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A l’issue des prochaines batailles électorales, le parti Union Progressiste va demeurer le principal de la vie politique Béninoise. C’est ce que pense Badirou Aguemon, un de ses députés. Il ne voit pas en effet, la formation politique qui viendra …
A l’issue des prochaines batailles électorales, le parti Union Progressiste va toujours demeurer le principal de la vie politique Béninoise. C’est ce que pense Badirou Aguemon, un de ses députés à l’Assemblée Nationale. Il ne voit pas en effet, la formation politique qui viendra surclasser l’UP au soir des législatives du 8 janvier 2022.
« Un parti qui est allé en haut, restera toujours en haut. Quand nous prenons l’Union Progressiste depuis sa création, le parti reste un des plus grands », a-t-il laissé entendre le samedi 12 mars 2022 au détour de la célébration de la JIF dans la 15ème Circonscription Electorale répondant à la question des journalistes.
L’enseignant à la FSS va également manifester sa fierté d’appartenir à cette formation politique. « Je suis fier d’appartenir à ce parti », clame-t-il haut et fort avant de marteler à nouveau : « Ce qui est sûr les prochaines batailles électorales seront de grandes envergures. L’Union Progressiste restera toujours le plus grand parti ».
Un avertissement à la classe politique de l’opposition qui entend remporter largement cette joute électorale.
Les leaders du parti Union Progressiste de la 15ème Circonscription Electorale ont célébré la Journée Internationale de la femme édition 2022. Au détour des manifestations qui se sont déroulées sur le terrain de sport du
Les leaders du parti Union Progressiste de la 15ème Circonscription Electorale ont célébré la Journée internationale de la femme édition 2022. Au détour des manifestations qui se sont déroulées sur le terrain de sport du quartier Midombo à Akpakpa, Patrice Alakpato a réaffirmé sa détermination pour une promotion des femmes au sein de sa formation politique . Lire ci-dessous son propos.
Patrice Alapkato : « L’Union Progressiste a fait l’option de célébrer la femme Béninoise. A cet effet, des manifestations sont organisées dans toutes les circonscriptions électorales. La fois dernière, c’est la 16ème Circonscription qui était à l’honneur et aujourd’hui c’est la 15ème. Cette célébration est la preuve que les responsables de l’Union Progressiste dans la 15ème Circonscription Electorale sont conscients de l’importance de la femme dans le processus de développement de notre pays. Nous sommes conscients de ce que la femme est un pilier de la Nation et nous prenons toutes les dispositions pour son émancipation. Nous faisons ceci dans la droite ligne de la vision du chef de l’Etat. Lui qui a œuvré pour que des lois en matière de promotion de la femme notamment en politique soient adoptées par le parlement. Nous allons entamer d’ici l’installation des cellules de base du parti. Le bureau a instruit que 30 pour cent des postes reviennent à la gente féminine et nous allons veiller à cela.
Je souhaite le meilleur à toutes les femmes Béninoise et les rassurent de ce que l’Union Progressiste va lutter pour leur promotion politique. »
Le samedi 10 juillet dernier, Patrice Talon a, à l’occasion du sommet citoyen ouest-africain sur la bonne gouvernance, l’alternance et la démocratie, pris l’engagement de ne pas briguer un troisième mandat. Conformément à la constitution, le chef de l’Etat a promis de transmettre le pouvoir à son successeur au terme de son dernier mandat constitutionnel.
Le samedi 10 juillet dernier, Patrice Talon a, à l’occasion du sommet citoyen ouest-africain sur la bonne gouvernance, l’alternance et la démocratie, pris l’engagement de ne pas briguer un troisième mandat. Conformément à la constitution, le chef de l’Etat a promis de transmettre le pouvoir à son successeur au terme de son dernier mandat constitutionnel.
Dans le rang des représentants du peule, cet engagement suscite des craintes. Interrogé par la télévision nationale, le député Lucien Houngnibo s’est dit inquiet après l’annonce de Patrice Talon.
« Moi, j’ai trop peur quand il va partir, c’est mon inquiétude », a confié le député de la 5è circonscription électorale.
Pour lui, le chef de l’Etat a « mis la barre haute ». Il s’interroge si Patrice Talon pourrait trouver un dauphin aussi audacieux que lui pour maintenir le cap.
« Mais est ce que parmi nous, il peut avoir quelqu’un qui peut avoir le courage que lui (Ndlr : Patrice Talon) il a. il est très courageux », se demande le député de l’Union progressiste , avant d’ajouter « Il ne faudrait pas qu’il prépare un dauphin qui va venir, qui ne fera pas comme lui ».
Toutefois, Lucien Houngnibo jure ne pas être dans une vision de révision constitutionnelle pour permettre au chef de l’Etat de briguer un troisième mandat.
« Je ne suis pas dans une logique d’une révision quelconque de la constitution », rassure Lucien Houngnibo.
