A quelques jours du match face au Nigéria: Le Coronavirus rend visite au ‘‘Onze National’’, un Ecureuil testé positif

Terrible nouvelle ! A moins de 24 heures de la rencontre décisive face aux Super Eagles du Nigéria dans le cadre de la 5è journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (Can) Cameroun 2022, la pandémie du Covid-19 s’invite dans la tanière  du ‘‘Onze National’’.

Un joueur convoqué par Michel Dussuyer a été testé positif. Ce dernier dont l’identité n’a pas été dévoilée  a été mis à l’écart du groupe

« on a eu un cas au sein de l’effectif, qu’on a pu isoler tout de suite », a confié Michel Dussuyer après la séance d’entraînement des Ecureuils au stade Charles de Gaule de Porto-Novo, ce jeudi 25 mars 2021..

Et comme le malheur des uns fait le bonheur des autres, un autre joueur a été appelé pour le remplacer. Le défenseur Jean Ogouchi a été convoqué et pourrait rejoindre le groupe.

Voilà qui vient perturber la préparation du match face au Nigéria, le 27 mars prochain au stade Charles De Gaule de Porto- Novo.

Manassé AGBOSSAGA

Covid-19 : La ministre de la Culture Roselyne Bachelot hospitalisée

La ministre de la Culture Roselyne Bachelot, positive au covid-19, a été hospitalisée. 

Roselyne Bachelot, le 15 mars 2021.

Positive au Covid-19, Roselyne Bachelot a été hospitalisée, mais son «état est stable et n’inspire pas d’inquiétudes», a annoncé mercredi l’entourage de la ministre de la Culture à l’AFP. «Son médecin a préconisé une surveillance accrue à l’hôpital pour les quelques jours à venir», a-t-on ajouté de même source.

La ministre de 74 ans avait fait savoir qu’elle avait été contaminée par le covid-19 le 20 mars sur les réseaux sociaux. Elle y expliquait souffrir de «symptômes respiratoires».

Lundi, c’est l’hospitalisation de la ministre du Travail Elisabeth Borne, également contaminée par le virus, qui avait été dévoilée par son ministère, qui précisait que son état de santé était «en voie d’amélioration».

Ancienne ministre de la Santé, Roselyne Bachelot avait été nommée en juillet à la tête du ministère, succédant ainsi à Franck Riester, qui avait lui-même contracté le virus il y a un an. Depuis son arrivée rue de Valois, elle a eu à gérer les retombées de la crise sanitaire sur le monde culturel, dont les musées, le cinéma et le spectacle vivant, qui sont portes closes depuis le 30 octobre.

Paris Match avec AFP

Covid : Macron annonce l’ouverture de la vaccination aux plus de 70 ans dès samedi

Le chef de l’État, qui se trouve mardi à Valenciennes, a également annoncé que la vaccination des enseignants débuterait à la mi-avril.

La vaccination contre le Covid-19 sera élargie aux personnes âgées de 70 à 75 ans sans comorbidités à partir de samedi, a annoncé, mardi 23 mars, Emmanuel Macron en visitant un centre de vaccination à Valenciennes (Nord). « Je veux qu’on organise les choses de manière méthodique, descendre par tranche d’âge », a expliqué le chef de l’État à des soignants en annonçant aussi la mise en place d’un numéro de téléphone dédié pour les personnes de plus de 75 ans n’ayant pas réussi à se faire encore vacciner. Le président de la République a également annoncé que les enseignants pourront se faire vacciner contre le Covid-19 à partir du milieu ou de la fin du mois d’avril, lorsque le nombre de vaccins disponibles aura augmenté.

