Boris Dossou-Gbétié, lauréat 2018 : «Le Concours de Prestige S2IM, ‟Meilleure Maquette Architecturale ˮ est une aubaine pour valoriser son talent»

L’une des activités phares de la quatrième édition du Salon International de l’Immobilier et Matériaux Modernes (S2IM 2019), qui va se dérouler du 07 au 13 octobre à Cotonou est le Concours de Prestige S2IM ‟Meilleure Maquette Architecturaleˮ. Il est dédié aux jeunes apprenants des secteurs du BTP et de l’Habitat. Sa troisième édition à savoir le Concours de Prestige S2IM 2019 se déroulera le 10 octobre sur le site du salon au stade Général Mathieu Kérékou. À moins de deux mois de ce concours, le double lauréat de 2017 et de 2018, M. Boris DOSSOU-GBETE nous livre ses impressions à la faveur d’une interview qu’il a accordée à la rédaction. Lire plutôt… .

L’une des activités phares de la quatrième édition du Salon International de l’Immobilier et Matériaux Modernes (S2IM 2019), qui va se dérouler du 07 au 13 octobre à Cotonou est le Concours de Prestige S2IM ‟Meilleure Maquette Architecturaleˮ. Il est dédié aux jeunes apprenants des secteurs du BTP et de l’Habitat. Sa troisième édition à savoir le Concours de Prestige S2IM 2019 se déroulera le 10 octobre sur le site du salon au stade Général Mathieu Kérékou. À moins de deux mois de ce concours, le double lauréat de 2017 et de 2018, M. Boris DOSSOU-GBETE nous livre ses impressions à la faveur d’une interview qu’il a accordée à la rédaction. Lire plutôt…

Kpakpato Médias: Qu’est-ce qui vous a motivé à participer aux deux premières éditions du Concours de Prestige S2IM pour en être lauréat ?

Boris DOSSOU-GBETE : Plusieurs facteurs ou raisons m’ont motivé à participer aux deux premières éditions du Concours de Prestige S2IM, ‟Meilleure Maquette Architecturaleˮ.  D’abord, la maquette est une œuvre que j’aime beaucoup et que je faisais depuis mon primaire et  ensuite au lycée. Au fil du temps je me suis perfectionné dans le maquettisme. Cela m’a permis d’extérioriser mon talent.

Je suis également motivé par la concurrence avec des personnes du domaine comme moi afin de pouvoir comparer ma compétence face au talent de mes concurrents. Mon but n’est pas d’être le meilleur mais juste pour m‘améliorer en me comparant aux autres.

Que pensez-vous de cette initiative du Salon ‟S2IMˮ ?

En effet, Le Concours de Prestige S2IM est une aubaine pour valoriser son talent. C’est une innovation louable que le promoteur a initiée, qui permet aux jeunes techniciens dans le domaine du BTP et de l’Habitat qui aspirent à l’architecture de nourrir leur esprit de créativité. Il leur permet également de valoriser leur talent. Le fait de participer au Concours de Prestige S2IM, offre plusieurs avantages et permet de faire découvrir son talent au public.

Un appel à tous les jeunes apprenants comme vous des lycées et écoles professionnelles des secteurs du BTP et de l’Habitat ?

J’invite les jeunes comme moi à y participer et relever des défis, et surtout à être créatifs à travers leur œuvre. Mise à part la technique, le maquettisme est un art et une œuvre de l’esprit et il est nécessaire de participer à la compétition pour mieux apprécier son propre talent. Pour finir, je profite de cette occasion pour remercier le promoteur du Salon International de l’Immobilier et Matériaux Modernes (S2IM) M. Kèyindé AMADOU, pour son initiative et tous les acteurs des secteurs du BTP et de l’habitat qui accompagnent cette initiative, dont l’objectif concoure au développement durable de notre pays le Bénin et l’Afrique en général.

Propos recueillis par la rédaction

Haut conseil des béninois de l’extérieur: Mathieu Hounyovi, nouveau président

Le Haut conseil des béninois de l’extérieur (HCBE) a un nouveau président. Son nom : Mathieu Hounyovi. Le nouveau patron de l’organisation, a été élu ce jeudi 08 août 2019 à l’issue d’une assemblée générale tenue à l’Infosec de Cotonou, en présence des membres de l’organisation et d’un huissier de justice…

Le Haut conseil des béninois de l’extérieur (HCBE) a un nouveau président. Son nom : Mathieu Hounyovi.  Le nouveau patron de l’organisation, a été élu ce jeudi 08 août 2019  à l’issue d’une assemblée générale tenue à l’Infosec de Cotonou, en présence des membres de l’organisation et d’un huissier de justice.

