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Au Togo, le Gouvernement fixe un délai aux promoteurs d’auto-écoles non agréés pour se mettre en règle.
Au Togo, le Gouvernement fixe un délai aux promoteurs d’auto-écoles non agréés pour se mettre en règle.
Par le biais d’un communiqué en date du 19 avril, conjointement signé par le ministre délégué chargé de l’enseignement technique et de l’artisanat, Kokou Eké Hodin, et du ministre des transports routiers, aériens et ferroviaires Affo-Atcha Dedji, le Gouvernement togolais rappelle que les promoteurs d’auto-écoles non agréés « ont jusqu’au 30 juin 2022 pour au plus tard pour régulariser leur situation et se conformer à la règlementation en vigueur », « sous peine de sanctions avec la saisie du matériel et la fermeture pure et simple desdits établissement », précise le communiqué.
COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU 16 MARS 2022
Le conseil des ministres s’est réuni ce mercredi 16 mars 2022 sous la présidence de Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE, Président de la République.
Le conseil a examiné deux avant-projets de loi, deux projets de décret et écouté deux communications.
Au titre des avant-projets de loi,
Le conseil a examiné et adopté l’avant-projet de loi modifiant la loi n° 2020-009 du 10 septembre 2020 relative à l’identification biométrique des personnes physiques au Togo.
La présente loi de modification a notamment pour objet de renforcer le cadre de l’utilisation du numéro d’identification unique (NIU) et de favoriser la mise en œuvre du registre social des personnes et des ménages.
Elle réorganise également les missions de l’Agence nationale de l’identification (ANID) dans le but de lui permettre d’enregistrer les données nécessaires pour la gestion de la base de données du registre social des personnes et des ménages et de participer à la mise en œuvre des programmes venant renforcer la résilience et l’inclusion des populations.
Le conseil a examiné et adopté l’avant-projet de loi modifiant la loi n° 2018-026 du 07 décembre 2018 sur la cybersécurité et la lutte contre la cybercriminalité.
L’objet de cette loi de modification est de clarifier les compétences de l’Agence nationale de la cybersécurité (ANCy) en ce qui concerne la qualification des outils et acteurs de la cybersécurité.
Cette loi vient préciser le rôle de l’ANCy dans un contexte d’évolution de la menace en matière de cybersécurité.
Au titre des projets de décret,
Le conseil a examiné et adopté le projet de décret portant approbation du plan national d’attribution des bandes de fréquences radioélectriques (PNAF).
Le présent projet de décret a pour objet l’approbation du nouveau Plan national d’attribution des bandes de fréquences en République togolaise afin de tenir compte des recommandations de la conférence mondiale des radiocommunications de 2019 (CMR-19) qui portent notamment sur les communications électroniques et le développement des réseaux mobiles de cinquième (5ème) génération (5G).
Le conseil a ensuite examiné et adopté le projet de décret portant attributions, organisation et fonctionnement du Fonds national de la finance inclusive (FNFI).
Le présent décret fixe les attributions et détermine les modalités d’organisation et de fonctionnement du Fonds national de la finance inclusive.
Son adoption permettra au FNFI, à travers ses attributions redéfinies et étendues, de favoriser l’accès d’un plus grand nombre aux services financiers et contribuer notamment à l’atteinte des objectifs de l’axe 1 de la vision 2025 dédié au « renforcement de l’inclusion et l’harmonie sociales et la consolidation de la paix ».
Au titre des communications,
Le conseil a écouté une communication relative à la politique forestière du Togo ; présentée par le ministre de l’environnement et des ressources forestières.
La présente communication a pour objet de présenter la politique forestière du Togo qui permettra à notre pays de disposer d’un outil de planification forestière à la hauteur des ambitions du pays en matière de conservation et d’extension du couvert forestier national.
Le conseil a écouté une communication sur à la situation actuelle de la pandémie à la Covid-19 ; présentée par le coordonnateur de Coordination Nationale de Gestion de la Riposte à la COVID-19
Cette communication a permis de sensibiliser sur l’évolution de la pandémie et de la campagne de vaccination. Le conseil a saisi cette opportunité pour féliciter l’ensemble des acteurs et la population et a réitéré son appel au respect strict des mesures barrières et à une adhésion à la campagne de vaccination en cours, seuls moyens d’éviter une résurgence des contaminations.
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L’assassinat du président haïtien nous rappelle que partout dans le monde, et particulièrement en Afrique, certains dirigeants se sont vus ôter la vie de manière brutale.
