Echangeur Vèdoko : Une promesse non tenue par le Gouvernement, Guy Mitokpè ironise

Un post ironique pour mettre en lumière une promesse non tenue par le Gouvernement. A travers un message drôle publié sur sa page Facebook, Guy Dossou Mitokpè dit avoir constaté, ce mardi 18 octobre 2022, le démarrage des travaux de Construction de l’échangeur de Vèdoko.

Un post ironique pour mettre en lumière une promesse non tenue par le Gouvernement. A travers un message drôle publié sur sa page Facebook, Guy Dossou Mitokpè dit avoir constaté, ce mardi 18 octobre 2022, le démarrage des travaux de Construction de l’échangeur de Vèdoko.

« Ce matin quand je passais au carrefour Vèdoko, j’ai vu les japonais commencer l’échangeur de Vedoko   … Ko lancement de l’échangeur de vedoko en avril 2022 », a-t-il écrit avec ironie.

Effectivement, il n’en est rien du tout. Par son message, l’ancien député fait le triste constat que les travaux, annoncés pour démarrer, dans un premier temps, en avril 2022 puis finalement reportés en juin 2022, ne sont toujours pas effectifs.

Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci avait pourtant, procédé, le mardi 26 janvier 2021, à la signature de  documents avec l’Ambassadeur du Japon près le Bénin,  Tsugawa Takahisa et le Représentant régional de la JICA,  Kojiro Fujino en présence du ministre des Infrastructures et des Transports Hervé HEHOMEY au sujet de la construction de l’échangeur de Vèdoko.

Lors de la signature, les autorités avaient annoncé que les travaux allaient démarrer en avril 2022.

Mais en décembre 2021 en marge de la Visite de presse des réalisations du Japon au Bénin, Franck Arnaud Accrombessy, consultant de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica) a finalement indiqué que la phase pratique du projet est prévue démarrer en juin 2022. Il avait promis que des experts japonais fouleront le sol béninois courant février-mars prochains pour finaliser l’étude détaillée du projet de construction de l’échangeur de Vèdoko dans la ville de Cotonou, suivi du lancement de l’appel d’offres pour la sélection des entreprises japonaises et béninoises qui exécuteront conjointement les travaux.

Les mois d’avril et de juin sont passés, et les Béninois continuent d’espérer le démarrage de la construction de l’échangeur de Vèdoko.

En attendant, il faudra se contenter de la maquette et des embouteillages.

Manassé AGBOSSAGA

Après le S2IM, Kèyindé Amadou sort ‘‘Les Ateliers BTP’’: Le CPA de Cotonou abrite l’initiative

Après le Salon international de l’immobilier (S2IM), Keyindé M. Amadou sort de son laboratoire ‘‘Les Ateliers des BTP’’.  Le lancement a eu lieu ce lundi 23 mai au centre de promotion de l’artisanat à Cotonou.

Le Centre de promotion de l’artisanat (CPA) abrite depuis ce lundi 23 mai 2022, la 1ère édition  ‘‘Les Ateliers  Bâtiments Travaux Publics’’  (BTP). Initiative  de Keyindé M. Amadou, ‘‘Les Ateliers BTP’’  ont pour but de renforcer les compétences des artisans dans le domaine.

 Après le Salon international de l’immobilier (S2IM), Keyindé M. Amadou sort de son laboratoire ‘‘Les Ateliers des BTP’’.  Le lancement a eu lieu ce lundi 23 mai au centre de promotion de l’artisanat à Cotonou.

  A l’ouverture Keyindé M. Amadou a expliqué que l’initiative vise à renforcer les capacités et compétences des artisans dans les secteurs des BTP.

 « Nous avons initié les ateliers BTP  dans l’objectif de participer activement à l’amélioration de la compétence de nos artisans des secteurs du BTP   à travers des ateliers de formation qui vont leur permettre d’actualiser leur compétence,  de s’adapter aux nouvelles technologies et aux innovations de leur métier », a expliqué le Promoteur.

Aucune description disponible.

 Keyindé M. Amadou a  précisé que  la  première édition ‘‘Les Ateliers BTP’’ aura lieu du 23 au 25 mai au Centre de promotion artisanale de Cotonou sous le thème « Améliorez la compétence des artisans pour des habitats et villes durables ».

Il a ajouté que deux temps forts marqueront cette 1ère édition notamment l’exposition-vente et les ateliers de formation. Parlant des ateliers formation, le Promoteur a cité les ateliers de formation en étanchéité, en outillages, en peintures bâtiments, en plomberie sanitaire, en soudure et ferraillage.

