Irak : L’incendie d’un hôpital dédié au Covid-19 fait au moins 23 morts

L’incendie s’est déclenché dans la nuit de samedi à dimanche dans une unité de soins intensifs de l’hôpital Ibn al-Khatib, à la périphérie sud-est de Bagdad.

Un incendie dans un hôpital de Bagdad a fait au moins 23 morts le 24 avril 2021.

L’incendie s’est déclenché dans la nuit de samedi à dimanche dans une unité de soins intensifs de l’hôpital Ibn al-Khatib, à la périphérie sud-est de Bagdad

L’horreur vient de s’ajouter à une situation sanitaire dramatique en Irak. Au moins 23 personnes ont été tuées dans un incendie déclenché dans la nuit de samedi à dimanche dans une unité de soins intensifs traitant des malades du Covid-19 à Bagdad.

L’explosion est due à un « manquement aux conditions de sécurité dans le stockage des bouteilles d’oxygène », ont expliqué des sources médicales, faisant état de plusieurs dizaines de blessés. Des vidéos mises en ligne sur les réseaux sociaux montraient des pompiers tentant d’éteindre les flammes dans les étages de l’hôpital Ibn al-Khatib, à la périphérie sud-est de la capitale, au milieu d’une cohue de malades et de proches tentant de s’échapper du bâtiment.

La barre du million de contaminés dépassée

Une source médicale de l’hôpital a pour sa part affirmé que « trente patients se trouvaient dans cette unité de soins intensifs » réservée aux cas les plus graves à Bagdad, capitale du pays arabe ayant enregistré le plus grand nombre de contaminations au Covid-19. De son côté, la Défense civile a affirmé à l’agence officielle irakienne avoir pu « sauver 90 personnes sur 120 malades et proches » qui se trouvaient sur les lieux, tout en se refusant à communiquer un bilan exact des morts et des blessés.

Les cas de Covid-19 ont dépassé mercredi le million en Irak, pays de 40 millions d’habitants en pénurie de médicaments, de médecins et d’hôpitaux depuis des décennies. Au total, selon le ministère de la Santé, 1.025.288 Irakiens ont été contaminés depuis février 2020, dont 15.217 sont morts. Le ministère indique procéder chaque jour à environ 40.000 tests, un taux très peu élevé dans un pays qui compte plusieurs villes de plus de deux millions d’habitants, où la densité de population est élevée et la promiscuité permanente.

Des hôpitaux délabrés

En manque d’équipement médical pour recevoir des malades, qui généralement préfèrent installer une bouteille d’oxygène chez eux plutôt que de se rendre dans des hôpitaux délabrés, l’Irak a malgré tout lancé sa campagne de vaccination. Le pays a reçu en tout près de 650.000 doses de différents vaccins, la quasi-totalité sous forme de don ou via le programme international Covax visant à garantir un accès équitable aux vaccins. Près de 300.000 personnes ont déjà reçu au moins une première dose, selon le ministère de la Santé qui ne cesse de faire campagne pour convaincre une population très sceptique à l’égard du vaccin et qui boude les masques depuis le début de l’épidémie.

AFP

Covid-19 : le Vatican demande l’annulation de la dette de l’Afrique

Ce n’est pas la première fois que le pape François se prononce pour l’annulation de la dette des pays africains, mais il vient de réitérer son voeu à l’issue du webminaire, le 7 avril 2021. Il regroupait les plus hautes autorités religieuses d’Afrique et de Madagascar. 

Le pape François est au Mozambique avant son arrivée à Madagascar puis l'île Maurice.

Les femmes et les hommes catholiques africains et malgaches ont participé au « webminaire » organisé par le Vatican, ce 7 avril 2021, en présence du Pape François. À la fin de ces travaux, le souverain pontife a plaidé en faveur de l’annulation de la dette des pays de ce continent. Les émissaires du Vatican ont expliqué dans les différents médias que l’objectif est d’amortir la crise Covid-19 : « Nous ne pouvons pas sortir de cette crise sanitaire, économique, sociale, politique et culturelle, sans alléger le poids de la dette. Il s’agit d’une question de justice, » explique le père Zamprini dans L’Express de Madagascar.

Pour le saint-siège, cette question devient primordiale à l’heure des premiers effets du réchauffement de la planète : « Nous ne pouvons pas oublier la dette écologique des Grands, qui sont les premiers responsables du changement climatique dont le fardeau incombe, toutefois, en grande partie, aux nations les plus pauvres, comme ceux d’Afrique », poursuit le porte-parole du Pape François.

