Les nombreux risques pris par Thérèse Waounwa dans son combat citoyen et politique ne sont pas passés inaperçus. Preuve, le Café africain des néo philosophes (CANP) vient de reconnaître les mérites de la présidente du comité d’action des usagers des marchés du Bénin et membre du Parti communiste du Bénin…
Le Café africain des néo philosophes (CANP) reconnait les mérites de la présidente du Comité d’action des usagers des marchés du Bénin. Pour le CANP, Thérèse Waounwa décroche la palme de la femme d’excellence au titre de l’année 2019.
Manassé AGBOSSAGA
Les nombreux risques pris par Thérèse Waounwa dans son combat citoyen et politique ne sont pas passés inaperçus. Preuve, le Café africain des néo philosophes (CANP) vient de reconnaître les mérites de la présidente du comité d’action des usagers des marchés du Bénin et membre du Parti communiste du Bénin.
Par la voix de son directeur, Simon Narcisse Tomèty, le CANP salue la permanence de la ligne idéologie, le militantisme et la stabilité des valeurs nobles qui la caractérisent.
Pour le CANP, Thérèse Waounwa est restée pendant quatre décennies durant comme une soldatesque acharnée, faisant preuve de bravoure, d’honnêteté, d’amour de la patrie. « Personne mais alors aucune femme n’aura sacrifié tant de temps pour les autres dans ce pays », fait savoir Simon Narcisse Tomèty.
« Thérèse Waounwa, femme politique et l’une des figures de proue du Parti communiste du Bénin est reconnue ce lundi 16 décembre 2019 par la CANP comme la femme la plus décomplexée, la plus courageuse, la plus militante et la plus engagée pour les libertés démocratiques et la défense des droits humains au Bénin en 2019…c’est avec enchantement que le CANP vous consacre comme une femme d’excellence dont le parcours d’engagement extraordinaire mérite un grand respect de notre part et une grande fierté », fait observer le directeur du CANP.
Un témoignage patriotique à titre honorifique qui ne manquera pas sans doute de donner du sourire à la dame de fer, elle qui a été privée de liberté en avril 2019 pour avoir organisé, sans autorisation, un mouvement de protestation contre les partis de l’opposition aux législatives du 28 avril dernier.
15 décembre 2018-15 décembre 2019, exactement 1 an que des hommes et des femmes, des jeunes et des vieux de différentes couches sociales s’unissaient pour mettre sur pied le parti Forces cauris pour le développement du Bénin (FCDB) à Ouaké. Et à travers une cérémonie fort simple, Soumanou Toléba et les siens ont commémoré cette date anniversaire sous le thème « Pour la construction de la Nation ; Femmes et jeunes: Engageons-nous »…
Le parti Force cauris pour le développement du Bénin (FCDB) a commémoré ce dimanche 15 décembre 2019 à l’hôtel Sun Beach son premier anniversaire. A la faveur d’une cérémonie sobre, mais riche en engagement et en réflexions, Soumanou Toléba et les siens ont réitéré leur détermination à allumer la flamme d’une opposition constructive au service de la Nation.
Manassé AGBOSSAGA
15 décembre 2018-15 décembre 2019, exactement 1 an que des hommes et des femmes, des jeunes et des vieux de différentes couches sociales s’unissaient pour mettre sur pied le parti Forces cauris pour le développement du Bénin (FCDB) à Ouaké. Et à travers une cérémonie fort simple, Soumanou Toléba et les siens ont commémoré cette date anniversaire sous le thème « Pour la construction de la Nation ; Femmes et jeunes: Engageons-nous ».
A l’occasion, le secrétaire général (Gansè ), la responsable chargée des affaires sociales (Olivia Afiavi Amadjidjè), le représentant des jeunes (Rodrigue Housou) ont, tour à tour, exprimé un sentiment d’espoir et de satisfaction, indiquant que le parti est sur la bonne voie. Selon eux, le parti FCDB a, après une année d’existence, montré son attachement à la jeunesse, aux femmes, à la paix, à l’unité nationale, à l’intérêt général.
Réplique aux détracteurs du parti
Pour Soumanou Toléba, les membres du parti ont mis à profit cette première pour année pour se connaître et faire connaître au peuple béninois le sens de leur engagement politique, la profondeur de leur amour pour le pays, la pureté des intentions pour les institutions républicaines et l’attachement sans équivoque aux valeurs qui fondent notre vivre-ensemble.
Puis de répondre aux détracteurs du parti, qui trouvent à redire sur le positionnement de la FCDB, notamment le concept d’opposition constructive. « Il ne fait plus aucun doute que le positionnement de notre Parti sur l’échiquier politique national, les valeurs que nous défendons en son nom, notre projet de société basé avant tout sur l’humain, et enfin notre manière d’animer la vie politique avec notre slogan d’Opposition constructive, qui est une Opposition responsable, nous attirent quelques fois certaines adversités. Cependant, loin de nous ébranler, ces adversités nous convainquent que nous sommes sur le bon chemin et renforcent notre détermination à aller jusqu’au bout de notre engagement, celui de contribuer au changement de paradigme dans la gouvernance politique de notre pays. En effet, nous sommes portés par la conviction inébranlable que, dans notre pays, Mouvance et Opposition ne doivent pas être des adversaires encore moins des ennemis dans la gigantesque œuvre de construction du vivre-ensemble national, mais doivent être plutôt des partenaires alternatifs dans la course au progrès durable. Forts de cela, nous travaillons à relever les insuffisances dans l’action publique de nos gouvernants, notamment en ce qui concerne l’organisation et la conduite des affaires économiques et l’approche des questions sociales », a-t-il expliqué.
