Bénin: Alexandre Hountondji accuse le parti FcBe d’être de connivence avec le pouvoir

Alexandre Hountondji accuse le parti Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) d’être de connivence avec le pouvoir. A la faveur d’une sortie politique du Groupe national de Contact, le 28 février dernier, et présentant une communication, intitulée « évolution de la situation politique nationale depuis 2016 jusqu’à nos jours », l’ancien ministre et conseiller politique du président Boni Yayi a qualifié les ‘‘cauris’’ de troisième « aile du clan dominateur au pouvoir qui sème la terreur ».

En courroux contre Patrice Talon, Alexandre Hountondji crie son ras-le-bol, «qu’il ne nous prenne pas pour des moutons »

« La Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) est devenue la 3è aile du clan », avance t-il.

Alexandre Hountondji dénonce notamment une « infilitration et un recrutement de quelques amis ».

Pour rappel juste avant les communales de 2020, le président d’honneur du parti FcBe, l’ancien président Boni Yayi et plusieurs membres avaient démissionné laissant le parti entre les mains de Paul Hounkpè, Théophile Yarou, Alassane Soumanaou, Garba yaya et consorts.

Ces derniers ne manqueront pas sans doute de réagir à cette accusation.

Manassé AGBOSSAGA

Restauration de la démocratie : Amissétou Affo Djobo invite les béninois (ses) à compter sur leurs propres forces, « personne ne fera le travail à notre place»

La présidente du Groupe national de contact (GNC) invite le peuple béninois à compter sur ses propres forces dans le combat pour la restauration de la démocratie. Dans son discours lors de la réunion du Cadre de concertation des forces unies pour la paix et la restauration de la démocratie et de l’état de droit, ce dimanche 28 février à l’hôtel Golden Tulip de Cotonou, Amissétou Affo Djobo a lancé cet appel aux uns et autres.

Amissétou Affo Djobo

Dénonçant « le basculement du Bénin dans la dictature depuis avril 2016 », l’ancienne député a fait remarquer qu’il ne faudra pas compter sur la communauté internationale ou autres institutions sous régionales pour  la restauration de la démocratie.

Amissétou Affo Djobo soutient que c’est aux béninois (ses) de s’approprier cette lutte.

« Personne  ne fera le travail à notre place », lance t- elle alors.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : L’Opposition s’organise et installe sa machine de victoire ce dimanche

L’hôtel Golden Tulip de Cotonou abrite un rendez-vous politique de taille ce dimanche 28 février. Il s’agit de l’Installation du  Cadre de concertation des forces unies pour la paix et la restauration de la démocratie et de l’état de droit au Bénin.

L’initiative est portée par le Comité de suivi du colloque des trente ans de la constitution béninoise de 1990 sous le leadership du Groupe national de contact (GNC).

Des partis de l’opposition, des associations, des organisations de la société civile, des ong, mouvements,…se mobilisent pour faire avancer le combat de la Restauration de la  démocratie et de l’état de droit au Bénin, et pour des élections présidentielles inclusives.

Manassé AGBOSSAGA

Amissétou Affo Djobo, présidente du GNC : «Notre pays est déchiré »

C’est un constat de  la présidente du Groupe national de contact (GNC), bras opérationnel du mouvement ‘‘S’Engager pour le Bénin’’. A la  faveur d’un meeting organisé il y a quelques jours au siège de Vidolé, Amissétou Affo Djobo a dénoncé un Bénin divisé depuis l’avènement du Régime de la Rupture.

Amissétou Affo Djobo

« Il faut reconnaître que notre pays est déchiré », déplore l’ancienne député, avant d’ajouter « Nous ne pouvons plus nous parler …un clan  a pris en otage la majorité des béninois que nous sommes ».