« À partir de mi-fin avril, nous allons avoir de plus en plus de vaccins qui vont arriver, cela va nous permettre d’envisager d’avoir des campagnes ciblées sur des professions qui sont exposées, à qui on demande des efforts. Les enseignants en font légitimement partie », a déclaré le chef de l’État après avoir visité un centre de vaccination.« On va faire deux choses » pour « accélérer à partir de ce samedi », a aussi indiqué Emmanuel Macron. La première est la mise en place d’un numéro de téléphone dédié pour « aller chercher les plus de 75 ans qui ne se sont pas fait encore vacciner et tous ceux qui n’ont pas réussi à avoir de rendez-vous ». De plus, « on va ouvrir la vaccination aux 70-75 ans », a-t-il ajouté, alors qu’actuellement elle est proposée à tous les plus de 75 ans ou à partir de 65 ans pour les personnes souffrant de comorbidités. closevolume_off

La vaccination, « le cœur de la bataille »

Emmanuel Macron a également appelé mardi à vacciner « au maximum », « tous les jours », « matin, midi et soir », car la vaccination est « le cœur de la bataille » contre le Covid-19. « On se bat pour avoir des doses. (…) On va changer de dimension à partir d’avril » et « il n’y a pas de week-ends et de jours fériés pour la vaccination », a ajouté le chef de l’État, qui a aussi fait passer « un message très clair » en demandant « instamment » aux employeurs et aux entreprises de se mettre « au maximum » au télétravail pour freiner la propagation du Covid-19. « Je le demande instamment à tous les employeurs, à toutes les entreprises, à toutes les personnes qui peuvent faire du télétravail, il faut au maximum s’y mettre parce que notre objectif est de réduire les contacts », a insisté le président de la République.

Le chef de l’État a aussi assuré que la France se battait pour obtenir les doses de vaccin anti-Covid qu’AstraZenaca lui doit et qu’elle va continuer à mettre « la pression de manière extrêmement forte » sur le laboratoire pour qu’il « honore » les contrats. Pour faire monter en puissance la vaccination, « la première chose, c’est d’avoir des doses – on se bat –, d’avoir des doses en particulier d’AstraZeneca, qui aujourd’hui est un peu en dessous de ses engagements à notre égard », a remarqué le chef de l’État. « Des doses qui étaient dues n’ont pas été honorées, donc les prochains jours seront un combat pour essayer de, au maximum, les obtenir, poursuivre la pression de manière extrêmement forte et que ces contrats soient honorés », a-t-il ajouté en assurant que « l’Union européenne est très mobilisée sur ce sujet ».

Emmanuel Macron est arrivé mardi matin dans un centre de vaccination contre le Covid-19 à Valenciennes (Nord) pour échanger avec des soignants « avant la montée en charge » de la campagne de vaccination prévue dans les prochaines semaines, a constaté l’Agence France-Presse. Le Nord fait partie des 16 départements où des « mesures de freinage » supplémentaires sont appliquées depuis samedi en raison de l’aggravation de la situation sanitaire.

Le président « à l’écoute » des soignants

Le chef de l’État a été accueilli vers 10 heures dans le gymnase de l’école Jean-Mineur. Un centre y est installé où six infirmières et deux pompiers infirmiers vaccinent les personnes de plus de 75 ans ou moins avec comorbidités avec le sérum de Pfizer. Entre 300 et 1 200 patients sont accueillis chaque jour dans ce centre cogéré par le centre hospitalier de Valenciennes, la municipalité et une association d’infirmiers libéraux depuis la mi-janvier.

Accompagné du ministre de la Santé Olivier Véran, Emmanuel Macron devait échanger avec les soignants « sur les modalités mises en place pour organiser au mieux la vaccination » et être « à l’écoute de leurs témoignages et expériences de terrain avant la montée en charge attendue dans les prochaines semaines », selon l’Élysée. Il était ensuite attendu à la pharmacie de La Chasse royale, à Valenciennes, une semaine après l’autorisation donnée aux pharmaciens de vacciner.

« Vaccidrive » et « vaccibox »

L’objectif de l’exécutif est d’avoir vacciné 10 millions de Français mi-avril, 20 millions à la mi-mai et 30 millions mi-juin, alors que le pays compte plus de 6,35 millions de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin, dont près de 2,5 millions vaccinées avec deux doses. Présent à Valenciennes, le président (ex-LR) des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a déclaré lundi que « les 6 millions d’habitants des Hauts-de-France » attendaient « un maximum de vaccins et au plus vite ».