Regard tourné vers les défis
Face à cela, le président du parti se réjouit du chemin parcouru, mais reste conscient que des efforts restent à faire pour imposer la FCDB sur l’échiquier politique national. Soumanou Toléba jette à cet effet un coin de voile sur les actions à mener pour affronter les défis immédiats.
« Le chemin parcouru en un an est appréciable mais nous avons encore beaucoup à faire. En effet, si grâce à vous et à la presse que je salue chaleureusement au passage, notre Parti FCDB est de plus en plus connu sur l’échiquier politique national et international, il nous reste à installer durablement nos structures de base. C’est à cette tâche que nous nous sommes mis récemment et que nous devons finaliser efficacement sous peu. Après cela, il nous restera à mettre en œuvre méthodiquement les stratégies que nous nous sommes données pour affronter avec succès les prochaines compétitions électorales auxquelles notre Parti participera par la grâce de DIEU », indique t-il.
Pour lui, cet anniversaire doit alors constituer un moment de profondes réflexions sur les certitudes et incertitudes en vue de projeter le parti dans un avenir rayonnant, mais aussi et surtout afin de maintenir allumer la flamme d’une opposition constructive.
INTEGRALITE DE L’ALLOCUTION DE SOUMANOU TOLEBA PRESIDENT DU PARTI FORCE CAURIS POUR LE DEVELOPPEMENT
Allocution du Professeur SEIBOU TOLEBA Soumanou, Président du Parti FCDB à l’occasion de la célébration de l’an 1 du Parti au Sun Beach Hotel, le dimanche 15 décembre 2019 à Cotonou.
Mesdames et Messieurs. 15 décembre 2018 – 15 décembre 2019 : un an déjà que le Parti Force Cauri pour le Développement du Bénin (FCDB) naissait. Rendons grâce au Tout-Puissant DIEU le Très miséricordieux, le Créateur du Ciel et de la Terre. Il y a exactement un an, nous avons démarré cette aventure humaine extraordinaire. En cette solennelle circonstance, il me plait de vous demander de bien vouloir vous lever pour une minute de silence en mémoire de nos militants disparus prématurément. Il s’agit entre autres de TOHON Stan, du Vice-Président ADDA Paul, du candidat à la députation KAUCLEY Kassa. Que la terre leur soit légère. Le 15 décembre 2018 en effet, nous étions des milliers de camarades à nous être réunis dans l’une des plus belles Communes de notre pays, Ouaké pour porter sur les fonts baptismaux après une analyse approfondie du paysage politique national ce magnifique instrument de lutte partisane pour apporter notre contribution à la construction de notre nation et au développement de notre pays. Déjà une année s’est écoulée. Douze mois au cours desquels nous avons tous ensemble, collectivement mais aussi individuellement travailler sans relâche d’abord à apprendre à nous connaître ou à mieux nous connaître, ensuite à faire comprendre progressivement à des milliers de nos compatriotes, le sens de notre engagement politique, la profondeur de notre amour pour notre pays, la pureté de nos intentions pour nos institutions républicaines et notre attachement sans équivoque aux valeurs qui fondent notre vivre-ensemble et qui sont, à n’en point douter, le ciment de l’édification d’un Bénin moderne. Ces valeurs ont pour nom, la paix, la fraternité, la justice et le travail. Elles constituent donc des repères pour les dirigeants et les militants de notre Parti Force Cauri pour le Développement du Bénin. À chaque instant et tout le temps, nous ne manquons aucune occasion pour nous rappeler ces valeurs cardinales qui guident et déterminent les décisions et les actions de notre jeune formation politique plein d’avenir. Ainsi, lors des douloureux évènements qui ont vu notre Parti exclu du processus électoral d’avril 2019 et du cycle de violences qui s’en est suivi, nous n’avons ménagé aucun effort pour appeler à sauvegarder la paix et la cohésion sociale. Chacune des décisions que nous avons prises, chacune des actions que nous avons menées s’inscrivait dans ce cadre et visait un seul objectif, le maintien de l’unité nationale, unique fondement de tout progrès durable. Mesdames et messieurs, Honorables invités, Chers camarades, Il ne fait plus aucun doute que le positionnement de notre Parti sur l’échiquier politique national, les valeurs que nous défendons en son nom, notre projet de société basé avant tout sur l’humain, et enfin notre manière d’animer la vie politique avec notre slogan d’Opposition constructive, qui est une Opposition responsable, nous attirent quelques fois certaines adversités. Cependant, loin de nous ébranler, ces adversités nous convainquent que nous sommes sur le bon chemin et renforcent notre détermination à aller jusqu’au bout de notre engagement, celui de contribuer au changement de paradigme dans la gouvernance politique de notre pays. En effet, nous sommes portés par la conviction inébranlable que, dans notre pays, Mouvance et Opposition ne doivent pas être des adversaires encore moins des ennemis dans la gigantesque œuvre de construction du vivre-ensemble national, mais doivent être plutôt des partenaires alternatifs dans la course au progrès durable. Forts de cela, nous travaillons à relever les insuffisances dans l’action publique de nos gouvernants, notamment en ce qui concerne l’organisation et la conduite des affaires économiques et l’approche des questions sociales. Ainsi, en son temps, notre Parti a dénoncé la casse et le déguerpissement sans ménagements des gens modestes au bord des voies, alors que la construction de nouveaux marchés et la réfection des anciens n’avaient pas encore démarré. Nous saisissons l’occasion de ce jour pour désapprouver clairement le fait d’empêcher récemment la libre expression de certains citoyens dans un lieu par surcroît privé. Qu’il vous souvienne, notre Parti, la FCDB, a également dénoncé le vote de certaines lois par la 7ème législature, en particulier la loi qui tend à précariser l’emploi dans notre pays et à reléguer l’humain au second plan. Tout en regrettant la décision nigériane de la fermeture de ses frontières pour laquelle notre Parti a fait et publié 24 propositions concrètes, notre Parti a condamné l’absence et surtout l’amorce audacieuse d’une politique volontariste de construction d’une économie nationale structurée à créer durablement de la valeur ajoutée pour sortir nos concitoyens de la pauvreté et surtout les jeunes du sous-emploi et du chômage. Nous continuons notre combat politique avec notre style et notre tempérament, confiants en ce que les valeurs que nous défendons permettront bientôt de poser les bonnes bases indispensables pour un meilleur bien-être de chaque béninoise et de chaque béninois. La FCDB se félicite donc des résultats obtenus qui inaugurent une nouvelle ère politique dans notre pays et nous invitons les uns et les autres à s’y investir d’avantage, avec un esprit critique mais jamais un esprit de critique.Lorsque c’est bon dans l’intérêt supérieur de la nation, on le dira toujours haut et fort. Mais lorsque c’est mauvais et doit froisser les intérêts des paisibles populations, nous réagirons à travers des propositions responsables envoyées sans tapage à l’endroit qu’il faut et au bon moment.
