Kpakpatotiquement parlant: Bénin, tu as volé millions ou milliards, tu es sauvé, mais si tu as volé papier ou vivre, faut prendre route d’exil en même temps

Fidèles lecteurs de Kpakpato Médias, bienvenue à votre rubrique mensuelle, « Kpakpatotiquement parlant ». Dans ce numéro, on va vous donner les secrets pour réussir une vie de voleur ou de détourneur des biens publics au Bénin. Puisque le Bénin est un pays qui a toujours étonné le monde, quand tu veux voler au 229 faut voler ou détourner millions ou milliards, là tu n’auras pas, plus tard des ennuis judiciaires…

Fidèles lecteurs de Kpakpato Médias, bienvenue à votre rubrique mensuelle, « Kpakpatotiquement parlant ». Dans ce numéro, on va vous donner les secrets  pour réussir une vie de voleur ou de détourneur des biens publics au Bénin. Puisque le Bénin est un pays qui a toujours étonné le monde, quand tu veux voler au 229 faut voler ou détourner millions ou milliards, là tu n’auras pas,  plus tard des ennuis judiciaires.

 La preuve, les « vieux pères » et « les vielles mères » qui ont  bouffé l’argent de machines agricoles, Cen-sad ou encore de construction du siège de  l’assemblée nationale ne sont pas inquiétés à ce jour. Sur ces trois scandales, on parle de milliards ein.

Il y a aussi l’exemple de « Fô lolo, le régi », lui  qui  a disparu avec plusieurs milliards en plein jours. Il savoure depuis sa cachette odeur de billet comme ça. Malgré sa disparation depuis des mois, rien n’est concrètement fait  pour l’arrêter. 

Par contre, « Fô tintin dèminnou » qui est allé prendre papier administratif là, la justice ne l’a pas loupé ein. Pour petit vol de papier, il doit payer millions et faire un tour au « youf ». Un mandat d’arrêt international est même lancé contre lui.

En outre, 61 directeurs d’école qui avaient détourné petit vivre   de leurs élèves ont eu chaud. Oncle « Jô » avait à l’époque cité leurs noms en plein conseil des ministres comme les présentant comme  les pires criminels du 229.

Même si on envoyait  Toto, l’élève, le plus bête de la planète terre, il va comprendre qu’au 229, si tu as volé, millions ou  milliards, tu es sauvé, mais si c’est papier ou  nourriture, faut prendre route d’exil en même

Mais attention, je n’ai pas dit d’aller faire ça ein…

Manassé AGBOSSAGA

Soutien du gouvernement aux sinistrés de Gbodjè: Félix Dansou Dossa remercie le gouvernement et clarifie

Tout comme Zè, Sô-Ava, Mono, Couffo et Ouémé, le chef de l’État Patrice Talon a dépêché à Gbodjè dans l’arrondissement de Zinvié commune d’Abomey-Calavi, le ministre de la santé Benjamin Hounkpatin et son collègue Véronique Tognifodé des affaires sociales la semaine sur passée.

Tout comme Zè, Sô-Ava, Mono, Couffo et Ouémé, le chef de l’État Patrice Talon a dépêché à Gbodjè dans l’arrondissement de Zinvié commune d’Abomey-Calavi, le  ministre de la santé Benjamin Hounkpatin et son collègue  Véronique Tognifodé des affaires sociales la semaine sur passée.

Source Externe

Les ministres étaient allés les bras chargés et aussi avec beaucoup de conseils pratiques. Mais certaines communications mal orientées font croire aux populations que c’est un élu qui a fait le geste et non le gouvernement. Le gouvernement de la rupture n’a jamais ménagé aucun effort quand il s’agit du bien-être de la population. Les actions du Président Patrice Talon et son gouvernement doivent être placées dans leur contexte. Un politicien en quête de popularité doit poser ses propres actes. Les élus doivent dire aux populations les actions qui émanent de leurs compétences. Que personne ne détourne les gestes utiles du chef de l’État et son gouvernement. Il serait bien qu’on dise aux béninois ce que le chef de l’État est en train de faire pour soulager leurs peines. Depuis quand un chef d’arrondissement veut faire de dons à sa population et remet à un ministre ? Les élus communaux d’Abomey-Calavi doivent dire la vérité à la population à la  base, cela permettra à la population de reconnaître les efforts du gouvernement. La malhonnêteté conduit certains élus à se proclamer propriétaire des actions de l’État central.