Le maire de Valenciennes, Laurent Degallaix, a pour sa part indiqué sur France Info que sa ville était prête à proposer un « vaccidrive » qui permettrait aux habitants de recevoir « un QR code et de venir avec leur voiture pour se faire vacciner » sur un parking où leur sera présenté « un film sur le centre hospitalier, la ville de Valenciennes pendant les quinze minutes nécessaires après la vaccination » et la « « vaccibox » qui permettra d’aller vacciner ceux qui ne peuvent pas se déplacer », a-t-il ajouté.

AFP

Covid 19/Vaccins : AstraZeneca évoque une efficacité de 79 % et exclut les risques de caillots

Le vaccin est efficace à 80 % pour les personnes âgées de plus de 65 ans, affirme aussi le laboratoire, lundi, après un essai clinique mené aux États-Unis.

e laboratoire AstraZeneca a affirmé, lundi 22 mars, que son vaccin était efficace à 79 % contre le Covid-19 et qu’il n’augmente pas le risque de caillots, après l’essai clinique mené aux États-Unis. Le vaccin est efficace à 80 % pour les personnes âgées de plus de 65 ans, a-t-il affirmé alors que plusieurs pays ont renoncé à le prescrire aux plus âgés en raison d’un manque de données lors des précédents essais.

Le recours à ce vaccin est crucial au moment où s’accélère la troisième vague de la pandémie de Covid-19, notamment en Europe, où l’Allemagne envisage de nouvelles restrictions. Le vaccin est efficace à 79 % pour prévenir le Covid-19 symptomatique dans la population générale et à 100 % pour empêcher les formes sévères de la maladie et l’hospitalisation, a affirmé le laboratoire lundi après des essais cliniques de phase III menés aux États-Unis, avec 32 449 participants. Il est efficace à 80 % chez les personnes âgées et n’augmente pas le risque de caillots sanguins, selon le laboratoire, alors que plusieurs pays ont renoncé à le prescrire aux plus âgés en raison d’un manque de données sur les séniors lors des précédents essais.closevolume_off

Jugé « sûr et efficace » par l’EMA

Ce mois-ci, plusieurs pays ont suspendu son utilisation par crainte qu’il ne provoque des caillots sanguins, parfois mortels. Ce vaccin est perçu comme plus dangereux que sûr en AllemagneFranceEspagne et Italie, selon une étude d’opinion réalisée entre le 12 et 18 mars. Jeudi, l’Agence européenne des médicaments (EMA) l’a pourtant jugé « sûr et efficace » et l’utilisation du vaccin a repris dans plusieurs pays, mais l’impact sur l’opinion publique s’est fait sentir, souligne l’institut YouGov. « Non seulement nous avons constaté une augmentation considérable du nombre de personnes qui le jugent dangereux au cours des deux dernières semaines en Europe, mais le vaccin AstraZeneca continue d’être considéré comme nettement moins sûr que ceux de Pfizer et Moderna », a commenté YouGov, dans un communiqué.

Avec les campagnes de vaccination, les Européens pourraient atteindre l’immunité collective en juillet, a laissé entrevoir dimanche le commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton. « C’est la dernière ligne droite parce que nous savons que pour vaincre cette pandémie, une seule solution : se faire vacciner. Les vaccins arrivent, ils seront là », a martelé le commissaire français. Encore faut-il avoir des stocks suffisants, alors que Britanniques et Européens s’accusent mutuellement de capter les doses produites sur leur territoire.

