9 milliards.pour construire l’hôtel de ville de Cotonou pendant que les écoles manquent de tables et salles de classe : Richard Boni Ouorou crie « hélouééé » et invite le gouvernement à une meilleure gestion des ressources

Cela fait désormais plusieurs années que je m’efforce de défendre une gouvernance intelligente et efficace, adaptée à nos besoins et réalités spécifiques. L’avenir de notre nation est intrinsèquement lié à la qualité de notre éducation actuelle. Récemment, lors d’un conseil des ministres, le gouvernement de Monsieur Talon a exprimé son

Terrien,ne,s

Cela fait désormais plusieurs années que je m’efforce de défendre une gouvernance intelligente et efficace, adaptée à nos besoins et réalités spécifiques. L’avenir de notre nation est intrinsèquement lié à la qualité de notre éducation actuelle. Récemment, lors d’un conseil des ministres, le gouvernement de Monsieur Talon a exprimé son intention de construire une mairie à Cotonou, pour un coût total de 9 milliards de nos francs . J’ai été stupéfait!

Dans un pays où la pauvreté est omniprésente, où nos jeunes diplômés peinent à trouver un emploi décent, où nos enseignants sont traités de manière déplorable, où de nombreux villages sont privés d’électricité, où nos écoles manquent de tables et de salles de classe, où l’accès à l’eau potable n’est pas garanti pour tous, où les hôpitaux manquent d’infrastructures adéquates, à l’image du plus grand centre hospitalier du Bénin (le CNHU), le gouvernement a décidé de dépenser 9 milliards pour une mairie déjà existante et fonctionnelle.

Si un tel projet est réalisé sous vos yeux, et que vous restez silencieux, alors vous aurez accepté le gaspillage de nos précieuses ressources pour des projets inutiles et insultants. Vous aurez approuvé une gestion imprudente de notre pays, une gestion qui va à l’encontre de nos aspirations véritables et profondes.

Il semblerait que Monsieur Talon préfère améliorer les lieux de travail de ses amis maires plutôt que d’améliorer les conditions de vie de ses concitoyens, comme il a préféré dépenser des milliards pour aménager son lieu de travail alors qu’en face il y a un hôpital qui manque de moyens et de plateaux techniques modernes.

Il y a quelques jours, notre Fondation a été appelée au secours pour doter une école de tables et bancs ainsi que d’infrastructures afin de permettre aux enfants de suivre des cours dans des conditions minimales.
Nous avions répondu à l’appel dans la limite de nos moyens. Mais je me révolte de voir comment Patrice Talon et son gouvernement se déconnectent du peuple dans un mépris total.
Une telle approche démontre un manque flagrant d’engagement envers le peuple.

Il est urgent que nous élevions notre voix et exigions une répartition plus équitable des richesses, une meilleure gestion de nos ressources. Nous ne pouvons rester silencieux face à une telle injustice. Nous devons revendiquer un meilleur accès à l’éducation, à l’emploi, à l’électricité, à l’eau potable…

Bonne semaine à vous !

Issa Richard Boni Ouorou ❤️

Projet de construction d’une école moderne : Kimber McDonald veut redonner du sourire aux élèves de l’Epp Tokpa-Zounga Sud

Incroyable, mais vrai ! En 2023 et juste en face de la plus grande université du Bénin, il y a une école primaire publique d’un autre siècle. A l’Epp Tokpa-Zounga Sud, située dans la commune d’Abomey-Calavi,  les élèves reçoivent le savoir dans des salles de classes caduques, sans Wc, …

Incroyable, mais vrai ! En 2023 et juste en face de la plus grande université du Bénin, il y a une école primaire publique d’un autre siècle. A l’Epp Tokpa-Zounga Sud, située dans la commune d’Abomey-Calavi,  les élèves reçoivent le savoir dans des salles de classes caduques, sans Wc, …

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Mais, Kimber Mc Donald a décidé de mettre fin aux peines de ces élèves. Face aux conditions d’études d’un autre siècle, ‘‘Maman Nationale’’ a décidé de faire parler son cœur.

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En séjour   sur sa terre natale, elle s’est rendue à l’Epp  Tokpa-Zounga Sud pour constater de visu les souffrances des élèves et des enseignants, suite à la publication d’une compatriote.

Révoltée et dans un esprit de citoyenneté, Kimber Mc Donald a immédiatement lancé l’offensive pour la construction d’une école moderne. La nouvelle infrastructure scolaire sera composée de 3 modules de classe, 1 bureau administratif,  1 cantine , 3 WC  , 1 salle pour les enseignants , et des tables et bancs.

