Bénin: Une mère tue de sang-froid son bébé

Avant elles abandonnaient leurs bébés après l’accouchement, mais maintenant elles sont passées à la vitesse supérieure dans leur méchanceté. Cet acte odieux rapporté par Frissons Radio, dans son édition du vendredi 15 avril 2022 en dit long.

Avant elles abandonnaient leurs bébés après l’accouchement, mais maintenant elles sont passées à la vitesse supérieure dans leur méchanceté. Cet acte odieux rapporté par Frissons Radio, dans son édition du vendredi 15 avril 2022 en dit long.

Dans la commune d’Abomey-Calavi, précisément  dans l’arrondissement de Zinvié, une jeune mère de 32 ans est accusée d’avoir mis fin aux jours de son nourrisson, le mercredi dernier.

Selon les explications, la présumée meurtrière aurait, à huit mois de sa grossesse,  avalé un produit pour un accouchement précoce.

Après l’accouchement, elle l’étrangle et  tue, de sang-froid,   son propre bébé à coups de brique.

Une atrocité qui suscite une interrogation ? Qu’est ce qui peut amener une femme, de surcroît une génitrice à agir méchamment ?

Manassé AGBOSSAGA

Un homme jugé pour avoir jeté sa femme par la fenêtre et maquillé sa mort en suicide

Un homme de 31 ans est jugé depuis ce lundi devant la cour d’assises du Rhône pour le meurtre de sa jeune épouse, originaire du Mexique et alors âgée de 26 ans

Un homme de 31 ans est jugé depuis ce lundi devant la cour d’assises du Rhône pour le meurtre de sa jeune épouse, originaire du Mexique et alors âgée de 26 ans

Lyon, le 24 février 2016 Illustrations de la Cour d'Assies du Rhône et de l'ancien Palais de justice de Lyon.
© Fournis par 20 Minutes Lyon, le 24 février 2016 Illustrations de la Cour d’Assies du Rhône et de l’ancien Palais de justice de Lyon.

Pierre-Olivier L, âgé de 31 ans, comparaît depuis ce lundi devant la cour d’assises du Rhône pour le meurtre de son épouse Jessica, une jeune femme originaire du Mexique. Il est accusé de l’avoir défenestrée et d’avoir ensuite fait croire aux enquêteurs qu’il s’agissait d’un suicide.

Les faits remontent au 11 août 2018. Le corps inerte de la victime avait été retrouvé dans une mare de sang, au pied d’un immeuble de la rue Dumont dans le quartier de la Croix-Rousse (4ème arrondissement). Le mari éploré, accro à l’héroïne, indiquait alors aux policiers que sa jeune épouse de 26 ans s’était jetée du troisième étage alors qu’il tentait de la calmer. Avant d’avouer deux jours plus tard qu’il ne s’agissait pas d’un suicide.

Des recherches compromettantes

Lors de ses aveux, il a finalement reconnu avoir « étranglé sa compagne en lui faisant une clé de bras au cou ». C’est lui qui aurait ensuite poussé le corps sans vie dans le vide.

Sa version des faits n’a toutefois pas convaincu l’accusation, persuadée que le geste était prémédité. Le mari aurait effectué des recherches sur Internet sur la façon de maquiller un meurtre en suicide, révèle Le Progrès. De même qu’il aurait visionné des vidéos de catch au cours de laquelle étaient montrées des clés d’étranglement.

Le verdict est attendu mercredi.

20minutes

Acquitté après 4 ans de prison, un homme demande 500.000 euros de réparation

Un homme de 24 ans réclame 500.000 euros de réparation auprès de la cour d’appel de Rennes à la suite de son acquittement après 4 ans de prison. Incarcéré en 2017, il avait été mis en examen pour complicité de meurtre.

Un homme de 24 ans réclame 500.000 euros de réparation auprès de la cour d’appel de Rennes à la suite de son acquittement après 4 ans de prison. Incarcéré en 2017, il avait été mis en examen pour complicité de meurtre.

Prison (PHOTO D'ILLUSTRATION)
© Kenzo Tribouillard Prison (PHOTO D’ILLUSTRATION)

Acquitté après près de quatre ans de détention provisoire, un homme de 24 ans demande 500.000 euros de réparation auprès de la cour d’appel de Rennes pour le préjudice moral subi pendant ses années de prison, a indiqué son avocat à l’AFP dimanche confirmant une information de Ouest-France.

Le jeune homme avait été incarcéré le 3 août 2017 alors qu’il était âgé de 20 ans, dans le cadre de l’enquête sur le meurtre d’Oussama Nadi, tué d’un coup de couteau à Nantes, sur fond de trafic de stupéfiants.

L’homme a toujours nié les faits

« Il lui était reproché d’avoir fourni l’arme du crime » en connaissance de cause, a expliqué son avocat Me David Curiel.

Mis en examen pour complicité de meurtre, le jeune homme a toujours nié les faits et a été acquitté par la cour d’assises de Loire-Atlantique le 23 avril 2021, après trois ans, huit mois et vingt jours de détention. Le parquet n’a pas fait appel. Dans sa requête d’indemnisation, l’avocat détaille « le choc carcéral » subi par son client qui n’avait pas d’antécédent judiciaire, encourait une peine de 30 ans de réclusion, a été coupé de sa famille et a dû subir les conséquences de la surpopulation carcérale.