Van der Leyen hausse le ton contre AstraZeneca

Le ministre de la Défense britannique Ben Wallace a prévenu dimanche qu’il serait « contre-productif » de bloquer les exportations d’AstraZeneca comme l’a menacé la veille la Commission européenne si l’UE ne recevait pas d’abord ses livraisons. « La Commission a son propre contrat avec AstraZeneca. Nous essayons simplement de le faire respecter. Le laboratoire nous a livré moins de 10 % des doses prévues pour l’année par le contrat. Il est donc normal que nous demandions que ces doses soient livrées comme prévu aux Européens », a rétorqué dimanche soir une source dans l’entourage de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

Ursula van der Leyen a rappelé que le contrat de l’UE avec AstraZeneca prévoyait la livraison de doses produites à la fois sur le territoire de l’UE et au Royaume-Uni. « Or, nous n’avons rien reçu des Britanniques, alors que nous les fournissons. » Le vaccin AstraZeneca est notamment produit dans deux usines en Belgique et aux Pays-Bays, deux pays qui ont appelé à la prudence sur un durcissement des exportations alors que d’autres pays européens, comme la France, le soutiennent.

Lassitude au sein de la population allemande

Or, le temps presse, notamment en Allemagne. Le gouvernement s’apprête lundi à prolonger, voire à durcir les restrictions face à une troisième vague toujours plus virulente, au risque de nourrir la grogne déjà croissante de l’opinion. La chancelière Angela Merkel et les régions allemandes se retrouvent dans l’après-midi pour une nouvelle réunion sur la stratégie anti-pandémie. Mais alors qu’elle devait être consacrée il y a quelques semaines encore à relâcher la pression, l’ordre du jour a complètement changé face à la propagation du variant britannique du virus, jugé plus infectieux et dangereux. Le confinement partiel déjà en place en Allemagne depuis fin 2020, et programmé jusqu’au 28 mars, pourrait être prolongé au moins jusqu’au 18 avril, selon un projet gouvernemental.

Une douche froide pour l’opinion allemande, usée comme ailleurs par un an de pandémie. Les restrictions sanitaires alimentent la colère de certains qui les assimilent à une forme de « dictature ». Par milliers, ils l’ont fait savoir samedi lors de manifestations en Autriche, en Bulgarie, en Grande-Bretagne, en Suisse ou en Allemagne. « Arrêtez la terreur Corona » ou « le Covid est un canular », pouvait-on lire sur certains panneaux brandis par les manifestants, de Montréal à Belgrade.

La lassitude pousse aussi une partie de la population à négliger gestes barrières et distanciation sociale. Quelque 6 500 personnes sans masques se sont rassemblées pour célébrer le carnaval à Marseille, dans le sud de la France. Un rassemblement non autorisé qualifié d’« irresponsable » par la police qui est intervenue pour disperser les fêtards. Ailleurs dans le monde, les vaccinations s’intensifient aussi dans l’espoir d’enrayer l’épidémie qui a déjà fait plus de 2,7 millions de morts dans le monde.

Épidémie hors de contrôle au Brésil

Le Fonds souverain russe (RDIF) a annoncé lundi un accord avec le groupe pharmaceutique indien Virchow Biotech pour produire en Inde 200 millions de doses du vaccin Spoutnik V. Au Brésil, où l’épidémie est hors de contrôle, le gouvernement a levé dimanche l’obligation faite aux autorités locales de réserver des stocks de vaccins pour la seconde injection, dans le but d’accélérer la vaccination.

Aux États-Unis, trois millions de doses de vaccins par jour ont été administrées pour la première fois lors de deux journées consécutives, nouvelle illustration d’une campagne de vaccination qui continue de monter en puissance, selon les chiffres officiels publiés dimanche. Et à Genève, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se prépare à publier, probablement cette semaine, le rapport très attendu de ses experts dépêchés en janvier en Chine pour étudier les origines de la pandémie.

AFP

Consultations médicales gratuites, sensibilisation sur les mesures barrières contre le Covid,..: Vincent Adjomatin et l’Ong ‘‘Les Grâces de la Bonne Semence’’ soucieux du bien-être des populations de Zè

L’Organisation non gouvernementale (Ong) ‘‘Les Grâces de la Bonne Semence’’, présidée par l’Apôtre Fondateur Vincent Adjomatin  se préoccupe du bien-être des populations de Zè. Preuve, elle a initié une campagne de formation et de sensibilisation sur les mesures barrières contre le Covid- 19, des consultations médicales  gratuites à l’endroit des fidèles de l’Eglise évangélique de la bonne semence en christ (EBSC). C’était ce dimanche 21 mars 2021 dans le village d’Acadjamè.