Militantes et militants, Chers camarades et amis, Honorables invités Le chemin parcouru en un an est appréciable mais nous avons encore beaucoup à faire. En effet, si grâce à vous et à la presse que je salue chaleureusement au passage, notre Parti FCDB est de plus en plus connu sur l’échiquier politique national et international, il nous reste à installer durablement nos structures de base. C’est à cette tâche que nous nous sommes mis récemment et que nous devons finaliser efficacement sous peu. Après cela, il nous restera à mettre en œuvre méthodiquement les stratégies que nous nous sommes données pour affronter avec succès les prochaines compétitions électorales auxquelles notre Parti participera par la grâce de DIEU. Il est vrai que les déceptions enregistrées à l’occasion des dernières élections législatives font qu’une partie de l’opinion publique nationale est acquise à l’Opposition politique à laquelle nous appartenons. Cependant, les défis qu’imposent les dernières lois votées et promulguées, notamment la loi portant Code électoral en date du 13 novembre 2019, sont majeurs. Le relèvement de ces défis impose un quadrillage et une occupation sans faille du terrain. Je voudrais compter sur votre engagement et votre détermination militants pour « arracher les cactus les mains nues ». Bien plus qu’un simple jour sobre de fête, vous comprenez avec moi que nous devons faire de ce moment, un moment de profondes réflexions sur nos certitudes et nos incertitudes en vue de nous projeter dans un avenir rayonnant pour notre Parti et pour notre beau pays, le Bénin. C’est à cet effet que nous avons retenu le thème de réflexion suivant : « POUR LA CONSTRUCTION DE LA NATION, FEMMES ET JEUNES, ENGAGEONS-NOUS ». Oui, nous femmes et jeunes de ce pays, nous sommes l’avenir en pleine construction. Le Bénin se construira avec ses jeunes et ses femmes ou ne se construira jamais. Telle est notre foi et notre conviction partagée. C’est pourquoi avant même les communications qui seront données par notre panel composé de jeunes et de femmes avertis qui ne cessent depuis douze mois de faire leur preuve sur le terrain, je voudrais humblement inviter tous les jeunes et toutes les femmes de la FCDB et par ricochet du Bénin à s’abstenir de croire que l’histoire n’a pas besoin de vous ou que l’histoire chemine toute seule vers le progrès. Nous avons besoin de vous. FCDB a besoin de vous. C’est votre Parti. Le Bénin en entier a besoin de vous. Je voudrais, au nom du Bureau Exécutif National de la FCDB et en mon nom propre vous adresser mes chaleureuses félicitations pour les efforts fournis et les sacrifices consentis par chacune et chacun de vous. Nos sincères gratitudes à DIEU, le père céleste Tout-Puissant, Créateur du ciel et de la terre, sans la complicité de qui, rien n’est possible. Je ne saurais terminer mon propos sans souhaiter bon retour dans vos familles respectives aux différentes délégations venues des 77 Communes du Bénin. Joyeux anniversaire à nous toutes et à nous tous de l’intérieur du pays comme de la diaspora et bonnes réflexions pour de meilleures perspectives. Puisse Dieu le Tout-Puissant garder toujours allumée la flamme de l’Opposition constructive au Bénin et partout dans le monde. Chers camarades, retroussons plus encore nos manches et travaillons avec plus d’engagement et de foi en faveur de votre pays, notre pays, le Bénin.
Chers camarades et amis, Honorables invités, Mesdames et Messieurs, le Bénin peut se développer le Bénin doit se développer le Bénin va se développer pour le bien-être de ses populations Je vous remercie.
Avec ses instruments de destruction, les puissances étrangères s’apprêtent à donner un coup fatal au grand chef entreprise et panafricain Mahamadou Bonkoungou. Tristement célèbre institution, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers mijote la disparition des entreprises de ce digne fils du continent noir…
Il se trame un complot occidental contre le panafricain Mahamadou Bonkoungou. Sous de faux prétexte, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers peaufine « l’assassinat » des entreprises de ce grand panafricain dont Ebomaf et Liza transport international.