L’annulation de la dette de l’Afrique, un sujet récurrent


En 2007, déjà, le Pape Benoît XVI avait demandé dans une lettre à Angela Merkel, la chancelière allemande, d’intercéder en faveur de cette annulation de la dette africaine auprès des pays les plus riches, comme l’écrivait La Croix. Une demande qui est restée sans effet. En septembre 2020, un article de Madagascar-Tribune relayait l’intervention d’Andry Rajoelina, président de Madagascar, à l’ONU (Organisation des Nations Unies). Le chef de l’Etat, sur ce même sujet, avait appelé : « À la solidarité internationale, pour l’effacement de la dette des pays les plus vulnérables et les plus durement touchés par les effets de la pandémie ».

Le temps faisant son œuvre, cette énième démarche du 7 avril 2021, a trouvé un écho dans les plus grands journaux de la planète (le quotidien Le Monde en France), en autres. Par ailleurs, afin d’éviter les raccourcis habituels quand il est question de l’Afrique, le cardinal Turkson, préfet du dicastère vaticane souhaite : « Développer un système de vérifications et de contrôles afin que les ressources libérées au profit du continent aillent là où elles sont réellement nécessaires pour croître et améliorer les conditions des peuples et des personnes ». Il ne s’agit pas de chèque en blanc conclue Vatican News, mais la prise de responsabilités mutuelles.

Franceinfo.fr

Johnson & Johnson : Une inquiétante nouvelle sur le nouveau vaccin

Ce vendredi 9 avril, l’Agence européenne des médicaments a annoncé la présence, aux États-Unis, de quatre cas « d’incidents thrombo-emboliques » dont un mortel chez des personnes vaccinées avec Johnson & Johnson. L’EMA a alors décidé de mener une étude pour savoir si un lien existait entre le vaccin américain et la formation de caillots sanguins. 

vaccin-johnson

Des cas de thromboses détectés chez des personnes vaccinées par Johnson & Johnson

Encore un tout nouveau rebondissement dans les polémiques autour des vaccins. Mais cette fois-ci, ce n’est pas le vaccin AstraZeneca qui est concerné. Il s’agit du vaccin Johnson & Johnson. L’Agence européenne des médicaments (EMA) a annoncé le lancement d’une étude afin de savoir s’il existe des liens entre le vaccin américain et la formation de caillots sanguins. Cette étude aurait pour but « d’évaluer des informations sur des incidents thrombo-emboliques » pour les personnes vaccinées avec Johnson & Johnson.

Une annonce faite après une très surprenante découverte. « Il a été fait état, après vaccination avec le vaccin Covid-19 Janssen, de quatre cas graves de caillots inhabituels associés à des faibles taux de plaquettes  » , a annoncé l’Agence des médicaments. Avant de préciser. « Un cas est survenu lors d’un test clinique et trois sont survenus dans le cadre de la vaccination aux Etats-Unis. L’un d’entre eux a été mortel » .

Un vaccin approuvé par l’Union européenne

Pour le moment, le vaccin Johnson & Johnson n’est pas en circulation en Europe. Pourtant, il a été approuvé par l’Union européenne, il y a plusieurs semaines. Mais selon Midi Libre, sa circulation dans l’UE devrait intervenir durant le mois d’avril.

Une annonce qui vient également renforcer la polémique autour du vaccin AstraZenecaL’EMA a reconnu dernièrement que la formation de caillots sanguins chez des personnes vaccinées par AstraZeneca est bel et bien un effet secondaire du vaccin suédo-britannique.

Letribunaldunet.fr

Paris: une fausse laborantine fait payer 15 euros un test nasopharyngé

Le 18 mars, une laborantine improvisée a réalisé, dans la rue, le test nasopharyngé rapide d’un homme qui avait rendez-vous dans un laboratoire à Paris. Une enquête a été ouverte cette semaine par le commissariat central du 5e et du 6e arrondissement.

Un employé médical montre un écouvillon utilisé pour les tests antigéniques à l'hôpital Saint-Andre à Bordeaux, le 20 octobre 2020
La police a-t-elle affaire à une « serial laborantine improvisée »? Une enquête a été ouverte lundi au commissariat central du 5e et du 6e arrondissement de Paris pour « escroquerie liée à la pandémie au préjudice d’un laboratoire médical », rapporte Le Parisien ce samedi. En cause, une fausse infirmière laborantine qui a réalisé illégalement un test Covid nasopharyngé rapide.