Manassé AGBOSSAGA

Il succède ainsi à Romain da Costa, absent des travaux mais représenté  par son vice président, Maxim Vignon  qui a       conduit les travaux avec dextérité. Mathieu Hounyovi, nouveau président du Haut conseil des béninois de l’extérieur (HCBE) prend donc les commandes de l’organisation pour un mandat de trois ans. Un mandat qui place d’ailleurs sous le signe de la concertation.

Le nouveau président au milieu

«   Si je deviens un président dictateur,  n’hésitez pas à me débarquer le même jour.  Je compte sur le bureau et sur toutes les sections. Le bureau du Haut conseil existe parce que les sections fonctionnent.  Si les sections fonctionnent, le bureau mondial fonctionnera. Toute décision qui devra être prise,  sera prise en concertation, avec les sections. Tout ce que nous voulons faire, viendra des sections.  Nous allons beaucoup solliciter les sections. Quelque soit la suite, il y aura des retours.  Nous allons travailler ensemble. Nous allons poursuivre l’œuvre entamée », a promis Mathieu Hounyovi, après son élection.

 Tiendra t-il parole ? Les jours à venir nous édiefieront !

Le nouveau bureau

Président : Matheu Hounyovi

Vice-président : Paulin Zounon

Secrétaire général : Euloge Zodéougan

 Secrétaire général adjoint: Vincent Gomez

Trésorier général : Edgard Katary

Trésorier général adjoint : Thierry Houéyissan

Secrétaire à l’organisation : Sofiath Adjéodah

Tournoi de football ‘‘JBE’’ : Le tirage au sort effectué, la composition des poules

Les 16 équipes en lice pour la seconde édition du tournoi de football, doté du trophée ‘‘Jeunes béninois engagés (JBE)’’ connaissent désormais leurs adversaires. Comme annoncé, les membres du comité d’organisation ont procédé au tirage au sort, ce jeudi 01 août 2019 au bar Terminus, en présence des représentants de chaque équipe…

Les 16 équipes en lice pour la seconde édition du tournoi de football, doté du trophée ‘‘Jeunes béninois engagés (JBE)’’ connaissent désormais leurs adversaires. Comme annoncé, les membres du comité d’organisation ont procédé au tirage au sort, ce jeudi 01 août 2019 au bar Terminus, en présence des représentants de chaque équipe.

Manassé AGBOSSAGA

Après la répartition des quatre têtes de poule en fonction du carré d’as de l’édition dernière, les choses sont allées très vite.

Zephir Fc, champion en titre est logé dans la poule A, aux côtés de Mosa Fc, Château Fc et  Golden Fc.

Quant au vice-champion, Air Force, le club se retrouve dans la poule B accompagné d’Ilaci Fc, God Fc, et Adjika.

Génération Foot et Abeille d’or sont respectivement aux commandes des poules C et D.

Et après le tirage au sort, place désormais au jeu dès ce  dimanche 04 août 2019 sur le terrain en face du bar Terminus, avec en ouverture Zephir#Mosa.

Composition des poules

Poule A: Zephir Fc, Mosa Fc, Château Fc, Golden Fc

Poule B: Air force, Ilaci Fc, God Fc, Adjika

Poule C: Génération foot, Colombe Fc, Palais Royal, United

Poule D: Abeille d’or, Tenor, Alokpa, Ottie  

A quelques jours de leur départ: Les assurances et conseils du Dg Laurent Gangbes aux 21 jeunes sélectionnés pour la Chine

A quelques jours de leur départ pour la Chine, les 21 jeunes sélectionnés reçoivent de la vitamine courage de la part du Dg Apiex. A la faveur d’une séance de travail, qui a également connu la présence de Bohui Zhang, chef de la mission économique à l’Ambassade de Chine, Euloge Orou-Yerima, chef de la mission économique du Bénin en Chine, et d’autres responsables de l’Apiex, Laurent Gangbes a rappelé les objectifs de ce séminaire qui se tient du13 août au 02 septembre, sur le thème « attirer les investisseurs étrangers, accueil des industries et transfert de technologie », mais aussi et surtout motivé le moral des bénéficiaires…

Les 21 jeunes sélectionnés pour bénéficier d’un séminaire en Chine du 13 août au  02 septembre, sur le thème « attirer les investisseurs étrangers, accueil des industries et transfert de technologie » ont eu dans la soirée du mardi 30 juillet 2019 une rencontre d’échanges avec le directeur général de l’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex). Laurent Gangbes a saisi l’occasion pour prodiguer de précieux conseils aux « ambassadeurs de la promotion des investissements », mais également pour rassurer ces derniers des dispositions idoines prises pour faciliter leur séjour en Chine.

