Lutte contre la corruption: Jean-Baptiste Elias assigne 10 députés en justice

Ils étaient 24 députés à être sous la menace selon le point fait par le président de l’ANLC lors de sa sortie médiatique du lundi 27 août 2018. Et selon les informations données par Jean-Baptiste Elias ce mercredi 5 décembre 2018, dix députés ont visiblement fait l’option de ne pas déclarer leur patrimoine à leur entrée en fonction,..

Le président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC) a mis sa menace à exécution. Après ’ultimatum du 17 septembre 2018, Jean-Baptiste Elias a assigné en justice 10 députés, qui ne se sont pas conformés  aux dispositions la loin°2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption. Le président de l’ANLC a donné la nouvelle en marge d’une sortie médiatique effectuée ce mercredi 05 décembre 2018 au siège de l’institution.

Manassé AGBOSSAGA

Ils étaient 24 députés à être sous la menace selon le point fait par le président de l’ANLC lors de sa sortie médiatique du lundi 27 août 2018. Et selon les informations données par Jean-Baptiste Elias ce mercredi 5 décembre 2018, dix députés ont visiblement fait l’option de ne pas déclarer leur patrimoine à leur entrée en fonction, comme le recommande  l’article 7 du décret n°2012-338 du 02 octobre 2012, qui stipule que « la déclaration du patrimoine est adressée à la juridiction financière compétente dans les 15 jours suivant l’entrée en fonction et à la cessation de fonction…».Et désormais ces derniers devront faire face à la justice.

En effet, après les rappels et avertissements, le président de l’ANLC a mis sa menace à exécution. Par courrier en date du 24 octobre 2018, adressé au président de la Cour suprême, avec pour  objet  « dénonciation de non déclaration de  patrimoine des membres des institutions de la République, Jean-Baptiste Elias demande l’application des sanctions.  

« Par la présente,  je voudrais vous prier de bien vouloir instruire le président de la chambre des comptes de mettre en application les dispositions de l’article 4, 6ème alinéa de la loi 2011-20 du 12 octobre 211 portant lutte contre la corruption et autres infractions connexes en République du Bénin qui dispose que le refus de déclaration est puni d’une amende dont le montant est égale à 6 mois de rémunération perçues ou à percevoir aux fonctions occupées.

L’amende est prononcée d’office ou sur dénonciation par le président de la chambre des comptes », renseigne le courrier adressé au président de la cour suprême.

Selon les informations contenues dans le courrier, ces dix députés en conflit avec la loi, à la date du  1er octobre 2018, ont pour identité Rosine Dagniho, Jocelyn Dégbey, Pascal Essou, AtaoHinnouho, Valentin Aditi Houdé, Eric Houndété, Lucien Houngnigbo,  Issifou Amadaou, Rosine Soglo, Zoumaraou Wallix.

Toutefois,le président de l’ANLC a dit ne pas avoir des nouvelles de sa plainte. « Je n’ai pas de suite à ce jour. La justice à son rythme. Nous  avons fait notre partition », a confié Jean-Baptiste Elias.

Outre ces dix députés, la plainte de Jean-baptiste Elias vise également cinq membres du Conseil économique et social dont Dominique Atchahoué et un ministre du gouvernement.

Fidèles lecteurs de Kpakpato Medias, le président de l’ANLC a révélé ces informations suite à une question de votre humble serviteur sur le sujet.

C’est dire que  nous œuvrons pour donner plus d’ingrédient au   kpakpatoya.

Campagne ‘‘Ecrire pour les droits’’ : Amnesty International Bénin démarre en fanfare à Houègbo

Amnesty international Bénin démarre sur une note positive l’édition 2018 de la campagne mondiale ‘‘Ecrire pour les droits’’. Le lancement de cette campagne dans la ville de Houègbo, commune de Toffo  ce samedi 1er décembre, en présence des marathoniens, mais également  des autorités communales,   locales,  sages  notables, leaders religieux, et   responsables des organisations de la société civile a permis d’obtenir plus de 300 pétitions de signatures.

