Projet de construction d’un échangeur au Carrefour Vêdoko : important communiqué du ministre des Transports à l’endroit des riverains

Communiqué du Ministre du Cadre de vie et des Transports, chargé du Développement Durable relatif à la libération des emprises du projet de construction d’un échangeur au Carrefour Vêdoko par le déplacement des réseaux d’électricité, d’eau et de télécommunication qui y sont situés.

Communiqué du Ministre du Cadre de vie et des Transports, chargé du Développement Durable relatif à la libération des emprises du projet de construction d’un échangeur au Carrefour Vêdoko par le déplacement des réseaux d’électricité, d’eau et de télécommunication qui y sont situés.
▶️ Plus de détails dans le communiqué ci-joint 👇🏾

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Tribunal de Cotonou : Deux conducteurs de ‘‘Bénin Taxi’’ jugés pour …

Deux conducteurs de ‘‘Bénin Taxi’’ étaient à la barre mardi 20 juin dernier au Tribunal de Cotonou. Ils sont jugés pour non-respect du contrat signé avec le  Centre de partenariat et d’expertise pour le développement durable  (CEPED).

Deux conducteurs de ‘‘Bénin Taxi’’ étaient à la barre mardi 20 juin dernier au Tribunal de Cotonou. Ils sont jugés pour non-respect du contrat signé avec le  Centre de partenariat et d’expertise pour le développement durable  (CEPED).

02 conducteurs de  »Bénin Taxi » ont comparu au tribunal  de Cotonou, mardi dernier pour une affaire qui remonte à 2017-2018. Selon le récit de Bip radio, ils sont jugés pour non respect du contrat qui les lie au CEPDED, en charge de la gestion du projet Bénin Taxi.

Lors du procès, le représentant de l’entreprise gestionnaire a expliqué que les deux accusés avaient déjà des arriérés  quelques mois après le démarrage du projet. Il a rappelé qu’ils devraient verser la somme de 30.000 Fcfa par mois pendant 05 ans.

Il a indiqué que les deux conducteurs n’ont pas pu honorer leur engagement sur une année et ont préféré prendre la tangente, abandonnent leurs véhicules.

Ils seront plus tard interpelés. Mais à la barre, les deux mis en cause ont rejeté les accusations.

Le dossier a été renvoyé en juillet.

M.A

Retrait de permis biométrique : Important communiqué du DG ANATT aux candidats admis

Avis aux candidats admis aux examens de permis de conduire ! A travers un communiqué en date du 08 juin, le Directeur général de l’Agence nationale des transports terrestres (ANATT), Richard Dada invite ces derniers à se rapprocher des annexes départementales de composition afin de procéder aux retraits de leur permis biométrique.

Avis aux candidats admis aux examens de permis de conduire ! A travers un communiqué en date du 08 juin, le Directeur général de l’Agence nationale des transports terrestres (ANATT), Richard Dada invite ces derniers à se rapprocher des annexes départementales de composition afin de procéder aux retraits de leur permis biométrique.

Selon le communiqué, le retrait concerne les admis du mois d’Avril de 2023 et les admis des périodes antérieures (2021, 2022, 2023) qui n’ont pas pu retirer leurs permis de conduire.

Lire le communiqué ci-dessous pour plus de détails.

M.A

Peut être une image de talon de billet et texte qui dit ’ANaTT TRANSPORTS DU tt.coos KOUGBLENOU 000457 ANaTT/DTIT/DAF/SA Cotonou, COMMUNIQUE Directeur Général de l'Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT) invite candidats admis aux examens permis conduire annexes départementales de composition afin procéder aux retraits de leur permis biométrique. concerne 2023 les admis des périodes antérieures (2021, 2022, 2023) qui n'ont pas pu retirer leurs permis de conduire. Pour plus d'amples informations, prière contacter les numéros ci-après: Annexe Cotonou: 97988794 Annexe de Porto-Novo: Annexe Bohicon 95285357 Annexe Ouidah: 95288843 Lokossa 99914434 -Annexe de Kandi 97725247 Annexe de Nattingou: :97487235 Parakou 67813961 Chef service Permis 97535543 Général Directeur Général ichard DADA’