Absences de Gbian, Abimbola et plusieurs ténors à la rentrée politique du BR: Ça va mal au Bloc républicain, les divergences internes étalées au grand jour

La rentrée politique qui devrait sonner la grande mobilisation des militants et responsables du parti a étalé les divergences internes au sein du BR. Plusieurs hauts responsables du parti n’ont pas répondu à la rentrée politique, malgré toute son importance…

La presse locale et les réseaux sociaux font de plus en plus échos d’une situation conflictuelle au Bloc républicain. Plusieurs médias ont même annoncé un profond désaccord entre le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané et certains responsables du parti,  et pas des moindres. La rentrée politique du bloc républicain le samedi 16 novembre dernier à Porto-Novo a visiblement donné du crédit à cette information.

Manassé AGBOSSAGA

La rentrée politique qui devrait sonner la grande mobilisation des militants et responsables du parti a étalé les divergences internes au sein du BR. Plusieurs hauts responsables du parti n’ont pas répondu à la rentrée politique, malgré toute son importance.

Parmi les absents, avec un regard kpakpatotique, Kpakpato Médias a pu constater les absences du 2ème vice président de l’Assemblée nationale, Robert Gbian, et du ministre de la culture, Jean-Michel Abimbola. D’autres sources font état de ce que les députés Rachidi Gbadamassi, et Barthélémy Kassa ont  également fait faux bond à Abdoulaye Bio Tchané. Mais attardons nous sur l’absence du ministre de la culture, Jean-Michel Abimbola.

Guéguerre entre Bio Tchané et Abimbola ?

Jean-Michel Abimbola a t-il boudé la rentrée politique du BR

Récemment le journal ‘‘La Relève Infos’’ de notre confrère Karlos Edoh titrait en première une,  « Agitations stériles de certains députés indignes: le Bloc républicain  n’est pas la propriété privée de Bio Tchane (Bientôt le congrès de vérité) », accompagné de la photo du ministre de la culture.

 S’il est vrai qu’à l’époque  Jean-Michel Abimbola avait sorti un communiqué pour démentir cette information, il faut toutefois souligner que l’un des avocats défenseurs de Abdoulaye Bio Tchané, Aboubakar Takou, d’ailleurs déchu de son poste de directeur de publication  pour faute professionnelle revenait à la charge pour dénoncer le ministre de la culture.

 A  travers  un article abondamment relayé sur les réseaux sociaux en octobre dernier, Aboubakar Takou accusait  le ministre Jean-Michel Abimbola de tenter de déplacer les divergences  internes du Bloc républicain au gouvernement. Dans son texte, l’avocat défenseur du ministre d’Etat reprochait d’ailleurs le comportement des « klébés » du ministre de la culture qui semble t-il, publiait des « âneries » contre Abdoulaye Bio Tchané. «  Les klébés de Jean-Michel Abimbola ne lui font pas du bien  en publiant des âneries sur le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané », peut on lire.

La chute de l’article de Takou renseigne encore plus sur la guéguerre entre Bio Tchané et Abimbola. « On comprend maintenant pourquoi certains députés du Bloc républicain soupçonnent que la présence de quelques uns comme des espions pour fendiller  le Bloc républicain au profit de l’Union progressiste », lançait Aboubakar Takou.

Nous y reviendrons !