Pour elle, il est alors urgent de s’organiser et aller à des  assises  nationales afin d’ « arrêter la saignée »

.Manassé  AGBOSSAGA

Bénin : Le GNC affûte ses armes pour la « restauration de la démocratie, de l’Etat de droit,… »

Cinq mois après son lancement,  le Groupe National de Contact (GNC), né des entrailles du mouvement  ‘’S’Engager pour le Bénin  » œuvre,  jour après jour,  pour l’atteinte de son  principal objectif : « la restauration de la démocratie,  de l’Etat de droit, de la Paix et de la Cohésion nationale au Bénin ». Enième acte, l’organisation ce vendredi 19 février 2021 à Cotonou, de la   réunion préparatoire pour l’installation du Comité national pour l’organisation des Assises Nationales.

réunion préparatoire pour l’installation du Comité national pour l’organisation des Assises Nationales.

Hommes, femmes, jeunes, vieux, responsables de mouvements politiques ou associations, coordonateurs à divers niveaux étaient nombreux  à prendre d’assaut le siège de la fondation Vidolé pour participer à cette importante rencontre.

A ces derniers, la présidente du Groupe national de contact, l’Honorable Amissétou Affo Djobo a indiqué que la rencontre de ce jour est « destinée à un partage d’informations sur le travail abattu, sur les perspectives et surtout sur le danger  qui  guette » chacun,  si rien n’ai fait, dénonçant au passage, ce qu’elle appelle  «la  déchéance de leur Démocratie »,   « la vassalisation de leurs institutions », « la décrépitude du tissu social et économique ». 

.Face à un tel désastre, elle a souligné que le GNC et le comité de suivi, mis sur pied après l’organisation du  Colloque sur les 30 ans de la Constitution du 11 décembre 1990, le 14 décembre 2020  « sont engagés à se battre pour que les filles et fils de ce pays puissent s’asseoir autour d’une table ou sous l’arbre à palabre comme il est de coutume en Afrique, pour se parler et se réconcilier dans l’intérêt supérieur de notre Nation » à travers l’organisation des Assises nationales. 

 Occasion pour elle de réaffirmer que l’objectif principal du GNC, reste la « restauration de la démocratie de l’Etat de droit, de la Paix et de la Cohésion nationale au Bénin ».

Et de lancer « C’est à ces assises nationales que nous vous invitons tous à contribuer à l‘effectivité de leur tenue dans un délai assez court, afin d’apporter votre pierre à la construction de l’Edifice National ».

Bénin : Le GNC affûte ses armes pour la  « restauration de la démocratie,  de l’Etat de droit,… »

Un avis partagé par Joseph Tamègnon qui fera remarquer que la « seule solution reste que le peuple prenne sa souveraineté pour restaurer la démocratie, l’état de droit, … ».

Pour lui, il est alors primordial de s’organiser en mettant en place les cadres de concertation de la restauration de la démocratie dans les communes et autres.

« Si nous ne changeons rien, rien changera »,  prévient Alexandre Hountondji,  Président du comité de suivi.

Pour inverser la tendance, il annonce la naissance le 28 février prochain,  du Cadre national de concertation des forces politiques sociales et économiques, qui ouvrira la voie au Comité national préparatoire pour l’organisation des Assises Nationales.

De quoi donner de l’espoir aux participants qui tout en soulevant des préoccupations ont apprécié l’initiative du GNC qui selon eux, augure d’une victoire certaine.

Manassé AGBOSSAGA

Discours d’ouverture de la réunion préparatoire de la Présidente du GNC, Amissétou AFFO DJOBO

Monsieur le Président du Comité de suivi 

Mesdames et Messieurs les membres du Comité de suivi 

Mesdames et Messieurs les membres du Groupe National de Contact

Mesdames et Messieurs les personnalités en vos rangs, grade et qualité 

Mesdames et Messieurs 

Chers invités 

Bonjour, 

Je suis honorée d’être ici ce jour vendredi 19 février 2021 pour vous souhaiter la bienvenue dans ce lieu, chargé de l’histoire de notre pays ces 30 dernières années, siège de la fondation Vidolé et d’un des plus grands partis du renouveau démocratique, la Renaissance du Bénin, fondés par l’amazone notre très chère maman Rosine VIEYRA SOGLO à qui nous rendons un vibrant hommage pour son combat.

Il y a un exactement cinq mois que fut lancée le Groupe National de Contact suite à la naissance du mouvement « s’Engager pour le Bénin « .

