Le monde sportif français est en deuil. La Championne du monde junior de bloc, ..
Le monde sportif français est en deuil. La Championne du monde junior de bloc, Luce Douady est passée de vie trépas, ce dimanche 14 juin 2020, après une chute d’une falaise proche de Crolles, en Isère.
« Luce Douady nous a quitté hier…Luce, cette fille, cette jeune femme pleine d’énergie, de passions, de talents ! Une belle personne ! Elle est partie comme elle a vécu en croquant la vie ! », a indiqué ce lundi 15 juin son club, d’escalade de Chambéry.
La France perd ainsi l’une de ses plus grandes promesses de l’escalade.
Le Ballon d’or 2018 donne un précieux conseil à l’attaquant du Paris saint germain pour la suite de sa carrière sportive. Dans un entretien accordé au journal La Gazetta dello sport, Luka Modric a recommandé à Kylian Mbappé de ..
Le Ballon d’or 2018 donne un précieux conseil à l’attaquant du Paris saint germain pour la suite de sa carrière sportive. Dans un entretien accordé au journal La Gazetta dello sport, Luka Modric a recommandé à Kylian Mbappé de quitter le PSG et la Ligue 1 afin de franchir un nouveau palier.
Le milieu de terrain a indiqué que l’attaquant français de 21 ans a le talent pour dominer le football mondial. Toutefois, Luka Modric a fait savoir que le niveau du championnat français ne lui permet pas de franchir un nouveau palier. Pour le milieu croate, Kylian Mbappé doit se frotter à un milieu où la concurrence est rude.
« Mbappé a tout pour dominer la scène du football …mais je pense que pour franchir ce palier, il doit aller dans un championnat où on son équipe ne gagne pas si facilement », a-t-il indiqué à La Gazetta dello sport.
Une chose est certaine, cet avis ne va pas plaire au directeur sportif du PSG Léonardo, lui qui réfléchit à une stratégie pour assurer l’avenir du champion du monde 2018 à Paris.
Le grand leader Ghislain SOSSA, leader Hermann Amoussou, et leader Uriel Wolo, ont procédé à l’inauguration les locaux du bureau SAIRUI le Monopole, ce samedi 13 juin 2020. Cette cérémonie a eu lieu au quartier zongo 2 de Parakou.
Le grand leader Ghislain SOSSA, leader Hermann Amoussou, et leader Uriel Wolo, ont procédé à l’inauguration les locaux du bureau SAIRUI le Monopole, ce samedi 13 juin 2020. Cette cérémonie a eu lieu au quartier zongo 2 de Parakou.
Par Bruno Akohoué Sodji
La cheville ouvrière, leader Hermann Amoussou, accompagné de main de maître par le leader Uriel Wolo, ont mis les petits plats dans les grands pour accueillir le grand leader Ghislain SOSSA, chef de fil du bureau SAIRUI le Monopole, avec toute la délégation de leaders venus de Cotonou, Porto-Novo, Bohicon, Djougou, Comè, pour honorer la cérémonie d’installation du bureau SAIRUI le Monopole de Parakou, au quartier Zongo 2.
La joie était grande, pour la simple raison que les parakois, depuis plusieurs mois déjà, rêvent de voir s’installer une agence à laquelle ils pourront faire référence.
Mais l’équipe du team SAIRUI le Monopole, soucieuse du fait que l’indépendance financière que procure SAIRUI doit être partagé à toute la population du Bénin, a fait diligence pour concrétiser ce rêve.
Une cérémonie riche en couleur qui a pris corps à travers les mots de bienvenue du leader Uriel Wolo.
Avant de couper le ruban, le leader Ghislain SOSSA, très émus avec toute sa délégation, a rendu grâce à Dieu pour son accompagnement dans la détermination et l’engagement de toute l’équipe de SAIRUI le Monopole. Puis, s’en est suivi la visite des locaux.
Suivant cela, les leaders Hermann Amoussou, Uriel Wolo, Apollinaire Zinho ont expliqué à l’assistance les bienfaits de SAIRUI et les opportunités d’affaires que l’entreprise du E-commerce propose et ces retombées.
Pour rappel, SAIRUI MALL est une société chinoise créée en 2008 spécialisée dans le E-commerce. Qui en un temps record, s’est répandue en Allemagne, en Angleterre, au Canada…
Puis en 2018, elle s’est installée en Afrique, précisément au Ghana, au Nigeria, au Cameroun.