Manassé AGBOSSAGA
Avec ses instruments de destruction, les puissances étrangères s’apprêtent à donner un coup fatal au grand chef entreprise et panafricain Mahamadou Bonkoungou. Tristement célèbre institution, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers mijote la disparition des entreprises de ce digne fils du continent noir.
Sous un fallacieux prétexte de traque des dettes cachées, le Fmi a lancé un assaut voilé contre Ebomaf et Liza transport International (LTI).
Dans sa parution du 04 décembre, le magazine « La Lettre du Continent » a indirectement dévoilé le complot en cours contre ses deux entreprises panafricaines.
Le magazine qui semble donner un coup de pouce à cette machination a annoncé qu’à l’occasion d’une conférence de haut niveau organisée les 02 et 03 décembre derniers à Dakar, les pourparlers entre les responsables du Fmi et les chefs d’Etat africains présents tendent à la limitation ou la suspension du recours aux garanties souveraines.
Chose curieuse, La Lettre du Continent s’empresse de citer Ebomaf alors que le même Magazine révèle qu’aucune entreprise n’a été nommée à l’occasion de ce rendez-vous. En outre, le Magazine qui indique que les garanties souveraines sont largement utilisées dans les contrats d’énergie ou du BTP s’empresse de citer une autre entreprise de Mahamadou Bonkoungou, qui pourtant n’intervient même pas dans ce secteur.
En effet dans sa parution ‘‘La Lettre du Continent’’ cite la compagnie aérienne Liza transport international qui appartient à l’homme d’affaires. Le média se plaît même d’accuser la Compagnie aérienne Liza Transport International d’affréter gracieusement ses avions à certains chefs d’Etat pour leurs voyages.
Des questions qui confirment la machination
Alors surviennent à l’esprit certaines questions au sujet de cette publication. Pourquoi citer spécifiquement Ebomaf alors qu’à la rencontre de Dakar aucune entreprise n’a été nommée ? Pourquoi de toutes les entreprises qui existent dans le secteur des BTP au niveau africain ou international, c’est seulement le cas d’Ebomaf qui intéresse le magazine ? Pourquoi ne pas avoir fait mention d’une entreprise qui intervient dans le secteur de l’énergie ?
Que vient faire la compagnie aérienne Liza transport international dans ce débat ? Comment une entreprise arriverait elle à survivre si elle fonctionnait en mode gratuit ?
En réalité, les réponses à ces questions confirment le complot qui se trame contre le Président directeur général d’Ebomaf. A titre d’exemple, sur le cas de la filiale Liza transport international, au cas où La Lettre du Continent ferait semblant de l’ignorer, il s’agit d’une structure spécialisée dans la location des jets privés essentiellement destiné au transport des personnalités. Cette filiale n’est donc pas dans le bénévolat.
Visiblement jaloux des performances et prouesses d’Ebomaf et de Liza transport international, le Fmi aidé par la ‘‘Lettre du Contient’’ veut faire disparaitre l’une des rares structures africaines qui arrivent à concurrencer les multinationales étrangères.
S’achemine t- on vers une élimination programmée d’une entreprise panafricaine après Air Afrique?
On connaissait du Fonds monétaire international (FMI), sa capacité à faire endormir l’économie des pays africains avec des programmes anti-développement, mais ce qu’on ignorait, c’était la capacité de l’institution financière à orchestrer l’élimination des sociétés africaines qui résistent à la concurrence des multinationales étrangères, notamment dans le secteur des BTP. Les aveux du magazine « La Lettre du continent » sur le cas Ebomaf ( Entreprises Bonkongoun Mahamadou et fils) en disent long…
On connaissait du Fonds monétaire international (FMI), sa capacité à faire endormir l’économie des pays africains avec des programmes anti-développement, mais ce qu’on ignorait, c’était la capacité de l’institution financière à orchestrer l’élimination des sociétés africaines qui résistent à la concurrence des multinationales étrangères, notamment dans le secteur des BTP. Les aveux du magazine « La Lettre du continent » sur le cas Ebomaf (Entreprise Bonkoungou Mahamadou et fils) en disent long.
Manassé AGBOSSAGA
« Afrique de l’ouest : LE FMI TRAQUE LES DETTES CACHEES », ainsi écrivait le magazine « La Lettre du Continent » dans sa parution du numéro 813 du mercredi 04 décembre 2019. Dans cette publication, le magazine prétend que le Fmi mène une campagne active contre le système des garanties souveraines, qui selon le journal en ligne, est utilisé par de nombreux Etats africains « pour masquer leur niveau réel d’endettement ». Le magazine indique d’ailleurs que le sujet a été longuement abordé dans les coulisses de la conférence de haut niveau organisée les 02 et 03 décembre derniers à laquelle participaient plusieurs chefs d’Etats africains dont ceux du Bénin, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Burkina-Faso.
Le FMI programme la mort d’Ebomaf ?
Ce qui attire l’attention, c’est que ‘‘La Lettre du Continent’’ ne tarde pas à cracher le morceau. Plus loin, le magazine, souvent très bien informé’, dévoile indirectement le plan diabolique empreint d’impérialisme qui se cache derrière la prétendue « traque des dettes ».
Expliquant que les garanties souveraines sont largement utilisées dans les contrats d’énergie ou du BTP, le magazine révèle que les pourparlers entre les responsables du Fmi et les chefs d’Etat africains tendent à la limitation ou la suspension du recours aux garantis. En outre, le journal ajoute que les pourparlers ne visent aucune entreprise nommément, mais « ciblent particulièrement le secteur du BTP qui selon ‘‘La lettre du Continent’’ « fait un usage de plus en plus immodérée des garanties ».