Cette dynamique a vu le jour aprèsl’amer constat que le Bénin et les Béninois souffrent :

– de la déchéance de leur Démocratie 

– de la vassalisation de leurs institutions 

-de la décrépitude du tissu socialet économique. 

Face à ce tableau sombre, il était donc, d’une impérieuse nécessité de s’unir pour résister en vue de la restauration de l’état de droit, des libertés et de la Démocratie d’une part, exiger des élections inclusives et transparentes conditions sine qua non pour d’une alternance crédible en 2021

Le GNC qui est un regroupement d’hommes et de femmes d’expérience avérée s’est donné pour mission première de fédérer toutes les oppositions afin qu’elles puissent parler d’une seule voix.Cette nouvelle dynamique que j’ai l’honneur de Présider s’est depuis lors mis au travail.

En effet, depuis son installation, le GNC s’est mis résolument au travail à travers plusieurs activités. 

En dehors de la mobilisation et l’occupation de terrain, il a organisé, le 14 décembre 2020, le Colloque sur les 30 ans de la Constitution du 11 décembre 1990. 

Des conclusions de ce colloque ont ressorti plusieurs recommandations et résolutions dont la plus importante est l’organisation des assises nationales en vue d’apaiser la tension dans le pays. Le colloque a aussi recommandé la mise en place d’un Comité de Suivi de ces décisions. Ce comité installéle 28 décembre 2020, soit deux semaines après le colloque, est présidé par Monsieur Alexandre HOUNTONDJI, ancien ministre qui conduit de mains de maître cette dynamique irréversible.

Depuis le 28 décembre 2020, dès sa mise sur pieds a adopté deux documents que sont : la Charte signée par les 27 entités qui avaient pris part au colloque et qui s’étaient engagées aux côtés du GNC pour la restauration de la démocratie et de l’Etat de droit dans notre pays le Bénin et le mémorandum qui retrace toute la situation politique, sociale et économique de notre pays le Bénin depuis avril 2016.

Un cahier de charge a été aussi élaboré et adopté sur la base d’un chronogramme établit.

Le travail du comité est conduit dans une démarche scientifique. C’est ainsi que, 4 groupes de contact et 2 commissions ad ’hoc ont été installés à savoir :

  1. Le groupe de contact N°1 qui a pour tâche de prendre contact avec les partis et mouvements politiques et le haut commandement et les corps constitués, co-présidé par le professeur et ancien ministre PADONOU JijohoAdéwalé et le Président Antoine VISSETOGBE GUEDOU ;
  2. Le groupe de contact N°2 qui a pour mission de prendre contact avec les ONG et la société civile, présidé par le ministre Houdou ALI ;
  3. Le groupe de contact N°3 qui rencontre le corps diplomatique accrédité dans notre pays, ainsi que les institutions internationales au Bénin, et conduit par votre serviteur Amissétou AFFO DJOBO ;
  4. Le groupe de contact en charge de la diaspora et qui a à sa tête, le ministre GaniouSOGLO à qui nous souhaitons un prompt rétablissement afin qu’il revienne prendre sa place parmi nous pour continuer le combat de libération de notre pays ;
  5. La commission en charge de l’élaboration de la feuille de route ou cahier de charge composée d’éminents personnalités qui n’ont ménagé aucun effort pour nous offrir une ligne directrice de qualité.
  6. La commission

C’est donc dans la droite ligne de notre chronogramme et de notre feuille de route que nous procédons, ce jour vendredi 19 février 2021 à la réunion de mise à niveau des nouveaux membres qui ont accepté de se joindre à la dynamique née depuis le 14 décembre 2020 pour la restauration de la démocratie de l’Etat de droit, de la Paix et de la Cohésion nationale au Bénin.

Je voudrais ici et maintenant féliciter et encourager ces hommes et ces femmes qui veulent à visage découvert prendre leur part dans le combat pour la restauration de notre démocratie, malmenée depuis l’avènement de Mr Patrice Talon à la tête de notre pays.

Notre rencontre de ce jour est donc destinée à un partage d’informations sur le travail abattu, sur les perspectives et surtout sur le danger qui nous guette tous et toutes, si nous ne faisons rien.