Voitures et motos électriques au Bénin : Richard Boni Ouorou évoque les limites, avantages et fait des propositions

L’utilisation de voitures et de motos électriques dans notre pays qui malheureusement est confrontée à l’instar des pays africains a une production très limitée d’énergie électrique, peut être limitée tenant compte de plusieurs facteurs dont :

Les Motos électriques débarquent à Cotonou au grand bonheur des populations surtout des zemidjans qui pour les uns y ont trouvé une bouée de sauvetage à bien d’égards… Ces motos qui participent à assurer la transition écologique prennent de la place dans les débats et malgré les nombreux avantages liés à leur utilisation justifie qu’on interroge leurs incidences socio-économiques. Des motos électriques dans des Etats sans grandes indépendances énergétiques pour quelle plus-value et quelles dispositions politiques prend t-on face à cette floraison d’offres de moyens de transports électriques par plusieurs sociétés étrangères pour protéger les communautés? Reporter Bénin Monde a posé quelques questions à l’économiste et Politologue Richard Boni Ouorou ….

Quels sont selon vous, les limites à l’utilisation de voitures et motos électriques dans des pays sous-développés comme le Bénin, sans électricité permanente?

L’utilisation de voitures et de motos électriques dans notre pays qui malheureusement est confrontée à l’instar des pays africains a une production très limitée d’énergie électrique, peut être limitée tenant compte de plusieurs facteurs dont :

L’absence d’infrastructures de recharge par exemple. Car, vous n’êtes pas sans savoir que Les voitures et les motos électriques nécessitent des infrastructures de recharge pour être utilisées efficacement. Or, comme je le disais, dans nos pays sous-développés, il y a une absence d’infrastructures de recharge, ce qui pourrait rendre difficile la recharge des véhicules électriques et limiter leurs utilisations à temps plein.

Le coût élevé des véhicules électriques : Les voitures et les motos électriques peuvent être plus chères que leurs homologues à essence. Dans les pays sous-développés, où les budgets sont souvent limités, l’achat de véhicules électriques peut être prohibitif pour de nombreuses personnes. C’est peut-être pour ces raisons, que ces engins sont proposés chez nous avec un relatif aménagement des conditions de paiements pour influencer le choc pour les clients de l’impact des couts initiaux d’acquisition.

La qualité de l’électricité : Dans nos pays sous-développés, l’électricité n’est pas toujours fiable et peut être interrompue de manière sporadique. Cela peut rendre difficile la recharge des véhicules électriques, car les interruptions de courant peuvent endommager les batteries et par répétition immobiliser l’engin sur le moyen terme.

L’accès limité à l’électricité : Dans les zones rurales de nombreux de nos pays sous-développés, l’accès à l’électricité peut être limité voire inexistant. Sans accès à l’électricité, il est impossible de recharger les véhicules électriques. Ce qui d’ailleurs, restreint le marché.

Pour faire court, l’utilisation de voitures et de motos électriques dans des pays sous-développés sans électricité permanente comme le nôtre, peut être limitée par l’absence d’infrastructures de recharge, le coût élevé des véhicules électriques, la qualité de l’électricité et l’accès limité à l’électricité.

Le Bénin étant considéré comme pays pauvre et les béninois aussi, ces engins peuvent-ils exercer une pression sur le portefeuille des clients compte tenu du coût élevé de l’électricité ?

Le coût de plus en plus élevé de l’électricité peut être un facteur important à considérer par les clients dans les pays sous-développés et au Bénin en particulier. Dans de nombreux pays à l’instar de notre pays, les tarifs d’électricité peuvent être élevés en raison de la production limitée d’énergie et des coûts élevés d’infrastructures. Cela peut rendre l’utilisation de véhicules électriques plus coûteuse que l’utilisation de véhicules à essence.