Hervé Joël Sètton: «Aujourd’hui, les intellectuels béninois font honte à notre pays»

Membre de l’Organisation de défense des acquis de la conférence nationale (ODACN), Hervé Joël Sètton exprime sa déception vis-à-vis des intellectuels béninois. Pour lui, les intellectuels béninois ne font plus la fierté du Bénin. « Aujourd’hui les intellectuels béninois font honte à notre pays », déplore t-il. ..

Hervé Joël Sètton dit ses vérités aux intellectuels béninois. Du moins, à certains. Présent ce samedi 23 novembre au centre Anouriate à l’installation  des comités de défense des acquis de la conférence nationale des 9 arrondissements de la Commune d’Abomey- Calavi, il a fustigé la cupidité des intellectuels béninois.

Manassé AGBOSSAGA

Membre de l’Organisation de défense des acquis de la conférence nationale (ODACN), Hervé Joël Sètton exprime sa déception vis-à-vis des intellectuels béninois. Pour lui, les intellectuels béninois ne font plus la fierté du Bénin. « Aujourd’hui les intellectuels béninois  font honte à notre pays », déplore t-il.

Hervé Joël Sètton, membre de l’ODACN

Hervé Joêl Sètton dénonce la cupidité des  intellectuels béninois, qui pour l’argent acceptent tout. Il accuse même les intellectuels béninois d’avoir donné un coup de frein à notre modèle démocratique. « On sait que,  ce que ce que nous sommes en train de faire n’est pas bon, mais comme il y a l’argent, il faut se lever et accepter ce qui n’est pas acceptable. Notre pays aujourd’hui,  jadis, premier pays de la démocratie est devenu le dernier à cause de nos frères intellectuels. Le fait d’accepter tout,   à cause de l’argent,   c’est ça qui nous a amenés là », dénonce t-il.

Un message sans doute adressé aux intellectuels, membres de l’écurie de la Rupture !

Organisation de défense des acquis de la conférence nationale: Après Parakou, Cotonou, l’ODACN s’implante à Abomey-Calavi

Houdou Ali, Saliou Adamou, Yèhouéssi Mireille, Hervé Joël Sètton et Cie poursuivent leur agenda de restauration des acquis de la conférence nationale. Après Parakou, et Cotonou, notamment le samedi 16 novembre dernier, les responsables de l’ODACN ont procédé à l’installation des comités de défense des acquis de la conférence nationale des 9 arrondissements de la Commune d’Abomey- Calavi…

Samedi très chargé pour les responsables de l’Organisation de défense des acquis de la conférence nationale (ODACN).Houdou Ali, Saliou Adamou, Yèhouéssi Mireille, Hervé Joël Sètton et Cie ont procédé ce 23 novembre 2019 au centre Anouriate à l’installation  des comités de défense des acquis de la conférence nationale des 9 arrondissements de la Commune d’Abomey- Calavi. Ceci après Parakou et Cotonou.

 Manassé AGBOSSAGA

Les responsables de l’ODACN

Houdou Ali, Saliou Adamou, Yèhouéssi Mireille, Hervé Joël Sètton et Cie poursuivent leur agenda de restauration des acquis de la conférence nationale. Après Parakou, et Cotonou, notamment le samedi 16 novembre dernier, les responsables de l’ODACN ont procédé à l’installation des comités de défense des acquis de la conférence nationale des 9 arrondissements de la Commune d’Abomey- Calavi.

Face à ces derniers, et à des milliers de militants et sympathisants qui ont effectué le déplacement, le secrétaire général a levé un coin de voile sur l’objectif de ce creuset qui regroupe toutes les forces politiques. « C’est pour pérenniser, pour défende  davantage les acquis de la conférence que des hommes et des femmes,   des jeunes, des anciens  se sont réunis pour penser autrement. A l’issue de ces pensées, il y a eu l’accouchement de l’ODACN », a fait savoir Saliou Adamou, avant d’ajouter « et ce bébé est né avec les dents ».

