En marge de la 42ème session ordinaire du Conseil d’administration de l’ESMT: Les offres de formation présentées aux étudiants et professionnels du numérique

Le Bénin a accueilli les 20 et 21 juin, à l’hôtel Golden Tulip,   la 42ème session ordinaire du Conseil d’administration de l’Ecole supérieure multinationale des télécommunications (ESMT), située à Dakar. En marge de cette session, le Bénin qui assure la présidence du Conseil d’administration a,  par le biais du ministère de l’Economie numérique et de la communication,  organisé un panel sur les enjeux des formations supérieures et professionnelles aux métiers du numérique. C’était en présence   des ministres Marie-Odile Attanasso, Aurélie Adam Soulé, du Dg de l’ESMT, Adamou Moussa Saley, des étudiants et acteurs variés.

Manassé AGBOSSAGA

Sur le sol béninois, le Conseil d’administration de l’Ecole supérieure multinationale des télécommunications (ESMT) a fait d’une pierre deux coups. Pour cause, les membres du Conseil d’administration composés d’administrateurs,  d’observateurs et personnes ressources, réunis à Cotonou les jeudi 20 et vendredi 21 juin dans le cadre de la 42ème session ordinaire du Conseil d’administration de l’ESMT,  ont eu l’occasion d’échanger sur les questions relatives à la gestion de l’ESMT, de valider les comptes et les rapports d’activités de l’école pour le compte de l’année 2018.

En outre, le directeur général de l’ESMT Adamou Moussa Saley a saisi la tribune de la 42 session pour présenter aux étudiants et aux professionnels du numérique les opportunités de formation proposées par ladite université, mais aussi et surtout, pour inviter les uns et les autres à profiter de l’ESMT pour bénéficier d’une formation adéquate au niveau sous régional. Ceci à travers un panel de haut niveau sur les formations supérieures et professionnelles aux métiers du numérique.

Centre de référence

Dans son exposé, Adamou Moussa Saley a indiqué que l’ESMT est un centre de référence et d’excellence créé par sept pays africains (Burkina-Faso,  Bénin,  Mali,  Mauritanie,  Niger,  Sénégal, Guinée) en 1981 dans le cadre d’un projet du Pund avec l’appui de l’UIT, de la coopération française, canadienne et suisse. Il a ajouté que le centre dispose d’un conseil d’administration et d’un conseil des ministres pour son bon fonctionnement.

Adamou Moussa Saley n’a pas manqué de souligner que l’ESMT a pour vocation de former des diplômés (techniciens  supérieurs licences professionnelles, masters, ingénieurs) dans les domaines techniques et managériaux des télécommunications/ Tic.

Dans ce sens, le directeur général de l’ESMT a  précisé que l’école offre des formations en cours du jour ou en cours du soir en licence professionnelle (licence professionnelle en télécommunication et informatique,   licence professionnelle en mangement  et économique numérique, licence professionnelle réseaux et services, …);  Bachelor en marketing digital, Ingénieur (ingénieur des travaux des télécommunications,  option technico commerciale, …),  Master pro (master pro 2 technologies audiovisuelles, master pro 2 sécurité des systèmes d’information, ; master pro 2 politique et régulation des tic,…) et autres.

Les membres du panel

Après quoi, la parole a été donnée aux membres du panel composé entre autres de la directrice de cabinet du ministre de l’économie numérique, Opportune Quenum, du Dg Esmt.  Ce panel a d’ailleurs été l’occasion pour présenter les résultats issus de la session du conseil d’administration, notamment ceux relatifs à une étude menée par le conseil d’administration sur les enjeux des formations au niveau sous-régional.

Les ministres Adam Soulé et Attanasso

 Un témoignage d’un ancien étudiant de l’ESMT, des échanges entre participants et membres du panel ont enfin mis un terme à la cérémonie qui s’est déroulée sous l’œil vigilant des ministres de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique Marie Odile Atanasso, de l’économie numérique et de la communication, Aurélie Adam Soulé.

