Covid-19 : La sonnette d’alarme pour la deuxième vague a été tirée en Iran

Hier, Dans une déclaration, un porte-parole du ministère de la Santé a déclaré que la situation dans les 10provinces est alarmante.Selon La radiotélévision d’État a la province Fars le 4 juin « la sonnette d’alarme pour la deuxième vague de coronavirus en Azerbaïdjan de l’ouest a été tirée. La courbe ascendante des cas positifs à Mahabad est préoccupante »…

Hier, Dans une déclaration, un porte-parole du ministère de la Santé a déclaré que la situation dans les 10 provinces est alarmante.Selon La radiotélévision d’État a la province Fars le 4 juin « la sonnette d’alarme pour la deuxième vague de coronavirus en Azerbaïdjan de l’ouest a été tirée. La courbe ascendante des cas positifs à Mahabad est préoccupante ».

À Kermanchah, les chiffres concernant les personnes infectées et hospitalisées sont choquants. Le chef du comité d’information de la faculté des sciences médicales de Kermanchah a déclaré aujourd’hui à l’agence Fars, que « chaque jour, le nombre de malades du coronavirus admis dans la province dépasse 200. Hier, 243 personnes ont été hospitalisées ». Ce chiffre représente environ les trois quarts des patients admis à Téhéran, qui compte 14 millions d’habitants.

Face à La deuxième vague alarmanteMaryam Radjavi, la dirigeante de la Résistance iranienne (CNRI), a estimé que la tendance croissante du coronavirus dans tout le pays est le résultat direct de la politique du régime clérical.

Entre la misère et la faim

Partout dans le monde, différentes stratégies ont été adoptées pour combattre l’invasion du virus. Mais nulle part sur la planète, les habitants d’un pays tout entier ne sont autant laissés à l’abandon. Entre la misère et la faim d’un côté et les ravages d’une gestion calamiteuse du phénomène viral de l’autre, il semble que les dirigeants iraniens aient fait leur choix : primer les intérêts du pouvoir avant la santé et la vie des citoyens.

Avec l’aggravation de la crise, la crainte des révoltes de la faim progresse au sein des dirigeants iraniens. « Il est à craindre que la crise sociale profonde post-coronavirus qui existe déjà aujourd’hui ne s’aggrave, a écrit le quotidien officiel Aftab-e-Yazd le 25 avril. Distribuer de l’argent ne résoudra pas le problème. Le problème, c’est qu’en raison des nombreuses entreprises qui ont souffert, des secteurs défavorisés au chômage, ajoutés à la hausse de l’inflation et à la déflation créée, tout cela peut entraîner un effondrement social. Ajoutez-le aux récents mouvements de mécontentement et de protestation pour avoir une image réelle de la situation. »

Depuis la semaine dernière, un grand nombre de prisonniers dans tous les quartiers de la prison centrale d’Oroumieh souffrent de graves symptômes du coronavirus tels que fièvre, frissons, sécheresse de la gorge, perte du sens du goût et de l’odorat, et douleurs corporelles. La négligence des gardiens a provoqué la propagation du virus à tous les prisonniers.

A screenshot of a cell phone

Description automatically generated

Au Khouzistan, Le président de la faculté des sciences médicales de Chouchtar, a déclaré aujourd’hui à l’agence ISNA que « la semaine dernière, nous avons eu le plus grand nombre d’hospitalisations à Chouchtar. On s’attend à ce que la tendance de l’épidémie de coronavirus s’accentue encore les deux prochaines semaines ».La faculté des sciences médicales d’Ahwaz a signalé 658 nouveaux cas d’infection et 16 décès ces dernières 24 heures, selon le site d’information Rouydad-24 hier.

