Monde des affaires: Cabale du Fmi et des médias occidentaux contre Liza Transport International

Avec ses instruments de destruction, les puissances étrangères s’apprêtent à donner un coup fatal au grand chef entreprise et panafricain Mahamadou Bonkoungou. Tristement célèbre institution, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers mijote la disparition des entreprises de ce digne fils du continent noir…

Il se trame un complot occidental contre le panafricain Mahamadou Bonkoungou. Sous de faux prétexte, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers peaufine « l’assassinat » des entreprises de ce grand panafricain dont Ebomaf et  Liza transport international.

Manassé AGBOSSAGA

Avec ses instruments  de destruction,  les puissances étrangères s’apprêtent à donner un coup fatal au grand chef entreprise et panafricain Mahamadou Bonkoungou. Tristement célèbre institution, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers mijote la disparition des entreprises de ce  digne fils du continent noir.

Sous un fallacieux prétexte de traque des dettes cachées, le Fmi a lancé un assaut voilé contre  Ebomaf et Liza transport International (LTI).

Dans sa parution du 04 décembre, le magazine « La Lettre du Continent » a indirectement dévoilé  le complot en cours contre ses deux entreprises panafricaines.

Le magazine qui semble donner un coup de pouce à cette machination a annoncé qu’à  l’occasion d’une conférence de haut niveau organisée les 02 et 03 décembre derniers à Dakar,  les pourparlers entre les responsables du Fmi et les chefs d’Etat africains présents tendent à la limitation ou la suspension du recours aux garanties souveraines.

Chose curieuse, La Lettre du Continent s’empresse de citer Ebomaf alors que le même Magazine révèle qu’aucune entreprise n’a été nommée à l’occasion de ce rendez-vous. En outre, le Magazine qui indique que les garanties souveraines sont largement utilisées  dans les contrats d’énergie ou du BTP s’empresse de citer une autre entreprise de  Mahamadou Bonkoungou, qui pourtant  n’intervient même pas dans ce secteur.

En effet dans sa parution ‘‘La Lettre du Continent’’ cite la compagnie aérienne Liza transport international qui appartient à l’homme d’affaires. Le média se plaît même d’accuser la Compagnie aérienne Liza Transport International d’affréter gracieusement ses avions à certains chefs d’Etat pour leurs voyages.

Des questions qui confirment la machination

Alors surviennent à l’esprit certaines questions au sujet de cette publication. Pourquoi citer spécifiquement Ebomaf alors qu’à la rencontre de Dakar aucune  entreprise n’a été nommée ? Pourquoi de toutes les entreprises qui existent dans le secteur des BTP au niveau africain ou international, c’est seulement le cas d’Ebomaf qui intéresse le magazine ? Pourquoi ne pas avoir  fait mention d’une entreprise qui intervient dans le secteur de l’énergie ?

Que vient faire la compagnie aérienne Liza transport international dans ce débat ? Comment  une entreprise arriverait elle à survivre si elle fonctionnait en mode gratuit ?

En réalité, les réponses à ces questions confirment le complot qui se trame contre le Président directeur général d’Ebomaf. A titre d’exemple, sur le cas  de la filiale Liza transport international, au cas où La Lettre du Continent ferait semblant de l’ignorer, il s’agit d’une structure   spécialisée dans la  location des jets privés essentiellement destiné au transport des personnalités. Cette filiale n’est donc pas dans le bénévolat.

Visiblement jaloux des performances et prouesses d’Ebomaf et de Liza transport international, le Fmi aidé par la ‘‘Lettre du Contient’’ veut faire disparaitre l’une des rares  structures africaines qui arrivent à concurrencer les multinationales étrangères.

S’achemine t- on vers une élimination programmée  d’une entreprise panafricaine après Air Afrique?

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