 Manassé AGBOSSAGA

A quelques jours de leur départ pour la Chine, les 21 jeunes sélectionnés reçoivent de la vitamine courage de la part du Dg Apiex. A la faveur d’une séance de travail,  qui a également connu la présence de Bohui Zhang, chef de la mission économique à l’Ambassade de Chine, Euloge Orou-Yerima, chef de la mission économique du Bénin en Chine,  et d’autres responsables de l’Apiex, Laurent Gangbes a rappelé les objectifs de ce séminaire qui se tient du13 août au  02 septembre, sur le thème « attirer les investisseurs étrangers, accueil des industries et transfert de technologie », mais aussi et surtout motivé le moral des bénéficiaires.

Après avoir félicité les uns et les autres,  le Dg Apiex a invité les 21 jeunes candidats sélectionnés à continuer à se faire confiance, à croire en leur capacité, à croire en leur dynamisme afin de saisir au mieux cette opportunité unique. « Ce projet est pour vous. Utilisez- le ! Libérez-vous !  Essayez d’en tirer le maximum !  Profitez au maximum de la chance que vous avez !  Le Bénin compte sur vous.  Vous n’allez pas en tourisme. Vous n’allez pas en vacances », a lancé le Dg Apiex.

Laurent Gangbes a expliqué aux 21 retenus sur les 1490 candidatures enregistrées qu’ils ont besoin de se mettre au maximum en confiance  pour   mieux être outillés et  devenir plus tard des cadres capables d’avoir une ouverture d’esprit pour comprendre les problématiques liées aux difficultés d’importation d’industrie dans notre pays.

 Le Dg Apiex a alors martelé qu’il s’agira pour eux d’être des ambassadeurs de la promotion des investissements  au Bénin capables  d’amener des entreprises chinoises ou des industries chinoises   au Bénin, soulignant au passage que cette formation est une étape d’un long processus.

Dans son développement, Laurent Gangbes  a également levé un coin de voile sur les dispositions prises pour faciliter leur séjour sur le sol chinois.

 Et au chef de mission économique à l’Ambassade de Chine de féliciter l’Apiex pour cette belle initiative.  Bohui Zhang a ensuite invité les bénéficiaires à saisir la perche en faisant preuve d’ingéniosité, de spontanéité, de pro activité lors du séminaire, qui a-t-il précisé est le fruit du partenariat bilatéral entre le Bénin et la Chine.

Tout comme Bohui Zhang,  Euloge Orou-Yerima, chef de la mission économique du Bénin en Chinea salué  le leadership et le dynamisme des responsables de l’Apiex.

La balle est donc dans le camp des 21 jeunes sélectionnés tous présents à la rencontre.

Liste des 21 candidats sélectionnés

Jica/Bénin: Les volontaires de l’Agence japonaise de coopération internationale exposent les activités menées en 2018

2018 aura été une année très chargée pour les volontaires de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica). En témoigne, l’élogieux rapport annuel présenté ce mardi 31 juillet 2019 à la salle fleuve jaune du ministère des Affaires étrangères, en présence du ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci, de l’Ambassadeur de Japon au Bénin, Kiyofumi Konishi, représentant résident de la Jica, Koichi Sasadate, des volontaires, des autorités à divers niveaux et autres.

2018 aura été une année très chargée pour les volontaires de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica). En témoigne, l’élogieux rapport annuel présenté ce mardi 31 juillet 2019 à la salle fleuve jaune du ministère des Affaires étrangères, en présence du ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci, de l’Ambassadeur de Japon au Bénin, Kiyofumi Konishi,   représentant résident de la Jica,  Koichi Sasadate,  des volontaires, des autorités à divers niveaux et autres.

Manassé AGBOSSAGA

Le rapport présenté comporte les secteurs de la santé, de l’agriculture, de l’enseignement maternel et autres.  Ainsi,  Daichi Watanuki, de la cellule communale Atda de Covè,  a exposé  ses activités au plan agricole en 2018. Il a mis en avant l’appui aux populations dans le maraîchage, l’utilisation des engrais organique, l’utilisation des pesticides, les activités génératrices de revenu.

Pour leur part, Sayaka Deno, et Marumi Watanabe, respectivement volontaire au Centre de santé de l’arrondissement de Pahou et au Centre de santé  de l’arrondissement de Tangbo-Djèvié ont expliqué qu’elles ont mené des activités de sensibilisation  sur le VIH/ Sida et les maladies infectieuses, de santé maternelle et infantile, la nutrition et l’hygiène.