Appendice de l’Eglise évangélique de la bonne semence en christ (EBSC), l’Ong ‘‘Les Grâces de la Bonne Semence’’ témoigne son attachement à la bonne santé de ses fidèles, mais aussi et surtout des populations de Zè.

A la quête de la « perfection », elle a organisé une campagne de sensibilisation sur les mesures barrières contre le covid 19, distribué gratuitement des masques de protection, et organisé des consultations médicales gratuites.

Evoquant la campagne de sensibilisation sur les mesures barrières et le don gratuit de cache nez, l’Apôtre fondateur Vincent Adjomatin a fait remarquer, que l’Ong vient accompagner les louables efforts du Gouvernement du président Patrice Talon pour enrayer la propagation de la pandémie du Covid 19 au Bénin.

Le président de l’Ong a profité pour féliciter le président Talon  qui a « renforcé les moyens et l’équipe d’intervention rapide aux côtés des personnes détectées positives  au Covid 19 ».

« Au nom de l’Association et en mon nom personnel, je transmets par ce canal, mes sincères remerciements à ce digne fils du Bénin, le président Patrice Talon, citoyen du monde entier pour sa magnanimité sans réserve aux côtés des populations », a reconnu le président de l’Ong ‘‘Les Grâces de la Bonne Semence’’.

Au sujet de les consultations !médicales, l’Apôtre Fondateur Vincent Adjomatin  a souligné qu’elles s’inscrivent dans la poursuite des actions entamées depuis plus d’une décennie pour l’éradication de certaines maladies susceptibles d’être maitrisées par l’éducation et la sensibilisation sur les mesures préventives comme l’hypertension le diabète, l’hépatite, …

Aussi a-t-il levé un coin de voile sur le soutien de l’ong pour l’accès à l’eau potable, le soutien aux femmes enceintes.

Avant ça, Roméo Magnidet, médecin généraliste a sensibilisé les fidèles de  l’EBSC sur l’état de santé, l’hygiène, l’alimentation, …

Heureux des enseignements reçus et de l’initiative, les fidèles ont témoigné leur gratitude à l’Apôtre Fondateur Vincent Adjomatin et à l’Ong  ‘‘Les Grâces de la Bonne Semence’’, tout en plaidant pour la continuité de tels actes.

 Enregistrée sous le n°2010/153/SG/STCCD/SA du 09 juillet 2020, l’Ong  ‘‘Les Grâces de la Bonne Semence’’ apporte son soutien aux couches défavorisées et intervient dans les domaines de l’éducation (assistance aux enfants orphelins et déshérités quant à leur orientation, alphabétisation, formation pour l’insertion des jeunes dans la vie active…), du genre et du développement (lutte contre le trafic et l’exploitation des enfants, prise en charge des personnes de 3ème âge, émergence économique et sociale de la femme,…),…

Manassé AGBOSSAGA

Covid-19 : le vaccin d’AstraZeneca également suspendu en France

Emmanuel Macron a annoncé ce lundi la suspension temporaire de ce vaccin, comme l’Allemagne et l’Italie quelques minutes plus tôt.

a France suspend l’utilisation du vaccin contre le Covid-19 du laboratoire anglo-suédois AstraZeneca à titre préventif après le signalement d’effets secondaires, a annoncé lundi Emmanuel Macron. Quelques heures plus tôt, l’Italie et l’Allemagne avaient annoncé une décision similaire. L’institut médical Paul-Ehrlich, qui conseille le gouvernement allemand, « estime que d’autres examens [sont] nécessaires », après des cas de formation de caillots sanguins chez des personnes vaccinées en Europe, a précisé un porte-parole du ministère, et alors que plusieurs pays ont déjà pris une telle mesure.