Par Hamid Enayat

Cotonou: Les conseillers municipaux installés, l’élection du maire reportée au…

Les cotonois et cotonoises devront encore patienter avant de connaître le nom de leur maire. Le processus électoral n’est pas allé à son terme ce lundi 1er juin 2020, même si les conseillers municipaux ont été installés en présence du préfet Jean-Claude Codja…

Les cotonois et cotonoises devront encore patienter avant de connaître le nom de leur maire. Le processus électoral n’est pas allé à son terme ce lundi 1er juin 2020, même si les conseillers municipaux ont été installés en présence du préfet Jean-Claude Codja.

Manassé AGBOSSAGA

Le suspense reste entier à Cotonou.  Convoqués ce jour par le préfet Jean-Claude Codja, les conseillers municipaux n’ont  pas réussi à élire la nouvelle équipe dirigeante de la capitale économique. Après l’installation des 49 nouveaux conseillers sous une forte présence des forces de l’ordre, le préfet a suspendu la séance avant de reporter au calendrier grec l’élection du maire, de ses adjoints et des chefs d’arrondissement. La faute au parti majoritaire Union progressiste (UP),

Rapproché, Kader Gbadamassi, membre du Bloc républicain a fait savoir, à l’envoyé spécial de kpakpatomedias.com,  dépêché sur les lieux,   que l’Up, sorti majoritaire n’a pas remis sa liste de candidature au préfet.

Kader Gbadamassi

Face à cela, il a confié que le préfet a prononcé un report bien que les conseillers municipaux du Br étaient prêts à voter. « Le préfet  a demandé à ce qu’on reporte la séance pour l’élection proprement dite du bureau exécutif…  Dans la salle, il y a deux partis l’UP  le BR.  J’ai conduit les conseillers du BR.  Nous nous sommes prêts pour voter.  Le préfet a bien dit qu’il n’a pas reçu la liste de l’UP. S’il n’a pas la liste des candidats du parti majoritaire, on ne peut rien faire… La date n’est pas fixée. Le préfet va convoquer à nouveau les distingués conseillers. Nous allons revenir cette fois ci pour l’élection du bureau exécutif de la ville de Cotonou», a il confié.

Ce que pense Luc Atrokpo de la suspension

Potentiel  candidat au fauteuil de maire, Luc Atrokpo a réagi à la suspension de la séance. Loin de paniquer, il a confié que ce report concourt sans doute à une bonne issue.

«…C’est une suspension.  Le conseil municipal  a été installé comme  le prévoit les textes.  Je voudrais remercier le préfet pour le respect à bonne date des  textes de la décentralisation. Nous avons suspendu la séance qui reprendra sous peu.  C’est naturellement pour la bonne organisation. Tout ce qui se fait de manière réfléchie, de manière posée a toujours de bonnes issues », a-t-il indiqué.

Puis d’inviter les nouveaux conseillers élus à l’union et au développement. « Je voudrais remercier tous les élus municipaux qui sont là. Nous avons été élus par la population de Cotonou.  Nous devons travailler à mériter cette confiance placée en nous. Nous devons travailler ensemble.  A partir de maintenant,  il n’y a plus de camp.  On est tous ensemble.   On doit réfléchir au développement de la ville de Cotonou. Que Dieu nous aide. Que Dieu nous accompagne et que très prochainement,  on se retrouve ici  pour avancer », a-t-il lancé

Pourvu que son message soit entendu par les membres de sa propre famille politique, eux qui semblent plus que jamais divisés.

Kpakpatotiquement parlant: Le ou la Covid, voici quand on va trouver ton médicament

Fidèles lecteurs de « kpakpatotiquement parlant », bonjour ou bonsoir en fonction de l’heure à laquelle vous nous lisez. Dans ce numéro, nous allons vous parler de la star mondiale des maladies. Vous devinez qu’il s’agit bien de notre cher « Coro »…

Fidèles lecteurs de « kpakpatotiquement parlant », bonjour ou bonsoir en fonction de l’heure à laquelle vous nous lisez. Dans ce  numéro, nous allons vous parler de la star mondiale des maladies. Vous devinez qu’il s’agit bien de notre cher «   Coro ».

