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Me Ferdinand Lawson ne lâche pas l’affaire. L’avocat tient bec et ongle à son ambition de devenir président de la République du Bénin.
Me Ferdinand Lawson ne lâche pas l’affaire. L’avocat tient bec et ongle à son ambition de devenir président de la République du Bénin.
Après les rendez-vous ratées de 2016 et 2021 où il a annoncé son intention de briguer la magistrature suprême sans pouvoir être candidat, Me Ferdinand Lawson a confirmé qu’il comptait bien se présenter à la présidentielle de 2026.
A travers un post sur son compte méta, ce samedi 30 avril, il a d’ailleurs levé un coin de voile sur sa première action s’il succédait à Patrice Talon.
‘« Moi, Président en 2026 je lancerai une vaste enquête de recherche de traçabilité et d’enrichissement personnel, de compétence sur toute la classe politique », a-t-il confié.
En réalité, c’est en dénonçant la proposition de loi portant octroi de pension et autres avantages aux anciens députés et présidents des institutions que l’avocat a fait cette annonce.
« C’est quoi être Député au Bénin entre 1990 à 2016 et vouloir aujourd’hui des indemnités de fin de législature ou de retraite autrement dit de non réélection en 2023 » s’interroge le président du MRD.
Au Bénin, l’avocat Ferdinand Lawson s’applique pour prendre part au scrutin présidentiel d’avril 2021. Dans une correspondance adressée respectivement au président du parti Union Progressiste (UP), Bruno Marie-Ange Amoussou et à Abdoulaye Bio Tchané, président du Bloc Républicain, le 30 Janvier 2021 et le 1ér février 2021, l’homme qui incarne une alternative crédible à la gouvernance de Patrice Talon demande à obtenir la signature des élus des deux formations politiques tel que prévu par les textes de la République.
Ferdinand Lawson est en route pour la Commission électorale nationale autonome pour le dépôt de son dossier candidature à l’élection présidentielle de 2021 face au président sortant Patrice Talon.
D’après deux correspondances enregistrées au secrétariat du parti UP et BR parvenues à la rédaction de L’Autre FIGARO, le candidat s’est plié aux exigences du parrainage conformément au code électoral, en faisant recours aux formations politiques ayant le nombre suffisant pour acter sa candidature.
Pour l’heure, aucune confirmation d’une réponse favorable à sa requête n’est donc évoquée par des proches de candidats qui nonobstant la divergence des opinions politiques avec lesdits partis espèrent décrocher les sésames pour la grande aventure.
Depuis sa résidence privée à Saint- Amour en France, à une heure de Genève dans le jura celui qui incarne une alternative crédible face au pouvoir de Patrice Talon, annonce officiellement sa candidature à l’élection présidentielle de 2021. Après s’être prosterné devant la mémoire des fils et filles du Bénin tombés sur le front des combats pour la restauration de la démocratie, l’avocat Ferdinand Lawson décline ses priorités en plusieurs axes stratégiques dont l’urgent constitue les assises nationales. Elles se tiendront dans les 90 jours après son investiture.
Les rideaux sont définitivement tombés sur la candidature de l’avocat Ferdinand Lawson à l’élection présidentielle 2021. Après s’être retiré de la course en 2016, Ferdinand Lawson revient au-devant de la scène pour proposer une alternative crédible aux Béninois. Plusieurs points forts ont ponctué sa déclaration qu’on peut qualifier de «pragmatique ». Après avoir passé le quinquennat de Patrice Talon, Ferdinand Lawson s’interroge sur l’endettement du Bénin. Selon lui, l’opacité qui entoure cette problématique de dette publique au Bénin doit interpeler tout le monde. Il reconnait cependant que l’endettement n’est pas en soi un problème dès lors qu’il est responsable et qualitatif ; c’est-à-dire qu’il finance l’économie productive, source de croissance, de développement et de bien-être social. Il n’a donc pas caché son amertume face à la gestion du pouvoir Talon.