Mais la particularité de SAIRUI MALL est l’instauration du système de «New Retail» qui consiste à fidéliser sa clientèle.
Le new retail permet après l’achat dans le détail, d’obtenir une réduction de 60% sur les achats en gros, que vous permettez à l’entreprise de vous vendre sur le marché.
Et au bout de 10 jours, elle vous retourne votre capital plus votre bénéfice.
Ladite opération est perpétuelle tant que vous souhaitez continuer le partenariat avec SAIRUI.
A défaut, la société vous retourne votre capital. C’est donc l’occasion pour tous les habitants de Parakou de faire un tour au quartier Zongo 2 pour saisir l’opportunité qu’offre SAIRUI.
Les mesures prises par le gouvernement lors du conseil des ministres du 10 juin dernier pour soutenir les entreprises suscitent moult réactions. Dernière en date, celle de l’ancien ministre des sports, Ganiou Soglo. Revenant sur les conséquences de la pandémie au Covid-19 au plan mondial et africain, l’ancien ministre qualifie de « mesurettes » les actions prises par le gouvernement Talon pour voler au secours des entreprises. Dans un esprit critique, il suggère d’autres pistes au gouvernement. Pour plus de détails, nous vous proposons son développement…
Les mesures prises par le gouvernement lors du conseil des ministres du 10 juin dernier pour soutenir les entreprises suscitent moult réactions. Dernière en date, celle de l’ancien ministre des sports, Ganiou Soglo. Revenant sur les conséquences de la pandémie au Covid-19 au plan mondial et africain, l’ancien ministre qualifie de « mesurettes » les actions prises par le gouvernement Talon pour voler au secours des entreprises. Dans un esprit critique, il suggère d’autres pistes au gouvernement. Pour plus de détails, nous vous proposons son développement.
« Il faut que je vous dise…
Les grandes crises mondiales de façon générale impactent indubitablement positivement ou négativement l’économie d’un pays. C’est ainsi que la pandémie coronavirus et ses corollaires de part sa propension vont bouleverser les rapports de forces économiques et sociales sur la planète.
L’après Covid-19 se dessine déjà avec les stratégies de déconfinement observées de part et d autre dans le monde. Les observateurs assidus constateront indéniablement que les relations internationales sont d’ores et déjà bouleversées. Par conséquent les Etats-Unis sortiront affaiblis, leur leadership sera désormais fortement disputé par une Chine qui pèsera sur le monde un peu plus aujourd’hui qu’hier. L’Union Européenne de son côté, avec son pacte de stabilité prouve à l’opinion publique qu’il existe une certaine solidité en son sein, malgré les quelques balbutiements observés au moment où elle était l’épicentre de la pandémie. La construction européenne s’en trouve renforcée.
Quid de l’Afrique ?
Les prévisions les plus pessimistes étaient envisagées pour le continent. Tout le monde se rappelle de la mise en garde du docteur Adhanom Ghebreyesus Directeur de l’OMS. La résilience du continent du fait des différentes crises vécues l’ont préparé à mieux supporter les effets mortifères de ce mal du 21ème siècle.
La crise a ceci de cruel qu’elle affaiblira davantage les Etats vulnérables, elle les poussera à mettre en œuvre des mesures d’urgence inédites par l’ampleur de la situation.
Dans ce cadre, les autorités Béninoises après avoir pris par-dessus la jambe la sécurité sanitaire de nos populations, se découvre soudainement une âme charitable et a proposé lors de son dernier Conseil des Ministres des mesurettes dans le seul but distraire l’opinion. De la poudre de perlimpinpin dirai-je pour paraphraser le président Macron.
Contrairement à d’autres pays africains, le Bénin n’a pas opté pour le confinement mais plutôt pour un cordon sanitaire autour de certaines villes. Qu’est ce qui justifie alors cette décision du Conseil des Ministres du mercredi 10 juin ? Au plus fort de la pandémie, les populations étaient livrées à elles-mêmes. Aucune mesure d’accompagnement, pas de plan riposte digne d’un pays émergent jouissant d’une croissance culminant à 7,5 %. Subitement, dans un élan de magnanimité le gouvernement dégotte 75 milliards de nos francs dont une grande partie est pour les entreprises sachant que les plus florissantes sont détenues par le président Talon et ces affidés. Faut-il rappeler que dans le domaine des affaires il n’y a pas de mesures universelles qui s’appliquent à tout le monde.
Je serai tenté de dire que nous sommes dans un cas manifeste de prévarication pure et simple.
