AstraZeneca : Deux Français décédés après l’injection

Le débat sur le vaccin AstraZeneca n’en finit plus. En effet, quatre nouveaux cas de thromboses ont été détectés en France dont deux ont provoqué un décès…

Le débat sur le vaccin AstraZeneca n’en finit plus. En effet, quatre nouveaux cas de thromboses ont été détectés en France dont deux ont provoqué un décès.

AstraZeneca

AstraZeneca, le vaccin maudit

Le vaccin AstraZeneca rebute les Français. En effet, depuis sa mise sur le marché, des cas de thromboses ont été détectés. Même si cela reste très faible en comparaison du nombre d’injections, ce souci avait entrainé une suspension temporaire du vaccin en France mais aussi définitive dans certains pays.

Depuis le début de la vaccination, 34 cas de thromboses rares auraient été détectés en France sur plus de 4 millions de doses AstraZeneca injectées. 11 décès seraient à déplorer. L’inquiétude continue car quatre nouveaux cas de thromboses viennent d’être annoncés. Ils ont été détectés entre le 23 avril et le 6 mai.

Deux nouveau décès

Il s’agit de deux femmes, une sexagénaire et une septuagénaire et deux hommes quinquagénaires. Deux d’entre eux sont décédés des suites de leur thrombose, a indiqué lundi l’Agence française du médicament. Une donnée qui semble inquiétante quand on sait qu’en France le vaccin est autorisé seulement pour les plus de 55 ans. Toutefois, l’Agence française du médicament estime que ces caractéristiques restent identiques au dernier bilan avec une moyenne d’âge de 60 ans et touchant les deux sexes.

La Haute autorité de santé a recommandé le 12 mai de maintenir la vaccination des plus de 55 ans avec AstraZeneca, affirmant « l’utilité incontestable du vaccin » . Il est également recommandé qu’en cas d’effets indésirables durant plus de trois jours comme les vertiges, les nausées, les douleurs dans la poitrine, il convient d’aller consulter un médecin.

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AstraZeneca : l’Union Européenne prend une décision radicale contre le vaccin

C’est une décision qui n’est finalement pas surprenante quand on connaît les réticences courantes vis-à-vis du vaccin. En effet, l’Union Européenne prend la décision ce dimanche 9 mai de ne pas renouveler son contrat avec le laboratoire AstraZeneca…

C’est une décision qui n’est finalement pas surprenante quand on connaît les réticences courantes vis-à-vis du vaccin. En effet, l’Union Européenne prend la décision ce dimanche 9 mai de ne pas renouveler son contrat avec le laboratoire AstraZeneca.

Le commissaire européen, Thierry Breton, a expliqué que les commandes de doses du vaccin ne seront donc plus passées par l’Union Européenne au début de l’été, soit à la fin du mois de juin.

L’UE en finit avec le vaccin AstraZeneca

Le contrat liant l’UE au laboratoire AstraZeneca se termine à la fin du mois de juin, soit dans un peu plus d’un mois. Au-delà, plus aucune commande ne sera passée par l’Europe dans le but de recevoir des doses du vaccin contre la Covid-19. Si des soupçons et des réticences à son encontre persistent sur les cas de thromboses qu’il pourrait provoquer chez les patients ayant reçu une dose, d’autres problèmes seraient également à l’origine de la décision pour l’instant radicale de l’Union Européenne.

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En effet, le laboratoire AstraZeneca serait coupable de plusieurs semaines de retard dans les délais de livraisons de son vaccin aux différents pays ayant passé commande. Un ensemble de facteurs négatifs qui ont poussé l’UE à agir. « Nous n’avons pas renouvelé la commande après le mois de juin. On verra, on regarde ce qu’il se passera », confie Thierry Breton, commissaire européen pour le commerce intérieur, pour qui la priorité sera donnée au vaccin Pfizer-BioNTech.

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Le Pfizer-BioNTech, vaccin prioritaire

Dans l’objectif affiché de vacciner une immense partie de la population européenne, l’UE concentre désormais plus que jamais son attention sur le vaccin des laboratoires Pfizer et BioNTech, et laisse, de ce fait, l’AstraZeneca de côté. En effet, l’Europe vient de signer un contrat lui promettant près d’1,8 milliards de doses du vaccin jusqu’en 2023. Ce dernier semble, comme les résultats d’une étude le prouvent pour l’Israël, le vaccin le plus efficace contre le virus de la Covid-19.

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l’Union européenne attaque AstraZeneca en justice !