« Nous estimons que l’action du Chef de l’État a ensuite péché par une gouvernance trop personnelle et totalement centralisée à la présidence, faisant des ministres des agents d’exécution serviles d’instructions présidentielles non discutables » s’est offusqué Lawson qui propose à travers sa candidature une sortie immédiate de la crise de confiance entre le peuple et l’Etat souverain.
Les priorités de Ferdinand Lawson à la tête du Bénin
«Je voudrais offrir l’occasion à chaque fils et fille de cette nation d’écrire avec moi les pages de notre histoire démocratique à travers des échanges approfondis, posés et sereins, sur une question qui a toujours été et qui restera essentielle en matière de politique : le retour à l’ordre démocratique » a promis Lawson au peuple béninois. Il s’engage instaurer une gestion inclusive du pouvoir d’Etat.
Sur le plan de l’éducation, l’avocat annonce une fracture politique entre le méthode du quinquennat de Talon. Il a une vision claire et sans équivoque.
« En matière de formation du peuple Béninois, investir dans l’éducation et la formation pour des ressources humaines qualifiées, aptes à satisfaire les besoins du marché, à entreprendre et à créer des activités génératrices d’emplois et de richesse constitue l’axe principal de ma gouvernance ».
Il avoue avec sincérité et dévotion qu’investir aussi, et massivement, dans les infrastructures physiques et immatérielles restera sa priorité. « Mon pays le Bénin est encore en quête d’émergence. Tout, ou presque, reste à construire » a déclaré Lawson. Pour associer le peuple à l’avenir de la nation, il annonce des assises nationales dans les trois mois qui suivent sa prise du pouvoir. Plusieurs autres priorités sont déclinées dans sa déclaration.
Cellule de Communication
Lire l’intégralité de la déclaration
DECLARATION DE CANDIDATURE A L’ELECTION PRESIENTIELLE D’AVRIL 2021
Béninois et Béninoises !
Combattants de la démocratie !
Peuple Béninois libre et debout !
Je voudrais, à l’entame de mon propos, saluer la mémoire des dignes fils de notre chère et commune patrie, tombés sur le front de la démocratie, de l’état de droit et de justice. Je m’incline devant leur mémoire. Je salue le cœur serré tous mes concitoyens en détention ou contraints à l’exil pour leurs opinions et/ou combattants politiques. Mes chers frères, votre participation personnelle à la construction de notre nation constitue pour moi une source de confiance en la restauration de la démocratie et de l’état de droit sur la terre de nos aïeux : Akaba, Bio Guera, Béhanzin et j’en passe. Votre engagement continu témoigne de notre ambition commune de poursuivre ensemble le combat pour le retour à un processus de développement durable, dans un esprit de solidarité et de dialogue confiant avec chaque Béninois et chaque Béninoise.
En décidant ce jour, depuis ma résidence privée à Saint- Amour en France, à une heure de Genève dans le jura de déclarer ma candidature à l’élection présidentielle d’Avril prochain, je voudrais offrir l’occasion à chaque fils et fille de cette nation d’écrire avec moi les pages de notre histoire démocratique à travers des échanges approfondis, posés et sereins, sur une question qui a toujours été et qui restera essentielle en matière de politique : le retour à l’ordre démocratique.
En effet, dans l’histoire des nations, la question de la dette des États a souvent nourri interrogations et débats, voire controverses, aussi bien entre spécialistes qu’au sein de l’opinion publique. La problématique se pose encore aujourd’hui dans tous les pays, et peut-être de façon plus critique dans les pays en développement, au regard des besoins immenses et urgents en investissements pour le présent et l’avenir. Mais l’opacité qui entoure cette problématique au Bénin nous interpelle tous ; nous Ferdinand Lawson, ne pourrions rester indifférents à la question de la dette nationale seulement en cinq années de gouvernance.
L’endettement n’est pas en soi un problème dès lors qu’il est responsable et qualitatif ; c’est-à-dire qu’il finance l’économie productive, source de croissance, de développement et de bien-être social. Mais la dette contractée à la tête de chaque Béninois croît sans véritable impact sur le quotidien du citoyen.
