« Je ne me rabaisse pas à parler au petit personnel de corvée …», Richard Boni Ouorou dégonfle Modeste Toboula

Modeste Toboula voulait un débat contradictoire avec Richard Boni Ouorou, hélas pour lui,  ce ne sera pas pour demain. Car, le Professeur n’est pas prêt « à parler  au petit personnel de corvée… ».

Modeste Toboula voulait un débat contradictoire avec Richard Boni Ouorou, hélas pour lui,  ce ne sera pas pour demain. Car, le Professeur n’est pas prêt « à parler  au petit personnel de corvée… ».

« J’invite l’éminent professeur Richard BONI à un débat contradictoire sur une chaîne audiovisuelle avec des données scientifiques à l’appui, afin de lui démontrer combien l’opération de libération des espaces publics a été la césarienne qui a déjà enfanté la promotion de l’économie locale et a engendré de lourds investissements que jamais dans ce pays en moins d’un quinquennat aucun Gouvernement n’a réalisé », s’était empressé d’écrire Modeste Toboula sur son compte méta après l’entretien du Professeur accordé à la télévision en ligne ‘‘Le Béninois Libéré Tv’’.

 

Mais en utilisant une vieille formule des ‘‘kpakpatos’’ qui ont un langage soutenu, Richard Boni Ouorou a opposé un refus catégorique à cette demande.

Sans citer ou appeler le nom de quelqu’un ‘‘l’éminent Professeur’’ a mis fin au rêve du ‘‘tonitruant’’ ex –préfet du département du Littoral, le taclant au passage.

« Nos opinions intelligentes produisent deux effets » elles font courir les sots pendant que tous les autres y réfléchissent en silence.

Je débats certes, mais je ne me rabaisse pas à parler au petit personnel de corvée alors que je compte le président parmi mes fans », a publié Richard Boni Ouorou sur son compte méta, ce lundi 30 mai 2022 après la demande du débat contradictoire faite par Modeste Toboula.

Le concerné appréciera, sans doute.

 Manassé AGBOSSAGA

Décentralisation : Alain Orounla nommé préfet du département du Littoral

Court instant de  ‘’chômage  politique’’  pour Alain Orounla. L’ex ministre de la communication et porte-parole du Gouvernement, débarqué lors du dernier remaniement est désormais le nouveau préfet du département du Littoral.

Court instant de  ‘’chômage  politique’’  pour Alain Orounla. L’ex ministre de la communication et porte-parole du Gouvernement, débarqué lors du dernier remaniement est désormais le nouveau préfet du département du Littoral.

Décentralisation : Alain Orounla nommé préfet du département du Littoral
Décentralisation : Alain Orounla nommé préfet du département du Littoral

Il a été nommé à la tête de ce département lors du Conseil des ministres du mercredi 2 juin 2021.

Alain Orounla remplace Modeste Toboula alors préfet du Littoral,  relevé de son poste en juin 2018 suite à un impair. Le préfet du département de l’Atlantique, Jean-Claude Codja avait assuré l’intérim.

Manassé AGBOSSAGA

Dettes à l’endroit des travailleurs laissées par Yayi : Toboula défend Talon avec un verset biblique à l’appui

Lancien préfet de lAtlantique, Modeste Toboula sest invité dans le débat de dettes à lendroit des travailleurs laissées par le régime  défunt en 2016, et qui divise Boni Yayi à Patrice Talon. Sur sa page facebook, ce dimanche 18 octobre 2020, cest en qualité dancien syndicaliste quil a défendu lactuel locataire de la marina sur la polémique.

 « 

Bonjour chèrs tous. J’étais syndicaliste sous la Gouvernance Yayi. En prenant seulement les dettes issues de la revalorisation du point indiciaire de 25 pour cent au profit des travailleurs du ministère des finances à la suite de l’affaire Dangnivo ce qui nous avait conduit à la création de la Coallition des Organisations Syndicales de de l’Administration Publique (COSYNAP) dont j’étais membre fondateur et secrétaire administratif, je peux affirmer que son régime avait bel et bien laissé des dettes.

Mieux, il y avait une grande injustice dans l’octroie des primes de motivation allant d’un ministère à un autre. Nous avons en son temps réclamer l’harmonisation des primes au sein de l’administration publique.

