Houdé à Ahossi : « Nos comptes ne sont pas aux rouges »

Comme la réponse du berger à la bergère, l’Honorable Valentin Aditi Houdé a répondu aux accusations de son collègue Léon Basile Ahossi. Face aux hommes des médias ce jeudi 1er février 2018, le 1er questeur de l’Assemblée nationale a réfuté les accusations de mauvaise gestion des comptes de l’Assemblée nationale par son président Adrien Houngbédji…

Comme la réponse du berger à la bergère, l’Honorable Valentin Aditi Houdé a répondu aux accusations de son collègue Léon Basile Ahossi. Face aux hommes des médias ce jeudi 1er février 2018, le 1er questeur de l’Assemblée nationale a réfuté les accusations de mauvaise gestion des comptes de l’Assemblée nationale par son président Adrien Houngbédji.

« Nos comptes ne sont pas aux rouges… Le collègue qui prétend que nos comptes sont aux rouges, si vous le voyez il vous dira qu’il a été régulièrement payé avant la fin du mois de janvier.  Le personnel civil, militaire de notre institution a été régulièrement payé. Nous continuos comme par le passé par à satisfaire nos obligations vis-à-vis de nos prestataires », a assuré le député de l’Alliance nationale pour la démocratie et le développement.

Le 1er Questeur de l’Assemblée a aussi fait savoir que le reliquat de législature précédente a permis de construire un nouveau bâtiment. Il a dans cette lancée invité son collègue à ne pas transposer les problèmes individuels.

Léon Basile Ahossi appréciera!

Manassé AGBOSSAGA/Le Quotidien

Réplique ridicule de Loth Houénou : Quand le ‘‘clown politique’’ donne raison à Azannaï

 Le très ridicule président du pseudo Parti des valeurs pour la République a, offert le 24 janvier dernier une véritable scène théâtrale politique. Une sortie qui  confirme les propos du président du parti Restaurer l’Espoir, qui après diagnostic, révélait le mode opératoire de l’actuel régime…

 Le très ridicule président du pseudo Parti des valeurs pour la République a, offert le 24 janvier dernier une véritable scène théâtrale politique. Une sortie qui  confirme les propos du président du parti Restaurer l’Espoir, qui après diagnostic, révélait le mode opératoire de l’actuel régime.

Manassé AGBOSSAGA

On a encore eu droit à un épisode du ridicule feuilleton Loth Houénou, véritable ‘‘clown politique’’.  Le mercredi 24 janvier dernier, le comique président du pseudo Parti des valeurs pour la République a effectué une sortie médiatique dite de réplique au président du Parti restaurer l’espoir.

Loin de nous l’idée de comparer les deux hommes. Nous ne ferons pas cette offense au très respecté Candide Azannaï, car ce serait un peu comme si on comparait un chat à une panthère. En réalité, très accroché au kpakpatoya, plusieurs éléments ont attiré l’attention de votre blog Kpakpatomédias.

D’abord, le lieu de la conférence. En effet,  le ‘‘clown politique’’ a réalisé sa scène théâtrale à la salle des fêtes Majestic de Cadjèhoun. Où a-t-il trouvé les moyens pour louer cette salle, quant on sait que par le passé il se contentait d’une petite salle à la bourse du travail. A cette époque là, son désormais frère, Frédéric Béhanzin  ne l’avait pas encore libéré des mauvais esprits. Loth Houénou  vociférait alors contre le régime de la Rupture.

Ensuite, Loth Houénou est arrivé sur les lieux accompagné des hommes en uniforme.  Etonnant pour quelqu’un de son rang !

Autre aspect, le président du PVR a réussi à remplir la salle. Pour un pseudo parti qui n’a pas de membres, et quand on sait comment les salles se remplissent lors des manifestations politiques au Bénin, il y a des raisons de s’interroger.

Enfin, c’est le relai médiatique de la ‘‘scène théâtrale’’ par les grands quotidiens béninois. A-t-il les moyens pour bénéficier de cet accompagnement médiatique des organes proches du régime en place?