Pour lui, l’ODACN entend donc s’appuyer sur les acquis de la conférence nationale pour corriger les nombreuses imperfections notées, car prévient il,  « si nous ne nous levons pas vite, ça va créer beaucoup de problèmes ».

Face à l’urgence d’agir, le président de l’ODACN a invité les membres installés à vite se mettre au travail. « Aujourd’hui,  on va vous installer, à partir d’aujourd’hui,  commence le travail.  Dans chaque village, dans chaque quartier de vos arrondissements,  vous devez installer des cellules de 25 personnes », exhorte Houdou Ali aux membres des comités.  

Dans son message, il a rassuré les uns et les autres de la victoire de l’ODACN sur la base des trois armes de l’organisation. «Nous avons trois armes, la prière, la constitution, la parole de Dieu. C’est avec ça, que nous  conduirons le peuple à la victoire. Et nous avançons vers la victoire », rassure Houdou Ali.

Aussi a-t-il indiqué que ce succès passe par une bonne organisation du peuple. «Le peuple n’est pas organisé. Les gens en abusent. L’ODACN dit désormais, devant Talon et tous les présidents qui vont venir, il y aura un peuple organisé. Il faut que le peuple puisse s’organiser dans les 546 arrondissements », souligne Houdou Ali.

Des interventions d’autres membres,  prière, hymne national et autres ont marqué  cet évènement qui vient, si besoin en était, confirmer que les responsables de l’ODACN mettent les bouchées double pour la restauration des acquis de la conférence nationale (consensus, pluralisme politique, constitution, liberté,…).

Théâtre: Le comédien Pierre Zinko révèle comment il s’est baptisé « Eléphant Mouillé »

Le comédien Pierre Zinko, revient sur son nom d’artiste. En marge d’une conférence de presse le mercredi 20 novembre dernier au Centre culturel chinois dans le cadre de la célébration de ses 25 ans de carrière, il a expliqué comment lui est venu à l’esprit le sobriquet « Eléphant mouillé »…

Le comédien Pierre Zinko, revient sur son nom d’artiste. En marge d’une conférence de presse le mercredi 20 novembre dernier au Centre culturel chinois dans le cadre de la célébration de ses 25 ans de carrière, il a expliqué comment lui est venu à l’esprit le sobriquet « Eléphant mouillé ».

Manassé AGBOSSAGA

Interpellé par le journaliste culturel Henri Morgan, Pierre Zinko a partagé cette confidence avec les professionnels des médias, et par ricochet ses millions de fans.

A en croire son récit, c’était au début de sa carrière qu’il a été interpelé sur la question par l’ancien humoriste Dah Badou, décédé malheureusement en octobre 2008.

Feu Dah Badou

Selon lui, alors qu’il devait participer à la réalisation, d’un clip de sensibilisation, Feu Dah Badou lui a  demandé son nom d’artiste, sans qu’il ne soit en mesure de répondre à la question.  «   C’est Dah Badou  qui m’a  demandé de  chercher un nom d’artiste. On était  au studio de Kidjo pour faire un post de sensibilisation. Et là, il   m’a demandé mon nom d’artiste. Je lui ai dit que je n’en  ai pas », révèle t-il.

Pierre Zinco poursuit et souligne que Feu Dah Badou a conditionné sa participation à un nom d’artiste, exigeant  qu’il revienne le  lendemain avec un nom d’artiste. « Il  m’a dit, avant de venir ici demain, il faut venir avec ton  nom d’artiste », confesse l’humoriste.

Viendra alors une période de tous les ennuis. Puisque Pierre Zinco confie qu’il n’arrivera pas à trouver le sommeil à cause d’un surnom. « Arrivé à la maison, c’est devenu autre chose pour moi.  Je n’arrivais  pas à dormir.  J’écris un nom ici, autre nom là bas. Mais,    ça ne tombait  pas. J’ai fini par trouver  un nom bizarre dont je ne me rappelle même plus », confie t-il.