Cependant, il est important de noter que les coûts de fonctionnement des véhicules électriques sont généralement inférieurs à ceux des véhicules à essence. Les véhicules électriques ont des coûts de maintenance inférieurs en raison de la simplicité de leur système de propulsion électrique, et l’électricité est souvent moins chère que les carburants fossiles dans de nombreux pays. Ainsi, les client.e.s peuvent voir des économies pour ceux qui sont patient.e.s sur le long terme en utilisant des véhicules électriques malgré les coûts initiaux plus élevés.

Et je pense d’ailleurs, que nos gouvernements et les autorités devraient être encouragé.e.s à mettre en place des politiques et des programmes pour encourager l’utilisation de véhicules électriques et rendre leur utilisation plus accessible et abordable pour les personnes à faible revenu compte tenu du faible coût de leurs maintenances comparées à leurs homologues à essence. Par exemple, en mettant en place des programmes qui comportent des incitations fiscales pour les entreprises qui voudront réaménager leurs parcs automobiles, des subventions pour l’achat de véhicules et motos électriques personnels ainsi que des programmes de financement qui peuvent contribuer à réduire la pression des coûts initiaux pour les clients.

Pour résumer, le coût élevé de l’électricité peut avoir un impact sur le portefeuille des clients au Bénin ou ailleurs dans les pays sous-développés, mais les avantages à long terme des véhicules électriques peuvent compenser ces coûts initiaux plus élevés. Nous devons donc encourager nos dirigeants béninois pour que les politiques et les programmes gouvernementaux aident à rendre l’utilisation des véhicules électriques plus abordable et accessible surtout pour les personnes à faible revenu.

Étant donné que les batteries de recharges sont uniquement disponibles auprès des vendeurs de ces engins et non ailleurs et sans concurrence, quels instruments législatifs nos députés de la 9 eme législature, doivent-ils mettre en place pour protéger les utilisateurs en cas de faillite des sociétés qui commercialisent ces engins. Puisque vous dites que le marché de vente des motos et voitures électriques est petit, donc on est en droit d’envisager que s’ils ne peuvent élargir leur marché, ils peuvent se décourager et plier bagage ?

D’abord, il y a une différence entre interrompre une activité commerciale pour mauvais rendement et faire faillite. Mais dans les deux cas, il faudra penser aux clients et en tant que personnes ressources, je me fais le plaisir de vous proposer quelques pistes.

La protection des utilisateurs de voitures et de motos électriques en cas de faillite des sociétés qui commercialisent ces engins est un enjeu important qui doit interpeler nos honorables députés pour qu’ils réfléchissent a protéger dans le cadre de leur mandat, d’éventuels victimes en mettant en place des instruments législatifs qui serviraient en cas de faillite de ces sociétés. En voici quelques suggestions :

Obligation de garantie : Les députés peuvent prendre des lois pour exiger que les vendeurs de voitures et de motos électriques offrent une garantie obligatoire pour les batteries de recharges. Cette garantie doit être transférable à un tiers en cas de vente de la voiture ou de la moto électrique. Cela protégera les utilisateurs pendant son exercice et même en cas de faillite de la société qui a vendu le véhicule électrique.

Obligation de dépôt de garantie : Les députés peuvent également exiger par voie législatifs bien sûr, que les vendeurs de voitures et de motos électriques déposent une garantie financière auprès d’un organisme de réglementation. Cette garantie peut être utilisée pour rembourser les utilisateurs en cas de faillite de la société qui a vendu le véhicule électrique.

Réglementation des vendeurs : Les députés ont la possibilité d’établir des règles pour réglementer les vendeurs de voitures et de motos électriques. Ces règles peuvent inclure des exigences en matière de capitaux propres, de formation du personnel, de transparence financière, d’obligation de service après-vente et d’autres dispositions pour protéger les utilisateurs.