En matière de formation du peuple Béninois, investir dans l’éducation et la formation pour des ressources humaines qualifiées, aptes à satisfaire les besoins du marché, à entreprendre et à créer des activités génératrices d’emplois et de richesse constitue l’axe principal de ma gouvernance.
Nous, Ferdinand Lawson, investir aussi, et massivement, dans les infrastructures physiques et immatérielles restera ma priorité. Mon pays le Bénin est encore en quête d’émergence. Tout, ou presque, reste à construire malgré les cinq années dites de fracture d’avec les vieilles politiques régressionistes.
À vous, chers défenseurs de la démocratie, je redis notre respect et notre affection. Votre courage et les sacrifices immenses que vous avez consentis pour la défense du retour à l’état de droit resteront à jamais gravés dans nos cœurs et nos esprits. C’est pourquoi je placerai les cinq prochaines années sous le signe de L’UNION ET LA RÉCONCILIATION NATIONALES. Après ces cinq dernières années éprouvantes et douloureuses, nous Ferdinand Lawson, allons-nous présenter face à celui qui a défiguré notre démocratie et profané notre constitution. Si l’action de Patrice Talon a permis de relancer l’économie et d’amorcer un changement de mentalités, il n’en demeure pas moins que son quinquennat a déchiré la fibre patriotique en démontrant une implacable chasse aux sorcières. Une justice expéditive incarnée en une juridiction d’exception distribuant les 10 ans et 20 ans à tour de bras à de potentiels candidats aux présidentielles de 2021 afin de baliser le terrain à un plébiscite de fait.
Nous estimons que l’action du Chef de l’État a ensuite péché par une gouvernance trop personnelle et totalement centralisée à la présidence, faisant des ministres des agents d’exécution serviles d’instructions présidentielles non discutables ; qui a fini par ternir un début de quinquennat prometteur. C’est pour mettre un terme à cette page lugubre de notre histoire démocratique, que nous pensons que le Bénin a besoin aujourd’hui de retrouver un nouveau souffle pour surmonter la crise démocratique, la déception et l’amertume très palpables et très généralisées au sein de la classe politique en général et dans le nord du pays en particulier. Le pays a besoin de l’Union et de la réconciliation nationale, lesquelles doivent être mises en œuvre par le retour de tous les exilés politiques. Pour entreprendre ce chantier, nous allons organiser des assises politiques nationales dans les 90 jours suivant notre investiture. C’est d’abord une redistribution des cartes, en rendant la démocratie au peuple, en lui rendant les moyens et la volonté de choisir ses représentants locaux et nationaux.
Bref, l’inciter à revenir aux urnes, lui rendre le goût et la confiance en la politique. L’Union et la réconciliation nationales, c’est aussi un partage plus équitable et plus motivant des richesses produites. Nous ne laisserons personne sur le bord de la route et je permettrai à chacun de vivre avec décence et dignité. Nous agirons toujours en fonction du plus grand bien pour le plus grand nombre. Nous allons susciter l’adhésion plutôt que de l’imposer. L’union et la réconciliation nationales, c’est sortir des divisions stériles et des égoïsmes qui ont plongé le pays dans l’ornière. Nous resterons ouverts aux personnes de bonne volonté agissant sincèrement pour le bien du plus grand nombre. Ce pays ne sera plus jamais victime du pouvoir personnel. Pour ce faire je déclare ce jour 20 janvier 2021 depuis ma résidence privée à Saint- Amour en France, ma candidature à la fonction suprême. Nous allons porter la voix de chaque Béninois et de chaque Béninoise pour que renaisse le Bénin.
Candidat déclaré à la présidentielle de 2021, Ferdinand Lawson fait une annonce de taille.
Candidat déclaré à la présidentielle de 2021, Ferdinand Lawson fait une annonce de taille.
Sur sa page facebook, l’avocat a pris l’engagement de nommer un « premier ministre » à la tête de son gouvernement. Et ce n’est pas tout.
Ferdinand Lawson ajoute que ce premier ministre serait originaire de la commune de « Bantè », département des Collines.
