Azannaï à un internaute, « des personnes qui résonnent comme vous, j’ai l’habitude de les bloquer. Je vous bloquerai de toutes les façons ».

Avis aux internautes qui tenteraient d’irriter Candide Azannaï sur sa page Facebook ! L’ancien ministre de la Défense n’hésite pas à bloquer les commentaires qui ne sont pas de son goût.

Avis aux internautes qui tenteraient d’irriter Candide Azannaï sur sa page Facebook ! L’ancien ministre de la Défense n’hésite pas à bloquer les commentaires qui ne sont pas de son goût.

Le président du parti Restaurer l’Espoir vient de le signifier à un internaute après ce commentaire : « Mr l’ancien député combien de vos enfants ou proche qui sont sortis lors des élections législatives de 2019, les blessés, les morts et les prisonniers sont ils vos proches ? Personnes ne va plus se mettre devant les soldats pour payer le prix cher de leur vie pour vous ».

Réagissant à ce commentaire, Candide Azannaï a promis bloquer l’intéressé.

« A.  J. L., des personnes qui résonnent comme vous , j’ai l’habitude de supprimer leurs sottises et de les bloquer. Je vous bloquerai de toutes les façons. Soyez en sûr. Je laisserai votre sottise. Cependant, je vous répondrai et je vois demanderai de faire vos propres enquêtes. Ceux qui me connaissent et qui ne sont pas allergiques à la vérité, vous diront que non seulement à plusieurs reprises mes proches sont aussi proches de moi au combat . Certains de mes proches qui le désirent prennent une part active même sur la première ligne. Et puis s’agissant de ma famille stricto sensu, elle est toujours sur la première ligne.

Je suis de la lignée des braves depuis l’origine des temps. Renseignez-vous, mes enfants détestent les lignes arrières, ils sont toujours dans le premier cercle de combat quelque soit la situation pour mobiliser, pour appuyer, pour conseiller, pour assister, pour agir et pour contribuer à la marche en avant, ils sont contributeurs dans l’exécution des tâches et dans le succès de nos initiatives au service de l’intérêt général.

Donc vous racontez des sottises.

C’est malsain de parler des victimes innocentes comme vous le faites. C’est lâche et déshonorant de votre part.

Continuez de pisser dans vos caleçons et de vous cacher sous le lit. Votre acabit de froussards ne convient qu’aux peureux, aux héritiers d’ADN de soumis sur qui la Patrie n’a jamais compté. Pour la Nation béninoise vous êtes si insignifiant qu’il est impossible de vous associer à la défense des valeurs et des principes qui la fondent.

Ici on raisonne allez résonner ailleurs », a-t-il répondu.

No comment !!!

Manassé AGBOSSAGA

Supposée guerre contre une certaine façon de s’habiller : la Police républicaine dément et clarifie

Faux ! La Police républicaine ne prévoit aucune guerre contre une certaine façon de s’habiller, comme relayée sur les réseaux sociaux.

Dans une note, le SRPPC/DGPR clarifie qu’elle n’a « n’a déclaré aucune guerre contre nos différentes manières de nous habille », avant d’appeler les uns et les autres à  éviter « cet amalgame ».

Toutefois, la Police républicaine rassure qu’elle « veillera à réprimer les atteintes aux bonnes mœurs et à la pudeur ».

Dans sa note, le SRPPC/DGPR souligne qu’i l s’agissait en réalité, d’une communication du  commissaire adjoint de la Brigade des Mœurs « pour repréciser les domaines d’intervention et les attributions de son unité ».

« Son intervention a été travestie pour donner lieu à une prétendue guerre lancée contre une certaine façon de s’habiller au BÉNIN », se désole le SRPPC/DGPR.

Voilà qui est donc bien clair !!!

Manassé AGBOSSAGA

France: Un étudiant condamné pour avoir publié la photo d’un policier sur les réseaux sociaux

Un jeune homme de 23 ans a écopé de quatre mois de prison avec sursis pour avoir posté sur les réseaux sociaux une photographie d’un CRS, révèle La Provence. Il l’accusait d’avoir tué un jeune le 4 août, à Marseille (Bouches-du-Rhône).