Création d’un fonds de garantie : Les députés peuvent également envisager la création d’un fonds de garantie pour les utilisateurs de voitures et de motos électriques. Ce fonds peut être financé par une taxe sur les ventes de véhicules électriques ou par d’autres moyens. Le fonds pourra-t-être utilisé pour rembourser les utilisateurs en cas de faillite de la société qui a vendu le véhicule électrique.

Il est donc urgent et nécessaire, que les députés pensent dès lors qu’une activité commerciale émerge et commence à prendre de l’ampleur, à mettre en place des instruments législatifs pour protéger et limiter les effets sur d’éventuelles victimes et sur l’économie de façon générale afin de prévenir l’avenir et les dégâts en cas de faillite ou cessation brusque d’activité des entreprises quelques soient les domaines d’activité.

Une loi spéciale sur les assurances pour garantir le dédommagement des utilisateurs en cas de rupture de contrat par les sociétés commerçantes est-elle envisageable?

Il est possible de créer une loi spéciale sur les assurances, si elle n’existe pas déjà, pour garantir le dédommagement rapide des utilisateurs en cas de rupture de contrat par les sociétés commerçantes de voitures et de motos électriques. Cette loi pourrait exiger que les sociétés de vente de voitures et de motos électriques souscrivent une assurance pour couvrir les coûts de réparation ou de remplacement des batteries de recharges en cas de faillite ou de rupture de contrat. Mais parlant d’assurance, une loi pourrait exiger des sociétés commerçantes, qu’elles exigent de leurs client.e.s que ces dernier.e.s souscrivent à une assurance sur les équipements avant la mise en consommation. Cela réduirait le fait que par manque de moyen et de pièces de rechange, notre pays devienne un cimetière de véhicules et motos électriques.

La première assurance pourrait être financée par une taxe ou une contribution obligatoire sur les ventes de véhicules électriques, ou par une prime payée par les sociétés de vente de voitures et de motos électriques elle-même. Les utilisateurs de voitures et de motos électriques pourraient alors être protégés en cas de faillite ou de rupture de contrat, et leur dédommagement pourrait être garanti par l’assurance.

Cependant, la mise en place d’une telle loi nécessite une analyse minutieuse des coûts, des avantages et des implications pour les différentes parties prenantes. Il est important de veiller à ce que les coûts ne soient pas excessifs pour les sociétés de vente de voitures et de motos électriques, et ceci est très important afin de ne pas décourager l’entrée de nouveaux acteurs sur le marché. De même, il est important de veiller à ce que les primes d’assurance ne soient pas excessives pour les utilisateurs de voitures et de motos électriques, afin de ne pas décourager l’adoption de ces véhicules et freiner la révolution que ça induirait.

Pour finir, dites-nous ce que pourriez proposer pour améliorer la relation entre client et commerçant afin de contribuer à cette révolution, donner confiance aux utilisateurs et promouvoir le domaine des véhicules et motos électriques dans notre pays ?

Concernant de potentielles propositions pour améliorer et rendre lucratif le secteur des véhicules électriques, du point de vue législatif par exemple, plusieurs instruments et mécanismes pourraient être proposés pour renforcer la confiance dans la communauté des utilisateurs de véhicules et motos électriques chez nous je veux dire au Bénin dont voici quelques exemples non-exhaustifs:

La mise en place de normes de sécurité et de qualité : des lois et réglementations pourraient imposer des normes strictes pour la sécurité et la qualité des véhicules et motos électriques vendus sur le marché béninois. Les fabricants dans l’avenir et les distributeurs déjà présents, devraient satisfaire à ces normes avant de pouvoir commercialiser leurs produits.

La création de centres de certification : Le gouvernement pourrait mettre en place des centres de certifications indépendants pour tester et certifier la sécurité et la qualité des véhicules et des motos électriques. Ces centres pourraient également évaluer la conformité des produits aux normes en vigueur.

Mettre en place un système de réglementation : On pourrait créer des organismes de réglementation pour superviser le marché des véhicules et motos électriques. Ces organismes pourraient établir des règles de conduite pour les fabricants s’il y en a, les distributeurs et les utilisateurs, et veiller à leur respect.

