Affrontement entre populations de Balanka et policiers : « Les auteurs et instigateurs de ces actes feront face à la rigueur de la loi »

Dans la journée du samedi 14 octobre 2023, un affrontement sanglant est survenu entre les populations riveraines de la localité de Balanka et des agents de la Police républicaine.

COMMUNIQUE

Dans la journée du samedi 14 octobre 2023, un affrontement sanglant est survenu entre les populations riveraines de la localité de Balanka et des agents de la Police républicaine.

En effet, alors que des blocs de granite étaient posés pour restreindre la circulation sur les axes secondaires utilisés pour la sortie frauduleuse des produits vivriers vers les pays frontaliers, certains individus s’y sont violemment opposés.

Pour ramener le calme sur les lieux, un détachement de fonctionnaires de Police a été déployé sur l’axe Aoro-Balanka, dans la commune de Bassila. Au cours de l’exécution de leur mission républicaine, trois d’entre eux ont été grièvement blessés et aussitôt pris en charge par les structures sanitaires. Face à ces violences et voies de fait qu’ils ont subies, ces agents ont fait preuve de professionnalisme et de retenue.

Aussi, la Direction générale de la Police républicaine en appelle-t-elle au sens élevé du civisme et au respect de l’intégrité physique et morale de ses fonctionnaires dans l’exercice de leurs missions régaliennes.

En tout état de cause, les auteurs et instigateurs de ces actes feront face à la rigueur de la loi.

Cotonou, le 16 octobre 2023

                                                         

 La cellule de communication

Togo : Trois présumés braqueurs et receleurs arrêtés par la Police nationale

La Police nationale a mis la main sur un groupe de trois présumés braqueurs et receleurs qui s’en prennent généralement aux motocyclistes.

La Police nationale a mis la main sur un groupe de trois présumés braqueurs et receleurs qui s’en prennent généralement aux motocyclistes.

Il s’agit des nommés Y. Cissé, H. Kodjo et A. Amina. Ils appartiennent à un réseau dont certains sont déjà sous les verrous. Ce réseau opère à Lomé, à Tsévié, à Amakpapé et à Notsé. C’est à la suite d’une plainte pour vol avec violence de moto survenu le 9 mai 2023 à Tsikplonou-Kondji, que la Police a ouvert une enquête. Elle a permis d’interpeller le 25 septembre 2023, Y. Cissé à Agbelouvé et H. Kodjo à Tsévié.

Ces malfrats opèrent à trois. L’un joue le rôle d’un client et sollicite les services d’un taxi-moto pour une destination connue des deux autres. Ceux-ci à moto, eux aussi, suivent discrètement le taxi-moto et le «faux client» jusqu’à un endroit qu’ils jugent propice. Là, ils assomment leur victime et emportent son engin. Les investigations ont révélé que le réseau est présumé auteur de plusieurs braquages. Ils ont reconnu avoir commis plusieurs faits ces dernières années.

À Zanguéra, dans la nuit du 05 juin 2021, ils ont attaqué mortellement un conducteur de taxi-moto avant d’emporter sa moto. À Notsé, le 10 Mars 2022, ils ont tué un autre conducteur sous le «mur d’Agbogbo» avant de partir avec sa moto.

Sur la route de GAME, le 21 avril 2023, le même groupe avait violemment attaqué un conducteur de moto, le laissant sans vie. La nommée Amina, elle, gère les «biens» de ce groupe de criminels.

La Police Nationale invite la population à rester vigilante et à continuer de collaborer avec elle, pour plus de sécurité de tous.

