Le parti Les Démocrates va-t-il boycotter les législatives en cas de non satisfaction de ses exigences ? La réponse du vice-président Alassane Tigri

Et à la question de  savoir si le parti présidé par l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale Eric Houndété conditionnait sa participation au scrutin législatif à la satisfaction desdites exigences, Alassane Tigri a apporté des clarifications.

Le parti Les Démocrates a,  à travers un communiqué publié sur Kpakpato Medias,  confirmé sa participation aux législatives du 08 janvier 2023.

Toutefois,  le parti d’opposition a invité le Gouvernement à satisfaire trois exigences pour des « élections transparentes » et « inclusives ».

Il s’agit notamment de l’association des partis de  l’opposition à la confection de la Liste électorale informatisée (LEI), le   retour des exilés,  ou encore la libération des détenus politiques.

Et à la question de  savoir si le parti présidé par l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale Eric Houndété conditionnait sa participation au scrutin législatif à la satisfaction desdites exigences, Alassane Tigri a apporté des clarifications.

Interrogé par Frissons Radio, il a déclaré, « Libérer les détenus politiques,  créer les conditions de retour des exilés politiques, échanger avec l’opposition pour une liste électorale consensuelle et sa présence dans les instances organisatrices des élections ne sont que des conditions d’une élection législative inclusive transparente et paisible », avant de renvoyer la question à nos confrères « Alors pourquoi parler de boycott ? ».

Pour le vice-président du parti Les Démocrates « le pouvoir se doit d’être conséquent car le peuple béninois dont nous dépendons tous,  est à l’écoute ».

Et d’ajouter «  respectons-le dans sa volonté de tourner la page sombre de son histoire récente et  respectons le dan son aspiration profonde  à la paix ».

Manassé AGBOSSAGA

Législatives de 2023 : Le parti Les Démocrates confirme sa participation et invite le Gouvernement à remplir ces trois conditions pour des élections « inclusives » et « transparentes »

C’est confirmé ! Le parti d’opposition Les Démocrates sera bel et bien présent aux législatives du 08 janvier 2023.

 C’est confirmé ! Le parti d’opposition Les Démocrates sera bel et bien présent aux législatives du 08 janvier 2023.

A travers un communiqué en date du 19 avril 2022, le parti a confirmé sa participation au scrutin du 08 janvier 2023.

« Notre Parti ‘‘Les Démocrates’’ a résolument choisi de participer aux législatives du 8 janvier 2023 avec la foi que celles-ci mettront fin à l’exclusion », indique le communiqué dont Kpakpato Medias a eu copie.

Toutefois, pour Eric Houndété et les siens, le Gouvernement doit jouer sa participation pour des « élections inclusives, ouvertes, et  transparentes ».

Le parti cite trois conditions à remplir.

« Au total, trois conditions doivent être réalisées largement en amont de 2023 pour que les législatives de cette année soient inclusives, transparentes, libres et paisibles. Il faudrait en effet : libérer les détenus politiques et créer les conditions favorables au retour au pays des exilés politiques. Assurer la présence de l’opposition à tous les niveaux du processus électoral. Mettre en œuvre ces exigences salutaires à la paix, aux droits de la personne humaine et à la restauration de notre démocratie ; appelle de tous, le patriotisme nécessaire pour surmonter égos et contradictions secondaires et aller résolument à un dialogue politique national au plus tôt », recommande le parti Les Démocrates, avant d’ajouter «  Il permettra lors des échanges francs, dépassionnés, de résoudre les problèmes qui continuent de plomber notre vivre-ensemble à savoir, entre autres, les lois crisogènes dont notamment le code électoral ; afin d’aller ensemble dans la sérénité et le consensus aux législatives du 8 janvier 2023 dans un climat politique rassurant et apaisé. Le Parti Les Démocrates invite une fois encore avec la solennité requise le pouvoir de la Rupture et tout le peuple béninois à s’inscrire dans la logique de la paix véritable pour tourner la page des drames et s’engager sans hypocrisie dans une ère de concorde nationale salutaire à tous égards à notre Patrie commune Le Bénin ».