Oui, cette maladie qui en un laps de temps a fait oublier le sida, la tuberculose, le cancer, sans oublier la galère et son géniteur le chômage.

Dans un regard kpakpatotique, on va  vous dire pourquoi depuis son apparition fin 2019, le monde entier court derrière médicament de maladie là.

Et bien, la réponse est simple. C’est parce qu’on est en face d’une maladie qui embrouille, et qu’en réalité personne n’a compris. Au fait si on t’a expliqué la maladie là et que tu as compris, c’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas à ton niveau.

Déjà par le nom. Voilà une maladie, on ne connait pas son vrai nom. Quand ça commencé, les chinois l’ont appelé Coronavirus. Et puis un coup, ils ont commencé à l’appeler Covid. Comme si ça ne suffisait pas, ils lui ont ajouté un numéro. Ce qui me fait mal dans cette affaire de numéro de joueur, c’est que c’est celui de notre ancien écureuil Jocelyn Ahouéya, dossard 19, qu’ils ont trouvé.

Ensuite, l’article. L’autre chose qui embrouille avec cette maladie, c’est avec quel article il faut l’employer. On ne sait pas s’il faut dire le Covid ou la Covid.  En plus si vous avez fait la remarque, les mots qui accompagnent cette maladie ne sont pas dans le dictionnaire. Exemple : déconfinement.

Mais çà là même,  c’est petit.   Façon « coro »  humilie les médecins. Les « dotos » ont dit qu’on n’a pas besoin de masque pour se protéger. Ça n’a pas duré, ils ont changé de discours.

C’est dans çà là, eux-mêmes ne savent pas quel médicament il faut prendre. Aujourd’hui tu entends tel nom de médicament et demain on te sort un autre pour te dire que l’autre là n’est pas efficace et que ça a des effets secondaires. Ce qui est bizarre, nos gouvernants font mention des malades guéris.  Pardonnez, c’est jus de bissap ils ont pris pour retrouver leur santé ou quoi.

Ce n’est pas pour rien que le Désordre   mondiale de la santé aussi est embrouillé  et a chaud.

Mais dans tout ça, c’est blagué tué de nos présidents empereurs africains qui fait trop rire. Par visioconférence, ils ont pris des décisions  comprises par eux seuls. Par exemple, couvre feu dans coronavirus là.  Comme si le coronavirus avait une heure de contamination, les habitants pouvaient sortir à une heure donnée mais étaient interdire de quitter de chez eux  à une autre heure.

Toujours dans la même galerie de mesure incomprise, quand la maladie était au début avec peu de nombre, par exemple 1, 2 ou 10 cas, ils ont fermé école, église, lieux de travail. Mais voilà qu’il y a beaucoup de cas, c’est maintenant on sort gros français et on parle d’allègement ou d’assouplissement des mesures restrictives.

Fidèles lecteurs de kpakpatotiquement parlant, retenez donc que,  c’est quand  « coro » va cesser de  les embrouiller qu’ils vont trouver son médicament.

Manassé AGBOSSAGA

Insolite: Une femme de 91 ans se plaint d’avoir été violée

Incroyable, mais vrai. Même à 91 ans, le corps d’une vielle dame» suscite encore un appétit sexuel malveillant chez autrui…

Incroyable, mais vrai. Même à 91 ans, le corps d’une vielle dame» suscite encore un appétit sexuel malveillant chez autrui.

En effet, le dimanche 31 mai dernier, le site sud ouest et relayé par plusieurs médias a fait cas d’une plainte de viol d’une femme de 91 ans dans un Ephad (Ndlr : Maison de retraite), à Landerneau, commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Âgée  de 91 ans, une résidente dit avoir été victime d’abus sexuel. Selon témoignage,  son bourreau serait un homme de 90 ans.

La vielle dame  a indiqué qu’elle aurait été attaquée dans son sommeil.