Des incitations fiscales pour les investissements dans les technologies propres : le gouvernement pourrait offrir des incitations fiscales pour encourager les entreprises à investir dans les technologies propres, y compris les véhicules et motos électriques afin de créer un nouveau marché dynamique et de nouvelles habitudes de consommation pour l’évolution de notre économie.

Des programmes de formation et d’éducation : le gouvernement pourrait mettre en place des programmes de formation et d’éducation pour les utilisateurs de véhicules et motos électriques, afin de leur apprendre les pratiques de conduite sûres et responsables.

La promotion de la recherche et du développement : le gouvernement pourrait encourager la recherche et le développement de nouvelles technologies de véhicules et motos électriques en offrant des subventions et des incitations fiscales pour les entreprises qui investissent dans ce domaine.

J’ai foi qu’en mettant en place ces instruments et ces mécanismes, un gouvernement, aux ambitions compatibles avec les défis de notre époque, pourrait contribuer à renforcer la confiance dans la communauté des utilisateurs de véhicules et motos électriques et promouvoir le secteur pour en tirer, au bénéfice du pays tout entier, les retombées économiques, financières et écologiques.

Merci pour l’opportunité d’une telle interview sur un sujet d’actualité mais qui manque d’information pour le public. Prenez soin de vous et transmettez mes salutations à tous mes compatriotes partout où ils sont.

Source : Reporter Bénin Monde

Département du Zou : interdiction de transport des personnes physiques par tricycle, communément appelé ‘‘kloboto’’

Le transport des personnes par tricycle interdit dans le Zou. Le préfet Firmin Kouton a,  par communiqué en date du 18 avril 2023, annoncé l’interdiction de transport des personnes physiques par tricycle, communément appelé ‘‘kloboto’’.

Le transport des personnes par tricycle interdit dans le Zou. Le préfet Firmin Kouton a,  par communiqué en date du 18 avril 2023, annoncé l’interdiction de transport des personnes physiques par tricycle, communément appelé ‘‘kloboto’’.

« (…) afin de prévenir des cas d’accidents pouvant entraîner de graves préjudices aux personnes transportées …honneur vous informer que l’utilisation de ce moyen pour transporter les personnes physiques  dans sa remorque est interdite dans toutes les communes du département du Zou », précise le communiqué.

Le préfet Firmin Kouton invite à cet effet les chefs d’unité de la Police républicaine à interpeller au cours des patrouilles, toute personne transportant des passagers à bord remorqués de ces engins.

Propriétaires de ‘‘kloboto’’, vous êtes donc prévenus.

M.A

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L’ANaTT invite les demandeurs de plaques à se rapprocher des annexes départementales pour le retrait rapide de leurs cartes grises

En prélude au lancement de l’opération « ZÉRO MOTO NON IMMATRICULÉE EN CIRCULATION EN RÉPUBLIQUE DU BÉNIN » par la Police Républicaine, l’Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT) invite ses usagers-clients à procéder au retrait de leurs cartes grises et fixation des plaques le plus tôt possible.

En prélude au lancement de l’opération « ZÉRO MOTO NON IMMATRICULÉE EN CIRCULATION EN RÉPUBLIQUE DU BÉNIN » par la Police Républicaine, l’Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT) invite ses usagers-clients à procéder au retrait de leurs cartes grises et fixation des plaques le plus tôt possible.

En effet, des milliers de plaques minéralogiques sont établies par l’ANaTT sur demande des usagers-clients de l’Agence et attendent leurs propriétaires dans les annexes départementales de dépôt de l’ANaTT, alors que les demandeurs circulent avec leurs motos non immatriculées.

Ci-joint le Communiqué de l’ANaTT

Drame de Dassa : Baobab Express contredit le Gouvernement sur le nombre de passagers à bord du bus

Désaccord entre la direction générale de Baobab Express et le Gouvernement sur un point. En effet, les deux parties semblent ne pas s’accorder sur le nombre de passagers à bord du bus lors d’accident mortel survenu dimanche 29 janvier 2023.