Ce lundi 26 avril, l’Union européenne a lancé une action en justice contre AstraZeneca. Le groupe n’aurait pas tenu ses engagements de livraison des vaccins.

L’Union européenne a décidé d’attaquer en justice AstraZeneca, a annoncé ce lundi 26 avril la Commission européenne. Elle accuse le groupe pharmaceutique de ne pas avoir respecté ses engagements sur les livraisons des vaccins contre la Covid-19. En effet, seulement 30 millions de doses ont été envoyées à l’UE sur les 120 millions promises au premier trimestre. Au deuxième trimestre ce sont 70 millions de doses sur les 180 millions prévues qui ont été livrées.

Un contrat non respecté

« Les termes du contrat n’ont pas été respectés et l’entreprise n’a pas été en position de mettre en œuvre une stratégie fiable afin d’assurer des livraisons en temps et en heure » , a indiqué un porte-parole de l’exécutif européen. Cette action en justice a été lancée ce vendredi 24 avril « au nom de la Commission comme au nom des vingt-sept Etats membres, unanimes dans leur soutien à cette procédure » , a-t-il ajouté.

Cette décision fait également suite à une première procédure contractuelle le 19 mars dernier qui n’a pas abouti. En effet, la Commission européenne souhaitait régler ses différends pour résoudre le conflit avec AstraZeneca. Le groupe suédo-britannique s’est défendu ce lundi en expliquant avoir « complètement respecté » le contrat noué avec Bruxelles et espère avoir « l’occasion de régler ce différend le plus tôt possible » , selon un communiqué.

« Une livraison rapide d’un nombre suffisant de doses »

« Ce qui nous importe dans cette affaire, c’est de nous assurer qu’il y ait une livraison rapide d’un nombre suffisant de doses auxquelles les citoyens européens ont droit, et qui nous avaient été promises sur la base du contrat » , a déclaré le porte-parole de la Commission. Les 27 « devraient demander soit la résiliation du contrat pour non exécution, avec des dommages et intérêts, soit l’exécution du contrat (les livraisons), ce qui est peu probable » , a estimé l’avocat belge Arnaud Jansen, qui a étudié le contrat avec le cabinet De Bandt.

Source: Letribunaldunet

Vaccin AstraZeneca : La famille d’une femme morte d’une thrombose à Toulouse porte plainte contre X pour « homicide involontaire »

L’avocat de la famille saisit le parquet de Toulouse afin d’obtenir une expertise médico-légale pour « que toute la lumière soit faite sur la cause du décès et le lien éventuel entre ce décès et l’injection d’AstraZeneca. »

FILE PHOTO: Vials labelled « AstraZeneca COVID-19 Coronavirus Vaccine » and a syringe are seen in front of a displayed AstraZeneca logo in this illustration taken March 10, 2021. REUTERS/Dado Ruvic/Illustration/File Photo

La famille d’une femme de 38 ans morte à Toulouse des suites d’une thrombose, 14 jours après avoir reçu le vaccin AstraZeneca contre le Covid-19, va porter plainte contre X pour « homicide involontaire » vendredi 2 avril, indique France Bleu Occitanie ce jeudi soir. Franceinfo avait appris le décès à l’hôpital Purpan de cette assistance sociale qui avait reçu sa première dose de vaccin en tant que soignant, juste avant la suspension du vaccin mi-mars.

Les proches de la trentenaire ont choisi Me Etienne Boittin pour les représenter. L’avocat du barreau de Saint-Nazaire conseille également la famille de cet étudiant nantais mort mi-mars d’une thrombose abdominale après avoir reçu le vaccin AstraZeneca. « Nous ne sommes pas dans une démarche d’accusation, mais d’interrogation », affirme l’avocat du barreau de St-Nazaire contacté par France Bleu Occitanie. « Il n’est pas question de clouer au pilori un hôpital ou un laboratoire », poursuit-il. En saisissant le parquet de Toulouse, il souhaite obtenir une expertise médico-légale pour « que toute la lumière soit faite sur la cause du décès et le lien éventuel entre ce décès et l’injection d’AstraZeneca. »

Le 26 mars dernier, l’ANSM avait rappelé qu’il existait un risque de thrombose (formation d’un caillot de sang), très rare après l’injection du vaccin AstraZeneca, tout en soulignant que « le rapport bénéfice/risque du vaccin reste positif, aucun élément n’indique pour l’instant que la vaccination ait provoqué ces troubles. »

Avec France Bleu Occitanie – franceinfo