Une infirmière s’est présentée dans la chambre de la vielle dame suite à ses cris.

Une enquête est ouverte et est confiée
à la Brigade territoriale autonome de Landerneau.

Il convient de préciser que la vieille dame souffre d’Alzheimer et de Parkinson, tandis que l’agresseur présumé est hospitalisé en psychiatrie.

Voilà qui rend complexe  tout l’ affaire.

Manassé AGBOSSAGA

Kpakpato Sans Payer: Le Pangolin, une viande «VIP» selon un chasseur gabonais

Si beaucoup de personnes ont mis une croix sur la consommation de la viande de Pangolin depuis l’apparition du coronavirus, ce n’est pas le cas pour des chasseurs gabonais. ..

Si beaucoup de personnes ont mis une croix sur la consommation de la viande de Pangolin depuis l’apparition du coronavirus, ce n’est pas le cas pour des chasseurs gabonais. 

Dans un reportage réalisé par le correspondant de Rfi Afrique au Gabon, et diffusé ce vendredi 29 mai 2020, des chasseurs  ont fait savoir qu’ils ne peuvent jamais retirer la consommation de la viande du pangolin de leurs habitudes alimentaires.

Ce groupe de chasseurs a mis en avant la richesse de cet animal, soupçonné d’être l’un des vecteurs possibles de la transmission du virus du Covid-19 à l’homme.

L’un des chasseurs a même fait savoir que cette viande n’est pas destinée à toutes les classes. Il a précisé que le pangolin est une viande « VIP ».

« Nous allons toujours continuer à manger le pangolin…le pangolin c’est une viande VIP réservée aux personnes les plus importantes », ont fait savoir ces derniers.  

Heureusement que dans le reportage diffusé tous les gabonais interrogés n’ont pas fait preuve de ce même courage indien

.Manassé AGBOSSAGA

Justice: Deux notaires déposés à la prison civile de Cotonou

L’information est de nos confrères de Frissons Fm. Deux notaires sont depuis ce mercredi 27 mai 2020 en détention provisoire.

L’information est de nos confrères de Frissons Fm. Deux notaires sont depuis ce mercredi 27 mai 2020 en détention provisoire.

Ils séjournent à la prison civile de Cotonou.

Selon la radio Frissons, les deux notaires sont accusés par un parti politique et une banque d’avoir fait preuve de légèreté dans le traitement d’un dossier qui s’est,  plus tard, avéré fatal pour eux.

Ils seront jugés le mardi 2 juin prochain pour escroquerie, ajoute le média

.Manassé AGBOSSAGA

Drame: Trois Chinois assassinés en Zambie

Trois chinois viennent de perdre la vie en Zambie dans des conditions tristes. Ils ont été assassinés le dimanche 24 mai dernier.

Les faits se sont déroulés dans l’usine de vêtements Blue star, appartenant à de ressortissants chinois.

L’Ambassade chinoise en Zambie a violemment condamné ce crime. Elle a fait savoir qu’il s’agit d’« actes de violence épouvantables et vicieux »

Le ministre de l’intérieur  Stephen Kamyongo  a qualifié ce crime de « barbare »,  et a  promis une enquête complète, rapporte  BBC.

La police a depuis lors mis la main sur trois personnes soupçonnées  d’avoir assassiné les trois ressortissants chinois.

Ces présumés criminels sont soupçonnés   d’avoir trainé les corps dans une usine et d’y avoir mis le feu.

Les jours prochains nous édifieront !

Manassé AGBOSSAGA

Etats-Unis: Une femme trompe son mari avec leur fils adoptif de 16 ans

Aux Etats-Unis, un homme a récemment découvert qu’il était cocufié par son épouse…

Aux Etats-Unis, un homme a, après une enquête approfondie, découvert qu’il était cocufié par son épouse.