Aucune description disponible.

Présent à la cérémonie d’ouverture, Célestin Dako a entretenu l’assistance sur le projet Assurance pour le renforcement du capital humain (Arch).

Comme quoi, ‘‘Les Ateliers BTP’’, c’est un tout.

 Christophe KPOSSINOU

Bénin-Pour vol présumé de gasoil, deux agents de sécurité en garde-à-vue

Deux agents de sécurité sont privés de leurs libertés suite au vol de gasoil à Savalou. D’après les premières informations rapportées par  Frissons Radio, dans son édition matinale du lundi 25 avril 2022, les deux agents de sécurité sont soupçonnés du vol de 822 litres de gasoil.

Deux agents de sécurité sont privés de leurs libertés suite au vol de gasoil à Savalou. D’après les premières informations rapportées par  Frissons Radio, dans son édition matinale du lundi 25 avril 2022, les deux agents de sécurité sont soupçonnés du vol de 822 litres de gasoil.

Le carburant appartient  à une entreprise de Bâtiment travaux public (BTP). Les deux gardiens sont employés  par l’entreprise pour la surveillance d’un site situé dans l’arrondissement de  Logozohè dans la commune de Savalou, département des Collines.

L’entreprise qui souhaite savoir où sont passés les  822 litres de gasoil à porter l’affaire devant la Police républicaine.

Manassé AGBOSSAGA

Critiques sur la qualité de certains ouvrages en construction: Dénonciations infondées contre le Groupe Ebomaf, les missions de contrôle veillent au grain

Sur le point de livrer ces deux grands chantiers dans la région du Sud du Bénin, l’Entreprise Ebomaf est, de nouveau objets d’attaques et d’affirmations sans fondement. À la lecture, il revient incessamment de comprendre que les auteurs ignorent qu’il s’agit des faits relevant du secteur du Bâtiment et Travaux Publics. S’y aventurier sans maitriser son fonctionnement conduirait à alterner affirmations gratuite et cabale.

Christophe KPOSSINOU

Certaines personnes et organisations dites de la société civile Béninoise seraient-il en train d’abuser de la patience des responsables du groupe Ebomaf à ne pas leur demander des explications suite aux accusations et affirmations non-fondées contre le groupe Ebomaf, leader panafricain du Bâtiment et des travaux publics, dans l’accomplissement de ses missions au Bénin ? S’il est peut-être trop hâtif de répondre par l’affirmatif à cette interrogation, cette dernière parait néanmoins légitime vu la fréquence que prennent lesdites attaques et affirmations.

En effet, sur la toile ces derniers jours, l’Entreprise Mahamadou Bonkoungou et Fils est à nouveau dans l’œil du cyclone. Certains de ces chantiers dont Cocodji-Ouèdo-Calavi Kpota et celui de Akassato-Zinvié-Sèdjè Dénou font objet d’attaques infondées. Les auteurs de cette manœuvre à élan déstabilisateur, remettent en cause, la qualité des ouvrages en construction. Ils jugent mal faits les chaussées, ouvrages d’assainissement et autres. Tout ceci sans avancer le moindre argument technique. Face à cet état de chose, il convient de rappeler un certain nombre de faits.

De nos investigations, l’entreprise Ebomaf a gagné de façon très régulière les deux chantiers cités. Les travaux qui s’y déroulent sont conduits par des techniciens chevronnés et se déroulent conformément aux règles en matière de construction de travaux routiers au Bénin. Ces travaux sont donc placés sous l’œil vigilent d’une mission de contrôle qui veille au grain à chaque étape de l’évolution des travaux. Le tout sous la supervision des cadres du ministère des infrastructures et des transports qui y veillent au grain également. L’Entreprise Ebomaf ne peut donc en aucun cas construire un ouvrage sans respecter toutes les normes requises.

Des experts en BTP rencontrés, l’idéal aurait été dans ce cas précis de se rapprocher des responsables de l’Entreprise Ebomaf pour mieux comprendre ce qu’il en est dans la mesure où le chantier n’est pas encore livré. Mais si l’option de faire des dénonciations publiques se présente comme celle choisie, celle-ci doit être accompagnée des preuves et arguments techniques.

Dans le cas contraire, ces dénonciations rejoignent la classe des affirmations sans fondement dont le seul but serait peut-être de salir la réputation du groupe Ebomaf qui fait depuis 32 ans la fierté du continent africain.

