L’He Charles Gagnon  promeut l’excellence à Comè,  les meilleurs enseignants et   apprenants récompensés

 L’He Charles Gagnon a récompensé, samedi 21 septembre 2021, les lauréats aux divers examens de fin d’année ainsi que les meilleurs apprenants des classes intermédiaires de la commune de Comé. C’est à la faveur d’une cérémonie fort simple qui a réuni les autorités politico-administratives de la commune, chefs d’établissements, parents d’élèves et invités.

Fidèle à sa mission, celle de célébrer l’excellence en milieu éducatif, l’He Charles Gagnon n’a pas voulu déroger à la tradition. A travers cette noble initiative, le philanthrope entend non seulement assister les familles afin que les enfants puissent aller à l’école dans les meilleures conditions mais aussi et surtout saluer les efforts des récipiendaires afin de stimuler le goût du travail bien fait auprès d’autres apprenants.

Il s’est réjoui particulièrement des performances capitalisées par les lauréats aux divers examens et ceux des classes intermédiaires au cours de l’année écoulée. Il les a félicités tout en les exhortant à maintenir le cap de l’excellence dans l’intérêt supérieur de leur localité. Toujours dans le souci de bien faire les choses et conscient que les écoles privées aussi contribuent valablement à la formation des enfants, l’He Charles Gagnon a impliqué, cette année, les établissements privés de la commune en récompensant les 10 premiers de chaque classe d’examen.

Composition des prix d’excellence

En effet, les prix d’excellence sont composés, entre autres, de paquets de cahiers, stylos de diverses couleurs, crayons, gommes, vrais dessinateurs et des sacs à dos pour tous les lauréats. Pour cette édition, les 25 meilleurs au Bac de la commune, tous issus des établissements publics et privés ont été sélectionnés par le comité d’organisation présidé par Mike Agbo.

Ainsi, le 1er au Bac de la commune a reçu un ordinateur portatif, un sac à dos et une enveloppe financière, tandis que les 2e et 3e ont reçu chacun un téléphone androïd, un sac à dos et d’enveloppes financières. Quant au reste, ils ont bénéficié d’enveloppes financières et de sacs à dos. De leurs côtés, le 1er au Bepc et le 1er au Cep s’en sortent avec un vélo et des fournitures scolaires pour la rentrée prochaine.

 L'He Charles Gagnon  promeut l’excellence à Comè,  les meilleurs enseignants et   apprenants récompensés

Par ailleurs, l’He Charles Gagnon a primé les lauréats des classes intermédiaires de tous les collèges, à savoir le premier parmi les garçons et la première parmi les filles par promotion (6e,5e,4e,2nd et 1ere), de même que les directeurs d’établissements primaires et du secondaire qui ont brillé par un taux de réussite élevé aux divers examens dans la commune. En dehors des enveloppes financières dont ils ont eu droit, chacun d’eux a reçu de trophée au titre de distinction et de reconnaissance de leur mérite.

Gratitude des apprenants et des parents au donateur

Par la voix de leur porte-parole, Yvanne Hounkpatin, les apprenants ont exprimé toute leur gratitude à l’He Charles Gagnon pour toutes ses actions de développement et de promotion de l’excellence en milieu scolaire. « Cher philanthrope Honorable Charles Gagnon, par ces dons, vous nous avez lancé un grand défi. Nous sommes prêts à le relever car le meilleur cadeau que vous pouvez espérer de nous, en contrepartie, c’est d’avoir encore et encore de brillants résultats au terme de la prochaine année académique », ont-ils souligné, avant de rassurer le donateur qu’ils feront un très bon usage des dons mis à leur disposition. Ils ont aussi remercié leurs enseignants ainsi que leurs parents pour tous les efforts et les sacrifices consentis pour leur garantir un avenir radieux. 

A son tour, le représentant des parents d’élèves, Bernard Akpovi a remercié l’He Charles Gagnon pour cette initiative de célébration et de promotion des talents. Il a ensuite félicité les bénéficiaires notamment les lauréats aux divers examens de fin d’année sans oublier les enseignants qui ont contribué considérablement à ces résultats encourageants. Dans son mot de clôture de cette cérémonie qui a connu la participation de plusieurs cadres de la commune, l’He Charles Gagnon a promis apporter de nouvelles innovations très agréables à la 3eme édition, donc l’année prochaine.

