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L’affaire disparition de plusieurs milliards à la Direction générale des impôts s’est invitée dans le Conseil des ministres de ce mercredi 14 octobre 2020. Du moins, lors du point de presse.
Répondant à une question d’un journaliste sur cette rocambolesque affaire qui secoue la Direction générale des impôts, avec l’arrestation au Sénégal et l’extradition du principal présumé accusé Carlos Adohouannon, Alain Orounla a mis en avant la volonté du Gouvernement d’élucider ce dossier.
Pour le Porte-parole du Gouvernement, l’Exécutif n’a pas tenté « d’étouffer ce scandale ».
« Le Gouvernement a fait preuve de la plus grande transparence en poursuivant les investigations relatives à cette malversation », avance t-il.
Alain Orounla invite alors les uns et les autres au calme et à laisser la Justice, qui a déjà pris le dossier main, poursuivre ses investigations pour situer les responsabilités.
Un peu comme pour dire, laissons la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet), en charge du dossier, faire son job.
En début de semaine, un journal proche du Gouvernement a confié que le président de la République a annoncé, à certains de ses proches, sa candidature à la présidentielle de 2021. Et lors du point de presse du Conseil des ministres de ce mercredi 14 octobre 2020, un journaliste a essayé d’avoir la confirmation, en interrogeant le porte-parole du Gouvernement sur la candidature de Patrice Talon.
Mais, répondant à cette question, Alain Orounla s’est montré très évasif.
« Je voudrais me référer à l’interview que le président de la République a donnée à votre confrère de Jeune Afrique, interview au cours de laquelle, le président de la République a dit vouloir réserver le primeur et la décision qu’il a prise a son peuple, j’ai espoir et je suis d’ailleurs sûr que cette promesse sera honorée », a t-il lancé, invitant les uns et les autres à la « patience ».
Le porte-parole du gouvernement s’est prononcé sur la décision de l’Office français de protection des refugiés et des apatrides (OFPRA) de retirer le Bénin sur la liste des pays d’origine sûr, pour une période de 12 mois.
Le porte-parole du gouvernement s’est prononcé sur la décision de l’Office français de protection des refugiés et des apatrides (OFPRA) de retirer le Bénin sur la liste des pays d’origine sûr, pour une période de 12 mois.
Tout en désapprouvant, Alain Orounla s’est notamment interrogé sur les raisons de cette sentence.
«… Peut être que l’OFPRA n’aime pas le rapport qui a été rendu et qui constate les efforts consentis par le gouvernement (, le président de la République, en particulier pour la promotion, la consolidation des droits de l’homme dans notre pays (Ndlr : Rapport de la Commission béninoise des droits de l’homme)…est ce que parce que parce que tout va du tout bien ?… Est-ce le résultat d’une auto flagellation de nos compatriotes qui ne cessent de clamer partout que les libertés sont en recul au Bénin…Nous laisserons le temps au temps, comme ils l’ont faits en nous mettant un sursis de 12 mois… », a répondu le porte-parole du Gouvernement suite à une question d’un journaliste au cours du point de presse du Conseil des ministres de ce mercredi 07 octobre 2020.
Puis de rassurer : « Le Bénin fera la preuve que c’est un Etat de droit, c’est un Etat de liberté, c’est un pays sûr, considéré comme tel par le Faut conseil des réfugiés qui sait que notre pays est ouvert à ceux qui sont en difficulté dans son voisinage immédiat et même un peu plus loin lointain ».
Le porte-parole du Gouvernement réagit à la réplique de Boni Yayi à Patrice Talon après son interview à Jeune Afrique. Après le point du Conseil des Ministres de ce mercredi 30 septembre 2020, Alain Orounla a tenté de repréciser les propos du chef de l’Etat dans Jeune Afrique.