Manassé AGBOSSAGA

L’édition 2018 de la campagne « Ecrire pour les droits » est effective du côté de la section béninoise d’Amnesty International. Pour cause, Amnesty International Bénin a lancé ce samedi 1er décembre à Houègbo,commune de Toffo,  en présence d’autorités à divers niveaux,  la campagne ‘‘Ecrire pour les droits’’, édition 2018. Ceci à travers l’organisation d’un semi marathon qui a pris départ à la maison des jeunes de Houègbo.

Les athlètes

A l’occasion, 98 marathoniens hommes et femmes ont répondu à l’appel d’Amnesty international Bénin  qui a bénéficié de l’encadrement technique de l’association sportive ‘‘Les Tigres de Houègbo’’.

Après le lancement des hostilités par le président d’Amnesty International Bénin, Emmanuel Adjanon, Pascaline Oyébo, Mélaine Lohou, Irma Houédjagbla, chez les femmes, Pascal Midogni, Damien Houédanou, Hospice Azagoun, chez les hommes dament le pion à leur challenger et terminent sur le podium. Une performance qui permet à ces derniers de repartir avec des récompenses. Mais en réalité, Amnesty International Bénin a primé les 10 meilleurs par catégories,  soit 20 lots remis.

Un athlète recevant son prix

Avant la remise des prix aux lauréats, le public a toutefois eu droit à un résumé des quatre cas retenus par Amnesty International Bénin. Un accent particulier a donc été mis  sur l’Iranienne Aténa Daémi, emprisonnée pour avoir dénoncé la peine de mort ;le marocain Nawal Bénaissa, harcelée parce qu’elle revendique une vie meilleure;le kirghize Gulza Duishenova, qui se bat pour les personnes handicapées; et la vénézuélienne Géraldine Chacon, persécutée pour avoir aidé des jeunes à défendre leurs droit.

Fidèle Kikan explique l’un des 4 cas

Ce résumé fait par le directeur d’Amnesty International Bénin,  Fidèle Kikan en relation avec des cas de violation des droits humains au Bénin a débouché sur l’étape de la signature officielle.Et là, le succès fut au rendez-vous. Plus de 300 signatures de pétitions ont été obtenues dans la matinée de ce samedi dans le cadre du lancement de la campagne ‘‘Ecrire pour les droits’’.

Lors de la signature

En attendant, le 17 décembre prochain, fin de la campagne,  l’objectif des 250000 signatures est donc en bonne voie.

Emmanuel Adjanon, Fidèle Kikan, et tous les membres militants et sympathisants d’Amnesty International Bénin peuvent dans ce contexte préparer avec sérénité et enthousiasme la célébration des 70 ans de la déclaration universelle des droits de l’homme. Un évènement qui sera célébré par anticipation le samedi 08 décembre 2018 à travers une marche dans les villes de Bohicon, et d’Abomey suivie de déclarations.

Noms et prénoms des six premiers par catégorie

Femmes

1ère Pascaline Oyébo

2ème  Mélaine Lohou

3ème  Irma Houedjagbla

4ème  Carine Kpanou

5ème  Ramatou Oyébo

6ème  Rosalie Dégué

Hommes

1er Pascal Midogni

2ème   Damien Houédanou

3ème  Hospice Azagoun

4ème   Ricardo Dovessode

5ème  Euphrème Afanou

6ème  Paulin Dovessode

Aboubacar Obama à propos de la grève des transporteurs nigériens : « Il faut un barème des transports qui sera respecté par tous »

Depuis plusieurs jours, le Niger fait face à la colère des transporteurs. Ces derniers ont enclenché une paralysie générale. Face à cette paralysie qui pourrait gagner le Bénin au vu de l’accrochage évité de justesse en milieu de semaine dernière à Allada, Kpakpato Médias a rencontré un acteur des transports nigérien. Dans cet entretien exclusif, Aboubacar Obama, directeur de l’entreprise ‘‘OB Transport’’ livre les raisons de ce mouvement de débrayage et fait des propositions pour une sortie de crise. Il ne manque pas de donner des coups à un leader syndical béninois.

