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Nelson Matus, journaliste mexicain, a été tué par balles le samedi 15 juillet dernier à Acapculco (ouest).
Enième crime contre les hommes des médias dans le monde. Et cette fois-ci, le drame a été enregistré au Mexique
Nelson Matus, journaliste mexicain, a été tué par balles le samedi 15 juillet dernier à Acapculco (ouest).
La triste nouvelle a été confirmée par le parquet régional, annonçant l’ouverture d’une enquête pour « délit d’homicide qualifié par arme à feu ».
Nelson Matus a été assassiné sur le parking d’un commerce.
Luis Martín Sánchez Iñiguez, journaliste et correspondant du journal « La Jornada » dans l’État de Nayarit (nord-ouest du Mexique), fut retrouvé le 08 juillet dernier.
Nouvel épisode après le décès de la journaliste Marlène Zomahoun, dimanche 28 mai dernier après un accouchement par césarienne, vendredi. Le gynécologue qui a effectué l’intervention chirurgicale est depuis hier soir aux mains de la justice.
Nouvel épisode après le décès de la journaliste Marlène Zomahoun, dimanche 28 mai dernier après un accouchement par césarienne, vendredi. Le gynécologue qui a effectué l’intervention chirurgicale est depuis hier soir aux mains de la justice.
Interpellé mercredi 31 mai, Il est gardé à vue au commissariat central de Porto-Novo en attendant sa présentation au procureur.
Selon les informations rapportées par Bip radio, la justice a décidé de s’autosaisir du dossier.
Une décision sans doute prise à l’issue des révélations de Raoul Hounsounou, Directeur de publication de Nord Sur Quotidien, où la défunte était une collaboratrice externe.
« (…) La vie ne tient qu’à une fraction de seconde. Mais celle de Marlène, je la voyais rose au regard de la belle âme qui la portait, de sa volonté, son dynamisme et de sa persévérance. Hélas elle s’arrête ici à moins de 30 ans. De retour au pays, en catastrophe, je me rendis mardi matin accompagné de deux ainés dans la famille de ma collaboratrice à Porto Novo. L’ambiance est des plus insupportables. Du récit fait par sa mère, le dernier des néophytes en médecine conclut que Marlène ZOMAHOUN a été « gérée dans une boucherie »
« C. M. I situé derrière la Préfecture de Porto Novo avec C. Y comme gynécologue-obstétricien, c’est l’établissement qui a suivi l’évolution de la grossesse et a reçu Marlène pour l’accouchement par césarienne moyennant une facture de 200.000 FCFA. Mais aux dires du médecin que nous avons réussi à joindre par téléphone (nous sommes encore en possession de la conversation), il s’agit d’un « petit cabinet » sans bloc opératoire. Mais chose curieuse, décide d’une césarienne et la fait dans une clinique jugée plus équipée. L’opération a été faite dans la clinique Adébo à Adjarra Docodji à Porto Novo en face du Lycée Toffa 1er. Marlène accoucha de son premier geste et rentra quelques jours après. En dehors des lochies, Marlène n’avait de cesse de se plaindre de violentes douleurs au ventre et après des écoulements nauséabonds. Ce qui interpella sa mère qui alerta le médecin.
Ce dernier conseilla un traitement qui n’a pas eu le mérite d’arrêter la douleur. Avec sa persistance samedi dernier, Marlène fut conduite au Centre médical International qui n’a pas cru devoir la référer à un établissement plus équipé (Motif : « je devrais stabiliser le tableau d’abord » a laissé entendre Dr C. Y joint au téléphone). Ainsi, « abandonnée » selon sa mère, Marlène rendit l’âme aux environs de 02 heures du matin. « Je crois qu’elle est morte d’une perforation gastrique » parce qu’elle prenait des aliments lourds après la césarienne et faisait des travaux domestiques. Mais pour avoir reconnu qu’elle saignait par le bas et après vomissait du sang, d’autres expertises affirment qu’il s’agirait d’une hémorragie interne liée à une césarienne mal faite. Un point de suture mal fait ou un organe coupé et non arrangé… », a-t-il publié dans un article publié ce mercredi 31 mai.
La presse béninoise à nouveau éplorée. Quelques jours après la disparition de la journaliste Marlène Zomahoun, notre confrère Ludovic Ayédèguè vient de nous quitter.
La presse béninoise à nouveau éplorée. Quelques jours après la disparition de la journaliste Marlène Zomahoun, notre confrère Ludovic Ayédèguè vient de nous quitter.
Collaborateur pour le compte des départements du Borgou et de l’Alibori du groupe de presse Le Matinal, il est passé de vie à trépas, le lundi 29 mai 2023, des suites d’une courte maladie.
Condoléances à toute la presse béninoise, à sa famille biologique et à ses proches !
