Voici pourquoi le président Gilbert Bangana et ses pairs doivent écouter les agents du Cos-Lépi 2016-2017

Décidés à aller à un rythme accéléré, les 11 membres juste après la prestation de serment devant les sept sages de la Cour Constitutionnelle, se sont retrouvés au siège du Cos-Lépi à Sèmè-Podji pour la mise en place du nouveau bureau. Ainsi, le député Gilbert BANGANA du Bloc Républicain a été élu Président par ses pairs.

Comme annoncé et conformément aux textes, les nouveaux membres du Conseil d’Orientation et de Supervision de la Liste Électorale Permanente Informatisée (Cos-Lépi) ont prêté serment le jeudi 06 août 2020.

Décidés à aller à un rythme accéléré, les 11 membres juste après la prestation de serment devant les sept sages de la Cour Constitutionnelle, se sont retrouvés au siège du Cos-Lépi à Sèmè-Podji pour la mise en place du nouveau bureau. Ainsi, le député Gilbert BANGANA du Bloc Républicain a été élu Président par ses pairs.

L’Honorable Florentin Tchaou, membre de l’Union Progressiste prend la place du Vice-président. Laurent Mahounou Hounsa, DG Insae devient le rapporteur. Il faut signaler que cette mandature du Conseil d’Orientation et de Supervision de la Liste Électorale Permanente Informatisée (COS-LEPI) qui semble être la dernière au regard du nouveau code électoral en vigueur, a essentiellement pour mission durant six mois(31 janvier 2021 au plus tard) d’actualiser le fichier national en vue d’en extraire la nouvelle liste électorale.

Gilbert Bangana et son équipe appelés à jouer leur partition

 Mais faut-il le rappeler à ces nouveaux responsables de l’institution qu’en dehors de la mission principale, le bureau devra tout mettre en oeuvre pour corriger une injustice qui dure depuis plus de trois ans. En effet, le Cos-Lépi de 2016-2017 dirigé par Badirou Aguèmon auquel fut membre l’actuel président pour des raisons qu’on ignore encore, n’a pu payer les primes dues aux agents recrutés à l’époque.

Malgré les démarches menées et les incessants cris de détresse desdits agents, rien n’a bougé. C’est pourquoi, le choix d’un député fin connaisseur du problème, est une lueur d’espoir pour ces nombreux jeunes qui pensent que cette fois-ci sera la bonne. Dans l’élaboration de leur budget, les membres de ce Cos-Lépi devront intégrer l’ardoise qui s’élève à un peu plus de 400.000.000 francs CFA. Cela pourra permettre de régler définitivement un problème qui n’ a fait que trop durer et causer d’énormes préjudices aux agents en question majoritairement des jeunes répartis dans les 77 communes et les 546 arrondissements du pays. Parlant de ces agents, on note les Coordonnateurs départementaux (CD), Coordonnateurs de zone (CZ), les Commissaires Communaux d’actualisation(CCA), et les Délégués d’actualisation d’arrondissement (DAA). Le gouvernement du président Patrice Talon connu pour son pragmatisme, est appelé à jouer sa partition pour que ces citoyens retrouvent enfin le sourire.

Source Externe

Politique: Les députés du BMP justifient leur soutien à Talon

On en sait un peu plus sur les raisons du soutien des députés du Bloc de la majorité parlementaire (BMP) aux actions du président de la République. Face aux hommes des médias ce mardi 27 février 2018 à l’hôtel Azalaï de la Plage de Cotonou, Jean-Michel Abimbola, Orden Alladatin, Gérard Gbénonchi, Boniface Yèhouétomè, Louis Vlavonou, Gilbert Bangana,  principaux conférenciers ont donné les raisons du mariage BMP-Patrice Talon…

On en sait un peu plus sur les raisons du soutien des députés du Bloc de la majorité parlementaire (BMP) aux actions du président de la République. Face aux hommes des médias ce mardi 27 février 2018 à l’hôtel Azalaï de la Plage de Cotonou, Jean-Michel Abimbola, Orden Alladatin, Gérard Gbénonchi, Boniface Yèhouétomè, Louis Vlavonou, Gilbert Bangana,  principaux conférenciers ont donné les raisons du mariage BMP-Patrice Talon.

Manassé AGBOSSAGA

C’est à travers une sortie médiatique sous le sceau de rentrée politique du BMP que  Jean-Michel Abimbola et les siens ont justifié le soutien de  61 députés aux actions du chantre du Nouveau départ. Dans une déclaration liminaire lue par leur coordonateur, Jean-Michel Abimbola, les députés du BMP ont salué la rigueur, l’audace et la ténacité qui caractérisent le style Talon. Et à en croire le coordonateur du BMP, ce style a tôt fait de produire des résultats dans tous les secteurs en bientôt deux ans de gestion du pouvoir.

Jean-Michel Abimbola cite entre autres  « l’effort  d’assainissement des finances publiques, la fin des délestages,  l’effectivité de la mise en place et le fonctionnement des cantines scolaires, la mise à disposition et à bonne date des subventions aux établissements scolaires, le recrutement de 77 magistrats actuellement en formation, de 100 greffiers en cours de recrutement,  , le repositionnement de notre pays le Bénin comme une destination touristique,   la sécurité sur le corridor béninois, le dédommagement en vue du démarrage effectif des travaux de construction de l’aéroport de Glo-Djigbé, le démarrage et la poursuite de plusieurs axes routiers dont l’axe Porto-Novo/ Missérété. Et de lancer « Talon rentrera dans l’histoire »

Loin de cette certitude du succès de  l’actuel locataire de la marina, les députés du BMP ont,  au cours de leur rentrée politique sous le thème ‘‘Engagés avec le président Talon pour des reformes majeures qui transforment qualitativement notre pays »,  abordé les questions  de la non installation du Cos-Lépi, de la demande de levée d’immunité parlementaire à certaines personnalités politiques, du retrait du droit de grève à certaines corporations, de la proposition de loi sur la reforme du système partisan. Et ici, les honneurs sont revenus aux députés Gérard Gbénonchi, et Gilbert Bangana sur la question du Cos-Lépi, à Orden Alladatin sur  la levée d’immunité parlementaire, à Louis Vlavonou sur le retrait du droit de grève et enfin à Boniface Yèhouétomè sur la reforme du système partisan. Sur ces différentes questions, les conférenciers ont tenté de justifier la bonne foi  des députés du BMP, et au passage essayé de mettre un terme aux intoxications.

La réplique des députés de la minorité ne tardera pas sans doute.