Mais en réalité, il n’y a pas de raisons à se remuer le cerveau pour comprendre qui se cache derrière cette parodie de réplique. La réponse est là. Il faudrait plusieurs millénaires à Loth Houénou, qui n’a aucune fonction officielle pour organiser une pareille manifestation.

Et en cela, Candide Azannaï a d’une manière ou d’une autre raison dans son diagnostic sur le mode opératoire du régime dit de la Rupture.

« Ce système,  son chef ne sort pas, mais il laisse faire d’autres. Il reste caché et il opère par procuration à travers d’autres  qu’on appelle les klébés. Si vous n’êtes pas intelligents, si vous n’avez pas d’expérience, vous allez croire que son chef ne vous combat pas. Il est celui qui tire sur toutes les ficelles,  mais il a l’art d se cacher. Le chef actuel est sans foi ni loi », avançait Candide  Azannaï le 21 janvier 2018.

C’est ça qui est la vérité, comme on le dit au 225 !

Azannaï : « Sous le Ravip est caché une combine secrète pour voler les prochaines élections »

Le Recensement administratif initial à vocation d’identification de la population (Ravip) en cours actuellement serait-il une farce ? Pour le président du parti Restaurer l’Espoir, il y a des raisons d’y croire.  S’adressant à ses militants ce dimanche 21 janvier 2018 dans le cadre d’une cérémonie dite symbolique de présentation de vœux, Candide Azannaï a évoqué le caractère pervers de cet instrument, malgré ces avantages.  « Sous le Ravip est caché une combine secrète pour voler les prochaines élections », dénonce le président du parti Restaurer l’Espoir…

Le Recensement administratif initial à vocation d’identification de la population (Ravip) en cours actuellement serait-il une farce ? Pour le président du parti Restaurer l’Espoir, il y a des raisons d’y croire.  S’adressant à ses militants ce dimanche 21 janvier 2018 dans le cadre d’une cérémonie dite symbolique de présentation de vœux, Candide Azannaï a évoqué le caractère pervers de cet instrument, malgré ces avantages.  « Sous le Ravip est caché une combine secrète pour voler les prochaines élections », dénonce le président du parti Restaurer l’Espoir.

A en croire l’ancien ministre de la Défense, le refus par le président de l’Assemblée nationale d’installer les membres du Conseil d’orientation et de supervision de la liste électorale permanente informatisée (Cos-Lépi), malgré la décision de la Cour constitutionnelle est illustratif de la fraude qui se prépare.

« C’est pour ça que malgré la décision qui demande l’installation du Cos-Lepi, le Cos n’est pas installé. Pendant ce temps,  il y a des réunions sécrètes qui se tiennent pour vider  la Lépi et le Cos-Lépi de leurs substances pour aller à un vote électronique avec Safran », fait savoir l’ancien député à l’Assemblée nationale visiblement dans le secret  des Dieux.

Mais comme si de par son expérience politique,  il n’est pas contrarié par la mascarade qui semble se préparer, le président du parti Restaurer l’Espoir prévient « Nous attendons de pied ferme ».

Vivement que ce temps vienne vite pour que votre blog Kpakpato Médias puisse faire son Kpakpatoya.

Manassé AGBOSSAGA

Politique: Jean Agbévo salue l’organisation du congrès des FDU

Le président d’honneur du Parti pour la démocratie et la solidarité (PDS) tire chapeau au comité d’organisation du 1er congrès ordinaire de l’alliance des Forces démocratiques unies (FDU) tenu ce samedi 20 janvier 2018 à  la salle des fêtes  Majestic de Cadjèhoun.  Aux micros de Kpakpato Médias, Jean Agbévo a salué l’organisation du congrès, notamment la cérémonie d’ouverture. Pour lui, c’est une organisation sans faute…

Le président d’honneur du Parti pour la démocratie et la solidarité (PDS) tire chapeau au comité d’organisation du 1er congrès ordinaire de l’alliance des Forces démocratiques unies (FDU) tenu ce samedi 20 janvier 2018 à  la salle des fêtes  Majestic de Cadjèhoun.  Aux micros de Kpakpato Médias, Jean Agbévo a salué l’organisation du congrès, notamment la cérémonie d’ouverture. Pour lui, c’est une organisation sans faute. «  C’est magnifique.  Ce n’est pas parce que je suis membre que je dis que c’est magnifique. L’allocution des partis invités, l’allocution du coordonnateur national,  tout est parfait. Personne n’a injurié personne. Les gens n’ont fait que dire,  ce qui se passe dans le pays », s’est réjouit Jean Agbévo.