Il a été rapporté à la Coordination Nationale du Parti Les Démocrates que le journaliste répondant au nom de LISSANON Maxime a été arrêté le 13 janvier 2023 au lendemain du scrutin législatif. Ladite arrestation ferait suite à la publication sur sa page Facebook du message suivant : « Les représentants du parti Les Démocrates refusés d’accès dans les bureaux de vote à Abomey. On leur reproche la non authentification de leur mandat, alibis pour leur faire perdre du temps. A suivre. » Sur le mandat de dépôt, l’inculpé est accusé de fait : « d’incitation à la rébellion. »
COMMUNIQUE DU PARTI LES DEMOCRATES RELATIF À LA DÉTENTION ARBITRAIRE DU SIEUR LISSANON MAXIME À LA PRISON CIVILE D’ABOMEY
Il a été rapporté à la Coordination Nationale du Parti Les Démocrates que le journaliste répondant au nom de LISSANON Maxime a été arrêté le 13 janvier 2023 au lendemain du scrutin législatif. Ladite arrestation ferait suite à la publication sur sa page Facebook du message suivant : « Les représentants du parti Les Démocrates refusés d’accès dans les bureaux de vote à Abomey. On leur reproche la non authentification de leur mandat, alibis pour leur faire perdre du temps. A suivre. » Sur le mandat de dépôt, l’inculpé est accusé de fait : « d’incitation à la rébellion. »
Nous soutenons que le message rendu public par le sieur LISSANON Maxime sur sa page Facebook, est bien avéré ainsi que nous l’avons mentionné dans les recours adressés à la Cour Constitutionnelle dans le cadre du contentieux post-électoral. En effet, le Parti Les Démocrates a mentionné dans ses recours que « les mandataires du parti à Abomey, Sèmè-Podji, Dassa-Zoumé, Ouèssè, So-Ava, Ifangny, Lalo etc, ont été renvoyés des bureaux de vote au motif que les mandats n’étaient pas contresignés par la CENA. »
En conséquence, la charge « d’incitation à la rébellion » retenue contre le sieur LISSANON Maxime est impertinente puisque le Parti Les Démocrates l’a maintes fois évoquée dans ses sorties médiatiques.
Il en résulte que le parti Les Démocrates condamne cette nième arrestation arbitraire et exige la libération sans délai de M. LISSANON Maxime injustement incarcéré.
Le parti Les Démocrates réaffirme son soutien à M. LISSANON Maxime et lui apportera une assistance juridique à l’occasion de sa prochaine comparution. En outre, le Parti usera de tous les moyens légaux pour obtenir la libération de ce journaliste incarcéré pour délit d’opinion.
Jour J pour Virgile Ahouansè ! Le journaliste est attendu à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Crie) ce lundi 13 février. En effet, le procès du directeur de l’information du site d’informations et de la radio en ligne Crystal News s’ouvre ce jour à la Criet.
Jour J pour Virgile Ahouansè ! Le journaliste est attendu à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Crie) ce lundi 13 février. En effet, le procès du directeur de l’information du site d’informations et de la radio en ligne Crystal News s’ouvre ce jour à la Criet.
Virgile Ahouansè ne sera pas seul à la barre. Le chef quartier de Dowa Centre et du gardien de l’école de ce quartier comparaissent également.
L’ancien journaliste de la radio Soleil Fm, de l’opposant Sébastien Ajavon, est poursuivi pour “diffusion de fausses nouvelles visant à troubler l’ordre public”.
La presse béninoise est à nouveau endeuillée. Après le décès du journaliste Ismaël Keko il y a seulement quelques jours, Alain Adou, directeur de publication du quotidien Le Choix vient de casser la pipe.
La presse béninoise est à nouveau endeuillée. Après le décès du journaliste Ismaël Keko il y a seulement quelques jours, Alain Adou, directeur de publication du quotidien Le Choix vient de casser la pipe.
D’après le journaliste Iréné Amondo, «il est mort des suites d’un accident vasculaire cérébral » ce vendredi 18 juin 2021 à l’hôpital.
Ces dernières années, Alain Adou a eu de graves ennuis de santé. Il y a quelques mois, il confiait avoir été victime d’un AVC et disait s’en remettre peu à peu.
Kpakpato Medias présente ses sincères condoléances à la famille du défunt, à ses proches et à toute la presse béninoise
Angela Kpeidja parle de sa nomination comme chef service Web de l’ORTB. Celle qui s’était beaucoup fait connaître avec sa dénonciation sur le harcèlement sexuel en milieu professionnel avait à l’époque qualifiée cette nomination de « maigre consolation ». Un an après, la journaliste n’a pas changé d’avis et fait cette mise au point. « On ne devient pas présentatrice du journal, d’une émission ou d’un show parce qu’on est généreuse sexuellement avec son ou ses patrons »
Angela Kpeidja parle de sa nomination comme chef service Web de l’ORTB. Celle qui s’était beaucoup fait connaître avec sa dénonciation sur le harcèlement sexuel en milieu professionnel avait à l’époque qualifiée cette nomination de « maigre consolation ». Un an après, la journaliste n’a pas changé d’avis et fait cette mise au point. « On ne devient pas présentatrice du journal, d’une émission ou d’un show parce qu’on est généreuse sexuellement avec son ou ses patrons »
𝗠𝗮𝗶𝗴𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 !