Depuis plusieurs jours, le Niger fait face à la colère des transporteurs. Ces derniers ont enclenché une paralysie générale. Face à cette paralysie qui pourrait gagner le Bénin au vu de l’accrochage évité de justesse en milieu de semaine dernière au port sec d’Allada, Kpakpato Médias a rencontré un acteur des transports nigérien. Dans cet entretien exclusif, Aboubacar Obama, directeur de l’entreprise ‘‘OB Transport’’  livre les raisons de ce mouvement de débrayage et fait des propositions pour une sortie de crise. Il ne manque pas de donner des coups à un leader syndical béninois. 

Kpakpato Médias: Depuis quelques jours les transporteurs nigériens ont déclenché une grève. Quelles sont les raisons de ce mouvement de boycott ?

Aboubacar Obama, Transporteur Nigérien: Dans la vie,  quand quelque chose t’appartient et que tu cherches encore à t’accaparer des biens d’autrui,  un jour viendra où ce dernier va réclamer ce qui lui revient de droit. C’est ce qui a poussé les transporteurs à aller en grève.  Les raisons sont donc simples. Il se  fait que depuis un moment,  il y a une mafia qui s’est installée, qui a conduit à un régime dictatorial dans le secteur des transports.

Aujourd’hui, les importateurs ont créé un syndicat. Ce syndicat se réclame d’être à la fois  syndicat des importateurs et des transporteurs.

Mais,j’ai toujours dit, comment est t-il possible que je sois le défenseur de la victime et de l’accusé. Ce n’est pas possible.

Nous transportons sur diverses destinations de l’hinterland,  au Niger par exemple Maradi, Zinder. Là ou une destination coûtait 60.000Fcfa, 65.000 Fcfa, force est de constater   que ce coût est à 38000 Fcfa aujourd’hui. Avant on consommait le gasoil à 400 Fcfa, mais aujourd’hui, il est à  600 Fcfa. Voyez- vous la différence ? Voyez-vous les difficultés de la route ?

Là où  il faut aller à 2 millions, tu trouves difficilement 1 million. Au retour, tu n’as même pas un franc avec lequel tu vas payer le chauffeur, avec lequel tu vas faire la vidange, avec lequel tu vas payer des pneus neufs.  Face à cette situation, nous avons donc le dos collé au mur.

Ces importateurs, ces représentants d’importateurs ont créé une mafia avec une certaine classe qu’on appelle la classe des coksseurs, c’est des intermédiaires. Quand, l’importateur veut détruire un transporteur, il passe par ce dernier.

Tout récemment à la tour administrative,  on nous a convoqués pour une réunion avec le ministre de l’intérieur  et le ministre de tutelle. Ils nous ont dit,  qu’ils veulent supprimer les camions branlants de la circulation.  Moi ‘‘OB’’petit transporteur que je suis, j’ai  dit oui, mais.

J’ai pu dire au ministre des transports d’alors que vous voulez enlever les camions branlants des transports,  il n’y a pas de problème. Mais quelle est votre contribution pour pouvoir donner un petit coup de pouce aux transporteurs ?  Je suis resté sans réponse.

Vous voulez supprimer un vieux camion de la circulation. Vous n’avez pas aidé cette personne au moment où elle  achetait le camion à l’état neuf alors que vous avez contribué à sa destruction.

Donc  après avoir beaucoup subi, aujourd’hui nous-mêmes on va réclamer.

Le transporteur qu’on a l’habitude chaque jour de mettre le coupe-coupe pour couper,  il n’y a plus de chair sur son os. Et aujourd’hui,  c’est le squelette qui est en train de réclamer la chair.