Du stress post-traumatique à cause de l’incarcération

« Il a dû dormir sur un matelas à même le sol pendant plusieurs mois », précise Me Curiel. Souffrant d’isolement, « il a initié un suivi psychologique qui lui a été accordé de manière très erratique: il a eu quelques séances en quatre ans », a ajouté l’avocat. »Et le traumatisme ne s’arrête pas aux portes de la prison », a poursuivi l’avocat, qui évoque dans sa requête des « symptômes de stress post-traumatique dû à cette incarcération ».

Pour évaluer le préjudice moral de son client, l’avocat se base sur la jurisprudence de la cour d’appel de Rennes, qui en 2012 avait accordé 600.000 euros de réparation de son préjudice moral à Loïc Sécher, pour plus de sept ans passés en prison pour des viols qu’il n’avait pas commis.

BFM TV

Jérôme Boateng, défenseur du Bayern : Son ancienne compagne retrouvée morte une semaine après leur séparation

Actuellement au Qatar où il dispute avec son club le Bayer Munich,  la 17ᵉ édition de la Coupe du monde des clubs de la FIFA, Jérôme Boateng est au cœur d’une terrible nouvelle. Son ancienne, compagne, la mannequin Kasia Lenhardt a été retrouvée morte dans son appartement une semaine après leur séparation.

Plusieurs médias en Allemagne à l’image de ‘Promiflash’ ne se privent pas de relayer cette actualité qui touche le défenseur du Bayern Munich.

Le 2 février,   sa relation avec le défenseur a pris fin au bout de 15 mois. Ça été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Kasia Lenhardt, âgée de 25 ans  enchaînait les moments difficiles.

Avant sa mort, elle disait avoir besoin de temps pour retrouver ses esprits.  « Je parlerai.  Je dois d’abord me calmer. S’il vous plaît, donnez-moi du temps »,  avait -t-elle déclaré en réponse aux questions des journalistes de ‘Promiflash, dans un entretien réalisé avant sa mort.

Jérôme Boateng, défenseur du Bayern : Son ancienne compagne retrouvée morte une semaine après leur séparation

Le défenseur central du Bayern avait lui-même, sur son compte Instagram,  levé un coin de voile les raisons de sa rupture avec Kasia Lenhardt. « C’est regrettable, mais pour ma famille et pour moi, c’est la seule chose à faire. Je dois franchir cette étape… Je dois prendre mes responsabilités et agir dans l’intérêt de ma famille en m’excusant auprès de tous ceux que j’ai blessés, en particulier mon ex-petite amie Rebecca et nos enfants », avait déclaré Jérôme Boateng, , avant de confier peu de temps après « «Kasia est devenue ma petite amie en détruisant ma relation avec mon ex-compagne Rebecca et ma famille et en me faisant du chantage» dans un entretien accordé à Bild.

Une rupture et des propos insuffisants pour relier le défenseur du Bayern à la disparition de son ex-Compagne.  

La police de Berlin a précisé que la mort de Kasia Lenhardt ne fait pas l’objet d’une enquête pour meurtre éventuel, car il n’y a aucune indication à ce sujet.

Manassé AGBOSSAGA

Côte d’Ivoire : La Police met la main sur un redoutable tueur en série

Fin de cavale pour ce redoutable tueur en série qui enchainait les meurtres et crimes depuis le mois d’Octobre 2020 dans la zone sud d’Abidjan.  A chaque fois, il surprenait ses victimes dans leur sommeil.

La Direction de la Police Criminelle (DPC) de Côte d’Ivoire a alors fait  de lui une cible numéro 1 à arrêter.

C’est ainsi qu’après des recherches et lors d’une patrouille de deux équipages de la Brigade de Recherches et d’Intervention(BRI), le nommé SA, 42ans, sans domicile fixe, a été interpellé au niveau de l’échangeur en face du supermarché Playce à Marcory, dans la nuit du 22 au 23 janvier 2021, aux environs de 02h30, d’après des sources policières.

Ce dernier serait passé aux aveux et aurait « reconnu sans difficultés les faits de meurtres qui lui sont reprochés ».

Il devra désormais répondre de ses actes !!!

Manassé AGBOSSAGA

Le département de l’Atacora inquiète : Dix-huit suicides par pendaison enregistrés en huit mois

Le département de l’Atacora est il devenu champion en homicide, meurtre et suicide ? Oui est-on tenté de répondre sur la base des chiffres fournis par l’Agence Bénin presse (ABP).

L’Atacora a enregistré   plus de 50  cas d’homicides, de meurtres et de suicides du 1er janvier au 31 août 2020, soit en huit mois.

A titre d’exemple, huit (08) meurtres ont été commis du 1er janvier au 31 août 2020 dans le département. Dans la même période, onze (11) homicides et 20 découvertes macabres non clarifiées ont été enregistrés dans l’Atacora.

Plus triste, dix-huit (18) suicides par pendaison ont été enregistrés  en 08 mois dans le département.

« Fin septembre, le corps sans vie avec des lésions au crane d’une petite fille de 09 ans a été découvert derrière le parking gros porteur de Natitingou. Selon les parents de la victime, la petite aurait disparu quelques jours avant cette découverte macabre, avec sa maman, une handicapée mentale. Après le constat d’usage, le corps de la fillette a été remis à sa famille pour inhumation et une enquête ouverte à cet effet…Dans la même période à Tanguiéta, l’une des communes du département,  le corps sans vie de l’opérateur économique El-Hadj Gbadamassi Akim, a été retrouvé à son domicile au quartier Goro-Banni, tué par quatre individus armés de fusils non identifiés », ajoute l’ABP.

Des chiffres alarmants qui interpellent les autorités !!!

Manassé AGBOSSAGA