Présidentielle du 11 avril : « Troisième mascarade électorale et troisième revers d’enfer pour l’autoproclamé « compétiteur né » », constate le journaliste Kindoho

Dans une tribune intitulée ‘‘TALON ET « SON » PEUPLE : L’APARTÉ INCONGRU’’, le journaliste Déo Gratias Kindoho, ancien soutien du candidat Patrice Talon, devenu président en 2016  apprécie la présidentielle du 11 avril 2021. Pour lui, il s’agit d’une  « troisième mascarade électorale » et un « troisième revers d’enfer pour l’autoproclamé « compétiteur né » ». Lire son développement.

« TALON ET « SON » PEUPLE : L’APARTÉ INCONGRU

Troisième mascarade électorale et troisième revers d’enfer pour l’autoproclamé « compétiteur né » qui, depuis trois ans, fuit toute compétition électorale comme la chiasse s’échappe des tripes. Chacune de ses aventures cavalières et solitaires s’est étouffée dans l’énorme silence assourdissant que lui ont objecté ses compatriotes.

Après avoir, de main de maître, assis le monopole de ses deux partis politiques aux élections législatives puis aux communales, c’était cette fois à son tour de bénéficier en personne, des fantaisies du dispositif conçu dans son antre et par ses soins pour faire plier tous les scrutins avant l’heure. C’en était la principale vocation.

A la présidentielle de ce dimanche, il était seul en lice. Pratiquement. Les deux têtes à claques qu’il s’est dégotés pour assurer la figuration, n’y ont vu que de la fumée. Il a occupé tout l’espace durant la campagne électorale, du grand affichage aux grandes manifestations, en passant par les petits rassemblements épars. Il s’est attaché les services de tous les griots et de tous les artistes, chanteurs et comédiens, braillards et pitres, dont le flair se trompe rarement sur l’odeur de l’oseille. Il a fait et refait le tour du pays, seul. Il a imaginé tous les documents d’identification imaginables, jusqu’à la carte d’identité scolaire, pour valoir cartes d’électeurs et susciter de l’affluence dans les bureaux de vote. Tout cela pour se retrouver finalement avec une participation encore plus minable qu’au sortir des deux précédents simulacres d’élection qu’il avait organisés. Une participation tellement insignifiante que ses obligés ont dû recourir à des votes multiples et à des bourrages d’urnes afin de lui sauver la mise. Des observateurs assermentés l’ont rapporté. Des vidéos existent également, qui montrent des agents électoraux tamponner vigoureusement des bulletins de vote – devinez sur quel logo ils ont apposé les cachets – et les enfoncer, par lots entiers, dans des urnes quasi vides. La plupart des personnes qui ont commis ces actes hautement répréhensibles, n’ont pas eu l’air de s’en inquiéter. C’est à présent entendu : se dévouer à la cause du président-candidat immunise contre les poursuites judiciaires. La kakabétisation de l’élection présidentielle n’est pas le seul procédé qu’il aura copié chez son doyen le pachyderme. Il lui a piqué aussi l’idée de suppléance des électeurs boudeurs par des agents bourreurs. Si nos scrutins étaient loin d’être parfaits, ils n’étaient pas si frelatés, non plus. Contrairement aux tripatouilleurs d’hier, ceux de l’ère de la Rupture voient les fraudes en grand, n’ont pas de scrupule, manigancent dans l’arrogance et narguent leurs dénonciateurs, à visage découvert.

Pour ce que nous avons observé sur le terrain ce dimanche, Patrice Talon et « son » peuple – j’ai volé l’expression aux dithyrambes que lui consacre habituellement la presse partenaire – ne pèsent pas un kilogramme sur la balance pendant qu’ils prétendent peser des tonnes. Le président de la République en serait le dernier surpris. Il se savait impopulaire, de ses propres aveux. Il ne se serait pas porté candidat à cette élection présidentielle s’il avait été conséquent avec lui-même. Si la compétition avait effectivement eu lieu, il ne serait pas allé au second tour. Il avait tout verrouillé, pensait avoir résolu la plus difficile équation. Et alors qu’il a usé de ruse et de forcings pour se hisser seul contre personne, l’abstention massive qu’il récolte à nouveau, vient lui rappeler qu’il échouera encore et encore.