N.K.D

Un enseignant meurt d’une crise cardiaque après avoir appris que son salaire de trois mois sera bloqué par la banque

Tragique ! Un enseignant est décédé d’une crise cardiaque après avoir appris que son salaire de trois mois sera bloqué par la banque

Cela se passe en République démocratique du Congo, précisément dans la ville de kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika,

D’après Newscd.net, l’enseignantKabongo Germain), exerçantà l’École Primaire Lumbwe, est décédé ce vendredi 12 mars 2021, d’une crise cardiaque après avoir appris son salaire de 3 mois sera bloqué par la Banque Trust Merchant Bank(TMB)

Bruno Jibikilayi, président de l’intersyndicale des enseignants de l’EPST/Tanganyika a confirmé la nouvelle lors d’un entretien à 7SUR7.CD.

« On nous a appelé pour nous dire qu’un des enseignants était tombé et qu’il était dans le coma. Quand nous sommes arrivés, on va nous dire qu’il est mort et que la mort de cet enseignant est une situation qui est liée entre lui (l’enseignant ndlr) et la banque. La banque qui paie ici c’est la TMB », a-t-il déclaré d’après des propos rapportés par Newscd.net.
Puis de poursuivre : « L’enseignant est venu voir le directeur le matin en l’expliquant qu’il est passé à la banque et la banque lui a dit qu’elle ne va pas lui payer l’argent durant 3 mois parce qu’en décembre 2020, la banque lui avait remis l’argent de trop ; au lieu de lui remettre 285.000 FC, la banque lui avait remis 750.000 FC. L’enseignant va contredire qu’il avait plutôt reçu 285.000 FC. Il est rentré à la maison avec cette émotion. Il va en parler au directeur. Juste quand il est rentré dans sa classe, il va piquer une crise alors qu’il écrivait au tableau ».

Afrique mon Afrique, continent qui fait souffrir les enseignants….

Manassé AGBOSSAGA

Joseph Tamègnon dénonce l’aggravation de la souffrance des enseignants sous la Rupture

Joseph Tamègnon dénonce l’aggravation de la souffrance des enseignants sous le régime dit de la Rupture. Dans une communication ce vendredi 19 février à l’occasion d’une sortie politique du Groupe national de contact, l’ancien directeur général de la Société de gestion des marchés autonomes a partagé ce constat avec les participants.

Joseph Tamègnon

« Les enseignants n’ont jamais autant souffert comme c’est le cas en ce moment », déplore t-il.

A titre d’exemple, il met en avant l’avènement du vocable «  aspirant ». Joseph Tamègnon  dit  ne rien comprendre de ce concept.

« …j’ai entendu parler d’enseignant qu’on qualifie d’aspirant.  Comment comprenez- vous que des gens qui aspirent à la fonction de l’enseignement soient déjà dans l’enseignement ? », s’interroge t-il avant d’ajouter «   Je n’ai jamais compris ce concept ».

Pour lui, le gouvernement en place a détruit les trois secteurs de l’enseignement sous le prétexte des réformes.

« Patrice Talon a détruit méthodiquement l’enseignement », fustige t-il.

 A chacun son ‘‘kpakpatoya’’ sur ce point de vue.

Manassé AGBOSSAGA

Soupçonné d’abus sexuel sur fillette de 7 ans, un enseignant déposé en prison

Un homme soupçonné  d’avoir abusé sexuellement d’une mineure séjourne depuis ce lundi 16 novembre à la prison civile de Cotonou. Selon Frissons Radio, ce dernier, la cinquantaine environ et enseignant est accusé d’abus sexuel sur une fille de 7 ans.

Après  présentation au procureur, il a été placé sous mandat de dépôt. Ceci en attendant son procès.

Manassé AGBOSSAGA

Talon a roulé les enseignants dans la farine d’après le mouvement ‘‘Galaxy des Vainqueurs’’ : Modus Operandi

Le mouvement ‘‘Galaxy des Vainqueurs’’ se prononce sur l’école béninoise. A travers une déclaration de presse publiée ce lundi 05 octobre 2020 et dont Kpakpato Medias a eu copie, le mouvement par la voix de son porte-parole,  Prudence Tessi fustige le calvaire des enseignants sous la rupture et fait remarquer que ces derniers se sont faits avoir par le candidat Patrice Talon, devenu président de la République. Découvrez comment il a opéré à travers l’intégralité de leur déclaration.

Prudence Tessi, porte-parole du mouvement Galaxy des Vainqueurs

Béninoises et béninois, chers compatriotes, bonjour !

D’entrée nous rendons un hommage à tous les enseignants du monde entier en général et à ceux du Bénin en particulier vous êtes nos héros…

Un hommage aussi mérité à l’ancien président BONI YAYI pour son sens de patriotisme et de reconnaissance en l’endroit de l’enseignant  béninois…

Mesdames et messieurs

Il est vrai qu’au début de l’ère du gouvernement de la rupture, son chantre nous avait annoncé son intention de rompre avec le passé, de faire des réformes profondes presque dans tous les secteurs, car selon lui le pays serait complètement en déconfiture. Seulement, la plupart était loin d’imaginer ce qui se pointait à l’horizon, car obnubilés et hypnotisés par la bagatelle de promesses électorales.

