Bénin : Chargé de récupérer l’argent de loyer pour une agence immobilière, il dérobe une forte somme

Un employé d’un cabinet d’avocat, intervenant dans la gestion immobilière est sous les verrous.  Chargé de recouvrer  l’argent du loyer, ce dernier, la trentaine, recruté en qualité de coursier,  est accusé d’avoir dérobé une forte somme d’argent.

Un employé d’un cabinet d’avocat, intervenant dans la gestion immobilière est sous les verrous.  Chargé de recouvrer  l’argent du loyer, ce dernier, la trentaine, recruté en qualité de coursier,  est accusé d’avoir dérobé une forte somme d’argent.

Selon le récit de Frissons Radio, le jeune homme se charge de récupérer  l’argent de loyer chez des locataires pour ensuite aller les verser sur un compte bancaire. Pour des raisons encore inconnues, le jeune coursier a cessé de  remplir   ses obligations à un moment donné. Du moins en partie.

Il ne dépose plus  l’intégralité du montant qu’il récupère auprès des locataires. Sa patronne constate le pot-aux-roses et cherche à savoir. Elle l’interpelle. Il fait savoir à cette dernière qu’il n’en est pour rien  et que les sous disparaissent mystérieusement.

Le jeune homme ajoute qu’il n’a pas vite fait cas de la situation parce qu’il pensait pouvoir gérer la situation à sa façon.

Un argument qui n’a visiblement pas convaincu sa patronne encore moins le procureur de la République près le tribunal de Cotonou. Présenté à ce dernier, il a été placé en détention provisoire et pourrait  être jugé le 28 juillet pour abus de confiance.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Un militaire en prison pour le meurtre de son beau-frère

Au Bénin, un homme en treillis cire  depuis quelques jours les quatre murs de la prison civile de Cotonou. Non pas pour  une affaire de coup d’Etat, comme c’est souvent le cas en Afrique, mais pour  un dossier de meurtre.

Au Bénin, un homme en treillis cire  depuis quelques jours les quatre murs de la prison civile de Cotonou. Non pas pour  une affaire de coup d’Etat, comme c’est souvent le cas en Afrique, mais pour  un dossier de meurtre.

Pour cause, le militaire,  la trentaine environ, est accusé du meurtre de son beau-frère, le mari à sa petite sœur.

Selon le récit de Frissons Radio, le jeune militaire et le beau-frère ont eu une vive altercation avant d’être séparés.

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Bénin : Un militaire en prison pour le meurtre de son beau-frère

Mais quelques jours après,  le beau-frère décide de se rendre chez sa concubine, la même maison où vit également le jeune militaire

En voyant ce dernier,  le militaire, pour des raisons propres à lui prend d’un couteau, lui donne plusieurs coups de poignard.  L’irréparable est fait. L’homme s’écroule et meurt sur les lieux.

Le jeune militaire est interpellé et accusé de meurtre. Présenté au procureur de la République près le tribunal de Cotonou ce jeudi 3 mai 2021, il a été placé sous mandat de dépôt, en attendant de fixer la date de son procès.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Un homme de 68 ans, ‘’contrôleur de virginité’’ en prison pour attouchement sur une mineure de 15 ans

Bénin : Un homme de 68 ans, ‘’contrôleur de virginité’’ en prison pour attouchement sur une mineure de 15 ans ..

A 68 ans, il semble mettre son expertise au service de la vérification de virginité des jeunes filles. Et le voilà, appelé à répondre de son acte.

En effet, Frissons radio rapporte la détention d’un homme de 68 ans pour attouchement sur une mineure de 15 ans. Selon les faits rapportés par nos confrères, il a voulu se jouer les ‘’contrôleurs de virginité’’.

 Voisin de quartier, l’homme  a été surpris en train de toucher la jeune fille. Il  a vite fait savoir qu’il vérifiait si la fille était vierge, donc un ‘‘contrôle de virginité’’.

Interpelé puis présenté au procureur de la République près le tribunal de Cotonou, il y a quelques jours, il a été placé en détention.

Frissons Radio renseigne que son procès pourrait avoir lieu ce mardi 18 mai 2021.

Procès de ‘’contrôleur de virginité’’,  voilà qui donne envie d’effectuer un tour au tribunal de Cotonou.

Manassé AGBOSSAGA

Un Nigérian en possession des nageoires de requins arrêté au Bénin

La police béninoise a mis la main sur un ressortissant nigérian. En provenance de la Mauritanie, ce dernier a été interpellé en début de semaine.

Frissons Radio rapporte que l’homme a été choppé avec 450 paires de nageoires de requins. Placé en garde-à-vue, il a ensuite été présenté au procureur de la République près le tribunal de Cotonou.

Actuellement en détention, il pourrait être jugé le 18 mai pour délit de détention et mise en en circulation de trophée d’animaux.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Deux individus en prison pour vol de gasoil dans l’enceinte du tribunal de Cotonou…c’est quelle sorcellerie ça!

Deux individus, d’un genre bien particulier,  visitent depuis ce mardi 16 mars 2021 les locaux de la prison civile de Cotonou.  Surpris en plein vol de gasoil dans l’enceinte du tribunal de Cotonou, ils ont été condamnés à 12 mois de prison ferme après leur jugement.

D’après Frissons Radio, les deux accusés ; qui sont des garagistes de formation, mais exerçant de petit job dans l’enceinte du tribunal, afin de joindre les deux  bouts, ont préférer siphonner du gasoil d’un groupe électrogène du parquet en pleine nuit. Ils auraient réussir à remplir quatre bidons de 25 litres avant d’être interpelés.