L’assassinat du président haïtien nous rappelle que partout dans le monde, et particulièrement en Afrique, certains dirigeants se sont vus ôter la vie de manière brutale.
Patrice Lumumba (RDC, 1961)Patrice Lumumba est devenu Premier ministre du Congo le jour de l’indépendance, le 30 juin 1960. Le 17 janvier 1961, au début de la nuit, il est assassiné au Katanga avec deux de ses deux compagnons. Ils ont eté exécutés par un peloton de la l’armée katangaise commandé par un officier mercenaire belge. Patrice Lumumba est mort à 35 ans.
Sylvanus Olympio (Togo, 1963)Il était une figure importante dans la lutte pour l’indépendance du Togo. Il devient président lorsque le pays accède à l’indépendance le 27 avril 1960. Moins de trois ans plus tard, dans la nuit du 12 au 13 janvier 1963, Sylvanus Olympio est assassiné près de l’ambassade américaine où il aurait tenté de se réfugier.
John F. Kennedy (Etats-Unis, 1963)Le 22 novembre 1963, John F. Kennedy est en visite préélectorale à Dallas, dans l’Etat du Texas. Son cortège traverse la ville. Alors que sa limousine décapotée prend la voie du Dealey Plaza, le président Kennedy est atteint de deux balles tirées par derrière. Il est environ 12h30 lorsque l’événement se produit. Il décède sur la route de l’hôpital à l’âge de 46 ans.
Thomas Sankara (Burkina Faso, 1987)Certains le désignent comme le « Che Guevara africain ». Thomas Sankara est arrivé au pouvoir par un putsch le 4 août 1983, à l’âge de 33 ans. Quatre ans plus tard, le 15 octobre 1987, lui et douze de ses compagnons sont assassinés par un commando au cours d’une réunion. Blaise Compaoré, son frère d’arme, lui succède à la tête du pays.
Samuel Doe (Liberia, 1990)En décembre 1989, le Front national patriotique du Liberia (NPFL) du chef rebelle Charles Taylor déclenche un conflit pour renverser le président Samuel Doe. La rébellion dissidente de Prince Johnson prend le contrôle de la capitale Monrovia en juillet 1990. Samuel Doe est fait prisonnier par les hommes de Johnson et torturé à mort le 9 septembre 1990.
Melchior Ndadaye (Burundi, 1993)Premier président hutu démocratiquement élu au Burundi, Melchior Ndadaye est assassiné le 21 octobre 1993, lors d’un coup d’État militaire qui a plongé le pays dans la guerre civile. Cette guerre, qui a sévi jusqu’en 2006, a fait 300.000 morts. Sa mort est survenue seulement quatre mois après son accession au pouvoir.
Laurent-Désiré Kabila (RDC, 2001)La carrière présidentielle de Laurent-Désiré Kabila aura été de courte durée : quatre ans. Il est assassiné le 16 janvier 2001 par un de ses gardes. On ignore toujours qui a commandité l’assassinat. L’ex-rebelle, qui avait ravi le pouvoir à Mobutu en 1997, est remplacé par son fils, Joseph Kabila, qui a dirigé la RDC de 2001 à 2019.
João Bernardo Vieira (Guinée-Bissau, 2009)João Bernardo Vieira, dit « Nino Viera », est tué à sa résidence officielle par des hommes armés le 2 mars 2009. A 69 ans, il avait totalisé 31 ans de pouvoir. Il a accédé à la tête de l’exécutif une première fois en novembre 1980 par un coup d’Etat militaire avant d’être chassé par une rébellion en 1999 et de se faire réélire en 2005.
Mouammar Kadhafi (Libye, 2011)Après 42 ans de règne sans partage sur la Libye, Mouammar Kadhafi est tué en 2011 par une insurrection libyenne qui s’est déclenchée dans la ville de Benghazi. Le « guide » autoproclamé de la révolution libyenne est âgé de 69 ans lorsqu’il est tué par les insurgés. Kadhafi est arrivé au pouvoir en 1969 à la suite d’un coup d’État contre la monarchie.
Idriss Déby Itno (Tchad, 2021)Idriss Déby Itno, qui a passé 30 ans au pouvoir, est mort le 20 avril 2021. Difficile d’affirmer s’il s’agit d’un assassinat, mais selon la version officielle, il aurait perdu la vie des suites de blessures lors des combats contre des rebelles venus du Nord du pays. Avant lui, le 13 avril 1975, François Tombalbaye, le tout premier président, fut assassiné lors d’un coup d’Etat militaire.