‘‘Maman Nationale’’, comme elle se fait appeler, sollicite la contribution de tous pour la réalisation des travaux dans un délai de 2 mois.

Adhérez à l’initiative ou faîtes parler votre cœur en composant le : 56320090

Manassé AGBOSSAGA

Construction d’au moins 5 écoles par an dans les zones rurales : De jour comme de nuit, Richard Boni Ouorou toujours dans des actions de développement

Après l’économie et le social, Richard Boni Ouorou s’attaque à l’éducation. A travers sa fondation Les Terriens.nes, le philanthrope veut contribuer au rayonnement de l’école béninoise. Il a annoncé la création des salles de classes dans les zones rurales.

Après l’économie et le social, Richard Boni Ouorou s’attaque à l’éducation. A travers sa fondation Les Terriens.nes, le philanthrope veut contribuer au rayonnement de l’école béninoise. Il a annoncé la création des salles de classes dans les zones rurales.

« Nous avons décidé d’accompagner nos populations en offrant des modules de classes par endroit où le besoin est cruel. Dès 2023, nous livrerons par année au moins cinq écoles dans des zones rurales. Nous n’avons pas la prétention de remplir à la place de l’Etat, ses responsabilités », a annoncé Richard Boni Ouorou.

Sensible aux souffrances des populations et des écoliers dans les zones rurales, il veut ainsi réduire le taux de déscolarisation des apprenants pour offrir au pays des citoyens bien éduqés.

« Dans la Donga comme dans tout le Bénin, plusieurs zones manquent cruellement d’écoles. Nos enfants souffrent sérieusement pour ceux et celles qui ont de la détermination.

Certains enfants parcourent des kilomètres pour aller à l’école, d’autres se découragent. La distance des écoles vis à vis de certains villages est une des causes de la déscolarisation précipitée dans nos pays… A Benahou, depuis 18 ans, la localité disposait de deux classes en banco à savoir la première année et la deuxième année. Les enfants les plus déterminés devaient après leur deuxième année marcher des kilomètres pour rejoindre une autre école avant de finir le primaire. Sans ressources, certains enfants restent affamés toute une journée après des kilomètres parcourus pour ne manger que le soir », se désole t-il.

Pour lui, cela fait le nid à la corruption avec des « agents corrompus  qui, à la recherche de moyens pour se sécuriser et sécuriser leurs familles pensant à leur passé, acceptent tout, tant qu’en bout de compte, il y a de l’argent pour eux et leurs familles ».

Dans un contexte sécuritaire marqué par le terrorisme, il soutient qu’il est urgent de vite corriger le tir et interpelle l’Etat, à cet effet.

«  Aujourd’hui, avec le djihadisme, il est plus que temps d’urbaniser nos zones rurales, de décentraliser le processus de développement jusqu’au plus profond de nos villages et d’intégrer nos populations », plaide Richard Boni Ouorou.

En attendant, la Fondation Les Terriens.nes de Richard Boni Ouorou a lancé la construction de l’école de BENAHOU. Les travaux sont en cours.

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Peut être une image de 1 personne, plein air et texte qui dit ’ቀ NEOVIA’

Entre actions et propositions,  ce ‘‘Monsieur’’ est unique.

Manassé AGBOSSAGA

 

Burkina-Faso: Par peur d’être la proie des sorciers, des élèves abandonnent les classes

Ça se passe au Burkina-Faso, précisément à  l’école primaire publique de Bonko. Là bas, des élèves abandonnent les classes par peur d’être la proie des sorciers….

Ça se passe au Burkina-Faso, précisément à  l’école primaire publique de Bonko. Là bas, des élèves abandonnent les classes par peur d’être la proie des sorciers.

Le site Bafujiinfos.com  rapporte que 45 élèves de l’école primaire publique de Bonko à une dizaine de km de Gaoua   n’ont pas répondu présents après les congés du deuxième trimestre. Des 45 élèves déserteurs, 20 proviennent de la classe de CP1.

Des rumeurs et kpakpatoyas font état de la présence des sorciers dans l’école et qui mangent avec plaisir les élèves. Ceci après la mort de  deux élèves dans le mois de Janvier et Mars.

Sensibilisation

Les autorités ont alors vite réagi pour tenter de rassurer élèves et parents d’élèves. Bafujiinfos.com fait savoir qu’une rencontre d’information et de sensibilisation à l’endroit des parents d’élèves a eu lieu le vendredi 07 Mai 2021.

Le personnel enseignant a échangé avec ces derniers en présence de son chef de circonscription d’éducation de base de Gaoua I et du chargé d’éducation de la mairie de Gaoua.