Les conséquences d’une telle paralysie sont tout de même énormes …

Oui ! Le port de Cotonou ne sera plus compétitif avec le temps. Un port où il n’y a pas de camion pour transporter,  je ne vois pas qui va oser amener son bateau  de 50 mille, 60 mille, 70 mille tonnes et rester payer des frais supplémentaires, de gardiennage.

Le souhait de tout importateur,  c’est de trouver sa marchandise à temps.

Un appel à lancer aux autorités…

Nous voulons  dire un seul mot.  La situation dans laquelle nous sommes risque de s’aggraver. Il y a des syndicalistes qui se disent du côté du pouvoir et qui se disent en même temps syndicat des importateurs et des transporteurs qui nous taxent d’être contre les intérêts de l’Etat.

Quand la marchandise arrive au Port de Cotonou et que la campagne cotonnière démarre,c’est à ce moment que nous avons la force pour réclamer nos droits, parce qu’un importateur ne veut pas voir sa marchandise bloquée. C’est à ce temps précis, quel’autre syndicat, qui se dit syndicat de la Rupture se met devant pour nous mettre contre l’Etat. Mais en tant que bon citoyen,  nous ne pouvons pas être contre l’intérêt de l’Etat.

Ce que nous voulons est simple.  Il faut que l’Etat vole à notre secours. Il faut qu’on arrive à avoir un barème de transport qui sera respecté par tous. Que l’Etat prête oreille, regarde pour distinguer entre les syndicalistes, ceux  qui sont là pour exercer leur fonction ou faire la politique.

Pour finir,  je tiens à rappeler que le secteur des transports contribue à la diminution du chômage, contribue au développement, contribue à rendre le port de Cotonou compétitif.

Il faut donc que les autorités tiennent comptent de cela.

Jevous remercie.

Réalisation : Manassé AGBOSSAGA

Atelier sur les résolutions 1325, …: Les satisfactions et engagements de Michodigni, Ahidéon, Alafaï, Daboua, et Ouro-Djéri

Le Réseau paix et sécurité des femmes dans l’espace Cédeao (Repsfeco Bénin) a, à travers un atelier tenu le vendredi 23 novembre à l’hôtel Viga de Bohicon,  renforcé les capacités de 24 journalistes blogueurs et autres acteurs des médias en ligne sur les résolutions 1325, 2242 et 2250,  adoptées par le Conseil de sécurité des Nations unies. A la sortie de cet atelier, votre blog Kpakpato Médias a recueilli  les avis de cinq participants à savoir Ben Michodigni, responsable de benagnonoverblog, Désiré Ahidéon, Manager général du ‘‘Débat béninois’’, Alain Alafaï, Directeur exécutif de ‘‘l’œil Républicain’’, Modeste Daboua, responsable de ‘‘Royal Tv’’, Madjidath Ouro-Djeri, responsable de ‘‘La Griotte’’.  Ils ont tous exprimé leur sentiment de satisfaction et pris l’engagement d’être des apôtres du Repsfeco et des résolutions 1325, 2242 et 2250 du CSNU.

Ben Michodigni,  : «Notre rôle sera d’accompagner le Repsfeco Bénin dans la vulgarisation des résolutions 1325,2242, 2250 »

Ben Michodigni, responsable benagnonoverblog

« Nous venons de suivre une formation initiée par le Réseau paix et sécurité des femmes dans l’espace Cédeao (Repsfeco Bénin) sur les résolutions 1350, 2242  et 2250 du Conseil de sécurité des Nations unies (CSNU). J’avoue,  que j’ai été très satisfait. Mes attentes ont été comblées,  parce que nous avons eu droit à plusieurs communications sur les questions de paix, comment devons nous prévenir les conflits armés, comment devons nous protéger les femmes.