Désaccord entre la direction générale de Baobab Express et le Gouvernement sur un point. En effet, les deux parties semblent ne pas s’accorder sur le nombre de passagers à bord du bus lors d’accident mortel survenu dimanche 29 janvier 2023.

Lors du Conseil des ministres du mercredi 01er février 2023, le Gouvernement a indiqué que le nombre de passagers à bord du bus de voyage est de 45.

« Ce drame, survenu à la hauteur du village d’enfants SOS de Dassa-Zoumé a été occasionné par un bus de transport en commun en provenance de Parakou vers Cotonou, avec à son bord 45 passagers d’une part et un camion grue transportant un groupe électrogène d’autre part », peut-on lire dans le compte rendu du Conseil des ministres.

Mais faux semble rétorquer la direction générale de la compagnie de transport de voyage.

Au lendemain du compte rendu du gouvernement sur le drame de Dassa, la société a martelé qu’il y avait plutôt 41 passagers à bord du bus.

« Le nombre de personnes à bord du bus était rigoureusement de 41 individus  (chauffeur et convoyeuse compris). Un enfant à bord qui voyageait avec le même ticket que sa mère n’avait malheureusement pas été comptabilisé dans le précédent communiqué. La société baobab express s’en excuse. Les enregistrements de vidéosurveillance récupérés lors de l’embarquement à la gare  de Parakou ainsi que le manifeste mis à disposition des enquêteurs peuvent le confirmer », a soutenu la direction générale dans un communiqué publié au lendemain du conseil des ministres.

Une divergence sur le nombre de passagers entre le gouvernement et la compagnie de transport de voyage qui nécessite une clarification.

Manassé AGBOSSAGA

Plusieurs accidents mortels dimanche 29 janvier : Le parti Restaurer l’Espoir réagit

Le Bénin a enregistré plusieurs accidents mortels, dimanche 23 janvier. Ce qui n’a pas laissé indifférent, Candide Azannaï  et les siens.

Le Bénin a enregistré plusieurs accidents mortels, dimanche 23 janvier. Ce qui n’a pas laissé indifférent, Candide Azannaï  et les siens.

Dans un communiqué signé de la SG Dr. Adolé Félicité Akueson, le parti Restaurer l’Espoir a présenté ses condoléances aux familles éplorées et souhaité prompt rétablissement aux blessés et à toutes les victimes de traumatismes. Lire le communiqué.

M.A

Message de condoléances du Parti Restaurer l’Espoir (RE) et de la Coordination de la Résistance Nationale suite aux accidents catastrophiques survenus dans plusieurs localités de notre pays le dimanche 29 janvier 2023.

C’est avec une très grande affliction que nous avons appris la triste information faisant état de graves accidents de circulation à hauteur de DAN, à DASSA – ZOUMÈ et à ADJOHOUN dans lesquels plusieurs de nos frères et sœurs ont trouvé la mort.

Le Parti Restaurer l’Espoir et la Coordination de la Résistance Nationale compatissent à la douleur des nombreuses familles éplorées et leur présentent leurs vives condoléances.

Nous exprimons nos souhaits de prompt rétablissement aux blessés et à toutes les victimes de traumatismes.

Paix aux âmes des personnes malheureusement disparues en ces tristes circonstances.

Pour le Bureau Exécutif National

Dr. Adolé Félicité AKUESON

Secrétaire Générale Nationale

Drame de Dassa : la direction générale de Baobab Express réagit, clarifie et fait une demande

C’était une réaction qui était très attendue. La Direction générale de la compagnie de transport de voyage Baobab Express réagit au drame survenu à Dassa, dimanche 29 janvier 2023.

C’était une réaction qui était très attendue. La Direction générale de la compagnie de transport de voyage Baobab Express réagit au drame survenu à Dassa, dimanche 29 janvier 2023.

