Bénin : Un jeune homme de 22 ans accusé d’avoir tué sa mère la veille du nouvel an

C’est l’Agence Bénin Presse (ABP) qui rapporte l’information. Un jeune   de 22 ans est  accusé d’avoir tué sa mère la veille du nouvel an à Ahotissa, une localité d’Agamè.

D’après les faits, il a abattu sa  mère après lui avoir donné des coups de pied au niveau de l’abdomen, en présence de sa grand-mère. 

Interpellé par le commissariat d’arrondissement d’Agamè,  ce dernier a été  présenté ce lundi 04 janvier 2021 au procureur de la République près le tribunal de première instance de deuxième classe de Lokossa,

A l’audition, il a nié les faits, avançant  que sa mère est morte des  suites d’une crise. Mais,  faux rétorque sa grand-mère,  qui soutient que son petit fils a commis le parricide.

Le corps de la victime est  déposé sur autorisation du procureur à la morgue du centre hospitalier départemental du Mono/Couffo.

Pour l’heure, aucun examen approfondi n’a été fait, par un médecin assermenté,    sur le corps de la victime pour établir la vérité.

Manassé AGBOSSAGA

Grogne à la Police républicaine : Les Ex-commandants et commandants adjoints de brigades en courroux

Grogne en silence à la Police républicaine. Les Ex commandants de brigade sont en courroux. C’est l’Agence Bénin Presse (ABP) qui révèle cette information.

D’après l’ABP, les Ex-commandants et commandants adjoints de  brigades en service dans les unités de  police républicaines fustigent « leur position actuelle dans leur unité respective et du traitement à eux infligés ».

Ces derniers supporteraient «  de moins en moins d’être aux ordres de leurs collègues inspecteurs de police, autrefois techniquement moins gradés qu’eux ».

En outre, les promotions, les ports de galon et la gestion des carrières provoquent également l’ire des Ex-commandants et commandants adjoints de  brigades.

Police Républicaine

 « Pour ne rien vous cacher, l’humiliation est de trop. Ça devient insoutenable… », se désole  sous le couvert de  l’anonymat un Ex-commandant de brigade en service dans  une unité de police républicaine, rapporte l’ABP.

Les ex-commandants  s’étonnent de cette situation alors que  « l’assemblée nationale et le chef de l’Etat ont déjà faire leurs boulots.

 « Selon les différents témoignages, seule l’ouverture des formations d’une année des ayants droit, comme prévu par les textes, pourra à nouveau  leur doper le moral et leur permettre de reconquérir leur place au sein de cette force de police moderne et républicaine », conclu l’ABP.

Le Directeur général de la Police républicaine  et le ministre de l’Intérieur sont donc interpelés.

Manassé AGBOSSAGA

8000 Fcfa par mois : Insignifiant pour les Elus locaux de Houéyogbé qui réclament une augmentation, sinon…

A Houéyogbé, les élus locaux sont en courroux. A l’origine, leur rémunération mensuelle, qu’ils jugent très faible.

 A Houéyogbé, les élus locaux sont en courroux. A l’origine, leur rémunération mensuelle,  qu’ils jugent très faible.

En effet, selon l’Agence Bénin presse, la mairie de Houéyogbé leur paie  huit mille ( 8 000) F CFA à la fin du mois.

Et les chefs de village et de quartiers de ville (CQ,CV) de la commune de Houéyogbé ont  ouvertement exprimé leur mécontentement  à l’autorité préfectorale. A l’occasion de la tournée statutaire du préfet Komlan Zinsou dans les communes du département du Mono, ce vendredi 16 octobre 2020, ils ont fait part de leur frustration.

Ils ont expliqué à l’autorité préfectorale  que ce montant mensuel «  n’est pas à la hauteur des tâches qui leur incombent dans leurs différentes localités pour le bien être des populations ».

Pour ces derniers, « il ne sert à rien de participer à la mobilisation de l’argent et ne pas être bien rémunérés en retour ».

En outre, les Elus locaux  ont fait remarquer que cela explique  « la démotivation de la plupart d’entre eux à s’impliquer réellement dans la mobilisation des ressources propres pour la commune».

Les élus concernés ont alors menacé « de se faire entendre si la situation perdure », renseigne l’ABP.

Face à cette doléance, le préfet Komlan Zinsou a expliqué aux chefs de village et de quartiers de ville, qu’ « accepter assumer une charge communautaire est un exercice de sacrifice et les conditions de son exercice sont prévues dans les textes sur la décentralisation », rapporte l’ABP.