Son épouse,  Stephanie Pudlowski profitait,  pendant plusieurs mois, de ses absences pour s’envoyer en l’air avec leur fils adoptif de 16 ans, dans leur maison d’Oneida dans le Winsconsin.

Suite à des doutes sur le comportement des deux amants, l’homme a pris une grande décision. Il a installé  des caméras cachées un peu partout dans la maison, notamment dans la chambre du jeune adolescent située au sous-sol.

Ses soupçons se confirmaient. Via les images enregistrées, il a pu voir comme son épouse, une enseignante de 38 ans, entretenait de relations sexuelles avec leur fils adoptif. Ceci au moins une fois par semaine.

L’homme mis ensuite son égo et son humiliation de côté pour dénoncer son épouse à la police.

Cette dernière fut interpellée, le 15 mai dernier après visionnage des enregistrements.
Stephanie  Pudlowski a été accusée d’atteinte sexuelle sur mineur.  Elle comparaîtra le 15 juin prochain devant le Tribunal.

Le site konniemoments qui a révélé l’information précise qu’elle est actuellement en liberté après avoir versé une caution de 5000 dollars.

Manassé AGBOSSAGA

Drame: Un corps sans vie découvert à Dantokpa

Triste découverte à Dantokpa ce lundi 25 mai 2020 !

Triste découverte à Dantokpa ce lundi 25 mai 2020 !  D’après  nos confrères de Frissons Fm,  un corps sans vie a été découvert à Dantokpa, précisément dans la lagune.

Le corps a été découvert par des pécheurs dans l’après-midi. Il s’agirait d’un homme âgé la quarantaine environ.

Le corps repêché par les pécheurs avec l’aide des secours était dans un état de putréfaction avancé, précise la radio.

S’agit-il d’un suicide ? S’agit-il d’un assassinat ? Comment le corps a-t-il atterri dans la lagune ?

Mystère !!!

Manassé AGBOSSAGA

Kpakpato Sans Payer: Ganiou Soglo fait une confession sur l’élection et le passage de son père à la tête de la mairie de Cotonou

Ganiou Soglo fait une petite confession sur l’élection de son père et son passage à la tête de la mairie de Cotonou. L’ancien ministre de la jeunesse, des sports et des loisirs a confié sa position sur l’élection de Nicéphore Soglo à la tête de la capitale économique du Bénin, aux premières heures de l’avènement de la décentralisation dans notre pays…

Ganiou Soglo fait une petite confession sur l’élection de son père et son passage à la tête de la mairie de Cotonou. L’ancien ministre de la jeunesse, des sports et des loisirs a confié sa position sur l’élection de Nicéphore Soglo à la tête de la capitale économique du Bénin, aux premières heures de l’avènement de la décentralisation dans notre pays.

Manassé AGBOSSAGA

A travers un post intitulé, « Il faut que je vous dise », Ganiou Soglo a fait savoir qu’il n’était pas pour ce choix politique.

« J’ai été de ceux qui ne souhaitaient pas que le président SOGLO devienne maire de la ville de Cotonou », confesse t-il.

En outre, il a avoué que le premier président du Bénin, de l’ère démocratique n’a pas pu faire grande chose lors de son passage à Cotonou.

L’ancien ministre met en avant le manque de moyens, la politisation de la décentralisation et les intérêts politiques inavoués des adversaires.

« Au-delà du budget insignifiant et vu la multitude des problèmes de la ville, le président SOGLO n’a jamais pu faire ce qu’il savait faire le mieux, c’est-à-dire ADMINISTRER. Les attentes étaient énormes. On voyait déjà Cotonou comme un petit Abidjan. Malheureusement, Il avait les mains liées par la politisation de la décentralisation, mais aussi par la crainte des différentes autorités d’alors de voir la ville de Cotonou leur échapper en tout point de vue. C’était prévisible », déplore t-il.

Aveu de taille pour les  Kpakpatos Sans Payer du 229 que nous sommes.