Là encore, nos dirigeants se trompent.
La machine économique mondiale est grippée : les prix des produits d’exportation dégringolent, d’énormes invendus sont à constater, la baisse des recettes est une triste réalité et enfin le tarissement de liquidité entraîne des conséquences incommensurables. Il faut de l’argent frais pour relancer l’économie. Il urge donc de remettre le pays au travail.
Pour ce faire, je crois profondément que nous devons dans un premier temps ravaler notre fierté et négocier avec notre grand voisin de l’Est, le Nigéria pour une réouverture des frontières. Diriger un pays c’est prendre en compte l’intérêt seul du peuple. La dynamique pour le Bénin est dorénavant de créer le plus possible de la richesse, une richesse qui permettra d’augmenter l’assiette fiscale des impôts et donc des recettes pour répondre aux impondérables de l’Etat.
Les emprunts et autres prêts devraient servir à redonner de l’oxygène aux petites entreprises. Dans un deuxième temps, il s’agira d’injecter de l’argent dans l’économie locale pour que l’argent circule et stimule la consommation. Le Covid-19, enfin pour le bénin devrait être une opportunité, l’occasion idoine de repenser notre modèle économique en misant par exemple sur la transformation, la petite transformation. Créer un fond d’appui à la transformation dans le but de susciter des vocations dans ce secteur. L’enjeu serait de créer un engouement collectif.
Le Bénin devra orienter ses efforts dans d’autres cultures d’exportation autre que le coton tel que nous l’exploitons aujourd’hui. Si la propension est de rester dans ce domaine, nous pouvons partir sur du bio, qui peut s’avérer être une niche.
Une des leçons de cette pandémie est qu’elle a permis de mettre en exergue le rôle de l’humain dans notre société. L’Homme doit dorénavant être au cœur de toute politique publique. Il faut penser y adjoindre, un grand investissement dans la formation et l’éducation qui sont des défis de demain dans la cadre d’une éventuelle politique d’industrialisation du Bénin (une formation adaptée à nos réalités).
Enfin, il ne faudra pas oublier la santé. Nous devons repenser notre système de santé. La santé pour tous sera un leitmotiv.
C’est comme cela que j’imagine le Bénin nouveau, le Bénin de l’après Covid.
A Comè dans le département du Mono, un fait inédit s’est produit ce samedi 13 juin 2020. Une femme a tenté de mettre fin à ses jours.
A Comè dans le département du Mono, un fait inédit s’est produit ce samedi 13 juin 2020. Une femme a tenté de mettre fin à ses jours.
Pour des raisons encore inconnues, une femme âgée de 49 ans s’est volontairement jetée dans un puits de 20 mètres de profondeur environs, révèle Radio Frissons.
Mais comme si le destin s’opposait à son départ dans ses conditions, sa tentative de suicide n’a pas prospéré.
Elle a été repêchée vivante à temps par les sapeurs pompiers et a été conduite dans un centre de santé.
Elle aura le temps pour cogiter sur sa tentative de suicide.
Pour ce deuxième numéro de « Marigot des médias », nous recevons un confrère à plusieurs casquettes. Journaliste, blogueur, promoteur de l’agence de communication <>, et membre d’organisations de jeunes et de la société civile, Zek Alafaï, a bien voulu partager avec nous, son parcours, ses beaux souvenirs, les difficultés du métier. Sur ce dernier point, l’ancien produit de Radio univers semble ne pas regretter son choix, celui de faire carrière dans la presse au détriment de sa formation de base, les sciences juridiques. Détails !!!
Pour ce deuxième numéro de « Marigot des médias », nous recevons un confrère à plusieurs casquettes. Journaliste, blogueur, promoteur de l’agence de communication << integral advertisement>>, et membre d’organisations de jeunes et de la société civile, Zek Alafaï, a bien voulu partager avec nous, son parcours, ses beaux souvenirs, les difficultés du métier. Sur ce dernier point, l’ancien produit de Radio univers semble ne pas regretter son choix, celui de faire carrière dans la presse au détriment de sa formation de base, les sciences juridiques. Détails !!!
Kpakpat Médias: Merci de vous présentez à nos lecteurs et lectrices?
Je suis Zek Adjitchè Alafaï, blogueur et journaliste indépendant ivoiro-béninois, membre du réseau international des journalistes arabes et africains (Rijaa). Je suis titulaire d’une Maîtrise en sciences juridiques, option Droit des affaires et carrières judiciaires. Je suis célibataire, néanmoins père d’un jolie petit garçon de 6ans.