Puisque,  nous sommes des vecteurs de l’information, des canaux de l’information,  notre rôle sera d’accompagner le Repsfeco Bénin dans la vulgarisation des différentes résolutions à savoir 1325,2242, 2250.

Je prends l’engagement d’accompagner le Repsfeco Bénin. Je voudrais également inviter tous les participants, les journalistes blogueurs, télévisions en ligne à aller dans le même sens que moi, à savoir vulgariser ces résolutions pour mériter la confiance du réseau.

Je voudrais également remercier Madame Blandine Sintondji Yaya  qui a mis les petits plats dans les grands pour que cette formation soit une réalité ».

Désiré Ahidéon: « J’ai été délivré d’une ignorance »

Manager Général du Débat béninois

« Des sentiments de joie. A l’issue de cette formation, j’ai appris beaucoup de choses, que je ne savais pas.  D’abord le Repsfeco  Bénin, que je ne connaissais pas dans le  fond. J’ai entendu parler une ou deux fois,  mais je ne savais pas dans quel domaine ce réseau est compétent.

En dehors de ça, les thèmes autour desquels cette formation s’est déroulée m’étaient étranger.

Cela m’a donc permis de connaître les résolutions 1325,2242 et 2250.

J’avoue qu’à la fin de cette formation,  j’ai été comblé. J’ai été délivré d’une ignorance.

Comme promesse, je suis désormais un ambassadeur de ces différentes résolutions. Je vais divulguer le contenu de ces différentes résolutions dans mon quartier.  Il y a ma plume qui est là. Je promets faire de mon mieux pour que mon organe puisse servir de relai à ces différentes notions apprises »

Alain Alafaï : « Ce sont des sentiments de joie »

Alain Alafaï, Directeur exécutif, L’Œil républicain

« Ce sont des sentiments de joie. Il faut que nous puissions faire connaître les résolutions 1325, 2242 et 2250 pour inclure la femme, les jeunes lorsqu’on parle des questions de paix, de développement, de sécurité, de genre.

Il faut qu’on  mette la jeunesse et la femme au cœur du développement. Donc faire connaître, ces résolutions par tous les moyens, c’est une bonne chose.

C’est d’écrire,  de vulgariser, d’en parler à mes proches, de faire porter ma plume au Bénin et loin du Bénin ».

Modeste Daboua:« Nous venons d’être mis au même niveau d’information pour mener la lutte ensemble »

Modeste Daboua , Royal Tv

« Des sentiments de jolie et de satisfaction. Nous venons d’être mis au même niveau d’information afin de mener la lutte ensemble.

Je voudrais donc au passage remercier le Repsfeco Bénin qui a initié cet atelier de renforcement, qui a surtout impliqué les blogueurs et journalistes télévisions en ligne   grâce à l’appui  technique de Care et l’appui financier de la Coopération Suisse.

 Nous prenons l’engagement ici et ici même de porter à la Nation  les bienfaits, les missions, les objectifs de ces résolutions.

En tant que journaliste audiovisuel,  nous allons initier des émissions pour accompagner ces résolutions ».

Madjidath Ouro-Djeri « Je suis animée par des sentiments de joie et de satisfaction »

Madjidath Ouro-Djeri

« Je dirai un sentiment de joie et de satisfaction. De joie,  parce que désormais je suis consciente qu’il y a plusieurs dispositions qui sont prises et qui sont en train d’être mises en œuvre pour le respect de ces différentes résolutions. De satisfaction,  parce qu’avoir choisi les blogueurs et les journalistes, cela montre que le monde des médias est très important.

Maintenant les informations passeront plus vite. Je vais commencer par mon blog,  que j’anime qui s’intéresse aux faits sociaux. Je suis la griotte (rire).

Alors je pense passer par ce blog et faire passer le message sur les différentes résolutions.

A part ça,  dans ma localité à Parakou où je réside,  je peux organiser de temps en temps,  puisque je suis très proche des jeunes, des rencontres afin de les informer, et de les inculquer ces valeurs de respect, de sécurité et de paix ».

