Les aspirants au métier d’enseignant plaident pour l’amélioration de leurs conditions de vie à la veille de la rentrée scolaire 2020-2021. Ils ont notamment choisi le Conseil national de l’Education pour porter leurs doléances au gouvernement.
Les aspirants au métier d’enseignant plaident pour l’amélioration de leurs conditions de vie à la veille de la rentrée scolaire 2020-2021. Ils ont notamment choisi le Conseil national de l’Education pour porter leurs doléances au gouvernement.
En effet, d’après Matin Libre, ces derniers réunis au sein de l’Inter collectif des pré-insérés, composé du Collectif national des enseignants pré-insérés du Bénin (Conepib-Mestfp) et Collectif des enseignants pré-insérés (Cepi-Memp) ont fait part de leurs nombreux problèmes aux membres du Conseil national de l’éducation, en se rendant de l’institution à Agblangandan.
Face aux membres du CNE, ils ont dénoncé leur marginalisation, les traitements peu valorisants en termes des émoluments, le délai du contrat, les déploiements tous azimuts, le non déploiement des aspirants admis au dernier test.
Pour corriger ces insuffisances, le collectif propose de faire passer le contrat des pré-insérés de 9 sur 12 mois à 12 sur 12 mois et surtout de revoir à la hausse les salaires payés aux pré-insérés l’année dernière à compter de cette année scolaire 2020-2021, le maintien au poste des enseignants pré-insérés de l’année scolaire écoulée, sauf ceux qui exprimeront le désir de permutation, le déploiement en priorité des collègues dans la base de données restés non déployés l’année dernière et la proclamation des résultats du dernier test pour fixer les collègues sur leur sort, le paiement de la prime de rentrée aux aspirants au même titre que les ACE et APE, fait savoir Matin Libre.
Les autorités compétentes apprécieront !!!
Manassé AGBOSSAGA