Le 18 mars dernier, un homme a été abordé par une femme se faisant passer pour une laborantine, alors qu’il faisait la queue pour faire un test dans un laboratoire du réseau Cerballiance, rive gauche, où il avait rendez-vous. Le prélèvement a été réalisé dans une rue adjacente pour la somme de 15 euros en liquide. Le même jour, il a ensuite reçu par mail le résultat positif de son test, sur un papier à en-têté plagié du laboratoire officiel.
Le laboratoire, mis au courant de l’affaire, s’est alors rapproché de la police. Cette dernière continue ses investigations afin d’identifier la laborantine improvisée, qui a le bras tatoué.

BFM TV

Le président argentin, bien que vacciné, testé positif au Covid-19

Le président argentin Alberto Fernandez, qui a été vacciné contre le Covid-19, a annoncé vendredi qu’il était positif au virus selon un test antigénique.

Le président argentin Alberto Fernandez le 23 mars 2021 à Buenos Aires

« A la fin de la journée d’aujourd’hui (vendredi, ndlr), après que j’ai présenté une fièvre de 37,3 et un léger mal de tête, on m’a fait un test antigénique dont le résultat a été positif », a déclaré M. Fernandez sur son compte Twitter.

Il a ajouté qu’il attendait le résultat d’un test PCR qui devrait confirmer s’il est contaminé ou pas.

Le président, qui a eu 62 ans ce vendredi, se trouve en isolement par précaution et a déclaré qu’il est « dans un bon état physique ».

Bien que j’aurais aimé finir la journée de mon anniversaire sans cette nouvelle, je suis aussi dans un bon état moral », a ajouté M. Fernandez.

Le président argentin a reçu deux doses du vaccin Spoutnik V du laboratoire russe Gamaleïa, la première le 21 janvier et la seconde le 11 février, ont indiqué à l’AFP des sources à la présidence.

L’Argentine affronte actuellement une seconde vague de l’épidémie de coronavirus. Selon les chiffres officiels, ce pays de 44 millions d’habitants compte plus de 2,3 millions de cas de contamination et 56.023 décès liés au Covid-19.

AFP

AstraZeneca : « mon frère est mort en 18h, ça a été fulgurant ! »… le triste récit du frère d’une victime

AstraZeneca fait décidemment beaucoup parler de lui. Le mercredi 17 mars 2021, Joël Crochet est décédé quelques jours seulement après l’injection du vaccin contre le Covid-19. Son frère veut mettre en garde sur certains risques que comporterait la vaccination.

Décès d’un sexagénaire après l’injection du vaccin AstraZeneca, ses proches s’interrogent

Joël Crochet, 63 ans, avait reçu sa première dose de vaccin AstraZeneca le 7 mars dernier. Moins de 24 heures après l’injection, cet homme rencontrait des problèmes respiratoires et articulaires. Lorsqu’il s’est rendu chez le médecin, ce dernier lui a administré de la cortisone et l’état du sexagénaire semblait s’améliorer. Pourtant, le week-end suivant, Joël a vu son état se dégrader à nouveau.

Malheureusement, la dégradation en flèche de sa santé va causer, en moins de deux jours, l’apparition de thromboses sur ses organes vitaux, ce qui va entraîner sa mort très rapidement. « En 18 heures de temps, mon frère est décédé. Ca a été fulgurant. (…) Il a rapidement perdu l’usage des membres supérieurs et ensuite, le cœur a été touché à son tour« , raconte son frère, Jean-Luc Crochet. Ce dernier tient à alerter sur les dangers potentiels de la vaccination. « Je pense qu’il faut dire la vérité. Il y a des risques pour certaines personnes. Malheureusement, c’est tombé sur lui« , regrette le frère du sexagénaire.Un sexagénaire décède après l'injection du vaccin AstraZeneca

Jean-Luc Crochet, frère du patient décédé après l’injection du vaccin.
@France 3 Alpes

Une autopsie a été réalisée

En accord avec la famille, le Centre Hospitalier Annecy Genevois a confirmé qu’une autopsie avait été réalisée pour connaître les causes exactes de la mort de Joël. Pour l’heure, les conclusions définitives ne sont toujours pas connues et la famille est toujours dans l’attente.