Oui je l’avais twitté. Et aujourd’hui encore, je l’assume. Pour beaucoup à l’époque, je n’avais pas l’étoffe pour prendre la direction du service Web de l’ORTB. Pour d’autres, en acceptant ce poste, je venais bonnement corroborer la thèse de la victimisation dans le but de gravir les échelons.
Ce 22 mai 2020, lorsque j’acceptais ce poste, j’étais accablée de toutes parts. Sur mon lieu de travail, je n’étais pas légitime à ce poste. Entre les éventuelles représailles du Président de la République qui s’est mêlé de l’affaire, la jalousie et mes présumées lacunes, les visages de la plupart de mes collègues sont restés fermés. Ils attendaient tous pour applaudir le clash au bout d’un mois. Pas un soupçon de félicitations!!!
Mais c’est tout de même évident d’avoir ce revers après leur avoir tendu le miroir. Je venais d’écorner l’image de tous les employés, harceleurs, violeurs ou pas.
Un an après, je ne ferai pas de bilan. Je laisserai le soin aux internautes des différentes pages de ce média de le faire. Mais je reviendrai sur cette promotion qui décrédibiliserait mon combat contre le harcèlement sexuel en milieu du travail.
Pour moi, il est inadmissible qu’on bénéficie d’une promotion en plein cœur de la gangrène du harcèlement sexuel. On ne devient pas présentatrice du journal, d’une émission ou d’un show parce qu’on est généreuse sexuellement avec son ou ses patrons. L’humiliation vient justement du fait qu’on réduise la femme à ses simples attributs au lieu de miser sur ses compétences. Et Dieu sait que de plus en plus les femmes ont cette intelligence, cette élégance à gérer au mieux les affaires de la cité.
Face à ce que les uns et les autres appellent promotion, je suis tentée de dire que je n’ai pas été promue. Jamais je n’ai rêvé d’autre chose que d’une émission de santé dans ce média.
Bien au contraire, cette nomination aurait dû mettre à nu mes présumées lacunes. Puisque certains ont affirmé que je n’ai eu droit qu’à des promotions canapés dans ce média. En plus dans mon cas, comme l’a écrit mon collègue rédacteur Web, j’étais une profane du Web qui débarquait à la tête du service Web de l’ORTB.
Mais quand on vous a réduit à un objet sexuel pendant des années, la baisse de l’estime de soi est bien souvent le seul choix à votre portée. Faut-il alors continuer à vous engouffrer dans ce tunnel de la déchéance quand vous avez l’opportunité d’en sortir ?
J’avais besoin de me prouver que je n’étais pas ce qu’ils me condamnaient à être. J’avais besoin d’éprouver mes capacités et de faire honneur à cette catégorie de femmes qui allient allègrement beauté, intelligence, courage, et savoir-faire.
Le Bénin reste l’un des rares pays sur le continent africain à disposer d’un texte de loi portant protection des victimes du harcèlement sexuel en milieu professionnel. Mais la peur du regard de la société a toujours été le frein à l’application de cette loi. Les sanctions administratives et juridiques y sont clairement signifiées. Et comme j’ai pu l’exprimer sur mon mur à l’époque, la sanction administrative n’exclut pas la poursuite judiciaire. Elle est même maigre en face du préjudice social et professionnel qui est le mien.
Pour lutter, il faut aller au front. En plus, j’y suis les mains nues, sans maquillage, sans fioritures. Il est plus facile d’être bon joueur quand on est sur le banc de touche.
Absent ces derniers mois sur son canal préféré, Simon Narcisse Tomèty a signé son come-back ce samedi 05 décembre. Et pour ce retour, le président du Café africain des néo-philosophes a tiré à boulets rouges sur la Presse béninoise. L’ancien directeur de l’Ecole de la nouvelle conscience parle notamment « de brebis galeuses », de « journalistes sans vocation, sans respect pour les droits de l’homme », et plaide pour une «une presse citoyenne, une presse au service du BIEN ». Intégralité de son réquisitoire.
La presse béninoise, une plaie puante
La presse béninoise, à l’exception de quelques rares organes et journalistes, est moralement et éthiquement au rabais.