Il précise que ce dernier serait âgé de moins de « 40 ans ».
A ceux qui pourraient y voir, une simple promesse électorale, le candidat déclaré avance : « Ferdinand Lawson et le pragmatisme au service du Bénin. Nous ferons ce que nous vous dirons pour 2021 ».
Un avocat au palais de la marina dès le 06 avril 2021. Cela pourrait être le cas après le scrutin présidentiel. Du moins au vu de l’engagement de Ferdinand Lawson à faire triompher sa candidature.
Un avocat au palais de la marina dès le 06 avril 2021. Cela pourrait être le cas après le scrutin présidentiel. Du moins au vu de l’engagement de Ferdinand Lawson à faire triompher sa candidature.
Candidat déclaré à la présidentielle de 2021, l’avocat de profession partage avec son staff, un seul mot d’ordre : gagner la présidentielle de 2021.
« Notre objectif, gagner les prochaines élections présidentielles au Bénin », a-t-il martelé à tous les membres de son écurie.
Tel un général de troupe, Ferdinand Lawson a d’ailleurs invité ses « soldats » à ne pas se laisser envahir par la peur.
En outre, le candidat déclaré à la présidentielle de 2021 a appelé ses partisans à ne pas tomber dans les débats de personne et les attaques inutiles.
Pour Ferdinand Lawson, ils doivent plutôt prêcher les valeurs du candidat à savoir l’humanisme et le social.
Et c’est peut-être à travers la plateforme « Alternative crédible » qui sera bientôt mise sur les fonts baptismaux, que ce message sera porté dans les quatre coins du pays.
Contrairement aux années antérieures, la présidentielle au Bénin suscite moins d’engouements. A moins de 10 mois du scrutin présidentiel, kpakpatomedias a seulement décompté six prétendants qui lorgnent le fauteuil de la marina.
Contrairement aux années antérieures, la présidentielle au Bénin suscite moins d’engouements. A moins de 10 mois du scrutin présidentiel, kpakpatomedias a seulement décompté six prétendants qui lorgnent le fauteuil de la marina.
Manassé AGBOSSAGA
Ils sont pour l’heure six à s’intéresser au fauteuil présidentiel. De ces six, cinq ont officiellement annoncé leurs candidatures à la présidentielle de 2021.
Le tout premier est le professeur Simon narcisse Tomèty. Institutionnaliste de reformes publiques, spécialiste des questions de décentralisation, ancien directeur de l’Ecole de la nouvelle conscience, il avait annoncé en 2018 sur sa page facebook, sa candidature à la présidentielle de 2021. « Mon ambition, c’est d’être le prochain président de la République du Bénin dès le 6 avril 2021. Je suis prêt pour le job. Merci ! », a-t-il confié.
S’en suivra, Benoît Illassa. Sur sa page facebook, l’ancien Ambassadeur du Bénin auprès de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et ancien compagnon de Patrice Talon a également affiché son ambition de siéger au palais de la marina, quelques mois plus tard. « Bénin : Je suis candidat aux présidentielles de 2021 », avait il indiqué.
Et comme s’il s’agissait d’une formule sacrée, Rogatien Alapini va également saisir le même canal pour déclarer officiellement sa candidature à la présidentielle de 2021.
Pilote de ligne (Ingenieur conseil) chez S.E.C. Ingenierie, il a fait part de sa volonté de succéder à Patrice Talon.
« BÉNIN : ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 2021…MON APPEL À L’UNITÉ ET À LA FERMETÉ…Chers compatriotes, À 10 mois de l’échéance présidentielle que nous devons gagner en 2021, je viens vers vous. Ni en héros. Ni en Zorro…Voilà pourquoi, porteur d’un Projet, d’un Programme Présidentiel et de Gouvernement au service de notre Pays et de son valeureux Peuple, j’ai besoin de rassembler dès maintenant, du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest, toutes les filles et tous les fils du Bénin, toutes les compétences et toutes les capacités, toutes les énergies autour de ma Candidature pour 2021…Voilà pourquoi je lance un appel solennel à toute l’opposition, toutes les oppositions unies, sur le territoire national et dans la Diaspora », a publié Rogatien Alapini en ce mois de juin.