Toutefois, il confie qu’il ne fera pas mention de  ce nom « bizarre » au studio. Pierre Zinko souligne qu’à la dernière minute, il s’est souvenu du surnom en langue fon du père de son grand père, dont la traduction, en français donnait « éléphant rosée ». Pierre Zinko confie qu’il lui est alors venu à l’esprit de tourner ce surnom pour en faire son nom de scène. « … arrivé au studio,  il restait dix minutes pour qu’on m’appelle au micro pour jouer mon rôle. C’est comme ça que le nom est venu. Je me suis dis,  le père de mon grand père s’appelle éléphant, rosée. Alors, j’ai rapidement tourné le nom.  J’ai vu que ça donnait éléphant mouillé… c’est comme ça  que je suis devenu éléphant mouillé », précise t-il.

Un  sobriquet atypique qui  n’a pas empêché  l’artiste d’être aujourd’hui l’un des meilleurs de sa génération.

Supposé désaccord entre Pipi Wobaho et lui : La réaction du comédien « Eléphant Mouillé »

Les béninois s’interrogent sur les relations actuelles entre les deux stars de la comédie béninoise, Pipi Wobaho et Eléphant. Moins visible ensemble sur des œuvres théâtrales, la rumeur d’un divorce entre les deux hommes, membres de la compagnie Sèmako s’est vite alors répandue dans les quatre coins du pays. A l’occasion d’une conférence de presse ce mercredi 20 novembre 2019 au centre culturtel chinois en marge de la célébration des 25 ans de carrière de l’artiste comédien, Eléphant Mouillé, les journalistes présents ont cherché à comprendre ce qu’il en est exactement. Surtout qu’à cette conférence de presse, Pipi Wobaho n’était pas présent alors que d’autres humoristes à l’image de Caïman était de la partie.

Les béninois s’interrogent sur les relations actuelles entre les deux stars de la comédie béninoise, Pipi Wobaho et Eléphant. Moins visible ensemble sur des œuvres théâtrales, la rumeur d’un divorce entre les deux hommes, membres de la compagnie Sèmako  s’est vite alors répandue dans les quatre coins du pays. A l’occasion d’une conférence de presse ce mercredi 20 novembre 2019 au centre culturtel chinois en marge de la célébration des 25 ans de carrière de l’artiste comédien, Eléphant Mouillé, les journalistes présents ont cherché à comprendre ce qu’il en est exactement. Surtout qu’à cette conférence de presse, Pipi Wobaho n’était pas présent alors que d’autres humoristes à l’image de Caïman était de la partie.

Avec ironie, mais avec beaucoup de fermeté, il a mis un terme à la polémique. «  C’est une question qui tourne dans les têtes de tout le monde. Moi et pipi,  on n’a aucun problème. Il n’y a aucun problème entre nous », a t-il rassuré.

Eléphant Mouillé, de son vrai nom, Pierre Zinko  rassure qu’il reste toujours un membre de la compagnie Sèmako, mais que compte tenu de certains changements dans le monde du cinéma, chacun s’accroche à un secteur. «  La compagnie Sèmako a décentralisé les productions. Entre temps,  je n’étais pas réalisateur, mais après je suis devenu réalisateur grâce à Feu Idrissa Ouédraogo. Je suis maintenant d’un côté. Pipi, lui est de l’autre côté. Les membres de la compagnie ont estimé que chacun peut faire sa production à part. Ça   n’a aucun problème. Mais,  la compagnie Sèmako existe toujours », a-t-il expliqué, avant d’ajouter avec un air agacé, « je veux que vous enlevez ça de la tête.  Je veux que ce soit la dernière fois que mes amis de la presse me pose cette question ».

Aussi a-t-il fait savoir que si la compagnie Sèmako ne sortait plus d’œuvres, c’est à cause de la piraterie, puisque les films produits à coût de millions sont piratés et donc pas rentabilisés.

Trêve de polémique !