Les incidences financières decoulant de cette revalorisation ont été planifiées pour être appurees en fin de mandat en 2016 mais malheureusement elles n’ont pas été apurées.

Le reversement opéré en son temps a gonflé l’effectif de la fonction publique et a l’époque, bien que faisant parti des cadres reversés, nous avons fustigé la tournure politique extrême de ce dossier et nous nous sommes battu en vain pour freiner l’élan du Gouvernement à cette époque au risque même de creer des inimitiés avec nos camarades travailleurs car nous avions exigé qu’au moins un test soit organisé au profit des agents pour jauger un peu de leur niveau avant le reversement mais hélas. C’est un devoir de vérité. Dieu bénisse notre pays. Éphésiens 4-25 »

Face aux critiques de Tomèty et consorts : Le préfet Toboula a pris peur, il était invisible au congrès de son mouvement politique

Garçon et audacieux lorsqu’il s’agit de casser les boutiques, constructions,  mosquées, … ou de déguerpir les pauvres populations de Cotonou, Modeste Toboula ne l’est pas lorsqu’il s’agit d’assumer ses doubles fonctions illégales de préfet du département du Littoral et de président de son  mouvement politique. Pour cause, le préfet Modeste Toboula a abandonné les siens  au congrès de l’Union pour l’émergence de l’élite politique (UPEP), tenu le samedi dernier à Cotonou. Il était invisible et introuvable durant toute la partie du simulacre de congrès. Sa chaise est restée inoccupée.

Le mouvement politique pour l’Union pour l’émergence de l’élite politique (UPEP) a tenu son congrès ce samedi 3 novembre 2018 à Cotonou en l’absence de son président Modeste Toboula. Le préfet du Littoral a préféré ne pas prendre de risque face aux critiques de Simon Narcisse Tomèty et consorts.

Manassé AGBOSSAGA

Garçon et audacieux lorsqu’il s’agit de casser les boutiques, constructions,  mosquées, … ou de déguerpir les pauvres populations de Cotonou, Modeste Toboula ne l’est pas lorsqu’il s’agit d’assumer ses doubles fonctions illégales de préfet du département du Littoral et de président de son  mouvement politique. Pour cause, le préfet Modeste Toboula a abandonné les siens  au congrès de l’Union pour l’émergence de l’élite politique (UPEP), tenu le samedi dernier à Cotonou. Il était invisible et introuvable durant toute la partie du simulacre de congrès. Sa chaise est restée inoccupée.

Et pourtant, son vice-président avait rassuré, à l’ouverture,  les uns et les autres que le ‘‘tout puissant’’ préfet du Littoral et président de l’Upep allait les rejoindre avant la fin des travaux.

« Nous ne saurions commencer sans vous présentez les excuses du préfet qui devait être parmi nous jusqu’à une seconde,  je dirai. Mais que  des obligations de dernière minute ont fait qu’il prendra tout un petit temps avant de nous rejoindre dans cette salle. Recevez les excuses les plus profondes du préfet », livrait dans une formule très diplomatique le vice-président de l’UPEP à l’assistance.

Une seconde ! Une minute ! Une heure ! Le préfet n’a toujours pas fait son apparition. Même les radars de Kpakpato Médias n’ont pu détecter le moindre mouvement du ‘‘volumineux’’ préfet et président de l’Upep jusqu’à la fin des travaux.

Tomèty contraint Toboula à se cacher

En réalité, le préfet Modeste Toboula a pris peur des observations de Simon Narcisse Tomèty. Spécialiste des questions de décentralisation, ce dernier avait dans un poste intitulé « Vassalisation de la fonction du préfet au pays Vodoun: Un préfet est une haute autorité politique et administrative » souligné « qu’un préfet ne peut s’afficher comme acteur de la mouvance présidentielle.

« Si j’étais un ministre de la décentralisation et un préfet prend le risque d’organiser un meeting, soit il est relevé immédiatement de ses fonctions, soit je démissionne du gouvernement sous 24 heures. Il faut arrêter de faire du jonglage en management public du territoire. Vous voulez faire la politique, alors vous retirez de la fonction préfectorale », a d’ailleurs ajouté Simon Narcisse Tomèty dans sa publication.