Mais bien avant l’annonce de la candidature de ce dernier, le psychologue et spécialiste en économie fondamentale Bertin Koovi et l’avocat Ferdinand Lawson s’étaient déclarés partants. Via des canaux différents, les deux hommes ont déclaré leurs candidatures.
Outre ces cinq prétendants, on peut ajouter le nom du constitutionnaliste Frédéric Joël Aïvo. Ce n’est qu’une question de jours pour l’ancien doyen de la Fadesp d’annoncer officiellement sa candidature.
Toutefois, le plus difficile pour Aïvo, Koovi, Lawson, Alapini, Illassa et Tomèty sera de sauter le verrou du parrainage.
Loin de cet esprit moqueur, le président du Mouvement république et démocratie (MRD) réagit à la défaite du Prd. Dans un esprit critique, il analyse cet échec et indique le chemin à suivre…
Après la proclamation des résultats des communales et municipales du 17 mai dernier, le Parti du renouveau démocratique est l’objet de critique, mais aussi et surtout de moqueries. Comme si la débâcle du PRD à ce scrutin faisait plaisir aux détracteurs du parti et de son président Adrien Houngbédji, en particulier.
Loin de cet esprit moqueur, le président du Mouvement république et démocratie (MRD) réagit à la défaite du Prd. Dans un esprit critique, il analyse cet échec et indique le chemin à suivre.
Ferdinand Lawson montre comment les leaders peuvent saisir cette débâche pour reconstruire le parti arc-en-ciel.
« L’existence d’ un mouvement politique, ou, et, d’ un Parti politique suite aux résultats obtenus et sortis des urnes aident généralement à la refondation du parti ayant perdu de son influence ou ayant obtenu de piètres résultats en nombre de voix et sièges », fait il remarquer.
Toutefois, le président du MRD précise que cette refondation doit tenir compte de l’évolution de la société.
« Cette refondation doit s’appuyer et s’adapter sur l’ évolution de la société; couvrir une prochaine période de 40 à 50 ans », indique t-il, avant d’ajouter « C’est ce à quoi le PRD doit s ‘atteler ».
Le président du MRD invite, dans ce sens, Adrien Houngbédji à aller à la recherche des « hommes nouveaux à dimension nationale et international, des hommes politiques avec éthique et conviction »
Et de lancer « au travail de juin 2020 au 31 décembre 2020 afin d’ écrire de nouvelles pages en 2021 »
Bonne nouvelle pour les candidats du parti « Arc en ciel » ! Me Adrien Houngbédji vient de décrocher le soutien d’un parti doté d’une puissance XXL dans le cadre des communales du 17 mai. Il s’agit du …
Bonne nouvelle pour les candidats du parti « Arc en ciel » ! Me Adrien Houngbédji vient de décrocher le soutien d’un parti doté d’une puissance XXL dans le cadre des communales du 17 mai. Il s’agit du Mouvement république et démocratie (MRD). Un puissant parti composé de braves hommes et femmes qui a fait ses preuves dans de précédentes luttes.
Et c’est à travers un communiqué officiel signé du président du MRD, Ferdinand Lawson et du Vice-président chargé du développement local Delphin Houndonougbo que le parti a officiellement annoncé son appui aux candidats du PRD sur toute l’étendue du territoire national.
« Le bureau national invite les militants et militantes du MRD à voter massivement les listes du PRD», souligne à cet effet le communiqué.
Absent du territoire national, Me Ferdinand Lawson est toutefois déjà à l’œuvre. Depuis l’hexagone, il s’assure du respect de la consigne donnée.
« Le MRD aux côtés du PRD sur l’ensemble du territoire dans les 12 arrondissements. Mes coordonateurs sont sur le terrain. Je coordonne leurs avancées de circonscriptions en communes dans les 12 départements », nous a-t-il fait savoir.
Voilà qui constitue un casse-tête pour les partis adverses.