Source : Police nationale

Burkina Faso: Francis Kpatindé dresse un bilan « très mitigé » du capitaine Ibrahim Traoré et ironise

Au Burkina Faso, c’était il y a quasiment un an jour pour jour : le capitaine burkinabè Ibrahim Traoré renversait le lieutenant-colonel Paul-Henri Damiba et prenait le pouvoir. Un second putsch en l’espace de seulement huit mois justifié par l’incapacité du pouvoir à faire face à la poussée des groupes jihadistes dans le pays. Le 28 septembre, le gouvernement a annoncé avoir déjoué une tentative de coup d’État. Un an après l’arrivée du capitaine Traoré, où en est le Burkina Faso sur les plans sécuritaire et politique ? Entretien avec Francis Kpatindé, spécialiste de l’Afrique de l’Ouest et maître de conférences à Sciences Po Paris.

Au Burkina Faso, c’était il y a quasiment un an jour pour jour : le capitaine burkinabè Ibrahim Traoré renversait le lieutenant-colonel Paul-Henri Damiba et prenait le pouvoir. Un second putsch en l’espace de seulement huit mois justifié par l’incapacité du pouvoir à faire face à la poussée des groupes jihadistes dans le pays. Le 28 septembre, le gouvernement a annoncé avoir déjoué une tentative de coup d’État. Un an après l’arrivée du capitaine Traoré, où en est le Burkina Faso sur les plans sécuritaire et politique ? Entretien avec Francis Kpatindé, spécialiste de l’Afrique de l’Ouest et maître de conférences à Sciences Po Paris.

RFI : Francis Kpatindé, quel bilan peut-on dresser de l’action du capitaine Traoré, un an après sa prise de pouvoir ?

Francis Kpatindé : Bilan très très très mitigé. Le territoire n’est pas libéré, bien entendu. Il y a deux millions de déplacés internes, il y a des milliers de réfugiés dans les pays voisins, surtout au nord de la Côte d’Ivoire, et il y a quand même aussi des milliers de morts. Cette situation désarticule non seulement le Burkina Faso, mais fragilise les pays voisins et ouvre des corridors d’accès à la mer aux jihadistes.

Vous le disiez, les chiffres ne plaident pas en faveur de la junte : 6 000 personnes ont été tuées depuis le début de l’année, un chiffre en nette augmentation. Il y a ces deux millions de déplacés, un million d’enfants déscolarisés, car certaines zones dans le nord et dans l’est sont, de fait, sous blocus jihadiste.

Absolument ! Le régime n’arrive pas à faire ce qu’il reprochait à ses prédécesseurs : c’est-à-dire ne pas assurer la sécurité. La situation va de mal en pis, puisqu’aujourd’hui il y a près de la moitié du territoire burkinabè qui échappe au gouvernement en place. Et ce n’est pas avec le concours des VDP, des supplétifs civils de l’armée, qu’on va pouvoir faire peut-être avancer les choses.

Est-ce que le problème ne vient pas justement de cette stratégie du tout sécuritaire ?

Le problème c’est qu’il n’y a plus de vie politique au Burkina depuis l’avènement du capitaine Ibrahim Traoré. Ils ont suspendu les activités politiques. Donc, il n’y a que le tout sécuritaire. Ça peut se comprendre, à condition que ça ne dure pas éternellement. Un pays a besoin d’idées neuves, a besoin de confrontations d’idées pour nourrir la sécurité. Cette sécurité, c’est une chose trop sérieuse pour être uniquement confiée aux militaires.

Les soldats français ont quitté le pays en février dernier à la demande des autorités burkinabè. Ouagadougou s’est depuis rapprochée de Moscou comme on a pu le voir lors du Sommet Russie-Afrique de fin juillet. La Russie aide-t-elle aujourd’hui le pays à lutter contre les groupes jihadistes ?

Le Burkina ce n’est pas tout à fait comme le Mali où la présence du groupe Wagner est avérée et massive. Au Burkina, ils sont beaucoup plus discrets. Le problème, c’est ce que je disais tout à l’heure : quitter la France, en-soi, on peut comprendre… Mais est-ce que quitter un maître, un ancien colonisateur, pour une allégeance avec un nouveau, ce n’est pas une libération, ce n’est pas retrouver une pleine souveraineté, que de confier son destin à d’autres. Ce qu’il faut, c’est à la fois s’organiser ou défendre le territoire et essayer d’organiser des élections dans la foulée, mais une élection qui soit incontestable et qui évite que dans les mois à venir, les années à venir, des militaires ne soient tentés de se saisir à nouveau du pouvoir.