Mesdames et Messieurs,

Le GNC et le comité de suivi, sont engagés à se battre pour que les filles et fils de ce pays puissent s’asseoir autour d’une table ou sous l’arbre à palabre comme il est de coutume en Afrique, pour se parler et se réconcilier dans l’intérêt supérieur de notre Nation. 

Et c’est bien ici que la célèbre citation de Martin LUTHER KING nous interpelle : « Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots ».

C’est à ces assises nationales que nous vous invitons tous à contribuer à l‘effectivité de leur tenue dans un délaiassez court, afin d’apporter votre pierre à la construction de l’Edifice National.

Mesdames et Messieurs,

J’ai une certitude ! C’est que lorsque la dictature s’installe, le seul combat qui vaille est celui de la Résistance. 

Notre unique arme étant la RESISTANCE, alors RESISTONS pour avancer. 

Les ELECTIONS D’ACCORD !

LA RECONCILIATION D’ABORD !

Je nous souhaite une Lumineuse journée de réflexion.

  Vive la Démocratie 

    Vive le Bénin   Je vous remercie.

En courroux contre Patrice Talon, Alexandre Hountondji crie son ras-le-bol, «qu’il ne nous prenne pas pour des moutons »

Candidat en 2016 et membre de la coalition de la rupture qui a soutenu Patrice Talon au second tour de cette présidentielle, Alexandre Hountondji est fâché contre le candidat qu’il a porté au pouvoir. Et à l’occasion d’une sortie médiatique à Cotonou, il y a quelques jours, avec les responsables du Groupe national de Contact (GNC), dont il est membre, l’ancien Conseiller politique de Boni Yayi a crié tout son ras-le-bol.

En courroux contre Patrice Talon, Alexandre Hountondji crie son ras-le-bol, «qu’il ne nous prenne pas pour des moutons »

« Nous voulons qu’on nous respecte.  Qu’il (Ndlr : Patrice Talon) nous respecte.  Qu’il ne nous prenne pas pour  des moutons.  Il ne peut pas nous soumettre.  Nous sommes des hommes.  Nous ne sommes pas son chien.   Nous sommes des béninois », a-t-il fustigé

Alexandre Hountondji  dénonce notamment la violation des libertés, des principes démocratiques, la violation des lois électorales, la traque des opposants, la caporalisation des médias,…

Par « expérience », il rappelle à ceux qui se considèrent comme « les forts du moment », pour dicter leurs lois que les « forts d’aujourd’hui » ne seront forcément pas « les forts de demain ».

Manassé AGBOSSAGA    

Joseph Tamègnon critique Patrice Talon et sa gouvernance: « Notre pays a reculé de 50 ans »

Présent ce mardi 5 janvier 2021 à la salle des fêtes Castel  et fils à Abomey-Calavi lors de la tournée nationale du Groupe national de Contact,   Joseph Tamègnon a profité pour dresser   le réquisitoire du régime de la Rupture et de son chantre, Patrice Talon. L’ancien Directeur de la Société de gestion des marchés autonome (Sogéma) a notamment dénoncé un grave recul du Bénin, notamment  au plan démocratique.

Joseph Tamègnon  rappelle  que le Bénin est un pionnier de la démocratie en Afrique, avec la tenue de la conférence nationale. Il explique que le Bénin a depuis lors organisé des élections inclusives.

Joseph Tamègnon

Mais, Joseph Tamègnon  fait remarquer que cela n’est plus le cas, depuis avril 2016. Il cite par exemple, les législatives exclusives d’avril 2019. Et là-dessus,  l’ancien cadre de la Renaissance du Bénin se désole de constater que le Bénin est le seul pays au monde où le parlement est composé uniquement par des députés de la mouvance. « Depuis avril 2019, nous ne sommes plus en démocratie », lance t-il alors.

Pour lui, le Bénin se trouve désormais dans un régime autocratique avec un chef d’Etat qui « n’aime pas la démocratie » et qui à  lui  seul, «  fait la loi ».