Au-delà de ce sentiment de satisfaction, le président d’honneur du PDS a sollicité l’accompagnement de Dieu pour aller de l’avant et permettre aux FDU avec ses 67 conseillers communaux, ses 4 députés et plus de 1000 conseillers locaux de faire une forte impression lors des batailles électorales à venir.

Au créateur de l’univers d’apprécier sa demande !

Manassé AGBOSSAGA

Raisons de sa démission du gouvernement: Azannaï donne des pistes

C’est ce qu’on pourrait qualifier d’avant-goût. Face à ses militants ce dimanche 21 janvier,  Candide Azannaï a brossé  les raisons de sa démission au poste de ministre délégué de la Défense, survenue le 27 mars 2017…

On en sait un peu plus sur les raisons de la démission de l’ex-ministre de la défense du  gouvernement de Patrice Talon. En marge de la cérémonie de présentation de vœux des militants du parti Restaurer l’espoir à son endroit tenue ce dimanche 21 janvier 2018 à la salle des fêtes Majestic de Cadjèhoun, Candide Azannaï a levé un coin de voile sur les motifs qui ont conduit au divorce.

Manassé AGBOSSAGA

C’est ce qu’on pourrait qualifier d’avant-goût. Face à ses militants ce dimanche 21 janvier,  Candide Azannaï a brossé  les raisons de sa démission au poste de ministre délégué de la Défense, survenue le 27 mars 2017.

« Ma démission exprime mon profond désaccord avec le président de la République, désaccord né de mon refus de servir de caution à l’assassinat programmé  de la démocratie, au pillage des secteurs prometteurs, au ballonnement des libertés, à la désintégration de la cohésion nationale, à l’érosion des acquis du renouveau démocratique.

J’ai choisi de me mettre à l’écart de l’arrogance, de l’ingratitude, des pillards,  de l’orgueil,   des gloutons qui chaque jour ciblent comme victimes tout  ce qui leurs paraient comme rentables dans notre pays, dans un déchainement aveugle de brutalité, contre les pauvres populations et de terreur contre les porteurs potentiels d’opinion contraires… Je n’ai aucune place dans une gouvernance despotique », avance l’ex-ministre de la Défense.

Le président du parti Restaurer l’Espoir fait aussi savoir que sa démission  avait pour objectif de corriger le tir et de ne pas laisser le Bénin s’enfoncer.

« J’ai agi pour contribuer à désorganiser le musellement programmé de notre peuple. J’ai agi pour infléchir la hargne, la rage, et la brutalité contre les populations démunies. J’ai agi en réponse au cri de détresse de nos populations », martèle Candide Armand-Marie Azannaï.

En attendant de revenir en profondeur sur les raisons du clash avec son ancien allié, le président du parti Restaurer l’Espoir  s’en remet au temps pour la suite des évènements.

« J’ai décidé de me démarquer tout en gardant le silence sur des détails. Le temps des détails viendra, car nul n’ignore que le président de la République s’est opposé à ce que je passe service malgré mes multiples instances. Le temps des détails viendra, mais sachez de manière basique que j’ai agi avec foi, avec courage et promptitude pour contribuer à empêcher la privatisation éclaire de notre constitution, sa personnalisation honteuse, et sournoise. Le silence je l’ai gardé parce que je ne veux pas m’inscrire sur le registre de déballages sensationnel. Je voudrais mettre chacun sur le tribunal de sa conscience et laisser le temps révéler la vraie nature de chacun des acteurs sur notre échiquier politique et social », lance t-il.

Affaire à suivre donc !