Accidents de la route impliquant des camions d’Ebomaf : très attristé, Mahamadou Bonkoungou déplore et rassure

S’il  s’est montré serein et joyeux sur l’apport du Groupe Ebomaf au progrès de l’Afrique, après 32 ans d’existence, Mahamadou Bonkoungou s’est, par contre montré,  attristé au sujet des accidents  enregistrés au Bénin impliquant les camions de son Groupe. Interpelé sur cette triste actualité lors d’une sortie médiatique le 02 octobre dernier à Ouagadougou dans le cadre du 32è anniversaire du Groupe, il a affiché un sentiment de tristesse et a déploré ces accidents, parfois mortels.

Accidents de la route impliquant des camions d’Ebomaf : très attristé, Mahamadou Bonkoungou déplore et rassure
Accidents de la route impliquant des camions d’Ebomaf : très attristé, Mahamadou Bonkoungou déplore et rassure

Mahamadou Bonkoungou a,  dans cette lancée, présenté ses sincères condoléances aux familles des victimes.

« Dans la hiérarchie du Groupe Ebomaf, nous ne comprenons pas non plus pourquoi autant d’accidents puissent arriver. Nous n’avons pas compris et nous avons déploré. Je profite de votre micro pour présenter toutes mes sincères condoléances aux familles éplorées et à toute la Nation béninoise puisque ces multiples cas d’accidents ont malheureusement fait des victimes. Je suis vraiment navré pour cette situation », a-t-il déclaré avec beaucoup d’émotion et de tristesse.

Toutefois, Mahamadou Bonkoungou rassure que des dispositions et mesures ont été prises pour éviter de tel drame à l’avenir.

« Je voudrais vous dire que de pareilles circonstances ne laissent pas insensible les premiers responsables. Nous avons pris des mesures visant à renforcer les capacités de nos conducteurs. Ceux nouvellement recrutés ont pris part à des tests de présélection. Nous allons durcir encore plus les conditions parce que tout ce que nous faisons là-bas ne vaut pas la vie d’une seule personne », a rassuré le Fondateur et PDG du Groupe Ebomaf.

Manassé AGBOSSAGA

Le  PDG d’EBOMAF Mahamadou Bonkoungou parle de ses relations avec Patrice Talon

Pas de problème entre Mahamadou Bonkoungou et Patrice Talon ! L’assurance est donnée par le Fondateur et Président directeur général d’EBOMAF en personne.

Interpelé sur ses relations avec le président du Bénin lors d’une conférence de presse tenue le samedi 02 octobre 2021 à Ouagadougou dans le cadre du 32è anniversaire du Groupe Ebomaf où étaient présents plusieurs journalistes d’Afrique dont ceux du Bénin,  Mahamadou Bonkoungou a catégoriquement démenti les informations relayées par un médias étranger et faisant état d’un malaise entre  Patrice Talon et lui, au lendemain de la présidentielle du 11 avril 2021.

« Je voudrais affirmer haut et fort que le président Patrice Talon et la société Ebomaf n’ont pas d’animosité, et que les relations entre Patrice Talon et le Groupe Ebomaf sont au beau fixe », jure t-il.

Le  PDG d’EBOMAF Mahamadou Bonkoungou parle de ses relations avec Patrice Talon
Le PDG d’EBOMAF Mahamadou Bonkoungou parle de ses relations avec Patrice Talon

A ceux qui auraient des doutes, Mahamadou Bonkoungou rappelle que le Groupe Ebomaf est toujours présent au Bénin où l’entreprise est présente sur plusieurs chantiers routiers.

« …pourquoi Ebomaf continue t-il de travailler avec la République du Bénin ? », lance t-il, avant d’ajouter « çà c’est une preuve palpable que les relations entre le Groupe Ebomaf et le Bénin à travers le président Patrice Talon sont au beau fixe ».

« Panafricaniste», Mahamadou Bonkoungou ajoute que Patrice Talon est sur la bonne voie du développement du Bénin et mérite des encouragements.

 « Je voudrais vous remercier et vous dire que le Bénin se construit bien, et je suis panafricain et le président Patrice Talon est en train de construire notre Bénin », a-t-il conclu.

Trêve de polémique donc !!!