Le taux de participation de ce scrutin devrait être le plus bas jamais enregistré à une présidentielle au Bénin depuis le renouveau démocratique. Mais le Chef de l’État sortant peut toujours compter sur la CENA et la Cour Constitutionnelle pour raboter les rugosités gênantes. Le président de la Commission électorale nationale autonome a déjà planté le décor : l’élection s’est déroulée sans incident majeur susceptible d’entacher le vote. Puis-je renchérir son constat, en rappelant que les premières heures de ce dimanche, jour de vote, ont été arrosées de coups de feu dans le Centre du pays, qu’une ville entière et plusieurs arrondissements d’autres communes n’ont pu abriter les opérations de vote pour cause de violences. Mais tout va bien. Même avec 05% de taux de participation, le président de la République sera déclaré réélu.

Chaos Guidjooooooooo ! »

Déo Gratias Kindoho vit une «torture»: «Ça fait plus d’un an qu’il n’est plus utilisé », dénonce un collègue du journaliste de l’ORTB

La situation du journaliste Déo-Gratias Kindoho vire au drame. Empêché d’antenne, le journaliste vit une véritable « torture ». Du moins, selon son collègue Didier Hubert Madafimè.

La situation du journaliste Déo-Gratias Kindoho vire au drame. Empêché d’antenne, le journaliste vit une véritable « torture ». Du moins, selon son collègue Didier Hubert Madafimè.

A travers un texte publié sur sa page Facebook, il a révélé  comment notre confrère est traité par les responsables de l’ORTB.

Déo Gratias Kindoho

  « Ça fait plus d’un an qu’il n’est plus utilisé: ni reportage ni présentation. Tous les jours il est là, à ne rien faire », dénonce  Didier Hubert Madafimè.

Il confie que des démarches ont pourtant été entreprises pour mettre fin à cette « torture ».

« …Le Dg sait là où se trouve Deo-Gratias Kindoho. Il y a eu des échanges de correspondance entre les deux et même des rencontres d’explication entre le Dg et son collaborateur … Je suis allé voir le Directeur de la radio pour qu’il arrête cette torture contre Deo –Gratias,   une fois, le Dg à l’origine de la situation débarqué, mais rien », confie t-il.

Et de prévenir « Si la cabale continue, on sera dans la triste obligation de sortir tous les documents ».

Manassé AGBOSSAGA

INTEGRALITE DE LA PUBLICATION DU JOURNALISTE MADAFIME

« Je n’ai pas écouté, moi-même, mais j’ai été informé d’un communiqué demandant à

Deo Gratias Kindoho

de reprendre le boulot, faute de quoi, il est considéré comme démissionnaire à partir d’une certaine date. Celui qui a rédigé le communiqué ne s’est pas bien renseigné et je suis sûr que ça ne vient pas de la Direction Générale. Le Dg sait là où se trouve Deo-Gratias Kindoho. Il y a eu des échanges de correspondance entre les deux et même des rencontres d’explication entre le Dg et son collaborateur . Ça fait plus d’un an qu’il n’est plus utilisé: ni reportage ni présentation. Tous les jours il est là, à ne rien faire. Je suis allé voir le Directeur de la radio pour qu’il arrête cette torture contre Deo -Gratias, une fois, le Dg à l’origine de la situation débarqué, mais rien. C’est vrai que Deo est une forte tête mais, c’est l’un des meilleurs journalistes de sa génération. Il est aussi l’un des rares à faire de l’équilibre de l’information le principe sacro-saint de son métier. Il décide de saisir une opportunité et les méchants, ceux qui lui pourrissent la vie, se saisissent de l’occasion. Il demande un détachement, ce qui est normal et reconnu par le statut des agents de l’ORTB et on lui impose une mise en indisponibilité. Il connaît bien la difficulté entre les deux. Ça a traîné au point où il a fallu écrire des lettres d’excuses à ces nouveaux patrons. Finalement, il est parti. Ou se trouve l’abandon de poste. Il a suffisamment le temps pour que ceux qui lui ont pourri la vie ne soient plus au poste ou au pouvoir, à son retour, afin que sa réintégration se passe sans problème. Tout finit par finir. Si la cabale continue, on sera dans la triste obligation de sortir tous les documents ».