Talon, Toboula, Boko, Houngbédji, Yayi, … : Avec ses 20 tirs, Azannaï n’a loupé personne !

Sans citer de nom et dans un jeu de mot, Candide Azannaï a égratigné Patrice Talon, Olivier Boko, Adrien Houngbédji et autres ‘‘klébés’’ du régime du Nouveau départ. En marge de la cérémonie de présentation de vœux des militants du parti Restaurer l’Espoir à son endroit tenue le 21 janvier dernier à Cotonou, l’homme a, comme à son habitude, utilisé la langue de Molière pour ‘‘fusiller’’ le chantre du Nouveau départ et alliés. Très attentif à son discours, votre blog Kpakpato Médias  après transcription de son discours, vous offre 20 extraits pour vous en convaincre.  ..

Sans citer de nom et dans un jeu de mot, Candide Azannaï a égratigné Patrice Talon, Olivier Boko, Adrien Houngbédji et autres ‘‘klébés’’ du régime du Nouveau départ. En marge de la cérémonie de présentation de vœux des militants du parti Restaurer l’Espoir à son endroit tenue le 21 janvier dernier à Cotonou, l’homme a, comme à son habitude, utilisé la langue de Molière pour ‘‘fusiller’’ le chantre du Nouveau départ et alliés. Très attentif à son discours, votre blog Kpakpato Médias  après transcription de son discours, vous offre 20 extraits pour vous en convaincre.  

 1)

« Face à ma conscience, ce n’est pas ce sur quoi nous nous sommes entendus qui se fait actuellement. Nous n’avions jamais dit que nous débâterions la démocratie, que nous dépouillerons le pays, que nous violenterons les populations, que nous dénigrerons les institutions de contre-pouvoir ».

2)

« La rupture telle qu’elle est révélée est la malice d’un songe creux qu’il convient de combattre pour espérer limiter la saignée ».

3)

« On ne rentre pas en politique pour utiliser les moyens de la politique pour régler ses problèmes privés. Si vous êtes un homme d’Etat, on ne vous permettra pas d’utiliser les moyens de l’Etat pour régler vos problèmes personnels. C’est interdire par tous les traités politiques ».

4)

« On ne peut conduire des reformes majeures de manière sereine et participative si dans le même temps vos proches, vos propres actes et les actes de vos propres proches vous déshabillent de toute crédibilité politique, vous éjecte hors de la confiance publique. C’est ce qui malheureusement se déroule sous nos yeux ».

5)

« Qui peut croire en vous si au vu et au su de tous,  vos premiers actes consistent à acheter ce qui appartient à tous, à arranger les situations de vos anciennes activités, pendant que vous demandez aux populations de serrer les ceintures ? Quelle ceinture ! ».

6)

« Qui peut croire en vous si on suspecte vos entourages immédiats de mettre la main sur tout ce qui leur parait juteux dans les affaires de la République ? ».

7)

« Qui peut croire en vous si on vous suspecte d’avoir par ruse mercantiliste fabriqué une majorité parlementaire, j’allais dire mécanique, mais il me plait bien de dire décélérée ».

8)

« Qui peut croire en vous si manifestement  des repris de justice font partie de vos collaborateurs ultra-zélés ?  Qui peut croire en vous, si vous  avez comme collaborateurs proches et ultra-zélés des repris de justice ? Quel peuple va accepter que des repris de justice viennent casser leurs lieux de travail ? ».

9)

« Qui peut croire en vous si des personnes sur qui pèsent de lourds soupçons dans de grands scandales non encore élucidés opèrent sans gène dans votre entourage alors qu’aux trousses de ceux qui critiquent les tares de  votre gouvernance sont lancées de manière théâtrales des missions de contrôle apparemment sélectives ? ».

10)

« Qui peut croire en vous si vous vous illustrez à violer les décisions de la Cour constitutionnelle ? Même  les enfants dans les écoles maternelles savent que le président ne respecte pas les décisions de la Cour constitutionnelle ».