Plusieurs cas de décès suspects ont été recensés après une première injection du vaccin AstraZeneca contre le Covid-19. Récemment, une femme de 38 ans est décédée à Toulouse, 14 jours après la première piqûre. Cette dernière ne présentait pourtant aucun problème de santé. Voilà qui commence à faire beaucoup.

Source : France3

Vaccin AstraZeneca : La famille d’une femme morte d’une thrombose à Toulouse porte plainte contre X pour « homicide involontaire »

L’avocat de la famille saisit le parquet de Toulouse afin d’obtenir une expertise médico-légale pour « que toute la lumière soit faite sur la cause du décès et le lien éventuel entre ce décès et l’injection d’AstraZeneca. »

FILE PHOTO: Vials labelled « AstraZeneca COVID-19 Coronavirus Vaccine » and a syringe are seen in front of a displayed AstraZeneca logo in this illustration taken March 10, 2021. REUTERS/Dado Ruvic/Illustration/File Photo

La famille d’une femme de 38 ans morte à Toulouse des suites d’une thrombose, 14 jours après avoir reçu le vaccin AstraZeneca contre le Covid-19, va porter plainte contre X pour « homicide involontaire » vendredi 2 avril, indique France Bleu Occitanie ce jeudi soir. Franceinfo avait appris le décès à l’hôpital Purpan de cette assistance sociale qui avait reçu sa première dose de vaccin en tant que soignant, juste avant la suspension du vaccin mi-mars.

Les proches de la trentenaire ont choisi Me Etienne Boittin pour les représenter. L’avocat du barreau de Saint-Nazaire conseille également la famille de cet étudiant nantais mort mi-mars d’une thrombose abdominale après avoir reçu le vaccin AstraZeneca. « Nous ne sommes pas dans une démarche d’accusation, mais d’interrogation », affirme l’avocat du barreau de St-Nazaire contacté par France Bleu Occitanie. « Il n’est pas question de clouer au pilori un hôpital ou un laboratoire », poursuit-il. En saisissant le parquet de Toulouse, il souhaite obtenir une expertise médico-légale pour « que toute la lumière soit faite sur la cause du décès et le lien éventuel entre ce décès et l’injection d’AstraZeneca. »

Le 26 mars dernier, l’ANSM avait rappelé qu’il existait un risque de thrombose (formation d’un caillot de sang), très rare après l’injection du vaccin AstraZeneca, tout en soulignant que « le rapport bénéfice/risque du vaccin reste positif, aucun élément n’indique pour l’instant que la vaccination ait provoqué ces troubles. »

Avec France Bleu Occitanie – franceinfo

Sierra Léone – Bénin : Les Ecureuils déclarés positifs, finalement testés négatifs à Cotonou

Rebondissement ! Les Ecureuils déclarés positifs par les officiels sierra léonais n’ont pas le Covid 19.

Le test effectué à Cotonou après leur arrivée a donné un autre résultat.

Steve Mounié, Khaled Adénon, Saturnin Allagbé, et autres ont tous été testés négatifs ce 31 mars 2021.

Le mardi 31 mars dernier, la partie béninoise s’était opposée au résultat  covid présentée par les autorités de la Sierra Léone. Le match entre la Sierra Léone et le Bénin comptant pour la dernière journée des éliminatoires de la Can Cameroun 2022 n’a pu donc se jouer.

Manassé AGBOSSAGA

Coronavirus : Xavier Bertrand accuse Macron de « ne rien apprendre de ses erreurs »

Le président (ex-LR) des Hauts-de-France Xavier Bertrand, candidat déclaré à la présidentielle 2022, a accusé ce dimanche Emmanuel Macron de « ne rien apprendre de ses erreurs » sur la crise du Covid-19 et estimé qu’il n’aurait « jamais dû demander » à l’Europe de gérer les vaccins.

Xavier Bertrand a taclé la gestion sanitaire d'Emmanuel Macron

« Il y a pire que de ne pas vouloir reconnaître ses erreurs, c’est de ne rien apprendre de ses erreurs », a souligné Xavier Bertrand sur Europe 1/Cnews/Les Echos. « Comment voulez-vous qu’il y ait ensuite la confiance avec le peuple français ? », a-t-il demandé. « Regardez le contraste avec (la chancelière allemande) Angela Merkel qui est la référence de l’attitude des gouvernants par rapport à leur peuple », a-t-il poursuivi, alors que le chef de l’Etat a refusé tout mea culpa, notamment sur sa décision de ne pas reconfiner fin janvier.