Le porte-parole du Gouvernement réagit à la réplique de Boni Yayi à Patrice Talon après son interview à Jeune Afrique. Après le point du Conseil des Ministres de ce mercredi 30 septembre 2020, Alain Orounla a tenté de repréciser les propos du chef de l’Etat dans Jeune Afrique.
S’il se dit heureux de la lecture de l’interview par l’ancien président de la République, le ministre de la Communication fait remarquer que ce ne dernier n’a pas eu une bonne compréhension des propos adressés à Nicéphore Soglo et à lui.
« Je me réjouis comme beaucoup de mes collègues de ce que le président Yayi Boni ait pris le temps de lire l’interview très structuré donné par le président de la République. Je crois que comme la plupart des béninois il a apprécié la teneur, la tonalité des réponses apportées par le président de la République sans tabou et sans langue de bois. Je m’aperçois tout simplement que le président Yavi Boni n’a pas du bien comprendre les propos du président de la République à son endroit », souligne le porte-parole du Gouvernement avant de préciser « car loin d’être une menace ou des invectives comme il a pu le relever dans sa réponse, il s’agissait tout simplement, d’une invitation renouvelée du président de la république qui avait déjà eu l’occasion lors du discours du 01 août d’inviter ses prédécesseurs à la modération, à la sagesse, en toute humilité à l’aider à construire ce pays donc.. Il ne s’agissait ni de menace ni d’invective… la preuve est que, il est rare de pouvoir riposter une menace lorsqu’on est réellement menacé ».
Orounla qui explique la pensée de Talon, Yayi appréciera, surtout la chute du ministre de la Communication.
En ce début d’année, le gouvernement de Talon a décidé de s’inspirer des pratiques du football pour homologuer la Cour de répression et des infractions économiques (CRIET). Ainsi, avec le président Patrice Talon en arbitre, le gouvernement a, comme dans un match de football, fait recours à l’Assistance vidéo arbitrage (Var) pour s’assurer de la pertinence de la Criet, qui a vu le jour en 2018.
En ce début d’année, le gouvernement de Talon a décidé de s’inspirer des pratiques du football pour homologuer la Cour de répression et des infractions économiques (CRIET). Ainsi, avec le président Patrice Talon en arbitre, le gouvernement a, comme dans un match de football, fait recours à l’Assistance vidéo arbitrage (Var) pour s’assurer de la pertinence de la Criet, qui a vu le jour en 2018.
En conseil des ministres ce 08 janvier, ‘‘Agbonnon en arbitre » a, face aux contestations de plusieurs juristes, des acteurs politiques de la société civile, de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples et même la Cour constitutionnelle à travers la décision dcc 19-0555 du 31 janvier 2019, sifflé un long pruuuuuuuuuun pour revoir les images de la Criet. Face à la Var, Talon a scruté, seconde par seconde, minute par minute, heure par heure, les différentes décisions rendues par la Criet. Après visionnage, Talon et son gouvernement ont pris la décision de maintenir la juridiction, mais acceptent faire un rétropédalage.
Selon le point fait par l’ancien avocat de l’opposant Sébastien Ajavon, devenu plus tard soutien du régime de la rupture et actuel ministre de la communication, le gouvernement entend désormais donner plus d’efficacité à la Criet à travers sa composition et son organisation. Ainsi, il a confié qu’un texte a été transmis à l’assemblée nationale pour d’une part, affiner l’énumération indicative des infractions relevant de la compétence de la Criet et d’autre part, pour instaurer le double degré de juridiction de jugement et une chambre des appels.
Une proposition d’ailleurs faite par certains juristes, notamment Nourou Dine Saka Saley, mais jugée inutile à l’époque par les défenseurs du pouvoir dont l’actuel ministre de la communication, Alain Orounla et le bâtonnier Jacques Migan.
Loin de ce rappel, kpakpatotiquement parlant, espérons que le recours à la Var permettra de rassurer les populations, pour qui la Criet, s’apparente à un instrument de traque des opposants.