La veille, le gouvernement néerlandais a décidé de suspendre l’utilisation de ce vaccin par précaution, jusqu’au 28 mars inclus, après que des « effets secondaires possibles » ont été rapportés au Danemark et en Norvège avec le vaccin AstraZeneca, sans lien avéré à ce stade, selon le ministère de la Santé. Plus tôt dans la journée, l’Irlande avait pris la même décision après le signalement en Norvège de quatre nouveaux cas graves de caillots sanguins chez des adultes vaccinés. La Norvège, qui a signalé samedi également des hémorragies cutanées chez des jeunes vaccinés, avait suspendu le vaccin la semaine dernière, comme le Danemark, l’Islande et la Bulgarie.closevolume_off

Les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône suspendent également le vaccin

En France, les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône ont indiqué qu’ils suspendaient l’utilisation du vaccin contre le Covid-19 d’AstraZeneca pour vacciner leur personnel, après la survenue d’effets indésirables chez un pompier. En effet, un pompier d’Arles a été hospitalisé pour une arythmie cardiaque après sa première injection. « Par mesure de précaution, nous avons suspendu la deuxième injection du vaccin AstraZeneca », a indiqué une porte-parole du service départemental d’incendie et de secours (SDIS) à l’Agence France-Presse. Contactée, l’agence régionale de santé n’était pas disponible immédiatement pour réagir.

Selon une source proche du dossier, cette décision ne concerne que les pompiers du département des Bouches-du-Rhône. Le pompier d’Arles qui a présenté une arythmie après avoir été vacciné le 8 mars « va beaucoup mieux » lundi, selon le SDIS. Une soixantaine de pompiers des Bouches-du-Rhône ont reçu une première dose du vaccin d’AstraZeneca la semaine dernière. Dans les centres de vaccination publics où ils interviennent auprès de la population, les pompiers utilisent le vaccin des compagnies Pfizer-BioNTech, ont-ils précisé à l’Agence France-Presse.

Quelques heures auparavant, le codéveloppeur du vaccin d’AstraZeneca et de l’université d’Oxford a assuré de la sûreté du sérum. Il y a « des preuves très rassurantes qu’il n’y a pas d’augmentation du phénomène de caillot sanguin ici au Royaume-Uni, où la plupart des doses en Europe ont été administrées jusqu’à présent » a déclaré, lundi, à la BBC le professeur Andrew Pollard. Il a souligné l’importance de poursuivre la vaccination contre le coronavirus, maladie qui présente un « énorme risque » pour la santé.

« Aucune preuve d’un risque accru »

Dans un communiqué publié dimanche, AstraZeneca a indiqué qu’un « examen attentif de toutes les données de sécurité disponibles sur plus de 17 millions de personnes vaccinées dans l’Union européenne et au Royaume-Uni » avec son vaccin « n’a apporté aucune preuve d’un risque accru d’embolie pulmonaire, thrombose veineuse profonde (TVP) ou de thrombocytopénie dans aucun groupe d’âge, de genre, de lot ou de pays particuliers ».

« Environ 17 millions de personnes dans l’Union européenne et au Royaume-Uni ont maintenant reçu notre vaccin, et le nombre de cas de caillots sanguins signalés dans ce groupe est inférieur aux centaines de cas auxquels on pourrait s’attendre dans la population générale », a comparé le Dr Ann Taylor, médecin-chef, dans ce communiqué.

AFP

Etats-Unis: Un syndrome inflammatoire chez les enfants inquiète

Les chercheurs ont découvert que 48% des patients avaient reçu un diagnostic de syndrome inflammatoire généralisé et 52% avaient reçu un diagnostic de Covid-19.

Dès le début de l’épidémie de Covid-19, des professionnels de santé ont remarqué que des symptômes de la maladie de Kawasaki pouvaient survenir chez les enfants touchés par la Covid-19. En parallèle, depuis le mois de janvier, une hausse du nombre de cas du syndrome inflammatoire généralisé a été observée aux États-Unis.