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Au cours de cette rencontre, le conseiller villageois de développement de Tourtounonté n’a pas caché sa crainte et celle des parents d’élevès.

. « Depuis la création de l’école (Ndlr : 1er octobre 1979), il n’y a pas eu de morts d’élèves comme cette année. C’est pourquoi certains ont estimé que les élèves sont décédés du fait des sorciers. A notre niveau nous pensons que c’est une affaire de sorcellerie mais si c’est le cas nous saurons quoi faire », a-t-il ouvertement fait savoir aux uns et aux autres.

Mamina Palé la titulaire de la classe de CP1 confirme que les élèves ont cessé de venir depuis le décès de ces deux élèves. « Depuis la mort des deux élèves, c’est en ce moment que beaucoup de mes élèves ne viennent plus. Ça démotive franchement ce sont les meilleurs élèves qui ne viennent plus . j’ai même envoyé les élèves de faire venir leurs camarades absents mais que les parents de ces derniers s’opposent », déplore t-elle.

Le chef de la circonscription d’éducation de base de Gaoua I, le chargé à l’éducation de la mairie de Gaoua et les agents de santé du village  présents à la rencontre ont tenté de rassurer les parents d’élèves et plaidé pour le retour des 45 élèves, insistant sur le rôle et les avantages de l’école aux participants à cette rencontre.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Un bébé retrouvé au fond d’une fosse septique dans une école

Triste découverte ce lundi 08 février 2021 dans une école publique  située dans la commune de Sinendé, dans le nord Bénin. Un bébé a été  retrouvé au fond d’une fosse septique  à l’ Ppp de Niarougando.

Selon Frissons Radio, c’est un écolier de l’école qui a fait la terrible découverte. Il a aussitôt a alerté son directeur.

A son tour, le directeur de l’école a informé le bureau des parents d’élèves et la police républicaine.

Ce qui a facilité la descente des policiers et sapeurs pompiers pour retirer le corps sans vie du bébé de la fosse septique.

La Police est désormais aux trousses de la mère.

Manassé AGBOSSAGA

Des voix s’opposent à une fermeture prolongée des écoles au Québec

La prolongation de la fermeture physique des écoles, envisagée par Québec, a pris le réseau scolaire par surprise. On s’attendait plutôt à un renforcement des mesures sanitaires dans l’espoir de garder les écoles ouvertes.Le premier ministre François Legault envisage de prolonger l’enseignement à distance d’une semaine au niveau primaire (jusqu’au 18 janvier) et de deux semaines au niveau secondaire (jusqu’au 25 janvier).© Valerian Mazataud Le Devoir Le premier ministre François Legault envisage de prolonger l’enseignement à distance d’une semaine au niveau primaire (jusqu’au 18 janvier) et de deux semaines au niveau secondaire (jusqu’au 25 janvier).

« Pour nous, la présence à l’école est un service essentiel, surtout au primaire, dit Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d’établissement (FQDE). L’enseignement à distance, c’est une solution de rechange, mais ça rapporte peu sur le plan pédagogique. Ça va devenir dramatique pour nos élèves. »

Le premier ministre François Legault envisage de prolonger l’enseignement à distance d’une semaine au niveau primaire (jusqu’au 18 janvier) et de deux semaines au niveau secondaire (jusqu’au 25 janvier). Il doit en faire l’annonce mercredi lors d’un point de presse.

L’Association des pédiatres du Québec s’oppose à ce reconfinement et croit que les élèves du primaire et du secondaire doivent retourner en classe le 11 janvier, comme prévu. Le regroupement « réaffirme que la lutte primordiale et acharnée contre la COVID-19 ne doit pas se faire au détriment de toute une génération de jeunes qui ont droit au maintien d’une éducation de qualité en présentiel », est-il écrit dans une lettre au gouvernement Legault, dont Le Devoir a pu prendre connaissance.

Les pédiatres font valoir que les « écoles ne constituent pas les principaux lieux d’éclosion » et que la « grande majorité des éclosions en milieu scolaire comptent cinq cas et moins ». Ils soulignent que des « impacts majeurs » sont « déjà perceptibles sur le parcours scolaire et développemental des enfants ».

Échecs à l’horizon

Yvon Boucher, qui a occupé une série de postes en éducation depuis 33 ans, prévoit un taux d’échec alarmant des élèves en raison des confinements successifs de cet hiver et du printemps dernier. « C’est inévitable : les élèves auront eu une deuxième fin d’année tout croche à cause de la pandémie. Les retards ne se résorberont pas comme par magie », dit cet enseignant à la formation continue de l’Université de Montréal qui a été professeur, directeur d’école et cadre des services éducatifs dans le réseau public d’éducation. Ce spécialiste de l’évaluation des apprentissages propose une solution hors de l’ordinaire : prolonger l’année scolaire jusqu’à la fin du mois d’octobre 2021 (tout en maintenant les vacances d’été) pour permettre aux enseignants et aux élèves de rattraper la matière prévue au programme.