Manassé AGBOSSAGA

Ebomaf : le  PDG Mahamadou Bonkoungou évoque les succès et la contribution du Groupe au progrès de l’Afrique après trois décennies d’existence

Plutôt homme d’action  que de discours, Mahamadou Bonkoungou prend, pour une fois,  la parole. Et ce, à l’occasion d’une sortie médiatique tenue ce samedi 02 octobre 2021 à Ouagadougou en présence de journalistes venus du Bénin, du Burkina-Faso, de la Guinée-Conakry et du Togo. Moment pour le Fondateur et Président directeur général de l’« Entreprise Bonkoungou Mahamadou & Fils » (EBOMAF)  de mettre les points sur les ‘‘i’’, mais aussi et surtout de revenir sur la contribution de son groupe au développement de l’Afrique notamment dans les secteurs du Bâtiment et les Travaux publics, la Grande distribution,  les Assurances, la Banque,… à l’aune de ses 32 années d’existence.

Mahamadou Bonkoungou lors de la conférence de presse

C’est un homme serein et confiant qui est apparu face aux hommes des médias venus de divers pays du continent noir dans un exercice auquel il se livre rarement.    Les succès enregistrés après trois décennies d’existence,  en sont,   sans doute,  pour beaucoup.

Mais c’est avec beaucoup de modestie et d’humilité, que  Mahamadou Bonkoungou a  mis en exergue les efforts du groupe EBOMAF pour « participer activement au développement de l’Afrique », depuis sa création le 6 septembre 1989.

Il fera d’ailleurs remarquer le groupe, beaucoup reconnu dans les pays d’Afrique de l’ouest et du centre , dans le  domaine du Bâtiment et des travaux publics (BTP),   n’a cessé d’élargir son champ d’actions et intervient désormais dans plusieurs secteurs dont  la Grande distribution,  les Assurances, la Banque, l’aviation d’affaires, l’industrie, les mines, la pêche, …

Mahamadou Bonkoungou  ajoutera à cet effet qu’EBOMAF est « actuellement un groupe économique et financier éponyme comprenant plusieurs entreprises dont LIZA transport international, une compagnie d’affaires créée en 2007, qui exploite une dizaine d’aéronefs »…

Il a également insisté sur les facilités offertes aux pays africains pour le financement de leurs programmes de développement à travers l’exécution de projets de type Partenariat- public –privé.

Des idées novatrices, un professionnalisme, un personnel qualifié , des matériels et équipements de dernières générations qui ont permis à EBOMAF de ne pas disparaître dans un environnement concurrentiel  et de « rester une entreprise en pleine expansion et en pleine croissance, faisant montre d’une résilience à toute épreuve et continuant d’accompagner les Etats africains dans leur élan de progrès ».

« Le groupe emploie environ 5000 personnes et génère un chiffre d’affaires annuel estimé à des centaines de milliards FcFa », se réjouira t-il.

Fortement présent dans le social

Face aux hommes des médias,  Mahamadou Bonkoungou n’a pas manqué de rappeler que le groupe est aussi présent dans le social. Outre les milliers d’emplois créés, il a indiqué que le groupe à travers « la Fondation Ebomaf, les entreprises membres assument pleinement leur responsabilité sociale d’entreprise (RSE)  en soutenant par an le progrès social à hauteur de plus de deux 2 milliards de Fcfa ».

  Les ‘‘i’’ en Guinée

Cette sortie qui s’est voulue être la tribune du bilan des trois décennies d’existence du Groupe EBOMAF,  a également été l’occasion pour Mahamadou Bonkoungou d’évoquer les sujets qui fâchent. Dans cette catégorie, les allégations « mensongères » d’un avocat sur une télévision  guinéenne.

« Dans une émission intitulée ‘‘LES GRANDES GUEULES’’ diffusée sur ESPACE TV, des allégations reposant à la fois sur le mensonge  et la mauvaise foi  visant à semer le doute dans l’opinion publique guinéenne et au-delà sur une éventuelle collusion entre le régime déchu de Alpha Condé et EBOMAF sur la création de la compagnie d’affaires LTI », a-t-il fait observer,  avant de dénoncer «  cette sortie médiatique, indigne d’un homme de la loi car venant d’un avocat, requiert une mise au point appropriée de ma part afin de restituer la vérité et d’éclairer la lanterne des uns et des autres sur les péripéties de l’entrée d’EBOMAF et de ses activités en Guinée-Conakry. Il s’agit donc pour moi de saisir aussi cette opportunité que m’offre ce jour pour revenir sur la création de LTI d’une part  et sur le rendez-vous manqué avec l’Etat guinéen dans la mise en œuvre du projet routier Kankan-Kissidougou d’autre part ».