En outre, Joseph Tamègnon fait remarquer que la « gouvernance approximative » de Patrice  Talon ne se situe pas seulement au plan démocratique.

Il met en avant la situation économique du pays, la caporalisation des médias, la violation  libertés,  et autres.

Et de lâcher  avec beaucoup de tristesse: « Notre pays a reculé de près de 50 ans ».

 Manassé AGBOSSAGA

Le Groupe national de contact s’enracine dans l’Atlantique : le combat pour la restauration de la démocratie est en marche

Le Groupe national de contact (GNC) déroule son agenda pour la restauration de la démocratie. Ce mardi 05 janvier 2021, le bras opérationnel la Coalition ‘‘S’engager pour le Bénin’’ a entamé une tournée nationale, doublée de l’installation de ses structures décentralisées.

Pour cette première étape, c’est dans la commune d’Abomey-Calavi, précisément  la salle des fêtes Castel  et fils,   que  Amissétou Affo Djobo, Joseph Tamègnon, Salomon Chabi, Yèkini et autres ont posé leurs valises. Dans une salle remplie, mais aussi et surtout dans le strict respect des gestes barrières contre le coronavirus, ils ont réitéré leur engagement et détermination à unir toutes les forces pour la restauration de la démocratie.

Un combat déjà gagné, dira Finafa Florence, qui dans son mot de bienvenue, a souligné que cette tournée nationale du GNC vise également l’installation officielle du Cadre  départemental de concertation pour la restauration de la démocratie, section Atlantique.

Jacob Missimahou, coordonateur du cadre de concertation du département de l’Atlantique a ensuite indiqué que ledit cadre comporte une trentaine de mouvements, tous acquis à la même cause.

Il a confié que le  cadre de concertation du département de l’Atlantique a bouclé l’installation de ses structures communales, et est désormais à l’étape des arrondissements.

De quoi réjouir Joseph Tamègnon, qui s’est dit heureux de voir que la République est débout pour la restauration de la démocratie. Pour lui, il est urgent de fédérer les synergies pour travailler au rétablissement de la démocratie, et de l’état de droit, face à un président de la République qui « n’aime pas la démocratie ».

Le GNC en question

Groupe national de contact

Amissétou Affo Djobo, présidente nationale du GNC a, pour sa part,  entretenu les uns et les autres sur les idéaux du mouvement, son objectif et sur le contexte de sa création.

« Le mouvement ‘‘S’engager pour le Bénin’’ est notre mouvement. Mais, il est régi par une loi qui n’est pas béninoise.  De ce fait,  il lui fallait avoir un bras opérationnel au Bénin.  C’est dans cet esprit que le GNC  a été créé. Le GNC, comme son nom l’indique est un groupe de personnalités,  de femmes,  d’hommes qui ont une certaine expérience politique,  professionnelle et qui voyant ce qui se passe dans le pays ont décidé de s’engager à visage découvert. Le GNC  s’est assigné la mission de fédérer toutes les forces qui parlent le même langage, toutes les forces qui sont frustrées…en politique,  c’est l’addition la multiplication, ce n’est pas la soustraction et la division…    Au GNC,  nous n’avons pas un intérêt personnel. Nous avons un intérêt général. C’est un intérêt que nous défendons.  Au GNC,  nous travaillons avec notre cœur, avec amour en tant que frère  à développer la fraternité…C’est un groupe qui est ouvert, qui est ouvert aux bonnes intentions, aux bonnes idées, qui ne rejette aucune idée…donc nous sommes en train de travailler et je suis sûr que nous parviendrons à l’objectif, celui de la restauration de la démocratie,  de l’état de droit, des libertés  et du respect des droits de la personne humaine.  C’est pour ça que nous sommes là », a expliqué Amissétou Affo Djobo.

Et à Salomon Chabi d’ajouter que le GNC œuvre pour des élections libres, justes, transparentes, et inclusives.

La phase de questions-réponses entre participants et responsables du GNC est enfin  venue mettre un terme à cette activité, qui rapproche, lentement,  mais sûrement, le Groupe national de contact  de son but.

Manassé AGBOSSAGA