Réalisation : Manassé AGBOSSAGA

Campagne « Ecrire pour les droits » : Amnesty International Bénin organise un Semi-marathon à Houègbo ce jour

L’arrondissement de Houègbo, commune de Toffo abrite ce samedi 1er décembre 2018 un Semi-marathon.Organisé par Amnesty International Bénin, ce rendez-vous sportif qui mobilise des athlètes professionnels et amateurs s’inscrit dans le cadre de la campagne mondiale « Ecrire pour les droits » ou « Marathon des Lettres ».

L’arrondissement de Houègbo, commune de Toffo abrite ce samedi 1er décembre 2018 un Semi-marathon.Organisé par Amnesty International Bénin, ce rendez-vous sportif qui mobilise des athlètes professionnels et amateurs s’inscrit dans le cadre de la campagne mondiale « Ecrire pour les droits » ou « Marathon des Lettres ».

Manassé AGBOSSAGA

Derrière ce rendez-vous sportif de taille se cache la volonté des responsables et membres d’Amnesty International Bénin (AIB) de contribuer aux objectifs mondiaux de la campagne « Ecrire pour les droits » en mobilisant un maximum de membres, de sympathisants,  et de militants. En effet, le  Semi-marathon qui se tient ce jour dans l’arrondissement de Houègbo consacre le lancement de l’édition 2018 de la campagne mondiale « Ecrire pour les droits » ou « Marathon des lettres ». Cette campagne  s’étale du 1er au 17 décembre 2018. Et pour cette édition, la section béninoise d’Amnesty International a préféré se concentrer sur 4 cas (ATENADAEMI, Emprisonnée pour avoir dénoncé la peine de mort-Iran ; NAWALBENAISSA, harcelée parce qu’elle revendique une vie meilleure-Maroc ;GULZA DUISHENOVA, Elle se bat pour les personnes handicapées –Kyrgystan ;GERALDINE CHACON, persécutée pour avoir aidé des jeunes à défendre leurs droits-VENEZUELA), sur les 10 retenus par la section mère.

A travers ce semi-marathon et autres activités ou stratégies, Amnesty International Bénin entend donc collecter au moins 250000 signatures (physiqueset électroniques) pour les quatre cas retenus par la section, sensibiliser les populations sur les thématiques abordées par les cas retenus et enfin recruter au moins 100 nouveaux membres.

Les autorités politico administratives, les organisations de la société civile, les leaders traditionnels et religieux, les passionnés de l’athlétisme attendus à ce Semi-marathon sont donc invités à donner un coup de pouce à Amnesty International Bénin.

Succès de la Senum 2018: Un pas de géant vers la révolution numérique du Bénin et de l’Afrique

Lancée officiellement le mardi 27 novembre 2018, l’édition 2018 de la Semaine du Numérique a connu son épilogue ce mercredi 28 novembre 2018 à la Grande Place de la réconciliation de Cotonou. Organisé avec l’appui de l’Alliance Smart Africa, ce rendez-vous a permis, grâce à une série d’activités, de réunir la communauté´ béninoise et internationale autour des enjeux du secteur du numérique et de mettre en réseau les différents acteurs du secteur. C’est donc un pas de plus vers la révolutionde l’économie numérique du Bénin et de l’Afrique.

Manassé AGBOSSAGA

L’édition 2018 de la Semaine du numérique (Senum) est désormais conjuguée au passé, mais les retombées résisteront au temps. En effet cet évènement qui a réuni les acteurs gouvernementaux du numérique de pays africains, les autorités de régulations locales et africaines, les représentants des organisations internationales, les opérateurs Gsm, les Start-up, les représentants d’incubateurs et d’accélérateurs internationaux, les fabricants de technologies et les intégrateurs, les fournisseurs d’accès Internet a permis au Bénin et à l’Afrique de poser les bases de la révolution numérique.