Violences à Tchaourou, Savè,..: Le Grap condamne et invite les acteurs à privilégier la paix

Le Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP) n’est pas longtemps resté silencieux aux dernières violences enregistrées dans les communes de Tchaourou, Savè. A travers un communiqué signé de son président Roch Gnahoui David et dont Kpakpato Médias a reçu copie, le Grap a condamné ces douloureux évènements. Pour le Grap, chaque acteur politique doit donner du sens à son engagement en faveur de la Nation en priorisant la paix. Nous vous proposons l’intégralité du communiqué.

« LA PAIX : UN IMPERATIF DEMOCRATIQUE

Depuis quelques semaines, des groupes organisés commettent des actes d’une violence tout aussi rare qu’inadmissible sur les personnes et sur les biens dans certaines de nos villes en tentant ainsi de remettre en cause les points marqués par la cohésion sociale et la lutte contre la pauvreté. La destruction et la déprédation gratuite de biens privés et publics, notamment les actes d’incendie de propriété privée, de sièges de commissariat d’arrondissement, de blocage de voies publiques, de rançonnement de la population font partie d’une stratégie générale de trouble à l’ordre public et de déstabilisation de la cohésion nationale. La résistance déclarée par certains aux réformes ne saurait s’extraire de la légalité et de la démocratie. La construction de la paix est un impératif démocratique dans les Etats comme le nôtre, appelé à renoncer à toute facilité et à toute complaisance, afin d’offrir pour chaque citoyen l’opportunité d’une vie meilleure dans un monde apprivoisé par les forces organisées. La construction de la paix n’appelant aucune condition ni discussion, le GRAP convie chaque acteur politique et chaque citoyen à donner du sens à son engagement en faveur de la Nation en renonçant et en condamnant ces violences regrettables. La démocratie n’a d’autre raison ni finalité que d’être un dialogue institué. Il est de la responsabilité des responsables politiques d’en faire la solution de tout, pour tous et partout.

Vive la démocratie,

Vive la paix,

Vive le Bénin,

POUR LE GRAP, le Président. Roch Gnahoui DAVID« 

Copa America 2019: Le Venezuela résiste face au Brésil

C’est sans doute un exploit réédité par le Venezuela. Pour leur deuxième sortie, les hommes de Rafael Dudamel ont à nouveau décroché le nul face à la Seleçao. Le mardi dernier, au Stade Arena Fonte Nova, les coéquipiers de Dani Alves n’ont pu trouver le chemin du but adverse.

C’est sans doute un exploit réédité par le Venezuela. Pour leur deuxième sortie, les hommes de Rafael Dudamel ont à nouveau décroché le nul face à la Seleçao.  Le mardi dernier, au Stade Arena Fonte Nova, les coéquipiers de Dani Alves n’ont pu trouver le chemin du but adverse.

Et comme lors du match face au Pérou, les vénézuéliens ont pu compter sur la vigilance l’arbitrage vidéo.

A la 59è sur un tir de Gabriel Jesus,  et à la 88è sur une frappe de Coutinho, la VAR est intervenue pour invalider les deux buts pour raison d’hors-jeu.

Avec ce second nul, le Venezuela se positionne en 3è place avec deux points, avant d’affronter la Bolivie, 4è avec 0 point. Le Pérou après sa victoire (3-1) contre la Bolivie se retrouve à égalité de point avec le Brésil  (4 points).

Une victoire du Venezuela face à la Bolivie le samedi prochain pourrait donc conduire les hommes de Rafael Dudamel en quart de finale, dans une poule A où il n’était pas donné favori.

Manassé AGBOSSAGA

Climat des affaires: L’Apiex fait le point des reformes aux membres des organisations patronales et acteurs du secteur privé

L’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) est en mode réédition de comptes. Pour cause, l’Apiex organise depuis ce mardi 18 juin, avec le soutien de la Banque mondiale, une séance de communication sur les reformes relatives au climat des affaires au profit des membres des organisations patronales et acteurs du secteur privé…

L’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) tient  depuis ce mardi 18 juin 2019 à l’hôtel Golden Tulip, une séance de communication sur les reformes relatives au climat des affaires. Le Dg Laurent Gangbes et son staff entendent ainsi faire le point des avancées, mais aussi et surtout,  recueillir les avis  des organisations patronales et acteurs du secteur privé   pour poursuivre les efforts afin de faire du Bénin, un pays totalement ouvert aux investissements.