Ce n’est qu’en novembre que se ferait le changement d’année scolaire, sauf pour les élèves de cinquième secondaire, qui passeraient au cégep comme d’habitude à la fin du mois d’août. Le fait de garder le même enseignant deux mois de plus aiderait les élèves à mieux digérer la matière, estime ce vétéran du réseau scolaire.

Yvon Boucher suggère aussi de diminuer la pondération du premier bulletin scolaire, dont la remise est prévue le 22 janvier. Le ministère prévoit que les deux bulletins (celui-ci et le bulletin final) vaudront chacun pour 50 % de la note finale. Compte tenu du taux d’échec anticipé, il vaut mieux réduire le poids du premier bulletin à 20 % de la note finale pour éviter de décourager les élèves en difficulté, selon lui.

Catherine Beauvais St-Pierre, présidente de l’Alliance des professeures et des professeurs de Montréal, rappelle que les syndicats réclament eux aussi un changement à la pondération des bulletins en raison des bouleversements dus à la pandémie. « Le reconfinement que s’apprête à annoncer le gouvernement aura un impact sur le reste de l’année scolaire. Il faut planifier la suite rapidement », dit-elle.

Avec Marie-Eve Cousineau et Marco Bélair-Cirino/Le Devoir

Kpakpato Sans Payer : Au XXIè siècle des élèves s’asseyent au sol ou se couchent pour prendre note dans une école publique à Abomey-Calavi, les internautes choqués

Au XXIè siècle, des élèves continuent d’étudier dans des conditions déplorables au Bénin. Preuve à Abomey-Calavi, précisément à l’Ecole primaire publique d’Adjagbo, les apprenants sont obligés de se coucher ou de se mettre à terre pour recopier leurs leçons.

Au XXIè siècle, des élèves continuent d’étudier  dans des conditions déplorables au Bénin. Preuve à Abomey-Calavi, précisément à l’Ecole primaire publique d’Adjagbo, les apprenants sont obligés de se coucher ou de se mettre à terre pour recopier leurs leçons.

Des élèves s’asseyent au sol ou  se couchent pour prendre note dans une école publique à  l’EPP Adjagbo/ Crédit Photo : LT
Des élèves s’asseyent au sol ou se couchent pour prendre note dans une école publique à l’EPP Adjagbo/ Crédit Photo : LT

Ce triste spectacle a été révélé par le journaliste Laurent   Tonegnikes, qui a publié des images sur son compte officiel, ce jeudi 22 octobre 2020.

Colère des internautes

Des élèves s’asseyent au sol ou se couchent pour prendre note dans une école publique à l’EPP Adjagbo/ Crédit Photo : LT
Des élèves s’asseyent au sol ou se couchent pour prendre note dans une école publique à l’EPP Adjagbo/ Crédit Photo : LT

Sur la toile, les réactions se très vite sont enchaînées. Sous le choc, les internautes ont dénoncé ce triste spectacle, critiquant le Gouvernement.

« Nous sommes ici à L’EPP adjagbo dans l’arrondissement de Akassato commune dAbomey calavi.

Non seulement l’effectif est pléthorique mais les enfants doivent rester à même le sol pour recevoir quelle éducation ?

Ici c’est encore mieux, allez au CEG de Tankpê implanté sur une voie 40 ( la mafia foncière a pris par là) toujours dans la commune d’abomey calavi, 90%des bâtiments sont en claie ( gbomitan) et le plancher non cimenté », a fustigé Léon Zohoun..

Un autre internaute a invité le Gouvernement à se concentrer sur les vraies priorités.

« Nous sommes à l’#EPP #Adjagbo dans la commune d’#AbomeyCalavi (à une vingtaine de kilomètres du #PalaisRenové à Cotonou) où en surnombre et donc par manque de mobiliers, les écoliers sont obligés de s’inventer cette position pour prendre notes (Image 1), (Image 2, c’est Glazoué) pendant que leurs aînés du secondaire en grande majorité, 4 semaines après la rentrée, n’ont rien écrit dans leurs cahiers à cause de l’amateurisme des autorités du secteur.

Si nous sommes incapables de faire face aux besoins de l’école béninoise, on peut toujours faire appel aux #Néerlandais ou aux #Belges pour une gestion déléguée comme on en a l’ingéniosité!