Patrice Talon appréciera !!!

Lire le communiqué du parti Les Démocrates

Béninoises, Béninois,

Chers compatriotes,

Le parti Les Démocrates (LD) voudrait rappeler à notre mémoire collective les drames connus par notre peuple lors des élections législatives du 28 avril 2019 et la présidentielle du 11 avril 2021. Il est aujourd’hui de notoriété publique que la raison centrale de ces tueries, de ces emprisonnements, de ces départs forcés en exil a pour nom la politique d’exclusion pratiquée et imposée à notre peuple depuis 2016.L’exclusion, cause principale du climat politique délétère actuellement en cours dans notre pays n’aurait dû jamais exister. Car, en fait, la Conférence nationale de 1990, en faisant du consensus le maître mot, le principe cardinal accepté de tous a cru protéger notre pays contre ce fléau. Effectivement, dès lors, tout a fonctionné sur cette base, singulièrement dans les institutions de la République. Ainsi en a-t-il été particulièrement de la CENA et ses démembrements qui ont organisé toutes les élections. Cette institution a toujours été paritaire avec à la clé le Parlement qui a mis en place le COS LEPI, instrument tout aussi paritaire qui a produit plusieurs listes électorales consensuelles. Force est de constater que dès son arrivée, le pouvoir de la Rupture a tout mis en œuvre pour vider la Conférence nationale de son contenu, relativisant son caractère historique et rompant avec le principe cardinal du consensus pourtant déclaré valeur constitutionnelle. C’est dans ce conteste que les législatives de 2023 pointent à l’horizon et notre peuple traumatisé, nonobstant l’assurance donnée par notre parti et les déclarations tous azimuts du pouvoir sur le caractère ouvert de ces élections, demeure sceptique. Notre Parti « Les Démocrates » a résolument choisi de participer aux législatives du 8 janvier 2023 avec la foi que celles-ci mettront fin à l’exclusion. Cependant notre optimisme n’est pas béat, en ce sens que des préoccupations demeurent et méritent d’être analysées aux fins de solutions adéquates. En effet, les élections législatives de 2023 doivent être ouvertes et pour ce faire, totalement inclusives. Elles ne sauraient être inclusives si des filles et fils de notre Patrie commune en sont écartés parce que embastillés ou encore en exil pour leurs opinions politiques en désaccord avec le pouvoir de la Rupture. Les élections législatives du 8 janvier 2023 doivent être transparentes et honnêtes. De toute évidence, cette exigence partagée par tous les démocrates de par le monde ainsi que les institutions et organisations chargées de la promotion de la démocratie et de la protection des droits de la personne humaine ne sauraient être une réalité si l’opposition dont notre Parti se veut être le fer de lance reste entièrement écartée de la confection de la liste électorale informatisée (LEI) et absent des organes en charge des élections. La transparence veut que la liste électorale comme du reste, tout le processus électoral soit cogéré par l’opposition et la mouvance. Les textes de la CEDEAO, notamment le protocole sur la démocratie et la bonne gouvernance en disposent ainsi et notre pratique électorale, depuis la Conférence nationale a consacré ce principe. Dans le propre intérêt du pouvoir et pour la crédibilité des législatives de 2023, la situation ne saurait rester telle à savoir l’absence de l’opposition sur toute la ligne du processus électoral. L’ANIP, organe administratif, de surcroît placé sous la tutelle de la Présidence de la République n’offre pas de garantie d’indépendance ni de transparence dans son fonctionnement. La fiabilité de la liste qu’elle proposera pourrait s’en trouver affectée. Ainsi dans le registre des activités de l’ANIP, elle a invité les populations à se faire enrôler au RAVIP. Tout en appréciant cette initiative, nous pensons que la LEI qui en résulterait devra nécessairement faire l’objet d’un consensus. Nos structures qui ont suivi l’opération sur le terrain ont relevé des insuffisances, notamment la non couverture de bon nombre de localités parce qu’éloignées des centres d’arrondissement. Il en est de même de la non prise en charge des populations qui, après avoir parcouru des distances importantes, retournent non inscrites en raison du déchargement fréquent des kits. Il y a lieu expressément de prendre en compte ces problèmes, de fournir des fiches de témoignage en quantité, d’impliquer davantage les chefs de village et de quartier et enfin de penser à produire pour ces élections une carte d’électeur en bonne et due forme, gratuite pour tous. Au total, trois conditions doivent être réalisées largement en amont de 2023 pour que les législatives de cette année soient inclusives, transparentes, libres et paisibles. Il faudrait en effet : libérer les détenus politiques et créer les conditions favorables au retour au pays des exilés politiques. Assurer la présence de l’opposition à tous les niveaux du processus électoral. Mettre en œuvre ces exigences salutaires à la paix, aux droits de la personne humaine et à la restauration de notre démocratie ; appelle de tous, le patriotisme nécessaire pour surmonter égos et contradictions secondaires et aller résolument à un dialogue politique national au plus tôt. Il permettra lors des échanges francs, dépassionnés, de résoudre les problèmes qui continuent de plomber notre vivre-ensemble à savoir, entre autres, les lois crisogènes dont notamment le code électoral ; afin d’aller ensemble dans la sérénité et le consensus aux législatives du 8 janvier 2023 dans un climat politique rassurant et apaisé. Le Parti Les Démocrates invite une fois encore avec la solennité requise le pouvoir de la Rupture et tout le peuple béninois à s’inscrire dans la logique de la paix véritable pour tourner la page des drames et s’engager sans hypocrisie dans une ère de concorde nationale salutaire à tous égards à notre Patrie commune Le Bénin.