Le jeune homme devra suivre un stage de citoyenneté. (illustration)
© ARCHIVES / OUEST-FRANCE Le jeune homme devra suivre un stage de citoyenneté. (illustration)

Persuadé de la culpabilité d’un policier après la mort d’un jeune de 19 ans le 4 août à Marseille (Bouches-du-Rhône), un étudiant avait trouvé une photographie d’un CRS et l’avait publié sur Snapchat. Il a été condamné pour « traitement illégal de données à caractère personnel relatives à la qualité de fonctionnaire ou de personne chargée d’une mission de service public », a révélé La Provence mercredi 11 août.

Il a écopé de quatre mois de prison avec sursis, d’une amende de 1 000 € et devra suivre un stage de citoyenneté.https:

Depuis hier un policier en poste à Marseille était menacé par des voyous sur les réseaux sociaux, à visage découvert suite à un contrôle. Un suspect a été interpellé ce matin. Chacun doit savoir que tout sera fait pour protéger nos forces de l’ordre. pic.twitter.com/tBu8U1UZRP— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) August 6, 2021

Le ministre de l’Intérieur intervient

Dans son post, il avait accusé le policier d’avoir tué par balles un jeune homme. « Voilà la photo de la tête de condé qui a tiré sur le mec à la Belle-de-Mai qui est mort, avait écrit le mis en cause. Il m’a contrôlé avec des collègues, on était à moto, il […] fait le vaillant à Marseille. Partagez les gars. » Le Marseillais avait été interpellé vendredi 6 août. Une arrestation saluée par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sur Twitter.

Concernant les circonstances de la mort du jeune homme de 19 ans, une enquête a été confiée à l’Inspection générale de la police nationale pour l’usage de l’arme. Une autre pour « tentative d’homicide » a été confiée à la police judiciaire.

Ouest France

WhatsApp tente de nouveau de changer ses règles d’utilisation

Après l’échec du mois de janvier, l’application de messagerie WhatsApp a indiqué jeudi sur son blogue qu’elle inciterait de nouveau ses 2 milliards d’adeptes à accepter la mise à jour des conditions d’utilisation.Les logos de Signal (à gauche) et de Telegram (à droite), deux réseaux sociaux alternatifs. Au centre, on trouve le logo de Whatsapp, qui est très populaire dans le monde.© Dado Ruvic/Reuters Les logos de Signal (à gauche) et de Telegram (à droite), deux réseaux sociaux alternatifs. Au centre, on trouve le logo de Whatsapp, qui est très populaire dans le monde.

Début janvier, WhatsApp avait été sévèrement critiquée après avoir demandé à ses utilisateurs et utilisatrices d’accepter de nouvelles conditions qui lui permettraient, entre autres, de transmettre leurs données personnelles (numéro de téléphone, carnet d’adresses et profil) à sa maison mère, Facebook.

WhatsApp affirme aussi sur son blogue vouloir lutter contre la «désinformation» entourant les nouvelles règles, en affichant «dans les semaines à venir», une bannière fournissant plus d’informations.

«Nous souhaitons que chacun ait connaissance de notre historique de défense du chiffrement de bout en bout, et conscience de notre engagement envers la protection de la confidentialité et de la sécurité de nos utilisateurs.»

Concurrents à l’affut

Au terme de cette phase, mais sans donner de date précise, WhatsApp indique qu’elle commencera «à rappeler aux utilisateurs la nécessité de passer en revue et d’accepter ces mises à jour pour pouvoir continuer à utiliser WhatsApp.»

Cette situation pousse de nombreux utilisateurs et utilisatrices à se tourner vers d’autres applications comme Signal ou Telegram.

«Nous nous sommes aperçus que certains de nos concurrents prétendaient ne pas pouvoir voir les messages de leurs utilisateurs », avertit WhatsApp. «Si une application ne propose pas le chiffrement de bout en bout par défaut, cela signifie que vos messages sont visibles».

CBC/Radio-Canada