L’objectif est il d’empêcher l’entreprise de traiter avec ses partenaires traditionnels et manquer plus de fonds pour exister?
Fidèle à sa vision d’empêcher le développement de l’Afrique avec des programmes qui ne répondent pas aux réalités du continent, le Fmi donne des raisons de répondre par l’affirmatif. Dans ce cas, l’institution lance ainsi petit à petit l’assaut de destruction d’une entreprise panafricaine qui résiste à la concurrence des multinationales étrangères. Car, Ebomaf, c’est avant tout, une entreprise panafricaine qui fait preuve de professionnalisme et de notoriété. Ebomaf, c’est avant tout, une entreprise qui fidèle au respect du cahier des charges a su s’imposer sur le continent africain. Preuve, l’entreprise a, dans le strict respect des normes internationales, obtenu des marchés de construction d’infrastructures routières dans plusieurs pays dont le Libéria, la Côte d’Ivoire.
Ebomaf, c’est aussi et surtout une entreprise panafricaine qui appartient à un digne du fils du continent en la personne de Mahamadou Bonkoungou.
Jaloux de ce joli tableau, le Fmi après ses précédents destructeurs programmes uniquement concoctés pour l’Afrique revient à la charge pour éliminer une entreprise panafricaine sous le couvert « d’une traque de la dette ». Cette fois avec aux commandes Christalina Georgieva.
Les membres de la Résistance nationale n’ont pas eu accès à la salle des fêtes Majestic Cadjèhoun ce mardi 10 décembre pour présenter leur déclaration. Contraint à présenter leur déclaration à l’air libre malgré les formalités remplies, Judes Lodjou a exprimé sa frustration pendant que Guy Mitokpè a réitéré la détermination des leaders de l’Opposition à poursuivre le combat…
Les membres de la Résistance nationale n’ont pas eu accès à la salle des fêtes Majestic Cadjèhoun ce mardi 10 décembre pour présenter leur déclaration. Contraint à présenter leur déclaration à l’air libre malgré les formalités remplies, Jules Lodjou a exprimé sa frustration pendant que Guy Mitokpè a réitéré la détermination des leaders de l’Opposition à poursuivre le combat.
Manassé AGBOSSAGA
Etonnant, mais vrai ! Les partis de l’Opposition n’ont pu avoir accès à la salle Majestic pour présenter leur déclaration malgré les différentes formalités honorées. Et si les leaders de l’opposition ne se sont pas résignés face à ce sabotage, ils ont toutefois exprimé leur déception, frustration. C’est le cas de l’ancien député Force Clé, Jules Lodjou.
Appelé à expliquer la situation, il a rassuré que les leaders de la Résistance ont rempli les formalités, notamment les frais de location, sans toutefois avoir accès à la salle.
« La résistance a voulu faire une déclaration. Pour ce faire, nous avons pris une réservation. Nous avons voulu éviter les structures publiques qui ne pouvaient pas être possible à accéder. Alors nous avons loué ici qui est la salle Majestic. Nous avons payé ce qu’il faut payer depuis le 06 décembre passé », explique Judes Lodjou, avant d’ajouter sous fond de désolation « Nous sommes arrivés et la porte nous est bloquée’ parce qu’on n’a pas voulu qu’on tienne cette déclaration ici. Voila ce qui se passe dans le pays. Voilà comment est ce que le pays est géré. Il y a seulement une classe qui doit pouvoir s’exprimer ».
Pour sa part, le député Guy Mitokpè tout en étant choqué par cet acte, a fait savoir que cela motive encore davantage les leaders de Résistance à poursuivre le combat pour la restauration de la démocratie, l’état de droit et la liberté.
Il a d’ailleurs fait savoir qu’en présentant la déclaration, la Résistance a montré qu’elle n’a nullement été touchée par ce sabotage. « Nous sommes déterminés à résister jusqu’au bout. Notre détermination n’a pas été touchée, n’a pas été atteinte. Elle n’a pas été émoussée. Nous comprenons que nous sommes sur le bon chemin. La déclaration a été faite. C’est le plus important », a-t-il souligné.
Sur les raisons de la fermetture de la salle alors que le payement a été effectué, l’honorable Mitokpè a laissé entendre que leur vis-à-vis n’a donné aucune raison valable. « Il nous a dit, qu’il ne peut pas ouvrir. Pourtant, on payé. On a le reçu. On a constaté qu’on ne peut pas rentrer. Aucune raison concrète n’a été avancée. Celui auprès de qui on a payé, on ne l’a même pas retrouvé » ; a déploré le secrétaire général du parti restaurer l’espoir.
Et à la question de savoir si la Résistance enclenchera une action judicaire contre les responsables de Majestic, Guy Mitokpè désamorce la bombe « On ne va pas rentrer dans un conflit politico juridique ».
L’ultime action qu’envisage l’Opposition pour venir à bout de Talon et restaurer la démocratie..
Les forces politiques de l’Opposition réunies au sein de la Résistance nationale étaient face aux hommes des médias ce mardi 10 décembre 2019 à Cotonou. Par la voix de l’honorable Léon Basile Ahossi, ces dernières ont, à l’occasion, dévoilé leur ultime plan pour venir à bout de Patrice Talon et restaurer la démocratie.