Kpakpato Sans Payer : Le journaliste Déo Gratias Kindoho révèle pourquoi il est « privé d’antenne » sur la radio nationale

Les auditeurs et auditrices de la radio nationale ont sans doute fait le constat. Déo Gratias Kindoho, l’excellent journaliste à la voix particulière est depuis plusieurs mois absent sur la 98.2 Fm. A-t-il des ennuis de santé ? A-t-il été radié ? A-t-il quitté le pays ? Les kpakpatoyas sont allés dans tous les sens.

Les auditeurs et auditrices  de la radio nationale ont sans doute fait le constat. Déo Gratias Kindoho, l’excellent journaliste à la voix particulière est depuis plusieurs mois absent sur la 98.2 Fm. A-t-il des ennuis de santé ? A-t-il été radié ? A-t-il quitté le pays ? Les kpakpatoyas sont allés dans tous les sens.

Mais sur sa page facebook, l’intéressé a apporté des clarifications. Déo Gratias Kindoho a révélé pourquoi il est « privé d’antenne » sur la radio nationale.

« On m’a privé d’antenne et empêché de faire mon travail,  parce que je pourfends la gouvernance Talon sur mes espaces personnels et ai refusé de me soumettre à la propagande dans l’exercice de ma profession. Je me suis toujours dressé – depuis le début de ma carrière professionnelle – contre les entorses à la déontologie et à l’éthique. Que ce fût sous le Président Mathieu Kérékou ou sous Boni Yayi. Et j’ai toujours pourfendu les dérives de nos dirigeants, sous le ton qui est le mien et la plume qui va avec. Cela s’entend, j’en ai recolté plus d’ennuis qu’autre chose de la part des décideurs. Mais c’est bien la première fois que je ne peux pas exercer ma profession à cause de mes prises de position contre les dérives de nos gouvernants et en faveur d’un respect strict des normes du journalisme », a-t-il confié.

Malgré cette douloureuse situation qui affecte ses auditeurs, le journaliste dit avoir la conscience tranquille. «  Qu’à cela ne tienne! Je maintiens que ma conscience et ma sérénité ne s’en portent que mieux », fait savoir notre confrère.

Courage à lui !!!

Manassé AGBOSSAGA

Suspension des émissions de la radio Soleil Fm par la Haac: Colère des acteurs du monde des médias, de la politique, de la société civile

La radio privée Soleil Fm est interdite d’activités. Pour cause, par décision en date du mardi 17 décembre 2019, la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac) a suspendu jusqu’à nouvel ordre les émissions de la radio pour non renouvellement de la convention, arrivée à expiration. Une décision critiquée par les acteurs du monde des médias, de la société civile, de la politique. Kpakpato Médias vous propose à effet les réactions de l’animateur du Café africain des néo philosophes, Simon Narcisse Tomèty, du président du Patri pour la libération du peuple, (PLP), Léonce Houngbadji, Daniel Edah, ancien candidat à la présidentielle de 2016, des journalistes Déo Gratias Kindoho et Tanguy Agoï…