Il a ajouté que  « la seule condition qui permettra au maire d’augmenter la rémunération des CV et CQ est leur implication dans le recouvrement des taxes locales ».

Quel drôle de réponse face à une juste revendication !!!

Manassé AGBOSSAGA

Le département de l’Atacora inquiète : Dix-huit suicides par pendaison enregistrés en huit mois

Le département de l’Atacora est il devenu champion en homicide, meurtre et suicide ? Oui est-on tenté de répondre sur la base des chiffres fournis par l’Agence Bénin presse (ABP).

L’Atacora a enregistré   plus de 50  cas d’homicides, de meurtres et de suicides du 1er janvier au 31 août 2020, soit en huit mois.

A titre d’exemple, huit (08) meurtres ont été commis du 1er janvier au 31 août 2020 dans le département. Dans la même période, onze (11) homicides et 20 découvertes macabres non clarifiées ont été enregistrés dans l’Atacora.

Plus triste, dix-huit (18) suicides par pendaison ont été enregistrés  en 08 mois dans le département.

« Fin septembre, le corps sans vie avec des lésions au crane d’une petite fille de 09 ans a été découvert derrière le parking gros porteur de Natitingou. Selon les parents de la victime, la petite aurait disparu quelques jours avant cette découverte macabre, avec sa maman, une handicapée mentale. Après le constat d’usage, le corps de la fillette a été remis à sa famille pour inhumation et une enquête ouverte à cet effet…Dans la même période à Tanguiéta, l’une des communes du département,  le corps sans vie de l’opérateur économique El-Hadj Gbadamassi Akim, a été retrouvé à son domicile au quartier Goro-Banni, tué par quatre individus armés de fusils non identifiés », ajoute l’ABP.

Des chiffres alarmants qui interpellent les autorités !!!

Manassé AGBOSSAGA

Accidents de la route: Plus de 40 morts en huit mois dans le département de l’Atacora

Les accidents de la route ont fait d’énormes dégâts dans le département de l’Atacora. En huit mois, plusieurs personnes sont passées de vie à trépas dans plus de 267 accidents enregistrés.

Les accidents de la route ont fait d’énormes dégâts dans le département de l’Atacora. En huit mois, plusieurs personnes sont passées de vie à trépas dans plus de 267 accidents enregistrés.

Selon l’Agence Bénin presse (ABP),  « quarante-neuf (49) personnes sont mortes dans  les accidents de la route du 1er janvier au 31 Août 2020 dans  l’Atacora ».

« On déplore 10 en  janvier, 09 en février, 07 en mars, 06 en avril, 06 en mai, 02 en juin , 04 en juillet,  05 en août,», détaille l’ABP.

En outre,  cette triste statistique  classe la commune de Natitingou en tête des cas d’accident.

« La commune de Natitingou seule est à plus de 200 cas d’accident dans  la période, avec des points de recrudescence au carrefour Ecobank et l’embranchement  Boukoumbé-Tanguiéta de la ville », précise l’ABP.

Des chiffres qui appellent à la vigilance, la prudence et au respect du code de la route.

Manassé AGBOSSAGA

Fleuve d’Affon sort de son lit et ravage plusieurs hectares de cultures vivrières

Les nouvelles ne sont pas bonnes du côté de Djougou. Le « fleuve d’Affon est sorti de son lit et a ravagé plusieurs hectares de cultures vivrières dans le village d’Affon, arrondissement de Bariénou », a constaté jeudi l’ABP.

Les nouvelles ne sont pas bonnes du côté de Djougou. Le « fleuve d’Affon est sorti de son lit et a ravagé plusieurs hectares de cultures vivrières dans le village d’Affon, arrondissement de Bariénou », a constaté jeudi l’ABP.

Champs de maïs, de sorgho, d’ignames et d’autres cultures vivrières ont été emportés par les eaux. Selon l’ABP, les « dégâts ont été constatés sur plusieurs dizaines hectares ».

Les pluies qui se sont abattues ces derniers jours sur Djougou et sa banlieue sont à l’origine de ce drame aux multiples conséquences, fait remarquer  l’ABP

En larmes, les paysans sollicitent à présent l’aide des autorités au plus haut.

Dans la même lancée, le Chef d’arrondissement de Bariénou, Amadou Idrissou appelle à l’esprit de solidarité et invite le gouvernement à venir en aide aux paysans,  qui ont contracté des prêts pour acquérir des intrants et l’entretien des champs désormais  ravagés par les eaux.