Parlez-nous un peu de votre parcours dans le métier ?
Je suis arrivé au journalisme en 2009 par Radio Univers, la radio-école de l’université d’Abomey-calavi, qui a vu le jour en 1990. J’y ai animé plusieurs émissions de la grille des programmes d’alors dont «au parfum d’un plume » dédiée à la promotion du livre et aux acteurs de la chaîne du livre.
Pour lever tout équivoque, je dois dire que je suis de la promotion 2009 dont le parrain est Tiburce Adagbè, le promoteur de l’hebdomadaire « le déchainé du jeudi » et l’auteur de « mémoires de chaudron », un feuilleton polico-littéraire à succès qui relate les péripéties de la conquête et de l’ascension au pouvoir de l’ancien président de la République, Boni Yayi dont il fut l’un des plus proches collaborateurs.
Après la formation à Radio Univers et un stage de courte durée à radio Planète, je me retrouve grâce à Jean-Eudes Dakin à l’Institut maritime de management et de communication (IMC), créé et dirigé par Joseph Innocent Gandaho, expert maritime, premier directeur général du Conseil national des chargeurs du Bénin (CNCB) et secrétaire exécutif du l’Union des conseils des chargeurs africains (Ucca). Il fut par ailleurs conseiller technique de l’ancien chef de l’Etat, Mathieu Kérékou. L’institut éditait un journal « tam-tam afrik » et un magazine, « le magazine des métiers de la mer (3m) >>. Il était également l’un des pionniers de la presse en ligne au Bénin. Il possédait au moins trois sites internet, un pour le journal, un autre pour le magazine et un troisième pour l’institut même. C’est là donc que je deviens rédacteur web, peaufine et affine ma plume et m’intéresse aux questions liées au droit maritime.
C’est néanmoins à « Soleil Bénin infos » que je découvre véritablement l’univers médiatique béninois. J’en deviens le rédacteur en chef peu avant de me consacrer à mon propre projet de presse, la création et l’animation du blog d’information « le sanctuaire du messager » et de l’agence de communication << integral advertisement>>.
Vous avez fait vos premiers pas dans la presse par la radio, mais vous êtes aujourd’hui dans la presse en ligne. Pourquoi ce changement de cap ?
Je n’ai pas changé de cap. Je suis juste la ligne, sinon la courbe de mon destin et le cours de ma vie. C’est à IMC que j’ai découvert la presse en ligne qui était encore embryonnaire. J’y suis revenu tout naturellement parce dans beaucoup de secteurs, le numérique a beaucoup fait évoluer les choses. Le métier de journaliste a été profondément bouleversé avec le développement du numérique. Je crois, ma foi, que l’avenir de la presse est dans le développement de la presse en ligne.
Vivez-vous de votre profession ?
Je ne fais que ce métier. C’est donc tout naturellement de cette profession que je tire mon gagne-pain. Maintenant, il y a des hauts et des bas. Des moments où tout est rose et des moments où on broie du noir et on est bien obligé de vivre de l’aide et de l’assistance de bonnes volontés. C’est qu’il n’est en réalité pas facile d’être journaliste dans un pays pauvre comme le nôtre où les conditions de travail dans les rédactions, surtout de presse écrite, sont dévalorisantes.
Si c’était à refaire, choisirez vous la presse ?
Comme je l’ai dit plus haut, je suis juste le cours de ma vie, la courbe de mon destin. Je n’ai donc aucun regret quant à la profession que j’exerce. Tout est question d’opportunités dans la vie. Je dirai même que ce métier m’a rendu un très grand service, celui de mieux comprendre la société dans laquelle je vis, le fonctionnement de son système politique et bien d’autres choses. Choses que j’avais apprises en théorie sur les bancs de la faculté de droit et de sciences politiques (fadesp) mais que la pratique du métier de journaliste m’a permis de comprendre davantage. Donc, si c’était à refaire, oui je le referai, mais avec plus de lucidité.
Des exploits et déceptions…
Je ne parlerai pas d’exploits en tant que tel mais d’événements qui m’ont marqué. La première, c’est la participation aux manifestations officielles du world press freedom day, à Accra en 2018, organisé par l’Unesco et le gouvernement ghanéen. C’était une fierté d’avoir participé à cette grande messe qui réunit chaque année le gotha des journalistes venant des quatre coins du monde.