Fait à Cotonou, le 19 avril 2022

LE PARTI LES DÉMOCRATES (LD)

Boni Yayi: son rôle et ses relations actuelles avec le parti ‘‘Les Démocrates’’

Pas de malaise entre Boni Yayi et le parti d’opposition ‘‘Les Démocrates’’ ! L’assurance est donnée par Saliou Akadiri, 5ème vice-président du parti ‘‘Les Démocrates’’.

 

Pas de malaise entre Boni Yayi et le parti d’opposition ‘‘Les Démocrates’’ ! L’assurance est donnée par Saliou Akadiri, 5ème vice-président du parti ‘‘Les Démocrates’’.

Reçu sur l’émission ‘‘L’Entretien’’ de la chaîne de télévision privée E-Télé,  ce dimanche 27 mars, l’ancien ministre des affaires étrangères a martelé que tout est au beau fixe entre le parti ‘‘Les Démocrates’’ et son président d’honneur.

« Le président Boni Yayi est notre président d’honneur. Il l’est toujours. Il n’a pas dit qu’il n’est plus président d’honneur.  Nous n’avons jamais dit quelque part qu’il n’est pas notre président d’honneur. C’est notre président d’honneur. Nous le considérons comme tel » a rassuré Saliou Akadiri.

Dans son argumentaire, il a levé un coin de voile sur le rôle de Boni Yayi au sein du parti. «Notre parti est un parti de masse, un parti d’envergure national.  Boni Yayi est une personnalité.   Il fait partie donc de cet organe que nous appelons le Haut conseil », fait d’abord remarquer le 5ème vice-président du parti ‘‘Les Démocrates’’ avant de préciser  «  Il nous donne des conseils. Nous le consultons chaque fois que nous en sentons le besoin. Il nous donne son avis et puis les instances décident. Le président Boni Yayi est notre président d’honneur.  Sur des sujets majeurs, nous prenons son avis,   nous le consultions et les instances se réunissent pour décider ».

La rumeur d’un malaise entre le parti ‘‘Les Démocrates’’ et son président d’honneur a pris corps depuis septembre 2021 où  Boni Yayi s’était rendu au Palais de la marina pour rencontrer son successeur Patrice Talon après plusieurs années de brouilles. Il y était avec l’un de ses fils Chabi Yayi, mais sans aucun membre du parti.