Lors du sommet de Saint-Pétersbourg entre la Russie et l’Afrique, le capitaine Traoré s’en est pris à ses homologues africains qui tendent la main aux Occidentaux « comme des mendiants », a-t-il dit. Ce qui a donné lieu à une passe d’armes entre lui et le Sénégalais Macky Sall. Le numéro un burkinabè veut jouer les troubles fêtes à la façon de Thomas Sankara dont il revendique l’héritage. En a-t-il l’envergure selon vous ?

Moi, je fais partie des journalistes qui ont connu Thomas Sankara. C’était une autre dimension, c’était autre chose, c’était quelqu’un qui connaissait le monde entier, qui connaissait les rapports de forces, et qui jouait avec ça. Ce qui s’est passé à Saint-Pétersbourg, c’est à mettre sur le compte de l’extrême jeunesse politique du capitaine Ibrahim Traoré.

Depuis un an, certains notent un vrai recul des libertés individuelles. La liberté de parole existe-t-elle encore au Burkina Faso ?

Difficilement, même si j’ai noté que les trois journalistes qui ont interviewé le président Ibrahim Traoré l’ont fait de manière assez libre : certaines questions gênantes ont été posées. Mais le fait est là qu’il n’y a plus d’activité politique et qu’il y a des mesures de rétorsion injustifiées contre certains médias. Le dernier en date c’est Jeune Afrique, dont les publications ont été suspendues là-bas pour avoir parlé d’un malaise dans l’armée, que quelques jours plus tard le capitaine Ibrahim Traoré a lui-même reconnu.

Et puis on retiendra aussi ces déclarations du capitaine Traoré : « Les libertés individuelles ne doivent pas primer sur les libertés collectives. Soit vous êtes avec la patrie, soit vous êtes contre la patrie… »

C’est assez étonnant aujourd’hui d’entendre ça, ça ne se justifie pas. Les gens ont besoin de partager leur opinion, leurs avis avec la junte qui n’a pas le monopole de la vérité, qui n’a pas le monopole de la pensée, qui ne peut pas avoir le monopole du débat politique.

La situation au sein de l’armée est visiblement tendue : le gouvernement a annoncé la semaine dernière avoir déjoué une tentative de coup d’État. Diriez-vous que le pouvoir du capitaine Traoré est aujourd’hui fragile ?

Absolument. Il est déjà fragile par la situation sociale, la situation économique, la situation sécuritaire… Et ajouté à cela le malaise au sein de l’armée. Visiblement certains officiers supérieurs ne sont pas d’accord avec la ligne qui est suivie aujourd’hui et essayent de le faire entendre. Il n’est pas exclu qu’il y ait eu des tentatives de putsch. Mais toujours est-il qu’on a annoncé officiellement qu’il y a quatre officiers qui ont été arrêtés et qu’il y en a deux qui sont en fuite, notamment des gens du renseignement.

Source : Rfi

Incendie mortel à Sèmè-Podji : Le MPL présente ses sincères compassions aux familles éplorées et fait des propositions au gouvernement

Le Mouvement populaire de libération réagit à l’incendie mortel survenu à Sèmè-Podji, samedi dernier, et qui a fait 36 morts et plusieurs blessés. A travers un communiqué en date du 24 septembre 2023 et signé de son président, Expérience Tèbè, le parti au balai présente ses sincères compassions aux familles éplorées.

Le Mouvement populaire de libération ‘(MPL) réagit à l’incendie mortel survenu à Sèmè-Podji, samedi dernier, et qui a fait 36 morts et plusieurs blessés. A travers un communiqué en date du 24 septembre 2023 et signé de son président, Expérience Tèbè, le parti au balai présente ses sincères compassions aux familles éplorées.