Un SOS est donc lancé au gouvernement !!

Manassé AGBOSSAGA

Un corps en putréfaction découvert dans les eaux du barrage de Djougou

Découverte macabre ce mercredi 09 septembre 2020 dans la commune de Djougou, département de la Donga. Un corps en putréfaction a été découvert dans les eaux du barrage.

Découverte macabre ce mercredi 09 septembre 2020 dans la commune de Djougou, département de la Donga.  Un   corps en putréfaction a été découvert dans les eaux du barrage.

Crédit Photo:ABP

« Nous avons reçu un appel téléphonique pour secours à victime, une fois arrivés sur les lieux, nous avons constaté qu’il y a un corps en putréfaction flottant dans le barrage », a déclaré le chef centre de la compagnie départemental des sapeurs-pompiers de la Donga, le sergent-chef Ahmadou Moukaram à l’Agence Bénin presse (ABP).

Il a ensuite indiqué que le corps, une jeune dame, la trentaine environ,  a été remis à la police républicaine pour le constat d’usage.

En attendant, vigilance en cette période d’intenses pluies où les rivières sont débordées !

Manassé AGBOSSAGA

Kandi : Le gardien d’une ferme retrouvé mort avec une partie de son corps amputée

Un vigile a été retrouvé mort, ce mercredi 09 septembre 2020 à Padé dans la commune de Kandi. Originaire de Béroubouay dans la commune de Bembèrèkè, ce dernier assurait la sécurité d’une ferme.

Un vigile a été retrouvé mort,   ce mercredi 09 septembre 2020  à Padé dans la commune de Kandi.  Originaire de Béroubouay dans la commune de Bembèrèkè, ce dernier assurait la  sécurité d’une ferme.

Selon l’Agence Bénin Presse (ABP),  il aurait reçu la visite surprise des malfrats  dans la nuit du mardi à mercredi.

Ces derniers  ont fait usage de machettes. Ses agresseurs auraient coupé sa langue, d’après l’ABP.

Pour l’heure, les auteurs de ce crime ne sont pas encore identifiés.

Manassé AGBOSSAGA

Zè : Disparu depuis deux semaines, son corps sans vie est découvert dans un puits

Terrible découverte dans la commune de Zè, ce mardi 08 septembre 2020. Les sapeurs pompiers ont découvert le corps sans vie d’un homme dans un puits à ciel ouvert de margelle 0,90 mètres environ et de 61 mètres de profondeur, dans le village de Djègba, situé dans l’arrondissement de Dawé.

Terrible découverte  dans la commune de Zè, ce mardi 08 septembre 2020.  Les sapeurs pompiers ont découvert le corps sans vie  d’un homme dans  un puits à ciel ouvert de margelle 0,90 mètres environ et de 61 mètres de profondeur,  dans le village de Djègba, situé  dans l’arrondissement de Dawé.

Crédit Photo Agence Bénin Presse

D’après l’Agence Bénin Presse (ABP), le corps repêché était en putréfaction très avancée.  

Cultivateur de profession, l’homme était  âgé de 36 ans environ et était recherché depuis deux semaines.   

Toujours selon  des sources proches de l’ABP, la victime ne souffrait d’aucun trouble psychologique de son vivant.

Difficile donc d’expliquer ce drame !!!

Manassé AGBOSSAGA

Abomey : Incendie à « BIS Hôtel », d’énormes dégâts matériels !

Un incendie s’est déclenché à ‘‘Bis Hôtel’’ situé dans l’arrondissement de Djègbé, commune d’Abomey, le vendredi 04 septembre dernier. Selon l’Agence Bénin presse (ABP), cet incendie a causé d’énormes dégâts matériels. Des chambres et des matériels sont partis en fumée.

Un incendie s’est déclenché à ‘‘Bis Hôtel’’  situé dans l’arrondissement de Djègbé, commune d’Abomey, le vendredi 04 septembre dernier. Selon l’Agence Bénin presse (ABP),  cet incendie a causé d’énormes dégâts matériels. Des chambres et  des matériels sont partis en fumée.

Toutefois, aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. L’arrivée des soldats du feu a permis de limiter les dégâts.

Les causes de la survenue du feu sont pour l’heure inconnues, précise l’ABP.

Le maire d’Abomey, Antoine Djédou qui s’est  déplacé sur les lieux du drame pour apporter son soutien au promoteur de BIS Hôtel et au  personnel a, dans ce sens,   souhaité l’ouverture d’une enquête rapide.

Manassé AGBOSSAGA