Le bon moment de prendre des responsabilités

Sur la vaccination, « la stratégie du départ n’a pas été la bonne », a estimé Xavier Bertrand. D’abord parce qu’« on a rechigné à payer le prix fort pour les vaccins ». Ensuite parce que « Emmanuel Macron n’aurait jamais dû demander que ce soit l’Europe qui gère (la commande des vaccins) à la place des Etats ». Aurait-il fallu que les pays européens y aillent chacun pour soi ? « Bien sûr », a-t-il répondu.

Interrogé sur le timing de sa candidature à l’Elysée, officialisée ce mercredi, l’ex-ministre a estimé que c’était le bon moment de « prendre (s)es responsabilités ». Il a fait de sa réélection dans les Hauts-de-France lors des régionales prévues en juin une condition sine qua non de sa candidature. « Pourquoi cette élection régionale est importante pour moi ? Parce que c’est la légitimité. Si six millions de Français ne me faisaient pas confiance, il est impossible d’aller à la rencontre de 67 millions de Français », a-t-il dit.

Une pensée pour les Hauts-de-France quand même

« Les électeurs dans les Hauts-de-France ont bien compris que si on veut vraiment changer les choses, ça se passe au sommet de l’Etat », a-t-il ajouté. Alors que sa candidature ravive les crispations au sein d’une droite encore convalescente après deux échecs à la présidentielle, il s’est à nouveau dit opposé à la tenue d’une primaire, persuadé de « rassembler les uns et les autres » autour de son « projet », sachant que plusieurs autres acteurs comme Valérie Pécresse, Bruno Retailleau, Laurent Wauquiez ou Michel Barnier, ont fait part de leur intérêt pour 2022.

Sur son programme, Xavier Bertrand a insisté sur le « rétablissement de l’autorité » sans lequel « il n’y aura pas de sécurité », répété qu’il voulait abaisser à 15 ans l’âge de la majorité pénale et insisté que « l’identité nationale n’est pas négociable ». Il compte aussi avoir recours davantage au référendum et plaide pour un mandat présidentiel unique.

20 Minutes avec AFP

AstraZeneca : Le laboratoire annonce une mauvaise nouvelle concernant son vaccin

Jeudi 25 mars, dans un communiqué le laboratoire britannico-suédois, à l’origine du vaccin AstraZeneca, annonce avoir revue à la baisse, l’efficacité de ce dernier, concernant les cas symptomatiques.

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Un vaccin sous le feu des inquiétudes

Après la semaine du lundi 15 mars et les inquiétudes autour des cas de thromboses, le vaccin AstraZeneca continue d’inquiéter. L’Agence européenne des médicaments n’a pas pu affirmer qu’il n’existait pas un lien entre l’AstraZeneca, et les décès survenus après des thromboses veineuses cérébrales. Mais d’un autre côté, elle assure que ce vaccin est « sûr et efficace » .

Seulement, l’Institut national des maladies infectieuses et des allergies (NIAID) qui s’occupe de délivrer l’autorisation de la mise sur le marché des vaccins, pour les États-Unis, a mis en doute cette efficacité. L’agence a déclaré que les données fournies par le laboratoire AstraZeneca, étaient potentiellement « obsolètes » .

Une efficacité revue à la baisse par AstraZeneca

Suite à ces remarques, le laboratoire britannico-suédois, a opéré une mise à jour de ses données, en ajoutant les résultats des essais cliniques, opérés aux États-Unis, au Pérou et au Chili. Jeudi 25 mars, dans un communiqué, AstraZeneca annonce donc une baisse de l’efficacité, concernant les cas symptomatiques. Elle serait de 76 %, contre les 79 % annoncés précédemment. Néanmoins, le laboratoire AstraZeneca annonce toujours, une efficacité de 100 % pour la prévention des formes graves du coronavirus.

Cette baisse de l’efficacité de 3 % ne devrait donc pas avoir d’incidence particulière sur la campagne vaccinale européenne. Reste donc maintenant à connaître les résultats des études plus poussées, concernant le recensement de thromboses, quelques jours après une vaccination. Le Danemark a décidé de prolonger, de trois semaines, la suspension de l’AstraZeneca, par principe de précaution.

Source : HuffingtonPost