Si aucun lien n’a été fait avec le virus pour le moment, les chercheurs ont pourtant constaté que l’évolution de l’incidence de ce syndrome semble suivre celle de la crise sanitaire comme le rapporteLa Dépêche. Aux Etats-Unis, les scientifiques ont mis en avant la présence de certains symptômes : une fatigue intense, une confusion, des difficultés respiratoires, des yeux rouges, des douleurs abdominales, une diarrhée, des rougeurs cutanées. Des manifestations proches de celles de la maladie de Kawasaki. Les deux pathologies ont d’ailleurs longtemps été confondues au début de l’épidémie de Covid-19.

Une contamination au Covid-19 ?

Si ce syndrome inflammatoire multisystémique est maintenant identifié, il suscite encore certaines interrogations dont son origine et son lien possible avec la Covid-19. Aux Etats-Unis, des médecins de plusieurs hôpitaux ont observé une hausse du nombre de cas quatre à six semaines après un pic de cas liés au virus. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta, une augmentation des cas a également été rapportée au mois de mars. 

Les médecins ont également constaté que de nombreux jeunes patients avaient bien été touchés par la Covid-19 avant de souffrir de ce syndrome spécifique. Les chercheurs ont comparé les caractéristiques cliniques et les résultats des enfants et des adolescents atteints de MIS-C à ceux atteints d’une forme grave du Covid-19. L’analyse a inclus une série de cas de 1 116 patients âgés de moins de 21 ans hospitalisés entre le 15 mars et le 31 octobre 2020 (avec un suivi jusqu’au 5 janvier 2021) dans 66 hôpitaux américains dans 31 États.

Sensibiliser les parents

Selon les données rapportées par les scientifiques, 48% des patients avaient reçu un diagnostic de MIS-C et 52% avaient reçu un diagnostic de Covid-19. Par rapport aux patients atteints de Covid-19, les patients atteints de MIS-C étaient plus susceptibles d’être âgés de 6 à 12 ans (40,8% contre 19,4 %). De plus, les patients atteints de MIS-C étaient plus susceptibles que les patients Covid d’avoir une atteinte cardiorespiratoire, une atteinte cardiovasculaire sans atteinte respiratoire et une atteinte mucocutanée sans atteinte cardiorespiratoire.

« Le MIS-C se distinguait par certaines caractéristiques démographiques et présentations cliniques, notamment le fait d’être âgé de 6 à 12 ans, d’être de race noire non-hispanique, d’avoir une atteinte cardiovasculaire ou mucocutanée sévère et d’avoir une inflammation plus extrême », ont rapporté les auteurs. Face à la recrudescence des cas, les médecins américains veulent sensibiliser les parents : « Face à un ou plusieurs des symptômes de ce syndrome, il faut contacter immédiatement le service des urgences. »

Santé Magazine

Covid 19: La France ne suspend pas la vaccination avec AstraZeneca

Il n’y a « pas lieu de suspendre » les injections du vaccin anti-Covid d’AstraZeneca en France, a jugé le ministre de la Santé, Olivier Véran, ce jeudi 11 mars, alors que trois pays ont décidé de le suspendre par précaution le temps de statuer sur d’éventuels effets indésirables. Peu cher, facile à stocker… pourquoi le vaccin AstraZeneca pourrait être une très bonne nouvelle dans la lutte anti-Covid

« Le bénéfice apporté par la vaccination est jugé supérieur au risque à ce stade », a affirmé Olivier Véran en conférence de presse. Le Danemark, la Norvège et l’Islande ont pris la décision inverse en raison de craintes liées à la formation de caillots sanguins, mais ce risque n’est statistiquement pas plus fort chez les patients vaccinés avec AstraZeneca que chez les autres, a souligné Olivier Véran.

Le vaccin AstraZeneca a la confiance de l’Europe

L’Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé de poursuivre les injections. La position du comité de sécurité de l’Agence européenne des médicaments « est que les avantages du vaccin continuent de l’emporter sur ses risques et que le vaccin peut continuer à être administré pendant que l’enquête sur les cas de thromboembolies est en cours », a déclaré l’agence après les décisions des trois pays nordiques.