Manassé AGBOSSAGA
Déçus, mais pas abattus du vilain coup joué par les responsables de Majestic Cadjèhoun, les membres de l’opposition ont réitéré leur détermination à ne pas fléchir face au pouvoir de la Rupture. Après avoir peint en noir le régime de la rupture, mais aussi et surtout dénoncé l’entêtement du chef de l’Etat à « poursuivre son œuvre de démantèlement de la démocratie, de liquidation de l’état de droit et des acquis de la conférence nationale », les partis de l’Opposition réunis au sein de la Résistance nationale ont dévoilé leur ultime stratégie pour restaurer la démocratie, l’état de droit, les libertés, …
« Il ne nous reste une et une seule ultime solution, celle que nous nous recommande la constitution de notre pays, l’expression du peuple souverain à travers de courageuses manifestations de rues », dévoile la Résistance nationale par la voix de Léon Basile Ahossi.
Dans ce sens, les forces de l’opposition invitent les populations à rester à l’écoute pour les consignes à venir. « La résistance appelle toutes les filles et fils de ce pays à se tenir prêts pour restaurer la démocratie », renchérit Léon Basile Ahossi.
Puis de rassurer aux uns et aux autres que la Résistance gagnera le combat dans lequel il est engagé. « La Résistance ne se laissera pas conduire à l’abattoir. Nous briserons les chaînes de l’intimidation, du terrorisme, de l’arbitraire, de l’exclusion pour retrouver la démocratie, la liberté, la justice, la fierté, la dignité », martèle la déclaration de presse.
Les jours à venir donneront ils raison à Nicéphore Soglo, Boni Yayi, Eric Houndété, Léon Basile Ahossi,… ?
L’assassinat de Fidèle Combétti dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019 pendant sa garde-à-vue a semé tristesse, colère et désolation au près de sa famille et de nombreux béninois. Toutefois, cet assassinat a semblé réjouir ses détracteurs qui l’ont traité de tous les noms d’oiseau. Mais qui était cet homme assassiné dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019 dans la chambre des policiers pendant sa garde-à-vue au commissariat de Manta, et dont le corps est toujours à la morgue pendant que les présumés criminels circulent comme de l’air libre, trois mois après…
Exactement trois mois que Fidèle Combétti quittait ce monde suite à son assassinat dans la chambre des policiers pendant sa garde-à-vue au Commissariat de Manta, commune de Bounkoumbé, dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019. Trois mois après ce crime crapuleux impuni et dont la famille de la victime n’a toujours pas encore fait son deuil, Kpakpato Médias retrace la vie de Fidèle Combétti.
Manassé AGBOSSAGA
L’assassinat de Fidèle Combétti dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019 pendant sa garde-à-vue a semé tristesse, colère et désolation au près de sa famille et de nombreux béninois. Toutefois, cet assassinat a semblé réjouir ses détracteurs qui l’ont traité de tous les noms d’oiseau. Mais qui était cet homme assassiné dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019 dans la chambre des policiers pendant sa garde-à-vue au commissariat de Manta, et dont le corps est toujours à la morgue pendant que les présumés criminels circulent comme de l’air libre, trois mois après.
Une vie de famille accomplie
Né en 1979, Feu Fidèle Combétti était père de 13 enfants (différentes mères) et grand père de trois garçons et une fille. En outre, il était l’aîné d’une famille de huit enfants. Des frères et sœurs, mais aussi et surtout des parents qu’il ne reverra plus jamais, suite à son assassinat. Le père et la mère de Fidèle Combétti continuent d’ailleurs de pleurer un fils aîné exemplaire, qui a su renoncer à ses intérêts pour propulser ses frères et sœurs.
« Sacrifice, Ciment »
S’il est vrai que Fidèle Combétti n’était pas un Saint, puisqu’étant humain, il avait toutefois des qualités hors du commun. Par exemple, il était un grand frère doté d’un grand esprit du sacrifice, capable de renoncer à ses intérêts pour satisfaire ceux des autres. « Il a quitté les bancs après le Cep pour garder la maison et les traditions afin de permettre à ses frères de continuer les études, mais aussi afin de tenir compagnie à la grande mère au village qui était à l’époque vivante et seule au village », raconte son jeune frère Lucien Combétti.
Pour un autre membre de la famille, Fidèle Combétti était celui là qui consolidait la famille. «Fidèle était le ciment de la famille, toujours prêt à tout pour ses frères et la famille et le clan de Koubetiégou. Il était une source de joie à chaque rencontre », reconnait ce dernier.
Un vrai combattant
Fidèle Combétti se symbolisait également par l’esprit de combativité. Un battant qui après avoir abandonné les études s’est essayé au métier de chauffeur. Avec son diplôme de chauffeur en main, il fera d’ailleurs le tour de Cotonou, de Tanguiéta et du grand Nigéria, en qualité de conducteur de Taxi. Le temps pour lui de nourrir une autre passion.
Tenté par l’entreprenariat, il se lance plus tard dans la savonnerie. Il deviendra rapidement propriétaire d’une savonnerie artisanale. A Manta, Fidèle Combétti sera très tôt surnommé « savon kounti manta », qui signifie « savon rentre à Manta ».
Fidèle Combétti, c’était donc tout sauf un oisif, un fainéant qui vivait à la charge des autres, ou qui s’adonnait à des activités illégales pour subvenir à ses besoins et ceux de sa famille. Ce n’est donc pas pour rien que Fidèle Combétti n’avait jamais eu de démêlé avec la justice. Son casier judiciaire était vierge, comme la vierge Marie, nous confirme, son jeune frère Lucien Combétti.
Et si c’était le contraire, cela aurait été un péché pour l’Otammari, qu’il est, nous confie un autre de ses frères.