Manassé AGBOSSAGA

L’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) est en mode réédition de comptes. Pour cause, l’Apiex organise depuis ce mardi 18 juin, avec le soutien de la Banque mondiale, une séance de communication sur les reformes relatives au climat des affaires au profit des membres des organisations patronales et acteurs du secteur privé.

A l’occasion, le directeur général de l’Apiex, Laurent Gangbes a fait savoir qu’il s’agit d’une étape d’un long processus qui vise à faire du Bénin, un pays totalement ouvert aux investissements, ambition phare du président de la République. « Nous sommes réunis ici aujourd’hui pour travailler et rendre compte des avancées que nous avons réalisé pour améliorer le climat des affaires », a ensuite précisé le Dg Laurent Gangbes.

Eric Akoute, Laurent Gangbes, franck Tigri, Achille K. lors de la cérémonie de lancement

Pour lui, cette séance permettra donc de  mesurer et d’apprécier les étapes franchies,  mais également de recueillir les avis des différents acteurs pour poursuivre les efforts et aller beaucoup plus vite.

Dans ce sens, Laurent Gangbes a indiqué que les débats s’attarderont sur les indicateurs  accès à l’électricité, obtention de permis de construire, enregistrement de propriété et paiement des impôts et taxes.

Et selon le Dg de l’Apiex, des résultats positifs sont déjà enregistrés. « Grace aux stratégies mises en œuvre, les dirigeants des différentes administrations se parlent,  échangent,  travaillent en transversales  et surtout sont pleinement mobilisées pour faire du Bénin, le pays le plus attractif de la région en matière d’investissement », se réjouit Laurent Gangbes.

Satisfait,  mais…

Après le lancement des débats par le Dg de l’Apiex, place a été faite à la présentation des quatre indicateurs par les membres des différents groupes techniques de travail.

Sur l’indicateur accès à l’électricité, les principales reformes ont consisté à la mise en place et à la publication en ligne sur le site de la SBEE et la fréquence moyenne des interruptions de service, la création d’un service d’appui aux entreprises et la désignation d’agent dédié aux préoccupations des entreprises.

Au niveau de l’indicateur permis de construire, l’arrêté n°2017-131 du ministère du cadre de vie et du développement durable du 18 décembre 2017  clarifie les prescriptions minimales à observer pour la délivrance du permis de construire et l’arrêté n°132 du ministère du cadre de vie et du développement durable du 18 décembre 2017 portant condition de mise en conception technique et de mise en œuvre des projets de construction définit les qualifications requises par les professionnels chargés de vérifier la conformité du plan à la loi. A cela, les attestations de l’Ordre des architectes et urbanistes sont transmises par voie électronique à la mairie de Cotonou. Faut il le rappeler, ces attestations ainsi que les honoraires de l’architecte ne doivent pas être facturés, conformément au décret portant organisation de la profession d’Architecte.

Vue partielle des participants

En matière de paiement des impôts, la télé-procédure a été mise en place pour les moyennes entreprises. En outre, d’autres mesures comme l’institution d’un crédit d’impôt sur le revenu au profit des entreprises utilisatrices des machines électroniques certifiées de facturation, l’amélioration des dispositions de la taxe professionnelle synthétique dont le minimum passe de 400 000 Fcfa à 150 000 Fcfa, la dispense de l’AIB sur les achats intérieurs de produits pétroliers, la réduction du taux d’imposition appliqué aux dividendes,  ont été mises en place.

Enfin sur l’indicateur accès à la propriété, les mesures prises se limitent ,entre autres, à la mise en ligne du cadastre de Cotonou, la numérisation des titres fonciers, la mise en place d’un système de gestion des plaintes domaniales, la publication sur le site internet de l’ANDF des données statistiques de délivrance de titres fonciers et du nombre de conflits, la dématérialisation des relations avec les notaires par la mise en place d’accès individuels sécurisés pour chaque notaire.

Satisfait de ces résultats, le directeur des études et appui aux projets d’investissement de l’Apeiex,  Eric Akoute promet en faire plus. « Nous avons l’obligation de vous présenter des chiffres plus performants », a-t-il soutenu.

Comme quoi, à l’Apiex, les dirigeants ne se contentent pas du minimum.