Selon l’EMA, en l’état des informations disponibles, le risque d’une plus forte coagulation sanguine chez les personnes vaccinées contre le Covid-19 « n’est pas supérieur à celui observé sur l’ensemble de la population ».

Selon son dernier comptage en date de mardi, seulement 22 cas de thromboses avaient été signalés pour plus de trois millions de personnes vaccinées dans sa zone (UE, Norvège et Islande).

www.nouvelobs.com

Covid : la Chine va généraliser le test anal aux arrivants étrangers

Le journal « The Times » révèle que la Chine va généraliser les dépistages par voie rectale dans ses aéroports. Une pratique jugée dégradante par de nombreux pays.

Le depistage par voie rectale permettrait notamment de reduire le taux de faux negatifs (illustration).

C’est un dossier qui pourrait devenir un sujet de crispation entre la Chine et les autres pays du monde. Fin février, deux diplomates américains s’étaient plaints d’avoir subi un dépistage anal du Covid-19. Une information qui avait alors été démentie par Pékin. Mais, selon les informations du quotidien britannique The Timescette méthode de test pourrait désormais devenir obligatoire pour tous les voyageurs étrangers arrivant dans le pays. 

Certains médecins estiment en effet que le recours à un écouvillon anal constitue une méthode plus fiable que les autres solutions utilisées pour détecter le Covid-19. L’infection resterait visible plus longtemps dans l’anus que dans les voies respiratoires. Le dépistage par voie rectale permettrait ainsi de réduire le taux de faux négatifs. Comme le détaille Reuters, ces tests sont déjà obligatoires dans les aéroports de plusieurs villes comme Pékin et Shanghaï mais aussi dans le port de Qingdao. Des plateformes de tests vont être aménagées. Mais la solution choisie par la Chine pour endiguer l’épidémie fait polémique car jugée humiliante. 

Les autorités japonaises protestent

Mardi 2 mars, Tokyo a demandé à la Chine de ne pas pratiquer de test de dépistage du Covid-19 par prélèvement anal sur les citoyens japonais. Les autorités déplorent notamment la « souffrance psychologique » engendrée par le procédé. Une requête officielle a été transmise à la Chine via l’ambassade nippone à Pékin. Les méthodes de prélèvement chinoises sont « basées sur la science » et « en accord avec l’évolution de la situation épidémiologique et les lois et règles en vigueur », a affirmé un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, interrogé sur la question, par l’Agence France-Presse

Ce type de test n’est toutefois pas uniquement réservé aux étrangers. Au mois de janvier déjà, les autorités chinoises de plusieurs villes y ont eu recours face à une flambée des cas infectieux. Par ailleurs, la Galice, en Espagne, a aussi recours à cette méthode dans ses hôpitaux. Ils sont toutefois spécifiquement réservés aux patients intubés en condition critique pour lesquels il n’est pas possible de réaliser un test nasal. 

Selon les données de l’université Johns-Hopkins, la Chine compte un peu plus de 100 000 cas depuis le début de l’épidémie de Covid-19 et déplore moins de 5 000 décès. Les chiffres officiels restent toutefois sujets à caution. 

Le Point.Fr

Bénin/Covid 19 : Intox ! Pas de confinement ou de cordon sanitaire décidé par le Gouvernement

Archi faux !  A travers un message laconique sur ses canaux,  le Gouvernement  a démenti l’information faisant état de la reprise du confinement ou d’un cordon sanitaire, face à la montée des cas liés à la pandémie du Covid 19.    

« A la date de ce 3 mars 2021, aucun confinement, aucune mise en place de cordon sanitaire n’est décidée au Bénin dans le cadre de la gestion Covid-19. Merci de continuer à respecter les gestes barrières et à appeler le 136 », rassure le Gouvernement béninois..

À la date du 1er mars 2021, le Bénin compte 1033 cas actifs pour un total 6071 cas confirmés dont 4963 guéris et 75 décès.

Manassé AGBOSSAGA