A cela, l’ancien président du Bénin (2006-2016) est rarement apparu aux côtés du parti ‘‘Les Démocrates’’  depuis la présidentielle de 2021.

 Manassé AGBOSSAGA

 

Récépissé provisoire : Des militants du parti ‘‘Les Démocrates’’ saisissent des Préfets face au long silence de Lafia

Voilà plusieurs mois, que les responsables du parti ‘‘Les Démocrates’’ ont déposé leur dossier d’enregistrement au ministère de l’Intérieur et de la sécurité publique. Et face à ce qu’on peut qualifier de jeu flou du ministre Sacca Lafia, les militants ont décidé d’agir.

Voilà plusieurs mois, que les responsables du  parti ‘‘Les Démocrates’’ ont  déposé leur dossier d’enregistrement au ministère de l’Intérieur et de la sécurité publique.  Et face à ce qu’on peut qualifier de long silence du ministre Sacca Lafia, les militants ont décidé d’agir.

les démocrates
logo les démocrates

Ils ont fait l’option de saisir les autorités préfectorales. D’après Matin Libre,  les militants du parti ‘‘Les Démocrates’’ des départements de l’Atlantique,  de la Donga et du Borgou  ont, par le biais de leurs coordonateurs,  adressé ce lundi 9 novembre 2020, à leurs Préfets respectifs, des correspondances.

Ils ont notamment attiré l’attention des différents préfets sur la non délivrance du récépissé provisoire au parti malgré le respect des dispositions prévues par le code électoral et la loi sur la charte des partis politiques.

Cette démarche portera t- elle ses fruits ? Réponse dans les jours à venir.

Manassé AGBOSSAGA

Sacca Lafia signe un document avec Gogounou comme département de l’Atacora : le correcteur, corrigé

Grosse boude de Sacca Lafia ! Appelé à examiner le dossier d’enregistrement du parti ‘‘Les Démocrates’’, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité a laissé filer, peut-être par la faute des cadres du ministère, ses lacunes en géographie du Bénin.

Grosse boude de Sacca Lafia ! Appelé  à examiner le dossier d’enregistrement du parti ‘‘Les Démocrates’’, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité a    laissé filer, peut-être par la faute des cadres du ministère,  ses lacunes en géographie du Bénin.

En effet selon les responsables du parti ‘‘Les Démocrates’’, Sacca Lafia a posé sa signature sur un document qui envoie la commune de Gogounou  dans le département de l’Atacora.

« …sur un petit document de sept pages que le ministère lui-même nous a envoyé,  nous avons deux observations que nous allons les adresser… Comme exemple,  ils (parlant des cadres du ministère)   ont mis Gogounou dans le département de l’Atacora. C’est une erreur faite par le ministère de l’intérieur  sur un document signé par le ministre », a confié l’ancien député Nourénou Atchadé, lors d’un point de presse tenu ce mercredi 23 septembre 2020 à Cotonou.

Toutefois, le 2ème vice-président du parti ‘‘Les Démocrates’’ dit comprendre cette boude, puisque pour lui, « l’erreur est humaine ».

Loin de cette compréhension sur un correcteur corrigé, Gogounou,  ville située au nord du Bénin se trouve plutôt dans le département de l’Alibori avec une superficie  4 910 km².

Manassé AGBOSSAGA

Non délivrance du récépissé provisoire, ce qui est reproché au parti ‘‘Les Démocrates’’

Pas de fumée blanche pour les ‘‘Les Démocrates’’ ! Invité hier mardi 22 septembre au ministère de l’Intérieur et de la sécurité publique, les responsables du parti ont, en lieu et place, du récépissé provisoire eu droit à des observations pour corriger leur dossier d’enregistrement.