Distinction: Les acteurs agricoles honorent Adolphe Adjanohoun (Parcours d’un passionné de la recherche)

Le monde agricole témoigne toute sa gratitude à Adolphe Adjanohoun. L’actuel directeur général de l’institut national des recherches agricoles du Bénin (Inrab) a reçu, le jeudi 12 juin dernier, les hommages de l’Association Sojagnon du Bénin et le Réseau de développement d’agriculture durable. Aux côtés de Joseph Hounhouigan, Adolphe Adjanohoun a été distingué par ces acteurs non étatiques.

L’Association Sojagnon du Bénin et le  Réseau de développement d’agriculture durable  reconnaissent les mérites du Directeur général de l’Institut national des recherches agricoles du Bénin (Inrab). A travers une cérémonie tenue ce mercredi 12 juin 2019 à la salle de conférence de la tour administrative, les acteurs agricoles ont, en présence des ministres Gaston Dossouhoui et Odile Attanasso, universitaires, familles proches et parents,  honoré Adolphe Adjanohoun pour ses nombreux travaux de recherche au service du développement agricole.

Manassé AGBOSSAGA

Le monde agricole témoigne toute sa gratitude à Adolphe Adjanohoun. L’actuel directeur général de l’institut national des recherches agricoles du Bénin (Inrab) a reçu, le jeudi 12 juin dernier, les hommages de l’Association   Sojagnon du Bénin et le  Réseau de développement d’agriculture durable. Aux côtés de Joseph Hounhouigan, Adolphe Adjanohoun a été distingué par ces acteurs non étatiques.

Joseph Hounhouigan, et Adolphe Adjanohoun (en blanc) tous deux honorés par les acteurs agricoles

Et après sa distinction, l’heureux du jour  n’a pas manqué de témoigner toute sa reconnaissance aux organisateurs, mais aussi et surtout aux hommes et femmes qui ont contribué à ce résultat. «Je remercie du fond du cœur l’Association Sojagnon du Bénin, le Réseau de développement d’agriculture durable, leurs Conseils d’administration ainsi que le Coordonnateur, Monsieur Patrice Sèwadè, pour l’acte historique qu’ils viennent de poser…Je dédie la distinction de ce jour à toutes les femmes et à tous les hommes qui, au quotidien, sont à pied d’œuvre dans les laboratoires, dans les champs, dans les bureaux, etc., pour combler les attentes des populations et de notre Nation puis contribuer à l’avancée de la science »,  a-t-il souligné.

Loin de tomber dans l’autosatisfaction, il rassure que cette distinction constitue une exhortation à faire davantage. «  Je prends la présente distinction comme un appel à faire davantage et mieux. J’en prends le ferme engagement »,  rassure Adolphe Adjanohoun.

Dans son speech, le directeur général de l’Inrab a souligné que l’agriculture béninoise, grâce à la recherche, « se transforme et deviendra un secteur dynamique, viable et attractif pour des jeunes, des femmes et des hommes entrepreneurs et ambitieux ».

Un parcours qui force l’admiration

Adolphe Adjanohoun n’a pas volé sa distinction. Son parcours et son amour pour la recherche en sont la preuve. Né le 27 mai 1961, Adolphe Adjanohoun est au Grade Terminal dans le Corps des Directeurs de recherche.

A la tête de l’Inrab depuis le 18 juillet 2018, il multiplie les offensives pour permettre à l’institution de «produire des informations et des technologies pour le monde rural en harmonie avec la préservation des ressources naturelles et contribuer à l’avancement de la science ».

Pour y parvenir, l’homme s’appuie sur une équipe dynamique, mais aussi et surtout sur sa riche expérience. En effet, Adolphe Housosu n’est pas à son premier poste de responsabilité. Avant d’atterrir à l’Inrab, il a occupé plusieurs postes dont ceux de Directeur du Centre de recherches agricoles sud (CRA-Sud) basé à Niaouli, Directeur du centre national de spécialisation sur le Maïs (CNS-Maïs).

Malgré ses lourdes charges, Adolphe Adjanohoun a toujours réussi  à cumuler poste de responsabilité, activités scientifiques et encadrements d’étudiants en fin de formation.

En effet, au cours descinq (5) dernières années, Adolphe Adjanohoun a conduit des travaux de recherche suivantquatre (4) axes de recherche.