Examen du Cep session de Juin 2021 : A la tête d’une délégation, le Conseiller Communal Chatin Claude constate le bon déroulement dans des centres à Ouèdo
En sa qualité de Conseiller Communal à Abomey-Calavi et l’un des deux élus de l’Arrondissement de Ouèdo, Chatin Claude a conduit dans la matinée de ce lundi 7 juin 2021 une délégation dans des centres de compositions de la localité pour constater le bon déroulement de l’examen du Certificat d’Etude Primaire session de Juin 2021.
Les centres de l’Ecole Primaire Publique de Dessato et celui de l’Ecole Primaire Privée Wotto sont ceux qui ont reçu la délégation. A chaque étape, le leader du parti Union Progressiste à Ouèdo, celui-là très déterminé dans les efforts pour l’instruction à grande masse des enfants à l’école a apprécié l’ambiance de démarrage. Il a échangé avec leurs chefs respectifs qui l’ont rassuré de ce que aucun incident majeur n’est enregistré. Chatin Claude va souhaiter une bonne chance aux écoliers après les avoir invités à donner le meilleur d’eux-mêmes
Acteur politique de la 6ème Circonscription électorale, le Conseiller Communal Chatin Claude croit fermemennt à la promesse d’un second mandat hautement social promis par le chef de l’Etat..
Acteur politique de la 6ème Circonscription Électorale, le Conseiller Communal Chatin Claude croit fermement à la promesse d’un second mandat hautement social promis par le chef de l’Etat, le président Patrice Talon dans son discours d’investiture. Il invite à cet effet ses militants du parti Union Progressiste à rester sereins.
Christophe KPOSSINOU
Face aux nombreuses réalisations en cinq ans et ceci dans tous les domaines de la vie économique et sociale, point de doute, il est capable. C’est la réponse que Chatin Claude, Conseiller Communal à Abomey-Calavi envoie à ces citoyens Béninois restés pessimistes au lendemain de la cérémonie d’investiture du Chef de l’Etat pour son second mandat le 23 mai 2021. Et ceci suite à sa promesse de faire de ce mandat celui du social. « C’est la preuve que le président Patrice Talon est à l’écoute de son peuple. Vous n’êtes pas sans savoir que lors de son premier quinquennat les Béninois ne l’ont pas compris. On l’a accusé d’être anti social et pourtant le social était bien au rendez-vous. En effet, l’homme avait sa démarche de procéder et à la fin du quinquennat les uns et les autres ont compris à travers les réalisations. Il a fait l’option de mettre le social au cœur de sa gouvernance », a expliqué Chatin Claude avant d’ajouter : « Je ne doute pas un instant sur la sincérité, la volonté et l’honnêteté de l’homme pour respecter cet engagement », parlant du président Patrice Talon. Le Conseiller Communal Chatin Claude a par la suite invité ses militants du parti Union Progressiste à rester sereins et à accompagner le chef de l’Etat. « A tous les militants et militante UP, je voudrais leur dire d’être sereins et prêts à maintenir le cap comme le dit notre slogan. L’avenir nous appartient. Il est prometteur vu ce que j’ai lu dans le projet de société du candidat. Qu’ils suivent l’homme que nous avions choisi. Afin qu’il nous guide à bon port », lance-t-il à leur endroit.
C’est fait ! L’Assemblée nationale a désigné ce jeudi 06 mai 2021 ses représentants devant siéger au sein du Conseil électoral, qui remplacera la Commission électorale nationale autonome (Céna) de Tiando à compter du 13 juillet.
Entre l’Union progressiste (UP) et le Bloc républicain (BR), les deux partis de la mouvance seulement représentés au parlement, le choix s’est vite fait. Les députés de la 8e législature ont notamment désigné Sacca Lafia, pour le compte de l’Up et Abou Soulé Adam, pour le compte du BR
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Pour rappel, le Conseil électoral est composée de cinq membres à raison d’un représentant de la majorité parlementaire, d’un représentant de la minorité parlementaire, d’un représentant du chef de file de l’Opposition, un représentant du chef de l’Etat et d’un magistrat désigné par ses pairs.
L’ancien préfet des départements de l’Ouémé et du Plateau sous Boni Yayi tacle l’opposition. Dans un entretien accordé au journal L’Evènement Précis, Moukaram dénonce l’amateurisme des partis et leaders de l’opposition.
«Il y a trop de distraction, trop de complaisance et de paresse politique au niveau de ce qu’il y a aujourd’hui comme opposition », déplore t-il d’après des propos rapportés par L’Evènement Précis.
Membre fondateur de l’Union progressiste, Moukaram Badarou s’appuie sur les derniers faits survenus au sein des partis de l’opposition pour la désignation des duos, encore la demande de parrainage ou encore lors du dépôt des dossiers de candidature au siège de la Céna pour fustiger le mauvais spectacle que présente l’opposition. Il parle notamment de « cafouillage » et de « méli-mélo ».