Ce dernier serait armé d’un AKM quand il aurait aperçu une barque chargée de vivres en provenance du Togo. Il tente alors d’arrêter la barque et le béninois qui avait rempli sa barque de vivres provenant du Togo. Mais par maque de prudence, le militaire tombe dans l’eau et semble avoir des difficultés à la nage.
C’est Frissons Radio qui rapporte le drame. Selon nos confrères de la 95.2, un militaire togolais est mort noyé en pourchassant une barque béninoise chargée de sac de riz, il y a quelques jours, non loin de la frontière Bénin/Togo.
Ce dernier serait armé d’un AKM quand il aurait aperçu une barque chargée de vivres en provenance du Togo. Il tente alors d’arrêter la barque et le béninois qui avait rempli sa barque de vivres provenant du Togo. Mais par maque de prudence, le militaire tombe dans l’eau et semble avoir des difficultés à la nage.
Les piroguiers se lancent alors à sa recherche sans succès. Finalement, son corps est retrouvé flottant à la surface du fleuve, repêché par les riverains et les pécheurs.
Touché par la foudre juste avant l’atterrissage à Lomé, la capitale du Togo, l’avion était incapable de redécoller.
Touché par la foudre juste avant l’atterrissage à Lomé, la capitale du Togo, l’avion était incapable de redécoller.
C’est une cérémonie bien particulière qui a eu lieu le 20 juin dernier à Lomé, au Togo, autour d’un avion de ligne de la compagnie Ethiopian Airlines, raconte Air Live, relayé par Slate. L’appareil a été exorcisé à l’aéroport. Effectuant la liaison entre New York et Lomé, comme il en a l’habitude, l’avion – un Boeing 787 – a été frappé par la foudre juste avant son atterrissage dans la capitale togolaise. Plus de peur que de mal pour les passagers (seul un technicien a été blessé), l’appareil s’est posé normalement, mais c’est après que les choses se sont compliquées.
D’après le récit de nos confrères, le Boeing était par la suite incapable de redécoller, raison pour laquelle des prêtres vaudous sont venus l’exorciser dès le lendemain matin. Grâce à des images tournées sur le tarmac, l’on voit les prêtres vaudous asperger un liquide sur la carrosserie du Boeing. Selon le quotidien algérien El Watan également cité par nos confrères, il s’agirait de jeter de l’eau et de l’alcool afin d’apaiser la colère du Dieu local, Hiébiésso. Dans la langue parlée dans le sud du Togo, le mina, il est considéré comme le « Dieu du tonnerre ».
Apaiser la colère
Finalement, le président de l’Agence nationale de l’aviation civile togolaise, Lotta Gnama, a indiqué que des réparations avaient été effectuées sur le Boeing 747 et qu’il était prêt à redécoller, les paratonnerres présents à l’avant de l’appareil ont limité les dégâts. Mais ce dernier a assisté au rituel vaudou et avoué que « tout avait été fait pour aider les prêtres ». Sur France 24, il a précisé la raison de leur présence : « Ils ont leurs traditions. Ils nous ont dit que dans des cas comme ça, il faut venir faire une petite cérémonie pour exorciser l’endroit et que ça ne se répète plus (…) Imaginez-vous que je dise non ? Qu’est-ce qu’ils vont dire ? Que j’ai déjà dit non et que la foudre va retomber, ça sera ma responsabilité. »
Le président de la confédération des prêtres traditionnels du pays, Togbé Assiobo Nyagblondjor, a confirmé ce récit : « Quand la foudre frappe, il est de notre devoir, pour le bien du peuple, d’identifier la zone touchée par ce phénomène naturel et de la purifier. » L’acte, aussi symbolique soit-il, a sûrement permis de rassurer toute la population. La foudre, synonyme de colère, doit être apaisée au plus vite selon les croyances locales.
Un Béninois vivant au Togo n’est plus libre de ses mouvements depuis quelques jours. Agé de 57 ans, ce dernier, marabout et tradipraticien a été interpelé dans une affaire d’escroquerie et monnayage. Selon la police togolaise, il a été arrêté après une du sieur Ablam.
Un Béninois vivant au Togo n’est plus libre de ses mouvements depuis quelques jours. Agé de 57 ans, ce dernier, marabout et tradipraticien a été interpelé dans une affaire d’escroquerie et monnayage.Selon la police togolaise, il a été arrêté après une du sieur Ablam.