Ouvert d’esprit, il a su travailler en équipe en conduisant ses travaux de recherche avec des chercheurs de l’INRAB,d’enseignants-chercheurs des Universités du Bénin, notamment ceux de la Faculté dessciences agronomiques, de la Faculté des sciences techniques et de la Faculté dessciences de la santé de l’Université d’Abomey-Calavi, et d’enseignants-chercheursd’universités internationales, notamment ceux de l’Université de Lomé du Togo, del’Université de Reims Champagne Ardennes en France, de l’Université de Pennsylvanie et del’Université de l’Etat du New Jersey aux Etats-Unis d’Amérique.

L’utilisation des microorganismes pour accroître la productivité agricole et améliorer la santé humaine; l’Utilisation des légumineuses pour améliorer la production agropastorale et l’alimentation humaine et animale sont entre autresles axes de recherche abordés par l’homme.

Esprit de partage

De ses nombreux travaux de recherche, à ses nombreuses publications, il n’y a qu’un seul pas.  Pour cause, Adolphe Adjanohoun a,  à son actif,  un total de cent soixante-quatre (164) documents scientifiques et techniques, dont un (01) mémoire pour l’obtention du Diplôme d’ingénieur agronome,soutenu en 1992 à Instituto Superior de Ciencias Agropecuarias de La Habana “FructuosoRodriguez Pérez” (ISCAH) à La Havane en République de Cuba et une (01) thèse deDoctorat (PhD) soutenue en 1997 à Instituto Superior de Ciencias Agropecuarias de LaHabana “Fructuoso Rodriguez Pérez” (ISCAH) à La Havane en République de Cuba.

Photo de famille

En outre, lesautres documents scientifiques et techniques sont composés de quarante-neuf (49) articlesscientifiques, quarante-trois (43) communications orales présentées à des fora scientifiques,vingt-huit (28) fiches techniques validées, treize (13) documents techniques d’informationvalidés et vingt-neuf (29) manuels techniques et scientifiques.

Ce qui fait la particularité du Dg Adolphe Adjanohoun, c’est son esprit de partage. Ainsi, il se concentre avec joie à l’encadrement d’étudiants en fin de formartion, afin d’assurer la relève.

Preuvede 1997 à ce jour, il a encadré ou co-encadré quarante-quatre (44) travaux scientifiques conduits par divers jeunes chercheurs, composés de sept (07) thèses de Doctorat uniquedont trois (03) déjà soutenues, trois (03) mémoires de Master of Science, quatre (04)mémoires d’Ingénieur Agronome, dix (10) mémoires de Master Professionnelle enAgronomie, quinze (15) mémoires de Licence Professionnelle en Agronomie, un (01)mémoire de Diplôme Universitaire Technique, et quatre (04) mémoires de Diplôme d’Etuded’Agronomie Tropicale.

Chapeau à lui !!!

Présidence de la Fédération béninoise de Gymnastique: Et de trois pour Isidore Léonide Gbaguidi !

Pas de changement à la tête de la Fédération béninoise de gymnastique ! L’assemblée générale élective tenue ce samedi 15 janvier à Cotonou en présence du représentant du ministre des sports, du comité national olympique sportif béninois a consacré la réélection de Isidore Léonide Gbaguidi…

La grande famille de la gymnastique béninoise était en assemblée générale élective, le samedi 15 juin dernier à l’auditorium Marius Francisco du Comité national olympique et sportif béninois (Cnos-Ben). A la fin des travaux, Isidore Léonide Gbaguidi a été reconduit, pour une troisième fois d’affilée, dans son fauteuil de président.

Manassé AGBOSSAGA

Pas de changement à la tête de la Fédération béninoise de gymnastique !  L’assemblée générale élective tenue ce samedi 15 janvier à Cotonou en présence du représentant du ministre des sports, du comité national olympique sportif béninois a consacré la réélection de Isidore Léonide Gbaguidi.

Par 25 voix sur 25, il a été plébiscité pour un troisième mandat de quatre ans, après la présentation et l’approbation des différents  rapports d’activités du bureau exécutif sortant.