Le trio Yuki Tabata, de la circonscription scolaire de la commune de Sèmè-Podji,  Akio Miyaoka, de la circonscription scolaire de la commune de Sakété et Shiori Toyoshi, de la circonscription scolaire de la commune de Savè et le trio Naoko Yamasaki, Saori Fukui et Sena Yamada ont fait le point de leurs activités menées respectivement dans les secteurs de l’enseignement et  de la   décentralisation.

Avant la présentation des activités menées, le représentant résident de la Jica,  Koichi Sasadate a fait savoir que ce programme  vise trois objectifs, à savoir  contribuer au développement socio-économique du pays ; renforcer l’amitié et la compréhension mutuelle entre les deux pays ;  cultiver les perspectives mondiales des jeunes japonais et de redonner à la société japonaise, les fruits de l’expérience bénévole. Et sur le dernier point, Koichi Sasadate rassure que le programme profite au Bénin, mais également au Japon.

« Les volontaires apprennent beaucoup de choses dans le milieu  telles que les mœurs, et les coutumes basés sur la culture qui est totalement différent de la leur. Ces expériences permettront également de renforcer davantage la capacité de chacun des volontaires », a renchéri l’Ambassadeur du Japon au Bénin.

Kiyofumi Konishi n’a pas manqué de féliciter tous les volontaires « pour leur esprit de volontariat à savoir la dédicace permanente à la cause commune et le souci constant d’accompagner l’autre dans un élan de solidarité vrai ».

Un avis partagé par Jean-Luc Lawson,  Directeur général  de l’Office béninois de service volontariat des jeunes, qui dit retenir de cette séance, que  le  volontariat reste au service du développement des communautés.

Pour sa part, Benoît Adékambi, conseiller technique s’est réjouit de constater que le activités menées s’arriment  aux différents documents de stratégies de développement du pays, Bénin ALAFIA 2025, plan ,national de développement 2018-2025, PC2D, PAG.

Fadil Gbangbadje, chargé de programme à la Jica,  a d’ailleurs mis un accent particulier sur les activités de la Jica, qui a en charge la mise en œuvre de l’aide publique au développement du Japon, mais également sur le programme des volontaires japonais, catégorisé dans la participation citoyenne. Il a rappelé que la Jica intervient dans les domaines des infrastructures routières et énergétiques, de la pêche, de l’agriculture, de l’eau, de l’éducation et de la santé,

Les nouveaux volontaires sont donc appelés à maintenir le cap.

Olivier Dansou, Architecte: «En Afrique, certaines villes et quartiers sont confrontés à des problèmes d’urbanisme et environnementaux»

Le Bénin a abrité du 17 au 21 juillet dernier, au siège de l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin, la 60ème session du Conseil de l’Union des architectes d’Afrique (AUA). Présent à la rencontre et notamment à la cérémonie d’ouverture, Olivier Dansou a bien voulu partager avec nous, l’importance de cette assise. Il en a profité pour inviter les autorités à divers niveaux, les populations à accompagner l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin pour construire des villes sûres, car déplore t-il, « en Afrique, certaines villes et quartiers sont confrontés à des problèmes d’urbanisme et environnementaux ». Lisez plutôt !..

Le Bénin a abrité du 17 au 21 juillet dernier, au siège de l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin, la 60ème session du Conseil de l’Union des architectes d’Afrique (AUA). Présent à la rencontre et notamment à la cérémonie d’ouverture, Olivier Dansou a bien voulu partager avec nous, l’importance de cette assise. Il en a profité pour inviter les autorités à divers niveaux, les populations à accompagner  l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin pour construire des villes sûres, car déplore t-il, «  en Afrique, certaines villes et quartiers sont confrontés à des problèmes d’urbanisme et environnementaux ». Lisez plutôt !

Kpakpato Medias: L’Union des architectes d’Afrique (AUA) et l’Ordre national des architectes et urbanistes du Bénin organisent du 17 au 21 juillet 2019, la 60è session du Conseil de l’AUA. Quelle importance revêt cette activité ?

Olivier Dansou: Chez nous en Afrique, certaines villes et quartiers de ville sont confrontés à des problèmes d’urbanisme et environnementaux. Il y a assez de désordres. Les gens construisent comme ils veulent. Les gens construisent sans autorisation, sans tenir compte des exigences réglementaires qu’il faut observer pour la sécurité des personnes et des biens. Il est donc nécessaire qu‘on réfléchisse beaucoup, que l’Etat, l’administration locale et les professionnels du cadre bâti s’entendent sur les démarches à adopter pour avoir des villes sûres, sereines, dans lesquelles chaque personne pourra se sentir à l’aise.

Le thème de cette première journée de travail s’intitule, «Construire la résilience des villes africaines, quels enjeux pour la planification de la gestion urbaine ». Pourquoi le choix de ce thème ?