Le MPL en profite pour appeler à la réorganisation du secteur du  »kpayo »  « afin d’éviter ces drames devenus trop fréquents ».  Le parti recommande notamment la mise en place d’un plan de réinsertion des différents acteurs du secteur et plaide pour l’augmentation de la subvention à la pompe des produits pétroliers.

Ci-dessous le communiqué.

 

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Bénin-Sécurité : Liste des policiers remplissant les conditions à l’avancement au grade supérieur au titre de l’année 2024

Le Directeur de la Police Républicaine Soumaïla Yaya, a publié la liste des fonctionnaires de police remplissant les conditions à l’avancement au grade supérieur au titre de l’année 2024 au Bénin.

Le Directeur de la Police Républicaine Soumaïla Yaya, a publié la liste des fonctionnaires de police remplissant les conditions à l’avancement au grade supérieur au titre de l’année 2024 au Bénin. Téléchargez le fichier ci-dessous pour découvrir les agents concernés.

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Bénin : La réaction de la Police républicaine sur l’affaire Martin Hounga (Communiqué)

Dans le cadre de la protection des personnes et des biens, la Police républicaine mène régulièrement des opérations de lutte contre le grand banditisme dans les villes et campagnes. C’est dans ce cadre que dans la nuit du lundi 04 au mardi 05 septembre 2023, le commissariat de l’arrondissement de Hêvié, sur renseignements, a mené une opération dans sa circonscription de compétence. Au cours de ladite opération, un citoyen a perdu la vie.

AFFAIRE MARTIN HOUNGA

COMMUNIQUÉ DE LA POLICE RÉPUBLICAINE

Dans le cadre de la protection des personnes et des biens, la Police républicaine mène régulièrement des opérations de lutte contre le grand banditisme dans les villes et campagnes. C’est dans ce cadre que dans la nuit du lundi 04 au mardi 05 septembre 2023, le commissariat de l’arrondissement de Hêvié, sur renseignements, a mené une opération dans sa circonscription de compétence. Au cours de ladite opération, un citoyen a perdu la vie.

Face à cet événement tragique, la Police républicaine reste sensible à l’émotion ressentie par la population. Elle tient avant tout à exprimer ses plus sincères condoléances aux proches et particulièrement à la famille éplorée. De même, elle vient par la présente rassurer l’opinion publique que cette affaire préoccupe la hiérarchie policière qui reste déterminée à faire toute la lumière sur les circonstances exactes de cet événement.

Subséquemment, le Procureur de la République près le tribunal de première instance de deuxième classe d’Abomey-Calavi ainsi que l’Inspecteur technique de la Police républicaine sont saisis pour diligenter respectivement l’enquête judiciaire et celle administrative. Ces enquêtes ouvertes, s’effectuent de façon rigoureuse et approfondie. Le corps a été déposé à la morgue de l’hôpital de zone de Ouidah conformément aux instructions de l’autorité judiciaire. Aussi l’Institution invite-t-elle les populations à la patience et au calme au cours de cette phase d’investigations nécessaire à la manifestation de la vérité.

Au regard de tout ce qui précède, la Police républicaine réitère son attachement à l’exécution de ses missions de protection des personnes et des biens puis d’ordre public dans le respect des lois et règlements de la République ainsi que des droits humains.

Cotonou, le 12 septembre 2023

Bénin-Recrutement militaire spécial au titre de l’année 2023 : la date de la visite médicale reportée !