Un peu teinté USL
Sur le terrain politique, Fidèle Combétti affichait son soutien à l’Union sociale libérale de Sébastien Ajavon. Du moins, à travers son jeune frère, Ferdinand Combétti, membre du parti, candidat tête de lice aux législatives de 2011 sous la bannière de l’IPD, puis en 2015 sous l’aile de l’AND dans la 3ème circonscription électorale.
« Il soutenait mes choix politiques ou que je sois. Et je suis USL », indique Ferdinand Combétti qui n’a pu se présenter aux dernières législatives, suite à l’exclusion des partis de l’opposition.
Et si son jeune frère ne dit pas officiellement que son frère a été assassiné pour sa couleur politique, il confirme que son frère a été victime de sa grande foi en l’indépendance de la justice de son pays. « Il est mort pour la justice dans son pays. Il croyait à la justice de son pays, c’est pour cette raison qu’il a fait appel à la police et s’y est rendu », souligne t-il.
Désormais, les béninois auront-ils confiance en leur justice ? La question reste posée.
Mouvement acquis à la cause du président Patrice Talon, le Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) a rompu le silence ce vendredi 08 décembre, soit plus de six mois après sa dernière sortie médiatique. Un long moment de silence mis à profit par Moustapha Bashola et les siens pour sortir de leur laboratoire un concept politique pour corriger les « attitudes apatrides » de l’opposition…
Le Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) lance un concept politique. Aux côtés d’autres membres du CJSP ce vendredi 08 décembre 2019 à l’Infosec de Cotonou, le président Moustapha Bashola a annoncé le lancement du concept la « Résistance Patriotique et Populaire » dénommé « Le Patriotisme, notre seule arme au combat » pour répondre aux « attitudes apatrides » de l’opposition.
Manassé AGBOSSAGA
Mouvement acquis à la cause du président Patrice Talon, le Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) a rompu le silence ce vendredi 08 décembre, soit plus de six mois après sa dernière sortie médiatique. Un long moment de silence mis à profit par Moustapha Bashola et les siens pour sortir de leur laboratoire un concept politique pour corriger les « attitudes apatrides » de l’opposition.
En effet, s’appuyant sur les dernières actualités, notamment celles liées aux affaires 3 tonnes de cocaïne en provenance de l’Uruguay et fermeture de la frontière du Nigéria, le président du CJSP a annoncé le lancement du concept « la Résistance Patriotique et populaire ».
Selon ses propos, ce concept dénommé « le Patriotisme, notre seule arme au combat » a pour but de susciter au sein des populations l’amour de la patrie comme la seule arme ‘pour combattre la traitrise des opposants qui de l’extérieur agissent pour instaurer et maintenir l’instabilité dans leur propre pays ».
« Le CJSP voudrait à travers cette opération lancer un appel vibrant et patriotique à l’endroit des béninois, surtout à l’endroit de la couche juvénile pour l’amour de leur pays et pour ne point céder aux manipulations et aux chantages de ceux là qui n’ont l’amour du pays que leurs propres intérêts comme ils le démontrent chaque jour depuis déjà quelques années », a lancé le président du CJSP.
Dans cette lancée, Moustapha Bashola dévoile l’agenda du CJSP pour donner corps à ce concept. « Le CJSP compte mener dans les tout prochains jours une vaste campagne de sensibilisation sur le patriotisme, les devoirs de citoyenneté à l’endroit des groupes cibles », indique t-il.
Groupes cibles concernés, apprêtez donc vos stylos et cahiers !
Les béninois savent à quoi s’attendre pour l’année 2020. La consultation Xwé-Fâ effectuée ce jeudi 05 décembre au palais royal d’Abomey, en présence de Dada Kèfa Sagbadjou Glèglè, de plusieurs rois du Bénin, notamment ceux du département du Mono a, après consultation de l’oracle, par le collège de prêtres Fâ, révélé le signe divinatoire Tula’Ablah encore appelé Tula’bahoun…
La consultation Xwé-Fâ 2020 a livré son verdict. Ce jeudi 5 décembre 2019 au palais Royal d’Abomey en présence de Dada Kèfa Sagbadjou Glèglè et sous la supervision générale du président des Boconons du Bénin, Dah Djissa, le collège de Fâ après consultation de l’oracle a révélé le signe divinatoire Tula’Ablah pour tout le Bénin.
Manassé AGBOSSAGA
Les béninois savent à quoi s’attendre pour l’année 2020. La consultation Xwé-Fâ effectuée ce jeudi 05 décembre au palais royal d’Abomey, en présence de Dada Kèfa Sagbadjou Glèglè, de plusieurs rois du Bénin, notamment ceux du département du Mono a, après consultation de l’oracle, par le collège de prêtres Fâ, révélé le signe divinatoire Tula’Ablah encore appelé Tula’bahoun.
Selon Dah Djissa, président des Boconons du Bénin, ce signe divinatoire prédit des tensions dans le pays, des mésententes entre les dirigeants ou encore des catastrophes au cas où les sacrifices ne seraient pas respectés. Dah Djissa a alors insisté sur le respect strict des offrandes à faire, notamment à l’endroit de l’Iroko.
« Les boconons nous disent qu’il faut respecter scrupuleusement les sacrifices de l’oracle en particulier l’arbre fétiche Loko (Iroko) qui est considéré comme l’arbre le plus géant de la forêt auquel il faut faire des sacrifices pour avoir la paix », fait savoir Dah Djissa.
En outre, il ajoute que la consultation a recommandé aux dirigeants et aux responsables à divers niveaux l’humilité, la patience, l’amour, l’union entre tous les fils et filles du Bénin dans tous les sens pour permettre aux béninois de passer une année 2020 paisible.