Pas de fumée blanche pour les ‘‘Les Démocrates’’ ! Invité hier mardi 22 septembre au ministère de l’Intérieur et de la sécurité publique, les responsables du parti ont,  en lieu et place,  du récépissé provisoire eu droit à des observations pour corriger leur dossier d’enregistrement.

Par  courrier, Sacca Lafia a notifié  les corrections à apporter au dossier pour la conformité du parti.

Et si les responsables du parti n’ont officiellement pas évoqué les observations faites, on sait à peu près ce que le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique reproche à Eric Houndété et à son écurie.

Certaines sources évoquent de légères fautes administratives. «  Ce n’est que des attestations de résidence et autres petits trucs qui ne sont pas acceptés par-endroits…Ils ont attendu un peu avant la fin du délai de deux mois pour envoyer des observations dont on apprend qu’elles ne sont pas des erreurs et fautes du dossier. Par exemple, un CA qui signe une attestation de résidence plutôt qu’un chef de quartier. Ce n’est pas aux Démocrates d’apprendre leurs attributions au personnel décentralisé », ont indiqué des responsables du parti ‘‘Les Démocrates’’, d’après des propos rapportés par le journal Matin Libre.

Par contre, d’autres sources confirment les informations récemment relayées par des organes proches du pouvoir. En effet, il serait reproché  au parti ‘‘Les Démocrates’’ la présence, en leur sein,  de membres qui n’auraient pas démissionné des Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe).

Les responsables du parti doivent donc corriger ces irrégularités avant de décrocher le précieux sésame. Une rencontre du bureau politique est dans ce cadre annoncée dans la matinée de ce mercredi 23 septembre.

Affaire à suivre donc !!!

Manassé AGBOSSAGA

Candide Azannaï promet répondre à « Léon Ahossi, et aux gens de son acabit », mais à une condition

Les pics entre Candide Azannaï et Léon Basile Ahossi ne sont pas encore finis. Pour cause, le président du parti Restaurer l’Espoir a promis de répondre au 2ème vice-président du parti ‘‘Les Démocrates’’.

Les pics entre Candide Azannaï et Léon Basile Ahossi ne sont pas encore finis.  Pour cause, le président du parti Restaurer l’Espoir a promis de répondre au 2ème vice-président du parti ‘‘Les Démocrates’’.

Toutefois, Candide Azannai a semblé poser  une condition.

« Je répondrai à Léon Basile Comlan AHOSSI, et aux gens de son acabit le jour où, il aura le courage de dire si oui ou non il n’a pas fait UP », a- t-il commenté  , réagissant à un commentaire d’un internaute qui fustigeait ses derniers propos.

Mais en attendant, Candide Azannaï fait remarquer que le dernier message publié par l’ancien député est une pure digression.

«  Ghislain Samadi , AHOSSI n’a fait aucune sévère réplique. Il a fait plutôt une diversion dégressive. Il fallait qu’il réponde par oui ou par non à ma dénonciation qui est pourtant claire à savoir : ‘‘AHOSSI A FAIT UP. Il a demandé à voter UP lors de la parodie électorale du 17 mai 2020. Oui ou non ?’’ . Mieux j’ai dénoncé qu’il n’a pas seulement soutenu et appelé à soutenir l’UP, il a même financé l’UP. Il faut que AHOSSI réponde’’. Qui lui reproche d’avoir conduit quoi ? Pas moi. Ce que je lui reproche est ailleurs: il n’a aucun droit de faire UP alors qu’il se dit membre de la Résistance Nationale. Il ne doit pas le faire. Je ne peux continuer de laisser ceux qui se disent Résistants mais qui font UP, BR, FCBE de YAROU la nuit d’être dans une posture de trahison ou de « collabo. » de la Résistance Nationale… Ils doivent cesser de s’asseoir sur ou entre deux chaises. Le Peuple a besoin d’une clarification… Le reste c’est de la digression mensongère… Maintenant il digresse encore », se défend le président du parti Restaurer l’Espoir.

Azannaï-Ahossi, bientôt, le 2ème round !!!

Manassé AGBOSSAGA