La radio privée Soleil Fm est interdite d’activités. Pour cause, par décision en date du mardi 17 décembre 2019, la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac) a suspendu jusqu’à nouvel ordre les émissions de la radio pour non renouvellement de la convention, arrivée à expiration. Une décision critiquée par les acteurs du monde des médias, de la société civile, de la politique. Kpakpato Médias vous propose à cet effet les réactions de l’animateur du Café africain des néo philosophes, Simon Narcisse Tomèty, du président du Patri pour la libération du peuple, (PLP), Léonce Houngbadji, Daniel Edah, ancien candidat à la présidentielle de 2016, des journalistes Déo Gratias Kindoho et Tanguy Agoï, obtenues sur leurs pages facebook.

Tanguy Agoï, Journaliste à Canal 3 Bénin : « De cœur avec ces nouveaux nombreux collègues mis au chômage »

« De cœur avec Soleil Fm obligée d’arrêter d’émettre depuis 00h ce matin. De cœur avec ces nouveaux nombreux collègues mis au chômage. De cœur avec la liberté d’opinion entravée. De cœur avec le droit d’information éteint. De cœur avec la démocratie endeuillée….. L’ignorance, l’obscurantisme et la pénombre sur les esprits ne nuisent pas uniquement à ceux à qui ils voilent la vue. Il arrive que le voleur se cogne la tête dans le noir qui lui a profité pour faire son vol ».

Déo Gratias Kindoho, Journaliste à Radio Bénin : «Nous sommes dans un pays où la vitalité de la presse se mesure à la quantité de titres siamois, de manchettes dithyrambiques célébrant le pouvoir dit de la rupture » 

« La radio Soleil fm s’est éteinte cette nuit, sur injonction de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC). Sa licence d’exploitation est arrivée à expiration et malgré sa demande de renouvellement introduite depuis plusieurs jours auprès de l’institution, il n’y aura pas de suite, jusqu’à nouvel ordre.

Malheureusement, Soleil fm ne pourra compter que sur elle-même et sur quelques médias/journalistes – bien peu nombreux – pour compatir et faire écho au drame qui la touche.

Nous sommes dans un pays où la vitalité de la presse se mesure à la quantité de titres siamois, de manchettes dithyrambiques célébrant le pouvoir dit de la rupture ou ses satellites et censurant ou vilipendant les voix défavorables au prince.
La presse partenaire a le sourire, tout va bien.

#BéninPolitique #BéninoiserieRévélée »

Simon Narcisse Tomèty, Animateur du Café africain des néo philosophes : « Ils ont fermé notre radio préférée »

« Hommage à Radio Soleil Fm

La vie n’est qu’audace et espérance même si tous, nous allons mourir un jour malgré nos orgueils qui ont trop de limite face aux surprises divines.

Ils ont fermé notre radio préférée mais qu’ils viennent fermer aussi nos cœurs. Il ne reste que ce seuil à franchir.

Radio Soleil Fm, Tomety Simon-Narcisse et ses amis vous proclament
* la radio patriotique d’excellence pour l’année 2019* au nom du rôle inédit que nous jouons au Bénin en matière de promotion de la transformation de l’habitant en citoyen.

Le Café Africain des Néo-Philosophes est très fier de vous. C’est une radio de rayonnement de la sagesse authentique. Vous avez brisé l’arrogance et le mythe de la pensée unique. Encore un sale temps pour l’image du Bénin dans le monde.

« Étê kassomon. Minanmi temps. »

Félicitations et gratitude pour votre bravoure et votre remarquable contribution à l’éducation à la citoyenneté.

Un grand merci pour votre contribution à la conservation des vestiges de la démocratie larvaire du Bénin et à la paix fragile. Les larves ne mourront pas. Vous demeurez la vitrine de la contradiction pour rechercher la vérité. Soyez bénis! Que d’admiration pour cette radio, ses animateurs et techniciens.

