, fait trois propositions majeures au gouvernement et aux différents organes impliqués dans l’organisation du scrutin.
Manassé AGBOSSAGA
Ces
recommandations viennent après la rencontre avec le président de la Commission électorale
nationale autonome (Céna), le lundi 24
décembre dernier. Au cours de cette rencontre, les membres de la
plateforme ‘‘Task force citoyenne de la cedeao pour la gouvernance, la
démocratie et la paix’’, mise sur les fonts baptismaux par le réseau ‘‘Glégbénu’’
ont échangé avec le président de la
Céna, Emmanuel Tiando sur « le point des préparatifs en ce qui
concerne le budget de ces élections », sur « la distribution des
cartes d’électeur » et le « budget du fonctionnement de la Céna ».
Et
selon la déclaration lue par Gustave Assah, les membres de la plateforme ‘‘Task
force citoyenne de la Cédeao pour la gouvernance, la démocratie et la paix’’ sont,
au terme des échanges, repartis avec des
inquiétudes notamment sur les deux derniers points.
Face à ces inquiétudes qui pourraient perturber l’organisation du scrutin, la société civile adresse trois recommandations au gouvernement, à la Céna et au Conseil d’orientation et de supervision de la liste électorale permanente informatisée (Cos Lépi).
« Nous
demandons qu’à l’occasion de l’arbitrage budgétaire du 27 décembre, les
autorités béninoises accordent un regard
favorable au budget des élections afin que des moyens financiers subséquents
soient octroyés à la Céna en vue de lui permettre d’assurer une bonne organisation
desdites élections », plaide, dans un premier temps, la plateforme.
Ensuite,
et ce en attendant la rencontre avec le président du Cos-lépi, annoncée pour ce
vendredi 28 décembre 2018, la société civile recommande que « la
distribution des cartes d’électeurs soit systématique pour tous les béninois en
âge de voter ».
Et
d’ajouter par le biais de Gustave Assah, porte-parole en la circonstance « La
procédure actuellement en cours ou qui a
déjà pris fin le 24 décembre dernier demandant à ceux qui auraient perdu leur carte d’électeur, d’aller se faire
enregistrer est inappropriée. Combien sont ils les béninois qui disposent
encore de leur carte d’électeur à ce jour ? Combien sont-ils à avoir
compris qu’ils devraient se faire enregistrer à ce propos ? Combien de
béninois comprendront l’exigence qui leur est faite de débourser l’argent avant
de se faire enregistrer pour avoir perdu leur carte d’électeur ?
Nous
voulons pour notre pays des élections crédibles, transparentes et inclusives …Nous
faisons donc le plaidoyer pour que de nouvelles cartes estampillées législatives
21019 soient rendues disponibles et distribuées.
S’il
le faut, nous demanderons à tous nos compatriotes
de cotiser des fonds et solliciter l’appui de nos partenaires au développement
pour financer le volet du budget de nos élections si tant est que, c’est pour
des questions de disponibilité budgétaire que ce problème devrait se poser ».
La
dernière recommandation se rapporte à la convocation du corps électoral. Ici, c’est
le chef de l’Etat qui est indexé.
« Nous
demandons avec tout le respect dû à son rang au président de la République chef, Mr Patrice Talon et à
son gouvernement de prendre la mesure de la situation, afin que toutes les
dispositions idéales soient prises aux fins de la convocation du corps électoral
avant la fin de cette année 2018, histoire de permettre à la Céna de vite mettre
en branle le déroulement de son chronogramme».
Patrice
Talon, président de la République, Emmanuel Tiando, président de la Céna,
Janvier Yahouédéhou, président du Cos-Lépi, tous les premiers concernés apprécieront !