Manassé AGBOSSAGA

Politique: Le bloc républicain annonce la promotion de la jeunesse, mais donne la parole à ses « pépés » et « mémés »

Le respect des engagements pris, est la chose, la moins partagée au Bloc républicain. Pour cause, force est de constater, le faussée entre les engagements pris à l’issue de la rentrée politique et les actes posés dans la foulée…

Le respect des engagements pris,  est la chose,  la moins partagée au Bloc républicain. Pour cause, force est de constater, le faussée entre les engagements pris à l’issue de la rentrée politique et les actes posés dans la foulée.

Manassé  AGBOSSAGA

Juste quelques heures après la clôture des assises, un communiqué signé de Janvier Yahouédéhou dévoilait les personnes désignées pour aller faire le point des travaux sur les médias. Chose curieuse, en lieu et place des jeunes, c’est les ‘‘pépés’’ et ‘‘mémés’’ du parti qui ont été préféré.

Excepté le jeune Clotaire Olohidé, le choix s’est porté sur des vieux routiers de la politique béninoise  pour faire le point des travaux pourtant dédiés aux jeunes et aux femmes

Jacques Migan, ancien soutien du Général Mathieu Kérékou, ancien, habitué de tous les régimes, et  spécialiste des changements de veste,  Nassirou Arifari Bako, ancien ministre de Yayi, presque habitué à tous les régimes, Sofiath Chanou, ancienne membre de l’écurie FcBe, Alimatou Badarou, tous et toutes, la soixantaine environ sont allés se mettre en lumière sur les médias, le dimanche dernier.   .

C’est un indice. Il s’agit d’un jeu de façade. Malgré les paroles mielleuses,  Abdoulaye Bio Tchané n’est pas prêt à donner une place de choix à la jeunesse républicaine.

Jeunes républicains, c’est un avertissement kpakpatotique.

Présidentielles de 2021: Déjà deux candidatures annoncées

La présidentielle de 2021, c’est dans moins de deux ans. Et déjà, les candidats à la succession de Patrice Talon s’annoncent. En effet, deux potentiels candidats ont fait part de leurs intentions de briguer la magistrature suprême.

La présidentielle de 2021, c’est dans moins de deux ans. Et déjà, les candidats à la succession de Patrice Talon s’annoncent. En effet, deux potentiels candidats ont fait part de leurs intentions de briguer la magistrature suprême.

Benoit Illassa, deuxième candidat déclaré à la présidentielle de 2016 après Simon Tomèty

Institutionnaliste de reforme publique et ancien directeur de l’Ecole de la Nouvelle conscience, Simon Narcisse Tomèty avait  annoncé en 2018 sur sa page facebook sa candidature pour la présidentielle de 2021. « Mon ambition,  c’est d’être le prochain président de la République du Bénin dès le 6 avril 2021.  Je suis prêt pour le job.  Merci ! », avait  confié  l’Institutionnaliste.

Et comme Simon Narcisse Tomèty, Benoît Illassa a utilisé le même canal pour afficher  ses ambitions de siéger au palais de la marina. « Bénin : Je suis candidat aux présidentielles de 2021 », a indiqué l’ancien Ambassadeur du Bénin auprès de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et ancien compagnon de Patrice Talon.

Prochaine équation à résoudre pour Tomèty et Illassa. Passer le cap  du parrainage et les 50 millions de cautions avant d’officialiser leurs candidatures.

Manassé AGBOSSAGA

Organisation bâclée de la rentrée politique du Bloc républicain : A ce rythme le cheval va se retrouver dans un cimetière de Djougou

Sur l’esplanade de l’Assemblée nationale, le Bloc républicain a présenté un vilain spectacle à l’occasion de sa rentrée politique le samedi dernier. Cette rentrée qui répondait sans doute aux Journées de l’Union progressiste, son rivale a souffert d’un amateurisme et d’une mauvaise organisation. Ceci, malgré le report d’une semaine de l’activité.