Après son élection, le patron de la Fédération béninoise de gymnastique a remercié tous les acteurs qui ont permis à son comité d’enregistrer de belles performances. Aussi a t-il levé un coin de voile sur les priorités pour cette nouvelle mandature.  « … Je m’engage à tenir le pari à monter très haut le drapeau du Bénin.  Je m’engage à ce que la gymnastique puisse apporter au Bénin tout ce qu’il y a de bien. Nous allons détecter les meilleurs… Notre politique de formation va s’accentuer… Notre politique d’équipement va continuer,  mais il y a un défi majeur,  réussir à avoir le premier gymnase pour la gymnastique », a promis Isidore Léonide Gbaguidi.

Une promesse est une dette, dit on.

Le nouveau Bureau exécutif :

Président: Gbaguidi Léonide Isidore

1er Vice-président: Gnonlonfoun J. Simplice Brice

2ème Vice-président: Azandossessi Nicéphore

Secrétaire général: Dadjo Patrick Constant

Secrétaire général adjoint: Déguenon Nadine Ayitchégnon

Trésorier général: Ahognisse A.G. Fernand

Trésorier général adjoint: Dazogbo Gbémonnou Parfait

Responsable à la communication: Gbaguidi Assogba Boris

Responsable adjointe aommunication: Gainsi Bérénice Célia

Membre femme: Agossou Prisca

Membre juge: Ago Mélé Benedicta

Responsable à l’organisation: Codja Cyrille Z. D.

1er Adjoint à l’organisation: Nougbode Hyacinthe

2ème Adjoint à l’organisation: da-Allada S.P. Eric

3ème Adjoint à l’organisation: Dossou Togbe Kate

Commissaire aux comptes : Alapini Yvon et Loko Gérald Comlan

Membres des différentes commissions

Gymnastique pour Tous (GPT)

1- Président: Pr Barnabé Akplogan

2- SG: Mr Christian Gbaguidi

3- Rapporteur: Mlle Angella Sossa

Gymnastique Artistique Maculine (GAM)

1- Président : Mr Alexis kossi Zingbe

2- SG: Mr Alexandre Mehento

3- Rapporteur: Mr Agaimon Kouakanou

Gymnastique Artistique Feminine (GAF)

1- Président : Mr Innocent Yaka

2- SG: Mr Sidoine Kouazounde

3- Rapporteur: Mlle Fleurelle Ahouissoussi

Gymnastique Rythmique (GR)

1- Président : Mme Inès Deka

2- SG: Nathalie Attakoun

3-Rapporteur: Mme Sena Fifamin Ahanmada

Gymnastique Aérobic (AER)

1- Président: Mr Eusèbe A. K. Noutaï

2- SG: Mr Alexandre Akonde

3- Rapporteur : Brice Tognivo

Gymnastique au Trampoline (TRA)

1- Président : Mr Antoine Akovowanou

2- SG: Mr Isidore Agbanglanon

3- Rapporteur : Mr Maxime Hounsikpe

Gymnastique Acrobatique(ACRO)

1- Président : Mr Issifou Bachabi

2- SG: Mr Lionel Babalolla

3- Rapporteur : Mlle Sylvia Kiki

Gymnastique Parcourt (GPr)

1- Président : Mr Plutarque Vodounou

2- SG: Mr Jawad Alao

3- Rapporteur : Mr Kevine Kponou.

Préparatifs Hadj 2019: L’Imam Moubarakou Daouda rassure les candidats au pèlerinage et félicite le gouvernement

L’Imam Moubarakou Daouda est totalement satisfait de la séance entre les responsables du ministère des Affaires étrangères et les convoyeurs. Pour le président du Groupe Ahad, cette rencontre qui a abordé un seul point, celui de la vaccination, a permis aux uns et aux autres d’être au même niveau d’information et de savoir les dispositions à prendre pour faire vacciné les candidats au pèlerinage avant de prendre départ pour le Hadj…

 Les responsables du ministère des affaires étrangères ont échangé dans l’après-midi de ce mercredi 12 juin 2019 avec les convoyeurs. Loin des micros  et caméras, cette séance a été l’occasion pour les différentes parties de débattre de la question de la vaccination à satisfaire avant l’envol pour le Hadj. Interrogé à la fin de la séance, l’Imam Moubarakou  Daouda  et président du groupe Ahad a salué l’initiative, félicitant au passage le gouvernement du président Patrice Talon

Manassé AGBOSSAGA

L’Imam Moubarakou Daouda est totalement satisfait de la séance entre les responsables du ministère des Affaires étrangères et les convoyeurs. Pour le président du Groupe Ahad, cette rencontre qui a abordé un seul point, celui de la vaccination, a permis aux uns et aux autres d’être au même niveau d’information et de savoir les dispositions à prendre pour faire vacciné les candidats au pèlerinage avant de prendre départ pour le Hadj.