On vous laisse faire de petits job, vous préféréez voler dans tribunal….mais c’est quel genre de sorcellerie, paresse ou courage indien ça?

Manassé AGBOSSAGA

Tribunal de Cotonou : Plus de 20 personnes jugées pour faux test Covid-19 ce jour

Le tribunal de Cotonou va connaître d’une affaire bien particulière ce mardi 26 janvier 2021. 20 personnes  arrêtées le mardi 26 janvier 2021, puis cinq autres arrêtés plus tard, dans une affaire de faux test Covid seront jugées ce jour.

Les mis en cause sont soupçonnés de délivrer des faux tests, mais également des voyageurs qui présenteraient des faux test à l’aéroport de Cotonou, précise Frissons Radio.  

Affaire à suivre !!!

Manassé AGBOSSAGA

Affaire fraude concours des magistrats: Prison et lourde amende financière pour les accusées et leurs complices

Alea jecta ! Les  accusées et leurs complices dans l’affaire fraude concours des magistrats sont situés sur leurs sorts.

Tard dans la nuit de ce mardi 22 décembre 2020 au tribunal de Cotonou après un procès qui a duré plusieurs heures, Clarisse Assogba, Maïsarath Koukoui, accusée de tricherie lors de l’épreuve de procédure pénale  ont écopé de  36 mois de prison dont 12 fermes.

Par contre, le directeur adjoint de cabinet de ministère de la Justice,  Timothée Yabit, poursuivi pour complicité de fraude a été condamné à 6 mois de prison avec sursis.

Quant à Me Pacôme Koundé, également poursuivi pour complicité de fraude, et époux de l’une des candidates, il   a été relaxé au bénéfice du doute.

En outre, les quatre personnes citées dans cette affaire de fraude dans l’organisation du concours de recrutement des 100 auditeurs de justice écopent d’une lourde amende financière. Ils devront  payer solidairement la somme 38 millions 710 mille 160 fcfa.

Ces derniers peuvent faire appel de la sentence.

Manassé AGBOSSAGA

Un président de parti politique condamné à 24 mois de prison ferme: il sortait juste de 14 mois d’emprisonnement

Le président du Parti des valeurs républicaines (PVR) reste en prison. En détention provisoire depuis fin juin 2020, Loth Houénou vient d’écoper d’une lourde peine.

Le président du Parti des valeurs républicaines (PVR)  reste en prison.  En détention provisoire depuis fin juin 2020, Loth Houénou vient d’écoper d’une lourde peine.

Accusé de « harcèlement du chef de l’Etat par le biais d’une communication électronique », il a été condamné à 24 mois de prison ferme plus une amende  200 000 Fcfa,  ce mardi 10 novembre 2020 au tribunal de Cotonou.

Libéré de prison le mardi 17 décembre 2019 après 14 mois d’emprisonnement, Loth Houénou repart donc en prison.

Le mandat de Patrice Talon laissera sans doute un goût amer au président du Parti des valeurs républicaines (PVR).

Manassé AGBOSSAGA

Justice: Deux promoteurs de boîte de nuit arrêtés pour violation des mesures contre le Coronavirus

Deux promoteurs de boîte de nuit ne sont plus libres de leurs mouvements. Ils sont depuis, ce lundi 20 juillet 2020, placés en garde-à-vue…

Deux promoteurs de boîte de nuit ne sont plus libres de leurs mouvements. Ils sont depuis, ce lundi 20 juillet 2020, placés en garde-à-vue.

D’après Frissons, les deux promoteurs ont été arrêtés pour avoir violé les mesures prises par le Gouvernement pour éviter la propagation du Coronavirus.

Malgré la mesure d’interdiction toujours en vigueur, les deux promoteurs auraient ouvert leurs boîtes de nuit,  le samedi dernier.

Deux promoteurs de boîte de nuit arrêtés pour violation des mesures contre le Coronavirus

Ils seront présentés dans les prochains au procureur de la République.

Le gouvernement avait opté pour un allègement des mesures restrictives relatives aux lieux de culte, aux transports en commun et aux bars, dans le cadre de la lutte contre le Covid 19, le 27 mai dernier. Cette levée ne concernait pas les boîtes de nuit et discothèques.

Manassé AGBOSSAGA

Justice: Deux camerounais condamnés à 10 ans de prison au Bénin

La justice béninoise vient de condamner deux citoyens camerounais. La sentence est tombée ce mardi 14 juillet au tribunal de Cotonou…

La justice béninoise vient de condamner deux citoyens camerounais. La sentence est tombée ce mardi 14 juillet au tribunal de Cotonou.

D’après Radio Frissons qui a rapporté la nouvelle, il s’agit de deux camerounais condamnés à 10 ans de réclusion criminelle pour associations de malfaiteurs et vols qualifiés.

Ces derniers, l’un vigile et l’autre chauffeur aurait réussi à s’échapper du Cameroun, avec 20 millions de Fcfa lors d’une opération de convoyage de fonds.

Ils auraient à l’occasion mis en déroute un gendarme.

Après s’être échappés, ils se seraient installés au Bénin et auraient investi dans plusieurs secteurs d’activités.

Au fil du temps, les deux camerounais font la connaissance d’un béninois avec qui, ils entrent en affaire. Mais ce dernier découvre plus tard, qu’il s’agit de fugitif recherchés.

Après plusieurs chantages où il réussi à leur prendre de l’argent,  il finit par les dénoncer, raconte radio Frissons.

Une dénonciation qui leur coûtera visiblement chère avec leur condamnation à 10 ans de prison.

Vraiment ein,  à quoi ça sert de voler dans ton propre pays pour venir te faire attraper et condamner dans un pays étranger.

Illustratuon

Manassé AGBOSSAGA