#Tchurrrrrrrrr Merci à  Laurent Tonegnikes

et à #KotchikpaNicolas pour les images »,  a fustigé Stéphane N’sougan.

Loin de la polémique, Gbètondji jpc Montcho a,  pour sa part, appelé à la solidarité pour corriger cette mauvaise image.

« Pour une éducation de qualité (#ODD4), il faut des infrastructures et équipements de qualité.

Faites un geste à l’endroit des enfants de l’EPP #Adjagbo afin de leur offrir de bonnes conditions d’apprentissage », a-t-il exhorté.

Kpakpatotiquement parlant, la rupture doit agir pour ne pas ternir son image.

Manassé AGBOSSAGA

Zimbabwe/Education: Huit syndicats d’enseignants lancent un mouvement de grève illimité

Au Zimbabwe, les portes des écoles restent closes. Pour cause, huit syndicats d’enseignants du pays ont lancé un mouvement de grève illimité.

Au Zimbabwe, les portes des écoles restent  closes. Pour cause, huit syndicats d’enseignants du pays ont lancé un mouvement de grève illimité.

Ces derniers dénoncent leurs conditions de vie et de travail, avec la dépréciation de leurs salaires, mais aussi le manque de moyens et d’équipements pour se protéger de la pandémie du Covid-19.

L’effondrement de lamonnaie locale -réintroduite l’année dernière- ces derniers mois en est pour quelque chose.

 « Il y a encore deux ans, on gagnait l’équivalent 550 dollars, aujourd’hui, on est entre 30 et 40. C’est inacceptable et cela montre que le gouvernement ne respecte pas ses enseignants. Tout comme sous l’ère Mugabe, il nous considère comme des ennemis de l’État… », a dénoncé Raymond Majongwe, secrétaire général de l’Union progressiste des enseignants du Zimbabwe d’après des propos rapportés par Rfi.

« Les enseignants ne peuvent pas nourrir leur famille, encore moins payer les frais d’école pour leurs enfants », renchérit  Robson Chere, secrétaire général du syndicat des enseignants.

: « Les enseignants du public n’ont même plus les moyens de venir travailler…Avec 30 dollars vous ne pouvez même pas couvrir vos frais de transports pour aller et revenir de votre travail. Cela coute deux dollars aller-retour par jour. Un morceau de pain coute 1 dollar. Les enseignants ne peuvent pas nourrir leur famille, encore moins payer les frais d’école pour leurs enfants », explique Robson Chere, du Syndicat des enseignants ruraux du Zimbabwe, rapporté par Rfi.

Conséquence les écoles  sont actuellement fermées, et les enseignants demandent même la suspension des examens prévus en décembre, puisque les élèves n’ont eu droit qu’à trois mois de cours en raison de l’épidémie de coronavirus.

Manassé AGBOSSAGA

Etats-Unis: Un homme place des caméras sous son bureau pour prendre des photos sous les jupes des employées

Enfant, à l’école, vous vous abaissiez de temps à autre, pour regarder les caleçons des jeunes filles de votre classe. Ou peut-être à l’aide d’un miroir pour le faire. Vous vous croyez le pervers ou le délinquant sexuel, le plus ingénieux de la planète terre. C’est tout faux. Vous ne l’êtes pas.Il y a un homme aux Etats-Unis qui mérite cette couronne…

Enfant, à l’école, vous vous abaissiez de temps à autre, pour regarder les caleçons des jeunes filles de votre classe. Ou peut-être  à l’aide d’un miroir pour le faire. Vous vous  croyez le pervers ou le délinquant sexuel, le plus ingénieux de la planète terre. C’est tout  faux. Vous ne l’êtes pas.

Il y a un homme aux Etats-Unis qui mérite cette couronne. En effet d’après le média américain, crimeonline, un homme a placé des caméras sous son bureau pour prendre des photos sous les jupes des employées.

En outre, alors qu’il résidait dans un immeuble du campus du West Georgia Technical College à LaGrange, en Géorgie, il téléchargeait des images pédophiles  à l’aide d’une  TV 33.Prison,Prison d’Atlanta,

En 2013, il avait été lourdement condamné à 1000 ans de prison. Mais le 27 mai dernier, après
 7 années passées derrière les barreaux à la  prison d’Atlanta,  cet homme aujourd’hui âgé de  72  a été libéré sous condition.

Il doit notamment  s’inscrire en tant que délinquant sexuel. En outre, ses faits et gestes seront surveillés électroniquement.

On ne sait jamais.  A 72 ans, il risque d’être encore plus dangereux sexuellement que jamais.

Manassé AGBOSSAGA