Tout en saluant le déroulement de la séance, L’Imam Moubarakou Daouda souligne que l’évacuation de ce point permet d’aborder avec assurance,  dans les prochains jours, les questions liées au passeport et au transport.

En attendant, il n’a pas manqué de féliciter le gouvernement pour l’organisation du Hadj au Bénin. Selon le président du Groupe Ahad et membre de la Coordination nationale pour le Hadj au Bénin, le gouvernement du président Patrice Talon a mis un dispositif qui permet de convoyer les candidats au pèlerinage sans grande anicroche. Loin des débats politiques, l’Imam Moubarakou Daouda soutient que le Gouvernement  du président Talon est celui qui a le mieux organisé le Hadj au Bénin, par le biais du ministère des Affaires étrangères.

« Ce n’est pas pour flatter qui que ce soit,  le gouvernement qui a le mieux organisé le Hadj au Bénin,  c’est l’actuel gouvernement  du président Patrice Talon,  par l’intermédiaire du ministère de Affaires étrangères », soutient le président du groupe Ahad et membre de la Coordination nationale pour le Hadj au Bénin », soutient l’Imam Moubarakou Daouda. Une manière pour lui de rassurer les candidats au pèlerinage, édition 2019, qu’ils satisferont avec bonheur le cinquième pilier de l’Islam.

Me Paul Kato Atita: «Boni Yayi se trouve dans une situation extrêmement périlleuse et dangereuse»

Me Paul Kato Atita émet des doutes sur la justice béninoise, dans le dossier Boni Yayi. A l’occasion d’une sortie médiatique animée avec son collègue Me Renaud Agbodjo, il a mis en avant les raisons qui fondent ses réserves. Me Paul Kato Atita s’est notamment attardé sur les ennuis judiciaires, du juge chargé d’écouter son client. ..

Les avocats de Boni Yayi ont effectué une sortie médiatique, le samedi 14 juin dernier au Chant d’Oiseau. A l’occasion, Me Paul Kato Atita a exprimé ses inquiétudes au sujet de l’indépendance et l’impartialité du juge, indiquant que son client se trouve dans une situation périlleuse et dangereuse.

Manassé AGBOSSAGA

Me Paul Kato Atita émet des doutes sur la justice béninoise, dans le dossier Boni Yayi. A l’occasion d’une sortie médiatique animée avec son collègue Me Renaud Agbodjo, il a mis en avant les raisons qui fondent ses réserves. Me Paul Kato Atita s’est notamment attardé sur les ennuis judiciaires, du juge chargé d’écouter son client. « Un juge qui est dans les liens d’une poursuite disciplinaire sous la tutelle du garde des sceaux jouant le rôle de l’organe de poursuite contre lui ne peut pas venir ici garantir une justice impartiale et équitable à un adversaire politique  du garde des sceaux. Ce n’est pas possible… nous n’avons pas confiance à l’indépendance d’un juge dans un cas pareil », se plaint Me Paul Kato Atita.

Face à cette situation, il dit craindre pour la survie et la sécurité de  l’ancien président de la République. « Boni Yayi se trouve dans une situation extrêmement périlleuse et dangereuse, pour lui,  pour sa sécurité,  pour sa survie, parce qu’aujourd’hui, il est invité à répondre devant une justice qui ne lui garantira absolument   aucune justice digne de ce nom. Tout simplement parce que les gouvernants veulent qu’il en soit ainsi », a-t-il déploré.