La visite médicale dans le cadre du concours de recrutement militaire spécial au titre de l’année 2023 n’aura plus lieu le lundi 11 septembre prochain. A travers un communiqué publié le jeudi 07 septembre, le Chef d’Etat-Major Général des Forces armées béninoises, le Général de Brigade Fructueux Gbaguidi a annoncé le report de ladite activité en raison de…

La visite médicale dans le cadre du concours de recrutement militaire spécial au titre de l’année 2023 n’aura plus lieu le lundi 11 septembre prochain. A travers un communiqué publié le jeudi 07 septembre, le Chef d’Etat-Major Général des Forces armées béninoises, le Général de Brigade Fructueux Gbaguidi a annoncé le report de ladite activité en raison de  « l’indisponibilité des instructeurs qui se trouvent en ce moment engagés dans diverses formations organisées à leur profit dans le cadre de la lutte contre le terrorisme ». Lire ci-dessous le communiqué.

COMMUNIQUE RADIO

Le Chef d’Etat-Major Général des Forces armées béninoises communique:

Initialement prévue pour démarrer le lundi 11 septembre 2023, la visite médicale qui s’inscrit dans le processus de sélection au concours de recrutement militaire spécial au titre de l’année 2023 est reportée à une date ultérieure.

Ce report est lié à l’indisponibilité des instructeurs qui se trouvent en ce moment engagés dans diverses formations organisées à leur profit dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.

Général de Brigade Fructueux C.A  Gbaguidi

Chef d’Etat-major-Général

Bénin-Concours d’entrée au Prytanée militaire et au lycée militaire des jeunes filles : Le Calendrier de déroulement des épreuves

La direction des examens et concours a dévoilé le calendrier de déroulement des épreuves du Concours d’entrée au Prytanée militaire de Bembérèkè (PMB) et au lycée militaire des jeunes filles Général Mathieu Kérékou de Natitingou. Les compositions se tiennent le mercredi 19 juillet prochain.

La direction des examens et concours a dévoilé le calendrier de déroulement des épreuves du Concours d’entrée au Prytanée militaire de Bembérèkè (PMB) et au lycée militaire des jeunes filles Général Mathieu Kérékou de Natitingou.   Les compositions se tiennent le mercredi 19 juillet prochain. Ci-dessous le communiqué en image.

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Un individu arrêté avec une forte quantité de drogue à Bassila

La police républicaine vient de mettre la main sur un présumé trafiquant de drogue. Sur renseignement et après une descente au domicile de ce dernier au quartier Abiguédou, dans la commune de Bassila, lundi 10 juillet, les éléments de la Police républicaine ont trouvé 34 grosses boules de chanvres indiens.

La police républicaine vient de mettre la main sur un présumé trafiquant de drogue. Sur renseignement et après une descente au domicile de ce dernier au quartier Abiguédou, dans la commune de Bassila, lundi 10 juillet, les éléments de la Police républicaine ont trouvé 34 grosses boules de chanvres indiens.

Le directeur départemental de la police républicaine de la Donga a, au micro de la télévision nationale, précisé que les chanvres indiens étaient de plusieurs emballages.

Outre les produits prohibés,  Yarou Kassim a ajouté que ses éléments ont trouvé au domicile de l’individu qui serait d’origine béninoise, un véhicule d’immatriculation togolaise, des devises ghanéennes et plusieurs millions de Fcfa.

L’homme sera présenté au procureur de la République pour la suite du dossier.

M.A

Bénin : Une dispute entre coépouse vire au drame

Deux coépouses trouvent la mort dans une bagarre. Le drame s’est produit à Dèguè, dans la commune de Sakété, le lundi 10 juillet dernier.

Deux coépouses trouvent la mort dans une bagarre. Le drame s’est produit à Dèguè, dans la commune de Sakété, le lundi 10 juillet dernier.

Les deux épouses ont terminé leur dispute à l’intérieur d’un puits. Leurs corps sans vies ont ensuite été repêchés du puits.  Les raisons de la bagarre sont pour l’heure inconnues.

Joint par Bip radio, le chef d’arrondissement de Sakété 2, Afissou Bamigbotché.a indiqué qu’elles ont été inhumées dans la même nuit du lundi.

Il a également confié que leur mari vit au Gabon.

Un drame qui aurait pu être sans doute évité si les deux coépouses avaient gardé leur sang-froid.

M.A