La deuxième chose que je peux évoquer est que ce métier nous fait rentrer dans les endroits les plus insoupçonnés et nous fait rencontrer des personnes qu’il nous serait difficile d’approcher si nous étions de simples citoyens. C’est comme cela, j’ai pu rencontrer à Niamey en 2015, avec mon confrère François Djandjo, le ministre Mohamed Bazoum, aujourd’hui le candidat du parti au pouvoir pnds-tarayya pour succéder à l’actuel président de la République, Mahamadou Issifou.
Déceptions…
Je me désole juste que le métier ne soit pas si valorisant du point de vue rémunération. Mais, cela est compensé par les opportunités que le métier offre. Ensuite, c’est ce métier là qui sait défendre mieux que quiconque les droits des travailleurs des autres corps de métier, mais paradoxalement, les problèmes du secteur sont comme des sujets tabous. On évoque véritablement nos problèmes que dans une perspective électoraliste lorsqu’il faut élire nos représentants dans les institutions, organismes et autres faîtières.
Quand Zek Alafaï n’est pas pris par le métier, que fait t- il?
Je suis membre de plusieurs organisations de jeunes et organisations de la société civile qui œuvre pour l’atteinte des objectifs de développement durable (ODD), pour la promotion de la culture de la paix, l’assistance à l’enfance défavorisée et aux personnes démunies. Dans ce cadre, j’ai participé aux travaux de priorisation des cibles ODD organisé par le gouvernement du Bénin et les partenaires techniques et financiers (ptf) en 2017. Quand je ne suis donc pas pris par mon métier, j’aide mon pays à ma manière, de même que les hommes et les femmes qui y vivent et qui aspirent à un mieux-être.
Des loisirs…
Comme loisirs, j’aime tout naturellement la lecture, les documentaires, la marche, le footing, les voyages, la découverte de milieux nouveaux pour moi. Je pratique l’écotourisme et je suis un ancien amateur de golf.
Quel conseil avez-vous à donner aux jeunes qui souhaitent faire carrière en journalisme ?
Bon, moi aussi, j’ai toujours besoin de conseils hein. On ne finit jamais d’apprendre. Cela étant dit, le conseil que je peux donner aux plus jeunes que moi, car selon la charte africaine de la jeunesse, je demeure encore un jeune, qui veulent embrasser le métier de journaliste, je leur dirai tout simplement, dans un premier temps, d’aimer le travail bien fait. Pas de l’à peu près. Ensuite, d’être très ambitieux. Le reste viendra à force de patience et de persévérance. Un proverbe africain, wolof en particulier nous (r)enseigne que : << celui qui est patient est plus efficace que celui qui n’est qu’intelligent>>.
Quelques heures après l’annonce de la disparition du député Alidou Démonlé Moko, ce dimanche 14 juin, le président de l’Assemblée nationale a exprimé sa tristesse et sa compassion. Sur sa page, Louis Vlavonou a notamment décrit le défunt comme un « ami, collègue, intègre épris de paix et de justice », qui apportait une touche particulière à la qualité des débats au parlement. ..
Quelques heures après l’annonce de la disparition du député Alidou Démonlé Moko, ce dimanche 14 juin, le président de l’Assemblée nationale a exprimé sa tristesse et sa compassion. Sur sa page, Louis Vlavonou a notamment décrit le défunt comme un « ami, collègue, intègre épris de paix et de justice », qui apportait une touche particulière à la qualité des débats au parlement. Nous vous proposons son témoignage.
« POURQUOI LUI ?
J’ai appris avec une grande tristesse, ce dimanche 14 juin 2020, la nouvelle de la disparition du député Alidou DEMONLE MOKO, un collègue pondéré et très brillant dans sa participation aux activités parlementaires. Alidou n’était pas qu’un simple collègue, c’était aussi un ami. Sa présence effective rendait nos débats plus constructifs.
Je peine à trouver les mots justes mais je tiens tout de même à lui rendre le témoignage dû à la qualité d’homme intègre épris de paix et de justice qu’il a incarné jusqu’à sa triste disparition.
Alidou DEMONLE MOKO restera toujours dans nos cœurs !
Mes plus sincères condoléances à toute sa famille biologique et politique ainsi qu’à tous les députés de la huitième législature ». 🙏🏾
C’est une triste nouvelle qui vient de frapper l’Union progressiste alors que le parti était concentré sur la formation de ses nouveaux élus communaux. Ce dimanche 14 juin 2020, le parti vient de perdre l’un de ses représentants au parlement…
C’est une triste nouvelle qui vient de frapper l’Union progressiste alors que le parti était concentré sur la formation de ses nouveaux élus communaux. Ce dimanche 14 juin 2020, le parti vient de perdre l’un de ses représentants au parlement.