Vous savez, il y a assez de villes en Afrique exposées à une mauvaise planification. On a assez de terres agricoles. Il est alors nécessaire pour l’expansion des villes, pour le développement des villes qu’on réfléchisse à comment les organiser afin que le transport public, l’habitation, les équipements de proximité et autres soient bien organisés afin d’éviter les désordres.

A titre d’exemple, quelle est la problématique qui se pose dans la ville de Cotonou?

La ville de Cotonou est au niveau de certains quartiers exposée à des problèmes environnementaux et d’urbanisme. Il y a un peu de désordre. Il y a des problèmes de pollution atmosphérique permanente à Xwlacodji. La cimenterie dérange beaucoup. Ce n’est pas bien. Normalement, si c’est bien planifié, bien réglementer, cette cimenterie doit être normalement déplacée. Par exemple, cette portion de la ville doit être réorganisée pour que les gens se sentent beaucoup plus en sécurité. Il y a l’avancée de la mer de l’autre côté à Akpakpa. Il y a des problèmes d’inondation qui découlent d’une mauvaise occupation de l’espace ou d’un défaut d’assainissement. Il y a donc beaucoup de solutions à rechercher aux problèmes qui se posent dans certains quartiers de la ville de Cotonou pour améliorer le cadre de vie de nos concitoyens. Les gouvernants, les populations attendent de vous des propositions dans ce sens. Peuvent- ils compter sur vous ? Absolument ! Mais c’est un travail collectif. Chacun doit jouer sa partition. C’est quand les autorités à divers niveaux et les habitants de nos villes vont se sentir impliqués et responsables que nous pouvons relever assez de défis.

Un mot pour conclure.

Je vous remercie pour l’occasion que vous me donnez de m’exprimer. Nous allons prier pour que les autorités à divers niveaux comprennent et acceptent d’accompagner l’Ordre des Architectes et Urbanistes afin qu’ensemble nous puissions construire nos villes.Fin de la discussionÉcrivez un message…

Ouverture de la FIB: Plus de 350 exposants repartis sur 400 stands, l’Apiex offre une tribune dé découverte des produits locaux

Ça y est ! La Foire de l’indépendance du Bénin (FIB) a été officiellement lancée, ce mardi 23 juillet au stade de l’amitié général Mathieu Kérékou, en présence des ministres de l’Industrie, Serge Ahissou, des petites et moyennes entreprises, Modeste Kérékou, et de la famille, Adam Bintou Chabi, mais également du directeur général de l’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex), Laurent Gangbes. Il s’agit pour l’Apiex de révéler aux béninois et au monde entier les produits locaux de qualité…

Ça y est ! La Foire de l’indépendance du Bénin (FIB) a été officiellement lancée, ce mardi 23 juillet au stade de l’amitié général Mathieu Kérékou, en présence des ministres de l’Industrie, Serge Ahissou, des petites et moyennes entreprises, Modeste Kérékou, et de la famille, Adam Bintou Chabi, mais également du directeur général de l’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex), Laurent Gangbes.  Il s’agit pour l’Apiex de révéler aux béninois et au monde entier les produits locaux de qualité.

Manassé AGBOSSAGA

Creuset d’échanges, d’opportunités d’affaires, d’investissements, d’établissement de contact commerciaux, de partage d’expérience et de connaissances entre les opérateurs économiques nationaux et étrangers, la Foire de l’indépendance du Bénin, édition 2019  a officiellement ouvert ses portes ce mardi 23 juillet.  A l’occasion, le directeur général de l’Apiex a indiqué que cet évènement s’inscrit dans la droite ligne des objectifs du gouvernement de renforcer la croissance économique et d’améliorer la capacité d’exportation.

Laurent Gangbes  a ensuite souligné que l’organisation 2019 de la FIb permet de faire découvrir les produits locaux. « Cette manifestation participe de la promotion des exportations et  investissements,   de la dynamisation des échanges commerciaux,  du renforcement de l’intégration commerciale  régionale et internationale », a ajouté le Dg de l’Apiex.

 Invitant les uns et les autres à saisir cette occasion pour mieux faire connaître leurs produits  et services, pour réaliser des partenariats d’affaires fructueux et pour nouer de nouvelles relations d’affaires, Laurent Gangbes a promis une FIB 2020 grandiose. « Nous allons sensiblement, mais  radicalement  changer la FIB. Nous allons la mettre à un niveau qui n’a jamais été égalé », a-t-il confié.

Le Dg Apiex aux côtés du ministre des petites et moyennes entreprises

En attendant, la représentante du maire de Cotonou a souligné que cet évènement constitue un creuset de brassage économique, mais également revêt un aspect culturel et festif.