Ces observations ont donné du tonus à certains activistes et autres éveilleurs de conscience. Ils ont tous dénoncé l’organisation du congrès du mouvement politique du préfet du Littoral.

Tomèty et ces derniers ont donc contraint le préfet Toboula à se cacher le jour du congrès de son propre mouvement politique.

Au moins, il faut reconnaitre à Modeste Toboula, le mérite d’avoir compris que  ce n’est pas partout qu’on fait garçon.

Bénin: Rosine Soglo déshabille Boniface Yèhouétomè et recadre Modeste Toboula

L’honorable Boniface Yèhouétomè et le préfet du Littoral ont fait les frais de la sortie médiatique du couple Soglo. Du moins,  du défoulement de ‘‘Mémé Soglo’’…

Le couple Soglo a effectué une sortie médiatique ce jeudi 17 mai 2018 à la salle des fêtes Majestic de Cadjèhoun. A l’occasion, ‘‘Mémé  Soglo’’ n’a pas fait de cadeau à l’honorable Boniface Yèhouétomè et au préfet du Littoral Modeste Toboula.

Manassé AGBOSSAGA

L’honorable Boniface Yèhouétomè et le préfet du Littoral ont fait les frais de la sortie médiatique du couple Soglo. Du moins,  du défoulement de ‘‘Mémé Soglo’’.En effet si Rosine Soglo a réservé le gros lot de ses attaques verbales à Patrice Talon et à Abraham Zinzindohoué, elle n’a pas manqué de réserver quelques coups au député et au préfet du Littoral.

Sur Boniface Yèhouétomè, le réquisitoire a vite pris l’allure d’une ironie voire d’un dénigrement. A en croire l’épouse de l’ex-président de la République du Bénin, Boniface Yèhouétomè,  qu’elle qualifie de « dernier venu » et « d’enfant » a largement bénéficié de l’intervention du « couple Soglo »  pour se faire une place  dans une circonscription où il était rejeté par les siens.

« Ah oui !  Yèhouétomè,  c’est les derniers venus ça, c’est les enfants…Monsieur  le président (Nicéphore Soglo),  vous avez oublié la dernière campagne électorale,  quand nous sommes partis chez lui à Za- kpota et que ses concitoyens, ses frères et sœurs nous ont dit, mais non, jamais de la vie.  Il  ne sera pas notre candidat.  Il n’a même pas une cage chez lui. Il n’a même pas construit une maison », a d’abord ironisé Rosine Soglo avant d’ajouter avec un sentiment de regret «  Nous l’avons défendu. Aujourd’hui,  il est devenu notre adversaire le plus acharné à l’hémicycle ».

Le cas Yèhouétomè réglé, Rosine Soglo a ensuite jeté son dévolu sur le préfet du Littoral. Ici, l’ex-présidente de la Rb s’est abord étonnée  de la rémunération de l’autorité préfectorale. Elle dit ne pas comprendre le travail réalisé par ce dernier pour mériter  un  salaire faramineux.

« L’autre préfet Toboula qui casse tout,  est payé à 7 millions par mois.  Je me demande quel travail il fait pour être payé 7 millions…Vous mesdames, vous qui transpirez, vous qui êtes au marché tous les jours, est-ce que vous arrivez à avoir 7 millions ? Lui,  il a 7 millions par mois pour vous casser, pour vous insulter », s’interroge Rosine Soglo.

Après cette interrogation, l’élue  de la 16è circonscription électorale dénonce le comportement de Modeste Toboula. Elle confie au passage que l’autorité aurait insulté son fils Léhady Soglo. Toutefois, Rosine Soglo rassure qu’elle n’a pas laissé passer ces injures et que Modeste Toboula en a eu pour sa part.

« Il a insulté mon fils de mal élevé. Je l’ai téléphoné.  J’ai  dit Monsieur, c’est la dernière fois que vous insultez mon fils de mal élevé,  car c’est moi que vous insultez. C’est moi qui l’ai élevé. Je l’ai bien élevé », a confié Rosine Soglo.

Qui cherche trouve donc !