Puis de se jouer les donneurs de leçon ! « Moi, j’ai été opposant une fois dans ce pays. Nous avons porté la parole de l’opposition dans ce pays et nous nous sommes battus dans ce pays au titre de l’opposition. Donc on est en mesure d’apprécier ce qui se fait aujourd’hui par nos amis de l’opposition »
Dans une salle remplie de militants et sympathisants, ce 16 février 2021 à Porto-Novo, Joël Aïvo a, entre autres, entretenu les hommes des médias sur le parrainage. Au nom du Front uni pour la restauration de la démocratie (FRD), il a notamment mis en lumière la « finalité » de cette disposition électorale controversée, enfonçant au passage les deux chefs de partis de la mouvance.
Derrière le parrainage, se cache une stratégie bien élaborée d’exclusion. Ce n’est pas l’avis de Kpakpato Medias, mais plutôt celui des membres du FRD,
En effet, à l’occasion d’une sortie médiatique animée par son candidat à la présidentielle de 2021, ces derniers ont fait remarquer que « la finalité ultime du parrainage, est de priver les Béninois d’avoir le choix entre des courants politiques opposés, entre des hommes et des Femmes de tempéraments différents entre deux conceptions de l’Etat, deux visions du pays et deux projets politiques clairement opposés ».
Le conférencier ajoute également que « la seule raison d’être du parrainage est bien d’éloigner du président Talon, tout candidat à sa succession, tout adversaire imprévisible, redoutable et capable de défier les lois de la fraude électorale et de le surprendre dans les urnes… », ou encore « de permettre au président Talon, candidat à sa propre succession, de sélectionner et de choisir parmi les candidats, des adversaires en trompe l’œil ».
Le FRD dit d’ailleurs ne pas être « dupe », et comprend l’entêtement du Gouvernement à maintenir « les lois controversées », malgré tous les appels.
Banc des accusés
Le FRD contredit les députés qui affirment que les candidats ne se sont pas approchés d’eux pour obtenir le parrainage.
« Contrairement aux allégations du pouvoir, certains candidats ont bel et bien pris contact individuellement avec Députés et maires susceptibles de les parrainer », martèle t- on du côté du FRD, par la voix du Constitutionnaliste.
Joël Aïvo en profite pour reconnaître la volonté de certains députés de jouer franc jeu, mais bloqué par le diktat des deux chefs de partis, avec d’un côté Bruno Amoussou, président de l’Union progressiste, et de l’autre Abdoulaye Bio Tchané, secrétaire exécutif national du Bloc républicain.
« Guidés par la recherche de la paix et la volonté de servir leur pays, ces députés et maires ont massivement dit oui avant de constater que leur liberté de parrainer est miroir aux alouettes, une vaste supercherie. Cette liberté n’existe que sur les lèvres des dirigeants de leurs partis », déplore le Front.
Pour donner du crédit à ses accusations, le FRD évoque son cas personnel. Contrairement à la position de Joël Aïvo ; mais par discipline de groupe, le FRD dit avoir entrepris des démarches auprès des deux chefs de partis de la pour obtenir le parrainage.
Ainsi après la désignation du candidat du duo Joël Aïvo /Moïse Kérékou, le 04 février, Antoine Guédou, président du GSR, parti régulièrement enregistré et membre du Front a, au nom de la plateforme de l’opposition, saisi, par exploit d’huissier, Abdoulaye Bio Tchané et Bruno Amoussou, le 05 février.
« Le Front les a informés de la désignation de leur duo et leur a demandé de leur faciliter l’obtention du parrainage », précise Joël Aïvo.
Dapkpè Sossou apprécie la candidature de Réckya Madougou à la présidentielle du 11 avril 2021. Dans un entretien accordé à la télévision en ligne BM Tv)et repris par le site Bénin Web Tv, le député de l’Union progressiste a préféré s’appuyer sur un critère physique pour donner son avis sur la crédibilité de la candidature de la candidate du parti Les Démocrates. Et ce, loin des compétences intellectuelles ou politiques de cette dernière.
Sans détour, le ‘‘natif de Lokossa’’ a fait remarquer que la beauté de Réckya Madougou constitue un handicap pour elle dans la course présidentielle.
Pour lui, « comme une réserve minière », la candidate du parti Les Démocrates est trop « belle » pour diriger le Bénin.
Dakpè Sossou prévient que son charme risque de menacer la quiétude du pays.
« Une belle femme comme ça, c’est comme on le dit, des réserves minières d’un pays… Si vous la considérez comme une mine d’or, une très belle femme, inégalable, charmante, à la tête d’un pays, je ne pense pas que vous ayez la paix comme nous en avons actuellement au Bénin », a-t-il confié d’après des propos transcrits par Bénin Web Tv.
Comme quoi, la candidate du parti Les Démocrates, qui a d’ailleurs vu son dossier de candidature invalider par la Céna, est victime de sa beauté.