Procédant au lancement officiel de la Foire, le ministre de l’industrie et du commerce a ajouté que l’objectif est de contribuer à la croissance économique du Bénin par l’amélioration du climat des affaires qui constitue l’un des piliers fondamentaux du programme d’actions du gouvernement.

Pour mémoire,  la Foire de l’indépendance du Bénin, c’est du 19 juillet au 04 août, de 10h à 22h, avec  plus de 350 exposants nationaux et étrangers repartis sur 400 stands et proposant des produits dans les secteurs de l’agriculture de l’agroalimentaire, du textile, du BTP, de la pharmacopée, et autres.

Tenue de la 60è session du Conseil de l’AUA au siège de l’ANAUB: Erichk Mauro félicite ses confrères du Bénin et plaide pour des villes africaines intelligentes

Présent sur le sol béninois dans le cadre de la 60è session du Conseil de l’Union des architectes d’Afrique (AUA), le très célèbre architecte gabonais Erichk Mauro a adressé ses félicitations à ses collègues de l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin. Erichk Mauro s’est réjouit de voir la 60è session du Conseil de l’Union des architectes d’Afrique (AUA) se tenir au siège de l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin. ..

Le Bénin a abrité du 17 au 21 juillet dernier,  la 60è session du Conseil  de l’Union des architectes d’Afrique (AUA). A l’occasion, l’éminent architecte gabonais, Erichk Mauro a salué la tenue de cet évènement dans les locaux de l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin et souligner la nécessité de construire des villes africaines intelligentes.

Manassé AGBOSSAGA

Présent sur le sol béninois dans le cadre de la  60è session du Conseil  de l’Union des architectes d’Afrique (AUA), le très célèbre architecte gabonais Erichk Mauro a adressé ses félicitations à ses collègues de l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin. Erichk Mauro s’est réjouit de voir la 60è session du Conseil  de l’Union des architectes d’Afrique (AUA) se tenir au siège  de l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin.

Pour lui, c’est très important que cette assise se tienne dans les locaux de  l’Ordre national des architectes et des urbanistes du Bénin. « Je félicite l’Ordre national des architectes du Bénin qui nous accueille ici… Nous sommes propres et heureux chez nous dans la maison de l’architecte. C’est  quelque chose d’important d’avoir un  siège,  un site dans lequel les activités scientifiques puissent se mener  pour le développement du Bénin », a-t-il fait savoir.

Il a ajouté que cette belle expérience du Bénin sera partagée dans son pays, le Gabon, où l’Ordre des architectes ne dispose pas encore de son siège.

Dans l’entretien qu’il nous a accordé, Erichk Mauro est également revenu sur l’importance d’avoir des villes intelligentes. A en croire ses propos, il faut alors mieux bâtir, structurer les villes africaines. Erichk Mauro a d’ailleurs indiqué que la 60è session du Conseil de l’AUA donne l’occasion d’apporter des réponses aux typologies des   villes africaines. Il a,  dans ce sens, plaidé pour une synergie d’actions entre les gouvernants, les populations, les architectes, les décideurs publics, et autres.

Pourvu que son message soit entendu !

Colloque régional de la météorologie: La présentation des dernières solutions et avancées en météorologie au cœur des échanges

L’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou abrite depuis ce lundi 22 juillet 2019, et ce pendant deux jours, un colloque régional de la météorologie. Organisé par ‘‘DEGREANE Horizon’’, avec le soutien des autorités béninoises, ce colloque qui regroupe huit pays d’Afrique vise à présenter les dernières solutions et avancées en matière météorologie…

L’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou abrite depuis ce lundi 22 juillet 2019, et ce pendant deux jours,  un colloque régional de la météorologie. Organisé par  ‘‘DEGREANE Horizon’’, avec le soutien des autorités béninoises, ce colloque qui regroupe huit pays d’Afrique vise à présenter les dernières solutions et avancées en matière météorologie.

Manassé AGBOSSAGA

C’est le directeur de cabinet du ministre des transports qui a ouvert les travaux. A l’occasion, Joseph Ahissou a remercié les responsables de ‘DEGREANE Horizon’’ pour le choix porté sur le Bénin.

Il a ensuite félicité la société ‘DEGREANE Horizon’’ qui à travers ce colloque prend les devants de la lutte contre le déficit technologique. Joseph Ahissou a alors invité les participants à profiter de cette assise,  pas en tant que acheteurs de technologies,  mais en tant que,  partenaires afin d’être    au parfum des dernières technologies dans le domaine de la météorologie.