Simon-Narcisse Tomety
Vétéran de la conférence nationale
Animateur du Café Africain des Néo-Philosophes »

Daniel Edah, ancien candidat à la présidentielle de 2016 : « …atteinte à la liberté d’expression »

« SOLIDARITÉ AVEC LA RADIO SOLEIL FM

J’ai une pensée forte pour la direction et les travailleurs de la Radio Soleil FM !

Quel que soit le secteur d’activité et quelle que soit la raison, toute entreprise fermée ou suspendue dans notre pays équivaut à des emplois suspendus ou supprimés.

Et quand il s’agit d’une entreprise de presse à ligne éditoriale non favorable au régime, toute lenteur administrative dans le renouvellement de sa convention qui l’amènerait à cesser de fonctionner est une atteinte à la liberté d’expression et à la démocratie en plus des emplois qu’elle met en danger.

Vivement que la HAAC qui n’avait pas su soutenir la Radio Soleil FM quand elle était brouillée fasse diligence afin qu’elle ait sa convention renouvelée pour reprendre ses émissions et sauver les emplois en danger!

IL FERA BEAU

Dieu bénisse le Bénin !

18 décembre 2019

DANIEL EDAH »

« Léonce Houngbadji, président du PLP : « Cette mesure est arbitraire et nous la condamnons fermement ».

« Déclaration de presse sur la fermeture de Soleil FM par la HAAC

Par décision en date du mardi 17 décembre 2019, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) a suspendu, jusqu’à nouvel ordre, les émissions de la radio Soleil FM, après avoir bloqué sciemment le processus de renouvellement de la convention qui lie les deux parties, processus enclenché dans les délais règlementaires par les responsables de ladite radio.

Cette mesure, qui intervient après le piratage d’Etat de la radio Soleil Fm, la fermeture du journal La Nouvelle Tribune par la même HAAC et les attaques répétées contre la télévision Sikka Tv, est arbitraire et nous la condamnons fermement.

Outre l’impact dangereux de cette action sur le pluralisme des médias et la liberté de la presse au Bénin, le ciblage de Soleil FM est particulièrement préoccupant. Il va à l’encontre des principes démocratiques, notamment de la Constitution du 11 décembre 1990.

La suspension jusqu’à nouvel ordre des émissions de Soleil FM constitue une menace grave pour la démocratie chèrement acquise au Bénin. Elle apparaît comme une réaction injustifiée visant à cibler explicitement les organes de presse dont l’indépendance vis-à-vis de l’action gouvernementale est avérée.

Le Bénin entre dans une ère où la prise de la parole est très difficile en raison des complots, intimidations, pressions, arrestations et menaces de tous genres sur des responsables d’organes de presse, journalistes, opposants politiques, web activistes et défenseurs des droits de l’homme.

L’attitude irresponsable de la HAAC représente un véritable danger pour la survie des médias libres au Bénin. C’est pourquoi nous avons immédiatement transmis nos vives préoccupations aux organisations internationales compétentes afin qu’elles prennent la pleine mesure des attaques récursives contre la liberté de la presse au Bénin.

La décision de la HAAC est inacceptable et nous l’invitons à mettre fin à sa campagne de censure contre les médias privés qui osent accorder la parole à tous les courants d’expression du pays. La HAAC, institution constitutionnelle, doit respecter ses engagements de protéger et renforcer la liberté de la presse reconnue et garantie par l’Etat tel que prescrit par la Constitution du 11 décembre 1990.

Nous exprimons tout notre soutien aux responsables, à tous les employés ainsi qu’aux fidèles auditeurs de Soleil FM.

Nous continuerons le combat au nom du peuple béninois, dans le but d’empêcher les hyènes déguisées en adeptes vertueux de la démocratie, mais désormais à découvert, d’instaurer dans notre pays, la pensée unique et le culte de la dictature.

Fait à Paris, le 17 décembre 2019

Léonce HOUNGBADJI

Président du Parti pour la Libération du Peuple (PLP) »

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