Copa America 2019: Le Venezuela tient en échec le Pérou

Quart de finaliste lors de la précédente édition, Le Venezuela n’a pas tremblé devant le Pérou lors de sa première sortie en Copa América. Les coéquipiers de Salomon Rondon ont contraint au partage des points leurs homologues du Pérou, double vainqueur de la compétition (1939 et 1975), ce samedi 15 juin au stade Porto-Alegre…

L’édition 2019 de la Copa America qui se dispute au Brésil a connu son envol le vendredi 14 juin. Logé dans la poule A aux côtés du pays hôte, le Venezuela a bien démarré sa compétition en tenant en échec le Pérou.

Manassé AGBOSSAGA

Quart de finaliste lors de la précédente édition, Le Venezuela n’a pas tremblé devant le Pérou lors de sa première sortie en Copa América. Les coéquipiers de Salomon Rondon ont contraint au partage des points leurs homologues du Pérou, double vainqueur de la compétition (1939 et 1975), ce samedi 15 juin au stade Porto-Alegre.  Un résultat obtenu grâce à la solidité et à la combativité des coéquipiers du portier Farinez Wuilker, mais aussi et surtout, grâce à la vigilance de la Var.

En effet, par deux fois, la VAR a dû logiquement intervenir pour invalider deux buts des  coéquipiers de Paolo Guerero.

Avec ce nul de 0 but partout, la Nonvolito peut affronter en toute sérénité le pays hôte, vainqueur de la Bolivie (3-0),  le  mardi 18 juin prochain 01h30 (heure béninoise ) au Stade Arena Fonte Nova.

Pérou (4-1-4-1) : Gallese – Trauco, Abram, Zambrano, Advíncula – Tapia – Cueva (Flores, 46e), Yotún (Polo, 67e), Gonzáles (Carillo, 88e), Farfán – Guerrero.Sélectionneur : Ricardo Gareca. 

 Venezuela (4-1-4-1) : Fariñez – Mago, Villanueva, Cancellor, Rosales – Moreno (R.Hernández, 78e) – Savarino (Machís, 69e), Herrera, Rincón, Murillo (Soteldo, 84e) – Rondón. Sélectionneur : Rafael Dudamel.

Politique-Justice: Une simple question de Me Renaud Agbodjo aux autorités policières toujours en suspens

Le domicile de Boni Yayi est encerclé par les forces de l’ordre depuis le 01 mai dernier. Face à la presse le samedi 15 juin dernier, Me Renaud Agbodjo, l’un des avocats de l’ancien président de la République du Bénin, a confié qu’il attend depuis deux semaines une réponse à une question adressée aux autorités policières. Il souhaite savoir si son client a au moins la liberté de sortir de sa maison à Cadjèhoun pour…

Le domicile de Boni Yayi est encerclé par les forces de l’ordre depuis le 01 mai dernier. Face à la presse le samedi 15 juin dernier, Me Renaud Agbodjo, l’un des avocats de l’ancien président de la République du Bénin,  a confié qu’il attend depuis deux semaines une réponse à une question adressée aux autorités policières. Il souhaite savoir si son client a au moins la liberté de sortir de sa maison à Cadjèhoun pour aller à l’église.

Manassé AGBOSSAGA

Me Renaud Agbodjo interpelle à nouveau les responsables de la Police républicaine. L’avocat de Boni Yayi dit attendre une réponse à une question adressée aux autorités policières.  « J’ai demandé aux autorités policières si Monsieur Boni Yayi peut même aller prier et revenir chez lui à la maison », confie t-il.

Toutefois,  Me Renaud Agbodjo dit attendre en vain depuis deux semaines. «Depuis deux semaines,  j’ai posé la question  à la direction de la Police Républicaine.  Est-ce que Monsieur Boni Yayi peut sortir  de Cadjèhoun pour aller prier dans son église.  Depuis deux semaines,  j’ai posé la question,   on dit qu’on me revient pour la réponse.  Depuis deux semaines,  j’attends», déplore l’avocat du président d’honneur du parti Force cauris pour un Bénin émergent.

Pour Me Renaud Agbodjo, cela traduit le refus des uns et des autres à ne pas assumer leur responsabilité dans la « séquestration » de son client. « Personne ne veut endosser la séquestration de Boni Yayi », conclu t-il.

La question de Me Renaud Agbodjo aux autorités policières n’est  sans doute pas anodine pour qui connait  l’amour du Pasteur  Boni Yayi pour Dieu.