11)

« En décidant de m’adresser à vous à partir d’un texte écrit,  j’ai beaucoup réfléchi sur ce que devient de jour en jour notre Assemblée nationale. Et ce qui me parait une absurdité n’est pas …devant les caprices liberticides des maîtres du nouveau départ, mais l’excès de zèle de son président à transformer notre Assemblée sans autre forme de procès en une Assemblée godillot qui rivalise à faire faillir  les plus redoutables parlements de type stalinien ».

12)

« Je ne sais pas sous quelle hypnose avec un talent digne d’un meilleur griot mandingue, il nous a été dénoncé l’Etat saccagé, fragilisé, fragmenté,… ».

13)

« Je ne sais comment expliquer à quel point cet homme est devenu subitement laudateur si folklorique du régime actuel qui pourtant exagère ave sa complicité à saccager les acquis de la conférence nationale, à fragmenter les acquis sociaux, … ».

14)

« Il y a des raisons de s’inquiéter lorsque le porte-parole des présidents des instituions constitutionnelles de la République, institutions pourtant conçues dans une large mesure comme institution de contre-pouvoir encense une gouvernance qui terrorise les populations, qui aggrave la paupérisation, qui affame le peuple… ».

15)

« La première reforme que nous demandons et qui est la plus importante est l’abandon de la corruption comme mode de gestion de l’Etat sous la gouvernance actuelle. Nous demandons une seule reforme,  que les gouvernants actuels abandonnent la corruption au sommet de l’Etat. C’est tout. On ne demande pas deux reformes. C’est la seule reforme que nous nous demandons ».

16)

« Nous devons combattre autrement ce régime qui est conduit par un esprit sans foi ni loi. Le chef actuel est sans foi ni loi ».

17)

« On ne peut pas combattre ce régime comme on a fait les fois antérieures. Les sujets ne sont pas les mêmes. Les acteurs ne sont pas les mêmes. Le contexte n’est pas le même. L’autre système son chef sort et s’expose au combat et on découvre rapidement sa vulnérabilité. Mais ce système,  son chef ne sort pas, mais il laisse faire d’autres. Il reste caché et il opère par procuration à travers d’autres  qu’on appelle les klébés. Ces klébés qui pullulent sur le net, qui sont payés pour transformer les discours pour préparer l’opinion. Si vous n’êtes pas intelligents, si vous n’avez pas d’expérience, vous allez croire que son chef ne vous combat pas. il est celui qui tire sur toutes les ficelles,  mais il a l’art d se cacher ».

18)

« L’ancien chef est sans loi mais avec quelques résidus de foi ».

19)

« Nous devons approfondir notre analyse systémique sur ce qui transforme les gens en despote démoniaque une fois qu’ils accèdent au fauteuil le plus haut de la république ».

20)

« Je n’ai peur de rien. Je suis fabriqué, formé pour le combat de l’intérêt général ».

Manassé AGBOSSAGA

Jocelyn Agbévo, membre des FDU:« Mathurin Nago est un sage »

Interrogé par Kpakpato Médias en marge du 1er congrès ordinaire de l’alliance des Forces démocratiques unies (FDU) tenu ce samedi 20 janvier 2018 à  la salle des fêtes  Majestic de Cadjèhoun, Jocelyn Agbévo s’est montré très admiratif de son Coordonnateur. Secrétaire général du Parti pour la démocratie et la solidarité (PDS) et membre de l’alliance des FDU, il a loué les qualités de Mathurin Nago…

Interrogé par Kpakpato Médias en marge du 1er congrès ordinaire de l’alliance des Forces démocratiques unies (FDU) tenu ce samedi 20 janvier 2018 à  la salle des fêtes  Majestic de Cadjèhoun, Jocelyn Agbévo s’est montré très admiratif de son Coordonnateur. Secrétaire général du Parti pour la démocratie et la solidarité (PDS) et membre de l’alliance des FDU, il a loué les qualités de Mathurin Nago.