Il faut rappeler à la mémoire collective que le candidat Patrice Talon fut celui qui a le plus séduit les enseignants lors des campagnes pour les élections présidentielles de 2016. Séduit, pas nécessairement dans le bon sens, car de plus en plus de nos jours les enseignants dans leur grande majorité se rendent peu à peu compte du marché de dupe. Pour atteindre son objectif , le chantre du nouveau départ avait qualifié en son temps le statut particulier proposé aux enseignants par celui qui sera par la suite son prédécesseur de chiffon, car disait-il, le contenu était vide et indigne pour tout gouvernement qui se veut responsable et qui a à cœur un système éducatif des plus performants de l’Afrique et du monde. Les promesses étaient si intéressantes les unes que les autres au point où les enseignants, dans leur grande majorité n’ont pas hésité à jeter leur dévolu sur lui.

Cette euphorie fut de très courte durée, car très tôt, le désormais Président de la République, certainement très averti de la peine de son prédécesseur face aux grèves perlées, intempestives et tous azimuts des syndicats a, avec l’appui de l’Assemblée Nationale et de la cour constitutionnelle, quasiment supprimé la grève, l’arme préférée des syndicats, et certainement celle qui les aidait à faire plier les gouvernements qui se sont succédés. Ainsi, les enseignants toute catégorie confondue, se sont retrouvés vulnérables, affaiblis, fragmentés, fragilisés et descendus de leur piédestal par un système qui de jour en jour démontre son aversion au social. Et c’est par là qu’a commencé le cauchemar du monde enseignant. L’affront est si poussé que le chef les a trouvé presque comme de bons à rien car pour lui, ils n’apportent rien au pays, ils ont même été traités moins que les zémidjans (conducteurs de taxi motos) juste parcequ’on estime qu’ils n’apportent pas du cash à la république, chose étonnante n’est-ce-pas ? Malheureusement, ainsi va désormais la gouvernance au pays. Un ministre, et pas des moindres, lors d’une rencontre avec les femmes du marché, se moquant de cette même corporation, disait : ‘’Ils ne prenaient rien comme petit déjeuner, nous leur avons proposé du pâté pour accompagner la bouillie et ils nous ont dit non, qu’ils veulent du croissant’’, enseignant béninois qu’as-tu fais pour mériter un tel sort ? Comme si cela ne suffisait pas, a suivi la vague des différentes évaluations porteuses de noms aussi multiples que variés, toutes destinées à vilipender l’enseignant et à présenter ces pères et mères de familles comme porteurs des péchés du monde.

Parmi cette catégorie socio-professionnelle existe ceux qu’on appelle aujourd’hui les aspirants. Autrefois vacataires, ils constituent plus de 70 % de l’effectif du corps enseignant. Dans cette précarité de la fonction enseignante, les aspirants maillon faible de la chaîne, vivent le martyr et même pire. Si l’enfer existe réellement, c’est que les vacataires (aspirants) au Bénin iront directement au paradis car ils auraient connu l’enfer de leur vivant. Pendant longtemps, ces derniers ont lutté pour leur sédentarisation car la vacation les faisait courir sur des kilomètres, mais au moins l’Etat payait 1 500 f CFA l’heure, contrairement au mensonge grotesque et sans vergogne du ministre à la télé qui parlait de 800 f CFA l’heure, pour justifier sa décision mortifère selon laquelle les aspirants, débutants dans la fonction, exécuteront désormais 30 heures par semaines, ce qui les ramènerait certains à 6 classes et d’autres jusqu’à 15 classes, justement suivant les disciplines et les cycles dont ils auront à charge. Pour quelqu’un qui connait les effectifs dans les classes de nos lycées et collège, lesquels effectifs avoisinent souvent les 60 élèves au bas mot, et même 80 voire 100 dans certains collèges, vous pouvez déjà imaginer les peines de ces enseignants dont le seul tort et péché est de vouloir former les générations futures. Et il n’y a personne pour le dire, pour le dénoncer, pour le fustiger. Nos soient disant têtes couronnées sont où ? Il n’y pas que les déclarations de soutien ou la suscitation de la candidature du prince qui devait les intéresser. Dites aux pasteurs prêcheurs de paroles en lesquelles ils ne croient pas eux-mêmes qu’une fois de se rendre utiles pour la république et de cesser pour une fois de servir leurs ventres. Quelqu’un disait race de vipère, faisons en sorte à ne pas y appartenir.