Le directeur de cabinet du ministre des Transports a également invité les responsables  de la météorologie et de l’Asecna, du  Tchad, du  Niger, du Mali, du Burkina-Faso, de la  Côte d’Ivoire, du Togo, du Cameroun et du Bénin,  présents à ce colloque,  à réfléchir sur les voies et moyens pour nouer des partenariats.

Avant cet appel, Yam Sultan, Responsable de l’activité météorologie à  ‘DEGREANE Horizon’’ a fait savoir que ce colloque a pour objectif de présenter les dernières solutions et avancées en matière de météorologie,  dans le but de proposer des équipements  pour les réseaux secondaires et des services météos.

Un programme alléchant composé, entre autres de ‘‘be to be’’, de visite, a donc été défini pour l’atteinte de cet objectif.

Hervé Hèssou, Coordonnateur Adjoint de  »CAFE MEFIAS PLUS » « L’Upmb a besoin d’un lifting pour impacter davantage les professionnels des médias béninois….»

« La Météo » s’est entretenue avec Hervé Prudence HESSOU sur la célébration prochaine des 5 années d’existence de linitiative CAFE MEDIAS PLUS dont il est actuellement le coordonnateur adjoint. Entre satisfaction et détermination à porter plus loin le premier Press club du Bénin, celui qui est également le secrétaire général adjoint de l’Union des professionnels des médias du bénin (UPMB) revient sur les défis qui se posent à l’ensemble des hommes et femmes des médias…

« La Météo » s’est entretenue avec Hervé Prudence HESSOU sur la célébration prochaine des 5 années d’existence de linitiative CAFE MEDIAS PLUS dont il est actuellement le coordonnateur adjoint. Entre satisfaction et détermination à porter plus loin le premier Press club du Bénin, celui qui est également le secrétaire général adjoint de l’Union des professionnels des médias du bénin (UPMB) revient sur les défis qui se posent à l’ensemble des hommes et femmes des médias.

La Météo : Le CAFE MEDIAS PLUS est actuellement à son 240ème numéro. Bientôt ce sera le numéro 250 qui coïncide avec le 5ème anniversaire de linitiative. Que pouvons-nous retenir de son bilan ?

Hervé Prudence HESSOU : Le CAFE MEDIAS PLUS est une initiative qui vise à mettre de l’excellence au niveau de la presse béninoise. Nous avons eu l’idée, il y a cinq ans, dans un contexte électoral que beaucoup ont d’ailleurs fustigé à l’époque parce qu’ils ont pensé que nous étions juste venus pour les élections à la Haute autorité de l’audiovisuelle et de la communication (Haac) de cette année-là, en 2014. Mais nous pensions aller plus loin et très loin alors. La preuve, nous sommes là encore aujourd’hui bien des années plus tard avec la satisfaction d’un devoir accompli même si nous avons des choses à améliorer sur le concept. Cette initiative permet aux professionnels des médias de se revigorer chaque semaine à travers des sujets intéressants liés dans un premier temps à la vie des médias et dans un second temps à la vie sociopolitique et culturel du Bénin à travers des experts que nous mettons à leur disposition dans différents domaines et sur plusieurs thématiques. Ces spécialistes leur permettent d’approfondir leur connaissance des sujets qui font l’actualité ou non, et donc d’affiner le traitement qu’ils en feront. Les causeries ont lieu tous les vendredis à la Maison des médias de Cotonou mais également à l’intérieur du pays grâce à nos séances délocalisées, notamment à Lokossa, Bohicon, Abomey, Parakou, Porto novo, etc. Le bilan, 5 ans après sa création, est que le CAFE MEDIAS PLUS est aujourd’hui une plateforme reconnue par beaucoup de Béninois à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. Cette une plateforme d’où sort de l’information crédible pour alimenter les médias aux Bénin. En cela, c’est un objectif atteint pour nous. L’autre objectif presqu’atteint pour nous c’est d’avoir permis aux confrères journalistes qui viennent tous les vendredis d’allonger la liste de leur carnet d’adresses. En effet, le journaliste doit être celui qui a un carnet d’adresses très fourni et doit le cultiver. A l’époque, nous avions fait le constat de ce que certains de ces principes avaient déserté le forum. Plusieurs journalistes n’avaient pas un bon carnet d’adresses leur permettant d’aller au contact de personnalités et spécialistes afin d’avoir un son de cloche adéquat. Ce creuset permet aussi à nos invités de laisser leur adresse à chaque fin de causerie afin de répondre plus tard aux sollicitations des professionnels des médias. Aujourd’hui, beaucoup de confrères ont fait de grands papiers, de grandes émissions sur la base de ce que nos invités disent. Quelqu’un a même fait un papier et gagné un prix en se servant des informations qu’il a reçues à CAFE MEDIAS PLUS. Un dernier objectif, c’est d’avoir réussi à attirer du monde à la Maison des Médias tous les vendredis. Le ralliement des professionnels des médias tous les vendredis redonne vie à cette maison commune. Un regret tout de même. C’est de n’avoir pas pu continuer les ateliers de formations thématiques à l’intention des confrères afin de rester dans notre crédo de promouvoir l’excellence. Toute chose que nous travaillons à corriger. Tout ceci est à l’actif de l’équipe de coordination au départ dirigée par Luc Aimé Dansou qui est aujourd’hui hors du pays. Cela ne l’empêche pas d’être très proche parce quil a toujours un regard avisé sur ce que nous faisons et ne manque d’apporter de précieuses contributions à la bonne marche de cette initiative chère à son coeur.