L’urgence pour le prochain régime est d’organiser les États Généraux de la presse car les organes de presse ont été la cheville ouvrière de l’instauration de la dictature sanglante et monopolistique au Bénin depuis 2016. La promotion de la dictature est devenue un centre de PROFIT pour certains journalistes au mépris de leur propre déontologie. La désertion du PATRIOTISME dans ce milieu de la presse au profit de l’opportunisme mercantilo-politique est le moteur de tous les complots contre les acquis de la conférence nationale dont les socles moraux et institutionnels sont la démocratie et le consensus.
Oui, une presse affamée devient un outil dangereux pour la paix, la stabilité de l’État et le développement.
La presse béninoise a violé, depuis avril 2016 et en permanence, la conscience des citoyens béninois. Elle a été le moteur des clivages entre Béninois. Elle est la stratégie d’insémination de la peur aux cadres et à tout le peuple. C’est elle qui est aux ordres et payée pour répandre les humiliations sans gêne émanant du régime actuel.
Cette presse est indigne pour son rôle sadique dans la destruction de la cohésion nationale. C’est une presse de comploteurs qui a tourné le dos à la dignité humaine et à la république.
Je suis un homme révolté car rien n’égale la dignité humaine. Cette presse doit faire son mea-culpa pour son auto assainissement car elle traîne trop de brebis galeuses c’est-à-dire des journalistes sans vocation et sans respect pour les droits de l’homme.
Pour autant, nous soutenons que cette presse doit être réformée pour que les hommes et les femmes des médias professionnels puissent vivre dignement de leurs métiers afin de finir avec le griotisme de bas étage par lequel beaucoup se sont illustrés pour pouvoir jouir de la rente dictatoriale.
La presse béninoise doit redevenir une presse citoyenne, une presse au service du BIEN. Tel est mon souhait. Tout est éphémère!
La situation du journaliste Déo-Gratias Kindoho vire au drame. Empêché d’antenne, le journaliste vit une véritable « torture ». Du moins, selon son collègue Didier Hubert Madafimè.
La situation du journaliste Déo-Gratias Kindoho vire au drame. Empêché d’antenne, le journaliste vit une véritable « torture ». Du moins, selon son collègue Didier Hubert Madafimè.
A travers un texte publié sur sa page Facebook, il a révélé comment notre confrère est traité par les responsables de l’ORTB.
« Ça fait plus d’un an qu’il n’est plus utilisé: ni reportage ni présentation. Tous les jours il est là, à ne rien faire », dénonce Didier Hubert Madafimè.
Il confie que des démarches ont pourtant été entreprises pour mettre fin à cette « torture ».
« …Le Dg sait là où se trouve Deo-Gratias Kindoho. Il y a eu des échanges de correspondance entre les deux et même des rencontres d’explication entre le Dg et son collaborateur … Je suis allé voir le Directeur de la radio pour qu’il arrête cette torture contre Deo –Gratias, une fois, le Dg à l’origine de la situation débarqué, mais rien », confie t-il.
Et de prévenir « Si la cabale continue, on sera dans la triste obligation de sortir tous les documents ».
Manassé AGBOSSAGA
INTEGRALITE DE LA PUBLICATION DU JOURNALISTE MADAFIME
« Je n’ai pas écouté, moi-même, mais j’ai été informé d’un communiqué demandant à
de reprendre le boulot, faute de quoi, il est considéré comme démissionnaire à partir d’une certaine date. Celui qui a rédigé le communiqué ne s’est pas bien renseigné et je suis sûr que ça ne vient pas de la Direction Générale. Le Dg sait là où se trouve Deo-Gratias Kindoho. Il y a eu des échanges de correspondance entre les deux et même des rencontres d’explication entre le Dg et son collaborateur . Ça fait plus d’un an qu’il n’est plus utilisé: ni reportage ni présentation. Tous les jours il est là, à ne rien faire. Je suis allé voir le Directeur de la radio pour qu’il arrête cette torture contre Deo -Gratias, une fois, le Dg à l’origine de la situation débarqué, mais rien. C’est vrai que Deo est une forte tête mais, c’est l’un des meilleurs journalistes de sa génération. Il est aussi l’un des rares à faire de l’équilibre de l’information le principe sacro-saint de son métier. Il décide de saisir une opportunité et les méchants, ceux qui lui pourrissent la vie, se saisissent de l’occasion. Il demande un détachement, ce qui est normal et reconnu par le statut des agents de l’ORTB et on lui impose une mise en indisponibilité. Il connaît bien la difficulté entre les deux. Ça a traîné au point où il a fallu écrire des lettres d’excuses à ces nouveaux patrons. Finalement, il est parti. Ou se trouve l’abandon de poste. Il a suffisamment le temps pour que ceux qui lui ont pourri la vie ne soient plus au poste ou au pouvoir, à son retour, afin que sa réintégration se passe sans problème. Tout finit par finir. Si la cabale continue, on sera dans la triste obligation de sortir tous les documents ».