Manassé AGBOSSAGA

Jocelyn Agbévo vante les mérites de Mathurin Nago. Pour le   Secrétaire général du Parti pour la démocratie et la solidarité (PDS) et membre de l’alliance des FDU, l’ex-président de l’Assemblée nationale 5è et 6è législature est une personne de qualité. « Le président Mathurin Nago est une personne ressource. C’est une personne très sage », avance Jocelyn Agbévo.

Fort de cela, le secrétaire général du Parti pour la démocratie et la solidarité (PDS) fait savoir que l’alliance FDU compte encore sur son ‘‘Professeur’’ pour s’imposer sur l’échiquier politique.  « Nous ne voulons pas que le coordonnateur  cède sa place. Nous bénéficions beaucoup de ses conseils, de ses expériences. Ce sera un plaisir pour nous de le reconduire dans son rôle en tant que coordonnateur national de l’alliance FDU », plaide Jocelyn Agbévo.

Voilà qui ne manquera pas de donner du sourire à Mathurin Nago.

Politique: Richard Sègla invite les béninois à soutenir le PAG

Interrogé en marge du 1er congrès ordinaire de l’alliance des Forces démocratiques unies (FDU) tenu ce samedi 20 janvier 2018 à  la salle des fêtes  Majestic de Cadjèhoun, Richard Sègla  a lancé un message de rassemblement autour des actions du chantre du Nouveau départ. « Il fau soutenir les actions du chef de l’Etat du point de vue de ces reformes et ensuite de la lutte qu’il est en train de mener pour pouvoir donner un nouvel essor à ce pays dans le sens du développement du pays », plaide le membre de l’alliance des FDU. Pour lui, il est primordial de mettre de côté nos divergents et nous concentrer sur les questions de développement…

Le Programme d’actions du Gouvernement (PAG) a besoin du soutien de tous les fils et de toutes les filles du Bénin. Membre de l’alliance des Forces démocratiques unies (Fdu), Richard Sègla l’a signifié, appelant les béninois à soutenir les actions du chef de l’Etat.

Manassé AGBOSSAGA

Interrogé en marge du 1er congrès ordinaire de l’alliance des Forces démocratiques unies (FDU) tenu ce samedi 20 janvier 2018 à  la salle des fêtes  Majestic de Cadjèhoun, Richard Sègla  a lancé un message de rassemblement autour des actions du chantre du Nouveau départ. « Il fau soutenir les actions du chef de l’Etat du point de vue de ces reformes et ensuite de la lutte qu’il est en train de mener pour pouvoir donner un nouvel essor à ce pays dans le sens du développement du pays », plaide le membre de l’alliance des FDU. Pour lui, il est primordial de mettre de côté nos divergents et nous concentrer sur les questions de développement.

Tout comme le soutien des populations aux actions du chef de l’Etat, la reforme du système partisan parait nécessaire aux yeux de Richard Sègla.

« Je suis prêt pour la reforme de la charte des partis parce que tout le monde a constaté que dans le contexte actuel, un tout petit pays comme le notre avec près de 300 partis politiques  ce n’est pas bienfaisant pour notre pays »,  indique t-il.

Loin de cet appel, Richard Sègla a salué l’organisation du 1er congrès ordinaire des FDU, remerciant au passage le comité d’organisation, les militants, mais aussi et surtout les  présidents ou  représentants  de  partis et alliances de partis qui ont répondu présent à l’invitation des FDU.

Et puisque nous sommes encore dans le mois de Janvier, Richard Sègla n’a pas manqué de présenter ses vœux les meilleurs aux lecteurs de kpakpato Médias et aux populations béninoises. Il dit espérer que 2018 soit  une année de véritable Nouveau départ, qui prennent tous les aspects du Pag pour le développement du Bénin et par ricochet le bonheur des béninois et béninoises.

Pourvu qu’il en soit ainsi !