Récemment, vous étiez en Chine. Nous avons appris que vous avez été élu Secrétaire général d’une structure lors de ce séjour. Parlez-nous-en et quelles sont les opportunités pour les professionnels des médias du Bénin ?

Effectivement, j’ai effectué un séjour de quelques semaines en Chine grâce à un programme que ce pays a pour les médias étrangers. Nous étions une vingtaine de Béninois, professionnels des médias cette année inscrits sur ce programme de partage dexpériences et de découverte de certaines choses que la Chine fait dans le domaine des médias et qui peuvent être utiles aux médias béninois et africains. Ce programme nous a permis de prendre contact avec la réalité du fonctionnement des médias chinois. Aujourd’hui la technologie que ces médias utilisent pour travailler et le dynamisme dans lequel ils travaillent ont été constatés par la vingtaine de journalistes. C’est d’ailleurs, cette année, un programme spécial pour le Bénin. À l’issue de ce programme, nous avons décidé de mettre en place un creuset pour dynamiser cette coopération entre médias chinois et béninois. Cette structure mise en place s’appelle Médias pour la coopération sino-béninoise, déjà adoubée par les responsables des structures chinoises qui nous ont accueillis pour ce programme et aussi par l’ambassadeur du Bénin près la Chine, Monsieur Simon Pierre Adovelandé. Les autorités béninoises et celles chinoises au Bénin seront également au fait de la dynamique de ce creuset. Les opportunités sont que nous nous offrons désormais comme une courroie de transmission entre les deux pays pour tout ce qui est média. C’est une opportunité pour les médias béninois et les journalistes.

Dans quelques jours, nous assisterons au renouvellement du bureau de l’Union des professionnels des médias du Bénin. Quelle lecture faites-vous de votre mandature en tant que Secrétaire général adjoint ?

L’union est en réalité le syndicat des journalistes Béninois. A travers ses actions, elle était aux côtés des journalistes en difficulté. Vous vous rappelez des différentes sorties que nous avons eues à faire pour assister les télévisions fermées. L’UPMB nest pas également pas restée les bras croisés toutes les fois où il y a eu des velléités d’entorse à la liberté de la presse. Il est vrai que beaucoup ne s’identifient dans certaines de nos actions mais nous avons fait ce que nous avons pu pendant notre mandature. L’ancien président a démissionné pour se porter candidat au poste de conseiller à la Haac. Je profite de l’occasion pour une fois encore le féliciter pour sa brillante élection. Depuis nous avons une présidente intérimaire qui maintient le cap jusqu’à l’élection prochaine. Parlant élection, il s’agira de travailler à ce que les professionnels des médias se retrouvent davantage dans cette union. Je trouve que l’Upmb a besoin d’un lifting pour impacter davantage le professionnel des médias béninois. Ceci doit passer par un travail de repositionnement que nous devons faire rapidement. Ce travail va permettre à ce que les structures qui nous apportaient leur appui par le passé et qui pour une raison ou une autre sont parties, reviennent. Cela est important pour nous permettre de mettre en place un certain nombre de projets pour impacter le travail de nos confrères. Il faut également faire une course pour de nouveaux partenariats afin d’atteindre les différents objectifs assignés à l’Union. La question de la spécialisation est aujourd’hui primordiale pour la presse béninoise. L’actuel bureau a commencé un travail qui se doit dêtre poursuivi et approfondi afin de donner de nouvelles perspectives aux journalistes béninois. Je n’oublie pas le volet social qu’il faudra travailler à nouveau et surtout la prise en charge sanitaire des professionnels des médias qui est aujourdhui un peu alambiqué. La nouvelle équipe qui va se mettre en place doit rapidement trouver une solution à cette situation. Et qui mieux que moi pour conduire ces indispensables réformes ?

Venance Tonongbé