Pour cause, le député, Alidou D. Moko, est décédé ce jour. Si la cause officielle de sa mort n’est pas encore connue, plusieurs médias ont toutefois fait savoir qu’il est décédé dès suite d’une courte maladie.
L’ancien maire de Kandi (2015-2019à avait fait son entrée au Parlement suite à la démission du ministre de la décentralisation et de la gouvernance locale Alassane Seïdou, élu dfans la première circonscription électorale.
Désormais, la 8ème législature se retrouve à 82 députés.
L’amour quand tu tiens une femme, elle est capable de tout. Surtout si à côté, il y a une rivale qui rode autour de son homme. Deux jeunes femmes viennent de faire l’amère expérience à Caen, une ville française, comme le révèle actu.fr/normandie…
L’amour quand tu tiens une femme, elle est capable de tout. Surtout si à côté, il y a une rivale qui rode autour de son homme.Deux jeunes femmes viennent de faire l’amère expérience à Caen, une ville française, comme le révèle actu.fr/normandie.
Manassé AGBOSSAGA
Pour une histoire de cœur, deux jeunes femmes sont venues à se battre.
Amoureuses du même homme, les jeunes femmes, âgées de 20 ans (Céline) et 29 ans (Bettina) se sont battues à coups de couteau.
Avant de se mettre en spectacle en direc, puisque la scène a été filmée sur Facetime, elles ont d’abord passé trois ans à semenacer, s’insulter et s’harceler, mutuellement.
Décidées à en finir avec cette rivalité, les deux jeunes femmes se sont donné rendez-vous à 22H00 sur le parking du centre commercial Carrefour d’Hérouville Saint-Clair, près de Caen, dans le Calvados, le dimanche 10 mai dernier.
Un rendez-vous qui fut honoré par les deux jeunes femmes.
Sur les lieux, la rencontre d’explication s’est vite transformée en bagarre en présence de témoins. Chacune d’entre elles avait fini par asséner des coups de couteau à l’autre.
La bagarre fut tellement intense que la plus âgée s’est retrouvée avec de multiples plaies à la main et à la cuisse gauches, ainsi que des estafilades à la jambe. Elle s’est vue prescrire 6 jours d’incapacité de travail.
Quant à la moins jeune, elle a été hospitalisée après des plaies au coude, au bras et au poignet, et des traumatismes au visage, au tronc et aux bras. Elle s’est vue prescrire 10 jours d’incapacité de travail.
Le jeudi 11 juin dernier, les juges ont condamné, la plus âgée (Bettina) à 18 mois de prison, dont six avec sursis et mise à l’épreuve.
Par contre, Céline, la moins jeune a été relaxée.
Ce qui est très drôle dans cette histoire de cœur, l’homme pour lequel les deux femmes se sont battues, a confié aux policiers, qu’il considère ces dernières comme de « simples objets sexuels », pour lesquels il n’avait pas de sentiments.
Nicolas Sarkozy a sa stratégie pour se débarrasser de l’actuel premier ministre français Edouard Philippe, dont la cote de popularité ne fait que grimper ces dernières semaines, pour la fin du quinquennat. Et selon l’hebdomadaire Le Point, l’ancien président aurait fait part de celle-ci à Emmanuel Macron…
Nicolas Sarkozy a sa stratégie pour se débarrasser de l’actuel premier ministre français Edouard Philippe, dont la cote de popularité ne fait que grimper ces dernières semaines, pour la fin du quinquennat. Et selon l’hebdomadaire Le Point, l’ancien président aurait fait part de celle-ci à Emmanuel Macron.
Manassé AGBOSSAGA
Selon l’hebdomadaire, Nicolas Sarkozy aurait conseillé à Emmanuel Macron de remplacer Edouard Philippe et de nommer à Matignon un fidèle.
L’ancien président français aurait particulièrement recommandé Alexis Kohler, le secrétaire général de l’Elysée.
En outre, Le Point révèle que Nicolas Sarkozy aurait conseillé à Emmanuel Macron de faire, de la suppression du poste de Premier ministre, l’une des promesses de sa campagne pour sa réélection en 2022. Toutefois, cette disposition impliquerait une réforme constitutionnelle, Emmanuel Macron qui a pour habitude de consulter l’ancien président examinera sans doute cette proposition.