Rachidi Gbadamassi: «Le parlement béninois est un parlement responsable, respectable et respecté »

Rachidi Gbadamassi vente les mérites du Parlement béninois. Face aux populations de Parakou le week-end dernier, le député de la 8è circonscription électorale, élu sur la liste des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBe) avant d’opérer une volte-face   pour rejoindre le navire du Nouveau départ n’a pas manqué de qualificatif pour louer les mérites de l’actuelle législature…

Rachidi Gbadamassi vente les mérites du Parlement béninois. Face aux populations de Parakou le week-end dernier, le député de la 8è circonscription électorale, élu sur la liste des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBe) avant d’opérer une volte-face   pour rejoindre le navire du Nouveau départ n’a pas manqué de qualificatif pour louer les mérites de l’actuelle législature.

«  Le parlement béninois n’est pas la caisse de résonance d’un gouvernement.   Contrairement à ce que les gens pensent,   c’est un parlement responsable, respectable et respecté qui vote des lois en faveur des populations », assure Rachidi Gbadamassi.

Dans cette lancée, le député de la 8è circonscription dénonce les rumeurs faisant état d’une complicité entre les députés et le gouvernement et rassure que le Parlement accorde du prix à son indépendance.

« Nous ne voulons pas la pression.  Nous demandons à chacun de respecter le principe de séparation des pouvoirs. Le parlement est à part.  La justice est à part. L’exécutif est à part. Nous sommes jaloux de notre indépendance.  Qu’on ne nous fasse pas de pression », lance l’ancien maire de Parakou, avant d’ajouter « Nous demandons aux populations de nous soutenir ».

Il est évident que cet appel ne s’adresse pas aux agents de la santé et de la justice, eux qui sont en courroux depuis le vote de la loi leur retirant le droit de grève.

Manassé AGBOSSAGA

Orden Alladatin: « Je suis du système. C’est mon pouvoir qui est en place »

Accusé de trahir ses anciens combats, l’honorable Orden Alladatin a, à l’occasion d’un débat contradictoire  avec son collègue Nourénou Atchadé sur l’émission ‘’90 min pour convaincre de la radio nationale’’ de ce dimanche 14 janvier 2018,   expliqué sa nouvelle posture. Et très tôt, l’ancien membre de la société civile martèle qu’il n’a pas trahi ses convictions. « Je n’ai pas changé », insiste t-il.Après cette précision, le député de l’Union fait la Nation et secrétaire général du parti Alternative citoyenne justifie sa nouvelle posture par sa proximité avec le pouvoir. Soutien du candidat Patrice Talon devenu …

Accusé de trahir ses anciens combats, l’honorable Orden Alladatin a, à l’occasion d’un débat contradictoire  avec son collègue Nourénou Atchadé sur l’émission ‘’90 min pour convaincre de la radio nationale’’ de ce dimanche 14 janvier 2018,   expliqué sa nouvelle posture. Et très tôt, l’ancien membre de la société civile martèle qu’il n’a pas trahi ses convictions. « Je n’ai pas changé », insiste t-il.Après cette précision, le député de l’Union fait la Nation et secrétaire général du parti Alternative citoyenne justifie sa nouvelle posture par sa proximité avec le pouvoir. Soutien du candidat Patrice Talon devenu président de la République, l’Honorable Alladatin a indiqué qu’il ne lui revient pas de dénoncer la gouvernance de son mentor comme il l’avait sous Boni Yayi. « Je suis du système. C’est mon pouvoir qui est en place », avance t-il.

Et rappelant sa présence aux côtés des magistrats pour dire non retrait du droit de grève à ces derniers, l’homme fait savoir qu’il avait fait à l’époque parce qu’il estimait que Boni Yayi était disqualifié pour conduire toutes reformes.

« Nous savons que c’est très dur »

Secoué par les auditeurs sur son changement, mais aussi et surtout sur leurs difficultés quotidiennes, l’Honorable Orden Alladatin a fait recours aux  10 ans de Yayi pour se défendre. A en croire le secrétaire général du parti Alternative Citoyenne, le président Talon a hérité d’un lourd passif de la  gouvernance Boni Yayi. Toutefois l’homme rassure que le chantre du Nouveau départ et son écurie travaillent avec intelligence pour inverser la tendance. « Nous savons que c’est très dur pour nos populations, mais c’est le chemin à suivre », rassure t-il.

Les populations apprécieront !

Manassé AGBOSSAGA