Manassé AGBOSSAGA

Route Cococodji-Hevié-Ouèdo : Faux procès à Ebomaf et à son PDG, les comptes n’ont jamais été vidés

Le Groupe Ebomaf est depuis quelques jours victime d’un grotesque mensonge. Sur la base d’informations infondées, il est reproché à cette entreprise panafricaine qui fait la fierté du continent africain de tourner en bourrique le gouvernement béninois dans le projet de construction Cococodji-Hevié-Ouèdo. Il se raconte que le PDG Bonkoungou Mahamadou a vidé ses comptes au Bénin, au point de laisser trainer le chantier en souffrance. Vérités des faits sur ce faux procès.

Le Groupe Ebomaf est depuis quelques jours victime d’un grotesque mensonge. Sur la base d’informations infondées, il est reproché  à cette entreprise panafricaine qui fait la fierté du continent africain de tourner en bourrique  le gouvernement béninois dans le projet de construction Cococodji-Hevié-Ouèdo. Il se raconte que le PDG Bonkoungou Mahamadou a  vidé ses comptes au Bénin, au point de laisser trainer le chantier en souffrance. Vérités des faits sur ce faux procès.

Manassé AGBOSSAGA

Encore une fois, Ebomaf est victime d’un grotesque mensonge. Cette fois, les détracteurs de l’entreprise panafricaine distillent dans l’opinion publique que le groupe a vidé ses comptes au Bénin. Totalement faux !

Les comptes secrets de l’entreprise sont  toujours actifs, et se portent très bien, d’ailleurs. Preuve Ebomaf n’a pas fuit le Bénin. Les  employés, ouvriers, chauffeurs, ingénieurs  béninois et autres africains qui travaillent sur ce chantier sont toujours en service et payés.

Si les comptes étaient vidés, comment cela aurait-il été possible ? Si les comptes étaient vidés, par quelle alchimie les engins d’Ebomaf et autres machines ultramodernes continueraient de circuler ?

Jusqu’à preuve du contraire,  Ebomaf n’a pas fermé la baraque. Seuls les aveugles pourraient parler de l’absence de l’entreprise et de ses éléments sur le territoire national.

Ce qui gène, en réalité,  les détracteurs, dans ce dossier, c’est que l’entreprise continue de bénéficier de la confiance du régime du président Patrice Talon. Les apprentis sorciers auraient aimés voir le président Talon expulser le Groupe, au profit d’une autre.

Mais, Patrice Talon ne l’a pas fait. Car il est avant tout un panafricaniste, et un homme qui connaît la qualité.

Le chef d’Etat béninois connaît la notoriété et le professionnalisme du Groupe Ebomaf.

En avance sur le temps et très bien informé, le président de la République est conscient que la route  Cococodji-Hevié-Ouèdo aurait été livrée depuis, s’il n’y avait pas un blocus externe.

Non libération de l’emprise par les réseaux, le vrai blocus

Le projet de construction et de bitumage de la route Cococodji-Hevié-Ouèdo-Calavi kpota n’est pas en souffrance. Preuve, Ebomaf  est à un taux d’exécution  physique de 76,20%.

Il ne reste en réalité que 5 km en travaux de terrassement chaussée bitume, contrairement  à l’invention des  21 Km.   Sur les 21 km contractés, EBOMAF a donc déjà libéré 16 km de route.

Et s’il reste encore 5 Km à boucler, c’est pour des raisons indépendantes de l’entreprise de construction et de BTP.

En effet, la non libération de l’emprise par les réseaux se pose.  Les réseaux SBEE et SONEB ne sont toujours pas déplacés.

A titre d’exemple, dans la traversée du marché de Togba,  le réseau SBEE n’est pas  encore déplacé du côté droit de la route en partance de Ouèdo pour Calavi- Kpota.

Du PK 18 jusqu’au PK 21 côté gauche,  c’est-à-dire du début des pavés jusqu’au carrefour Kpota,  le nouveau réseau de la SBEE est implanté mais l’ancien est toujours dans l’emprise des  travaux.

Du PK 14+500 au PK 21 côté droit, c’est-à-dire du carrefour  Assrossa en passant par Tokan, carrefour Aîtchédji jusqu’au carrefour Kpota, le non déplacement des réseaux SBEE et SONEB s’observe également.

Et même si EBOMAF multiplie les offensives pour la réalisation des

caniveaux où elle se retrouve bloquer par des poteaux de la SBEE ou encore s’efforce de travailler dans ces zones jonchées de poteaux et de conduite d’eau au grand bonheur de la population, force est de constater que cette situation perturbe le bon fonctionnement des travaux.

Accuser Ebomaf de trainer sur ce projet serait donc injuste, et synonyme de vouloir la mort d’un innocent.