Dans un communiqué, elle informe que l’un de ses bus en provenance de Parakou et à destination de Cotonou, avec à bord 40 personnes dont le chauffeur et une convoyeuse, est entré en collision avec un camion à hauteur de Dassa, vers 16 heures.

La violence du choc a malheureusement entrainé un incendie frontal  qui a coûté la vie à des nombreux occupants du bus.

Selon la direction générale, le bilan provisoire est de 22 décès enregistrés. Quant aux rescapés, ils ont été conduits dans les divers centres hospitaliers de la région et vers le CNHU-HKM pour bénéficier de soins de qualité », précise le communiqué.

Mais pas de mot sur les circonstances de l’accident. La direction générale a préféré parler «d’enquêtes » en cours « pour élucider les contours réels de l’accident et situer les responsabilités

Les clarifications de Baobab Express

Et comme pour tenter de répondre à certaines accusations, la direction générale a souligné que le bus impliqué dans l’accident disposait à son bord de brise-glace et d’extincteurs utilisables en cas d’incident. Elle ajoute que le chauffeur du bus est agent de Baobab Express depuis 2013, et totalise 5 années de voyage sur l’axe Parakou-Cotonou.

La liste nominative des passagers est disponible, a également assuré la direction générale.

Dans son communiqué, la direction générale n’a pas manqué d’interpeller les internautes au sujet de la diffusion des images du drame, priant les uns et les a autres à « se garder de relayer sur les réseaux sociaux, les photos ou vidéos des victimes et autres détails sensibles de l’accident ».

Manassé AGBOSSAGA

Accident mortel à Dassa : Le Gouvernement évoque 22 décès et annonce l’ouverture d’une enquête

Le drame survenu ce dimanche 29 janvier a hauteur de la commune de Dassa-Zoumè, du fait de la collision entre un bus de transport de voyageurs et un camion, a occasionné au moins 22 décès et de nombreux blessés.

Le drame survenu ce dimanche 29 janvier a hauteur de la commune de Dassa-Zoumè, du fait de la collision entre un bus de transport de voyageurs et un camion, a occasionné au moins 22 décès et de nombreux blessés.

En cette circonstance douloureuse, le gouvernement exprime sa compassion à l’endroit de toute la nation et présente s’est vives condoléances à toutes les familles éplorées.

Ce drame vient une fois encore nous rappeler que la sécurité sur nos routes reste un défi de tous les instants et nous presse de mener des actions encore plus fortes pour une sécurité des personnes et des biens toujours plus effective.

Attristé, le Chef de l’État a dépêché sur le terrain, dès les premiers instants après le drame, des ministres du gouvernement aux fins de porter une assistante sans faille aux victimes. Ainsi, grâce à la promptitude des services concernés, tous les blessés sont pris en charge dans les centres de santé de référence dont : le Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert K. Maga (CNHU-HKM). Leurs soins se déroulent dans les meilleures conditions et sont entièrement pris en charge par le gouvernement, ainsi que l’ont annoncé les ministres chargés de la Santé et des Finances.

Par ailleurs, une cellule de crise est mise en place et les parents des passagers du bus impliqué dans l’accident sont invités à se rendre dès ce jour lundi 30 janvier au Palais des Congrès de Cotonou à partir de 10 heures. Une équipe est mise en place pour leur fournir toutes les informations nécessaires ainsi que l’assistance nécessaire.

En outre, une enquête est ouverte pour élucider les circonstances du drame. Le Ministre des Infrastructures et des Transports et le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité se sont portés sur les lieux du drame pour les constats d’usage.

Enfin, c’est le lieu, une fois encore, de nous inviter tous à la prudence sur nos routes et à une attitude citoyenne vis-à-vis des forces de sécurité publique ainsi qu’au respect du code de la route. Nous sommes exhortés, tous citoyens et citoyennes, à participer à la production collective de la sécurité afin que plus jamais une pareille tragédie ne nous ôte nos êtres chers.

Source : Gouv Bénin