Son Excellence Monsieur le Président de la République, je ne sais pas si vous le savez, amis il y a certains qui disent qu’il n’y a de richesses que d’homme, une citation à laquelle je crois fermement, et qui de plus en plus est devenue une référence planétaire, inspirez-vous de ça. La course au développement n’est pas synonyme de la clochardisation des citoyens. Comme vos ministres, vos députés et bien d’autres de vos collaborateurs politiques, les enseignants aussi ont besoin d’une vie décente.

Dieu bénisse le Bénin et le béninois

Demain ne meurt jamais

Que sommes-nous devenus dans ce pays ?

Chaque citoyen pourra trouver une réponse adéquate à cette question

Cotonou, le 05/10/2020

Mouvement Galaxy des vainqueurs

Prudence Tessi,Porte-Parole

1ère édition de la CCBD1 : La Chine et le Bénin se donnent la main pour l’éradication de la pauvreté

La première édition du Colloque Chine-Bénin sur le développement (CCBD 1) a réuni des acteurs divers et variés. Etudiants, enseignants, chercheurs, opérateurs économiques, agent de l’Etat, … tous ont répondu à cette assise tenue sous le thème « les expériences d’amélioration des conditions de vie des populations en chine et au Bénin : quelles actions pour les pouvoirs publics ? ».

Le  Centre culturel Chinois de Cotonou a abrité le mardi 15 janvier 2019 la première édition du Colloque Chine-Bénin sur le développement (CCBD 1). Ce rendez-vous qui a connu la participation des autorités béninoises et chinoises à divers niveaux, des enseignants, des chercheurs et autres a permis aux uns et aux autres de réfléchir sur les actions pertinentes à définir pour éradiquer la pauvreté.

Manassé AGBOSSAGA

La première édition du Colloque Chine-Bénin sur le développement (CCBD 1) a réuni des acteurs divers et variés. Etudiants, enseignants, chercheurs, opérateurs économiques, agent de l’Etat, … tous ont répondu à cette assise tenue sous le thème « les expériences d’amélioration des conditions de vie des populations en chine et au Bénin : quelles actions pour les pouvoirs publics ? ».

Et là-dessus, l’Ambassadeur Jingtao Peng a partagé l’expérience de la Chine dans la reforme de l’ouverture. Il a fait savoir que le  succès de la Chine réside dans sa trajectoire de développement adaptée aux conditions nationales, connues sous le nom du socialisme à la chinoise. L’Ambassadeur Jingtao Peng a précisé que ce socialisme comporte quatre caractéristiques   principales qui peuvent être résumées en 4P, à savoir le Parti (parti communiste chinois épine dorsale de la Nation), le Progrès (tache centrale et jamais changer pendant 40 ans), le Peuple (la satisfaction du peuple constitue le critère primordiale et cruciale d’une politique de réforme), la Paix (le développement pacifique est la politique nationale fondamentale de la Chine).

Il a ensuite indiqué que la Chine s’engage à jouer le  rôle de moteur de la croissance économique mondiale, de bâtisseur d’une communauté de destin commun pour l’avenir de l’humanité, mais également participera de façon active à l’ordre international existant.

Pour ce qui est de ses relations avec le Bénin, l’Ambassadeur Jingtao Peng a rassuré que la Chine, qui fête son 70è anniversaire au cours de cette année est prête à œuvrer  pour une coopération gagnant- gagnant,  à engager courageusement la reforme et l’innovation, mais également à   avancer vers la construction d’une communauté de destin commun pour créer un avenir meilleur.

Outre la communication de l’Ambassadeur de Chine au Bénin, objet de riche débats,  les participants ont également échangé autour de trois  communications à savoir « Expériences béninoises en matière de réduction de la pauvreté », « Etude diagnostique des échecs de lutte contre la pauvreté », « Amélioration des  conditions au Bénin : le rôle de la coopération avec la Chine ».

Ces communications qui ont été respectivement présentées par Pascal Tchiwanou, Albert Honlonkou et Guillaume Moumouni ont permis de dégager les actions  pouvant concourir à l’éradication de la pauvreté.

Ces débats ont également permis, aux uns et aux autres, de faire le diagnostic des échecs de lutte contre la pauvreté, de recentrer la coopération sino-béninoise sur l’éradication de la pauvreté.

De quoi amener  Rufino d’Alméida,  directeur de cabinet du ministre d’Etat, Abdoulaye Bio Tchané   à déclarer « nous en avons appris beaucoup et en bien sur la stratégie chinoise qui a permis de sortir quasiment toute la population de l’extrême pauvreté. Mais, nous en avons aussi mieux retenu des pistes de réflexions  et d’orientation des actions du Gouvernement en vue d’accélérer la sortie de nos populations de la précarité, de l’extrême pauvreté ».