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« Le nommé Moustafa, 57 ans, de nationalité béninoise, marabout et tradipraticien, s’est fait remettre, par le plaignant, la somme de dix millions (10 000 000) F CFA pour la multiplier par des procédés mystiques. Après les rituels prévus pour la circonstance, la victime a reçu une caisse avec pour instruction ferme de ne l’ouvrir qu’après trois (03) jours. La promesse qui lui était faite était qu’il y trouverait son argent multiplié », explique la Police nationale du Togo.
Mais après les trois jours, en lieu et place de l’argent, la victime découvre un python. Le marabout béninois prend alors la fuite avant d’être choppé dans une autre localité du pays.
« A l’issue des trois (03) jours, il a ouvert ladite caisse et, en lieu et place de l’argent escompté, il y a plutôt découvert un gros python vivant. Ayant constaté que sa victime avait décelé sa supercherie, le mis en cause a pris la clé des champs et s’est réfugié à Kpalimé où il a été interpellé », renseigne le communiqué de la Police.
Interpellé, il reconnaît avoir effectivement reçu la somme de 10 000 000 F CFA aux fins de multiplication, mais soutient que l’argent s’est transformé en python parce que la victime n’a pas respecté scrupuleusement le rituel qui consistait à fournir une photo de l’un de ses enfants, destiné à mourir à l’issue de la cérémonie.
« Le Procureur de la République, saisit, a instruit de déférer le plaignant pour faux monnayage et le marabout, mis en cause, pour escroquerie », indique la Police nationale du Togo.
Au Togo, Djimon Oré passera le reste de ses jours en prison. Du moins, pendant deux ans. . Interpellé le 29 avril et gardé au Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC), avant d’être présenté au procureur de la République et au juge d’instruction, l’ancien ministre togolais de la Communication a été condamné par la justice togolaise.
Au Togo, Djimon Oré passera le reste de ses jours en prison. Du moins, pendant deux ans. . Interpellé le 29 avril et gardé au Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC), avant d’être présenté au procureur de la République et au juge d’instruction, l’ancien ministre togolais de la Communication a été condamné par la justice togolaise.
Djimon Oré a écopé de deux ans de prison ferme pour outrage aux autorités et diffusion de fausses nouvelles alors qu’il était gardé à la prison civile de Lomé depuis le 14 mai.
Il a été interpellé après des propos tenus sur une radio privée locale, alors que le pays commémorait le 61e anniversaire de son accession à la souveraineté internationale. « Le bilan en termes de sang versé, en termes de compatriotes togolais assassinés par la France-Afrique à travers le régime barbare, le régime d’oligarchie dépasse de loin le nombre de ceux qui sont tombés au Rwanda et on parle de génocide rwandais. S’il faut faire de comparaison, c’est ça le bilan de l’indépendance du Togo de 1963 à nos jours. Plus de morts que le nombre du génocide rwandais… On a une armée d’occupation, qui n’est pas une armée du peuple, mais qui est entretenue et payée par les ressources des Togolais. C’est une armée de la France-Afrique… Notre pays le Togo est un camp de concentration nazis, ce n’est plus un territoire indépendant », avait-il déclaré, avant d’appeler à « l’auto-détermination pour reconquérir l’indépendance qui passera par l’ouverture de la période de transition, pour sauver le Togo », rappelle financialafrik.
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Djimon Oré a été nommé ministre de la Communication en 2010 dans le cadre d’un accord politique signé en mai de la même année entre le parti du président Faure Gnassingbé et l’Union des forces du changement (UFC) de l’ex-opposant historique Gilchrist Olympio. Il avait ensuite tourné dos à son mentor dont il était très proche après son éviction du gouvernement trois années plus tard.
Après son départ de l’UFC, il a créé en 2014, le Front des patriotes pour la démocratie.
Le président togolais confie les clés de la primature à une femme. Pour cause, Faure Gnassingbé a nommé ce lundi 28 septembre 2020, Victoire Tomegah Dogbe au poste de premier-ministre.
Le président togolais confie les clés de la primature à une femme. Pour cause, Faure Gnassingbé a nommé ce lundi 28 septembre 2020, Victoire Tomegah Dogbe au poste de premier-ministre.
Cette nomination historique intervient après le départ de Komi Selom Klassou.
Selon le magazine panafricain Jeune Afrique, Victoire Tomegah Dogbe est âgée de 60 ans et a fait ses preuves au Programme des Nations unies pour le développement (Pnud).
Outre la nomination de cette dernière, le président Faure Gnassingbé a nommé, ce lundi, par décret présidentiel, Sandra Ablamba Ahoefavi Johnson au poste de Ministre, Secrétaire Général de la Présidence de la République.