Sur l’esplanade de l’Assemblée nationale, le Bloc républicain a présenté un vilain spectacle à l’occasion de sa rentrée politique le samedi dernier. Cette rentrée qui répondait sans doute aux Journées de l’Union progressiste,   son rivale a souffert d’un amateurisme et d’une mauvaise organisation. Ceci,  malgré le report d’une semaine de l’activité.

Manassé AGBOSSAGA

Ce cheval républicain pourrait se retrouver dans un cercueil pour loger dans un cimetière de Djougou

Le  bloc républicain a beau être un parti la mouvance présidentielle, il ne partage  visiblement pas les mêmes valeurs que son leader, le président de le République, Patrice Talon.  

En effet, les responsables du bloc républicain qui côtoient  le chef de l’Etat n’ont éprouvé aucun gène à étaler leur amateurisme.

Premier péché, le retard

Contrairement au président Patrice Talon qui fait preuve d’une extrême ponctualité dans ses déplacements et activités, les Républicains ont accusé plus d’une heure de retard avant de démarrer la cérémonie d’ouverture, annoncée pour 09h00. Au bloc républicain, l’heure après l’heure est sans doute la devise.

Bako n’a-t-il pas débloqué les fonds

A leur grand amour pour le retard, Abdoulaye Bio Tchané, Nassirou Arifari Bako, et consorts ont montré leur attachement à la chaleur. Ce n’est sans doute pas pour rien que le Bloc républicain s’apparente à un parti du Nord Bénin, région où il fait habituellement chaud.

En effet, il régnait une chaleur ambiante dans la salle qui recevait les délégués, les invités et autres. Conséquence, d’une climatisation presque inexistante. La très jeune ministre de l’industrie et  du commerce ne manquait alors pas de faire recours à son éventail, comme si en quittant chez elle,  elle savait à quoi s’y attendre.

Pour sa part, le très controversé ministre Alain Orounla qui était juste à côte de son homologue du commerce mettait régulièrement  sa main dans la poche pour sortir son mouchoir et s’essuyer le visage.

L’un des militants qui étaient venus à cet évènement sans prendre les mêmes dispositions que les ministres du commerce et de la communication a préféré jeter l’éponge. « Avec cette chaleur, je ne peux pas rester », lançait il alors que nous étions juste à ses côtés.

En outre, des ténors du parti ont préféré se mettre sous les arbres pour jouir de la chaleur pendant que les délégués étaient en travaux.

Même la salle apprêtée pour la restauration végétait dans une chaleur indescriptible. C’est à croire que Nassirou Arifari Bako, président du comité d’organisation et  ancien président du Cos-Lépi (version KO présidentielle 2011), nommé plus tard ministre des Affaires étrangères, sans doute pour l’ensemble de son œuvre, n’a pas débloqué les fonds pour payer convenablement le prestataire.

Les journalistes victimes de cet amateurisme

A la chaleur, il faudra souligner ce dispositif incompris dans la salle où il était difficile de se retrouver. Pire, la sonorisation était médiocre. Difficile alors d’entendre aisément le discours du secrétaire général du parti Abdoulaye Bio Tchané,  lui qui donne l’impression de faire une confession quand il intervient à chaque fois.

 Les journalistes  ont aussi fait les frais de la mauvaise organisation de la rentrée politique du Bloc républicain. Aucune  salle prévue pour leur permettre de se mettre à l’abri  pendant que les travaux se déroulaient. Ils étaient tous éparpillés comme des mouches sur l’esplanade. Et même pour entrer en possession de leur maigre perdiem, ils ont dû attendre des heures et des heures. Encore que là, il y a, à redire.

Lassé de ce vilain spectacle, votre kpakpato a préféré quitter les lieux avec la certitude que si le bloc républicain continue avec cette mauvaise organisation et cet amateurisme, le cheval risque de se retrouver dans un cimetière de Djougou, fief de son secrétaire général.

Cela sera d’ailleurs du déjà vu à l’image des deux échecs retentissants de Abdoulaye Tchané, à la présidentielle de 2011 et 2016.