Au cas contraire, le Bénin court un grand risque de basculement dans la violence, prévient le président des Boconons du Bénin.
Entre Tam Tam d’Afrique Awards et son promoteur, c’est une histoire de fidélité. Preuve, l’agenda de la 17ème édition a été honoré avec un goût sucré ce samedi 30 novembre 2019 à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou. Une édition qui a d’ailleurs permis au promoteur Aziz Abdoulaye de rendre un vibrant hommage à l’artiste Sèna Joy et de distinguer plusieurs personnalités locales et étrangères dont le ministre d’Etat ivoirien, Hamed Bakayoko, la député togolaise Molgah Kadjaka Abougnima…
Entre Tam Tam d’Afrique Awards et son promoteur, c’est une histoire de fidélité. Preuve, l’agenda de la 17ème édition a été honoré avec un goût sucré ce samedi 30 novembre 2019 à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou. Une édition qui a d’ailleurs permis au promoteur Aziz Abdoulaye de rendre un vibrant hommage à l’artiste Sèna Joy et de distinguer plusieurs personnalités locales et étrangères dont le ministre d’Etat ivoirien, Hamed Bakayoko, la député togolaise Molgah Kadjaka Abougnima.
Manassé AGBOSSAGA
Dès l’entame, le promoteur a insisté sur la particularité qui caractérise le grand prix international de récompense des meilleurs acteurs de développement africain. Aziz Abdoulaye a fait savoir à l’assistance que ce prix ne s’attribue pas sur des critères monétaires ou fantaisistes. « Ce trophée n’est pas négociable. Ce trophée n’est pas achetable », a insisté le promoteur Aziz Abdoulaye.
Il a ensuite indiqué que la fondation Tam Tam d’Afrique a fait l’option de rendre hommage de leur vivant aux personnes qui contribuent au développement de l’Afrique dans leurs secteurs. « L’homme ne doit jamais être célébré à titre posthume. L’homme doit être célébré de son vivant. C’est notre crédo à Tam-Tam d’Afrique », a-t-il précisé.
Place aux récompenses
Après ses clarifications, place a été faite à la distinction des lauréats, mais également à la remise d’attestation de soutien aux partenaires qui accompagnent l’initiative.
A ce niveau plusieurs personnalités locales et étrangères, dont le ministre d’Etat le ministre d’Etat ivoirien, Hamed Bakayoko, l’Honorable Molgah Kadjaka Abougnima, l’artiste Sèna Joy ont fait leurs entrées dans la cour des grands.
Absent pour raison d’agenda, le ministre d’Etat et maire de la ville d’Abomey, Hamed Bakayoko a reçu la palme Diamant du Meilleur acteur de développement.
Contrairement au ministre d’Etat ivoirien, la députée Molgah Kadjaka Abougnima s’est déplacée en personne pour recevoir son prix. Elle a reçu la palme d’or de la femme leader et actrice de développement africain. « Je remercie de m’avoir honoré. Je suis surprise. J’ai compris que ce qui se faisait était quelque chose de sérieux. Merci à ceux qui ont porté leur choix sur ma personne », a t- elle déclaré toute émue après sa distinction.
L’autre personnalité qui a affiché son émotion après sa distinction au point de ne pas retrouver les mots est l’artiste Sèna Joy. Pour ses 50ans de carrière, l’artiste a reçu la palme d’or de reconnaissance + une parcelle de 500m2 d’une valeur de 2 millions offert par l’entreprise Royal Services appartenant à Supplice Gbaguidi + une assurance santé + produits pharmaceutique pour ses soins jusqu’à son dernier jour sur la terre par le Dr Bouraïma Aboudou + une robe d’une valeur de 250.000 fcfa offert par le prêt à porter Point de Luxe de Djoss Kouton.
En outre, un gâteau délicieux a été coupé en l’honneur de l’artiste.
Sèna Joy n’oubliera pas, sans doute, cette 17ème édition de Tam Tam d’Afrique Awards.
PALMARES DE LA SOIREE
1- Dr Donatien SOKOU Jeune promoteur de cultes endogènes africains
2- Hamed BAKAYOKO, Ministre d’État, Maire de la ville d’Abobo. Palme Diamant du Meilleur Acteur de Développement
3- Group Zank prix diaspora. Meilleure entreprise de production et de distribution de produits cosmétiques Afro dans le monde
4- Mme Molgah KADJAKA Abougnima Notaire et députée à l’Assemblée Nationale du Togo. Palme d’or de la femme leader et actrice de développement Africain.
5- Sêna joy artiste chanteuse qui totalise 50 ans de carrière , (Prix hommage).Palme d’or de reconnaissance + une parcelle de 500m2 d’une valeur de 2 millions offert par l’entreprise royal services de Mr Sulpice Eleutère GBAGUIDI ,d’une assurance santé + produits pharmaceutiques pour ces soins jusqu’à son dernier jour sur la terre par le Dr bouraima ABOUDOU , don ‘une robe d’une valeur de 250.000frs offert par le prêt à porter Point de luxe de Mr Djoss KOUTON,
6-;Jothan Nikora Burundais fonctionnaire de police ,tradi-praticien et président des associations des tradi thérapeute du Burundi . Palme d’or du Meilleur chercheur et promoteur de la médecine africaine .
7- Les laboratoires COPHARBIOTEC eau Kwabo. Palme d’or de la meilleure eau en qualité vitale.
8- Biou Bénin services Sté de gestion immobilière. Meilleure entreprise de vente de parcelle (crédibilité et garantie)