La ministre de l’économie numérique lors de son discours d’ouverture

Dans son discours d’ouverture tenu en présence de ses collègues des enseignements secondaire, technique, de la formation professionnelle ; de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique; de l’Eau et des mines, et d’autorités à divers niveaux,   la ministre de l’Economie numérique et de la communication a indiqué,  que la Semaine du numérique a vu le jour en remplacement de la Semaine de l’internet pour élargir le sujet au numérique.

Aurélie Adam Soulé Zoumarou a ensuite ajouté que  cette tribune permet de partager les expériences, de mutualiser les efforts, de se  mobiliser autour des enjeux du numérique et de mettre en réseau les acteurs.…

La ministre de l’Economie numérique a toutefois rappelé que cette semaine avait démarré depuis le 22 novembre par une série d’activités.

Toujours lors de la cérémonie d’ouverture, le président de la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin a entretenu l’assistance sur la révolution de l’économie numérique.

Dans sa communication, Jean-Baptiste Satichivi a insisté sur la connectivité, la productivité et la conformité.

Pour sa part, le Directeur exécutif Directeur Exécutif de Smart Africa,Touré Hamadoune a annoncé la mise à disposition d’un fonds pour accompagner les jeunes start-up.

Un panel composé de ce dernier avec la ministre de l’Economie numérique a ensuite mis un terme à la cérémonie officielle d’ouverture.

Intense activité

L’édition 2018 de la Semaine du numérique a été riche en activité. Un forum international dénommé Afro-Tech avec pour thème « Le Bénin au cœur de l’AfroTech », a mobilisé les acteurs opérant dans le secteur du numérique. Des compétitions, expositions d’arts numériques  et concours à l’instar du E-Agri Challenge,  ou encore Danxômê e-art expo ont aussi été de la partie.

Le concours E-Agri  vise la promotion de l’innovation numérique afin de résoudre les problèmes liés à l’agriculture.  Quant au concours Danxômê e-art expo, il ambitionne d’encourager les jeunes à s’insérer dans le secteur du numérique.  Trois artistes ont d’ailleurs été primés pour l’originalité de leurs œuvres.

Des panels dont l’Amazone Afro Tech (réseautage), Le griot talk 6 (la révolution agricole numérique inclusive en Afrique) et 7 (quels modèles de financement des star-up), des communications, des conférences-débats avec des thèmes variés dont l’E-Sante´, l’E-agriculture, l’E-Gov, la finance digitale,les femmes dans le numérique et l’entrepreneuriat numérique ont enrichi la Senum.

A ces activités qui ont eu lieu pendant les deux jours du forum international Afro Tech, il faut ajouter la visite des stands.

Au bout de ces séries d’activités, le Directeur de cabinet, Ahmed Sacca Yarou a officiellement déclaré clos la deuxième édition de la Senum. Il n’a pas manqué de remercier tous les partenaires qui ont contribué à la réussite de l’évènement.

La touche culturelle

Agon, Gbaguidi, Ayadokoun, Houngbédji Loko: Nommés, ces ex-journalistes ne vivent pas la galère ‘‘Rupturienne’’

Le régime de la Rupture sourit à certains professionnels des médias. Du moins,  ex journalistes. En effet, nommés à des postes de responsabilités depuis l’arrivée de Patrice Talon en 2016, ces derniers « serrent »moins la ceinture et connaissent moins la galère ‘‘Rupturienne’’,  contrairement à votre humble serviteur. Dans une liste non exhaustive, Kpakpato Medias revient sur les cas Benjamin Agon,Supplice Oscar Gbaguidi, Judicaël Ayadokoun,  Edouard Loko, et Wilfried Léandre Houngbédji.  

Benjamin Agon

Benjamin Agon

Animateur principal de l’émission ‘‘Caravane du Matin’’ de  radio Tokpa, Benjamin Agon n’a pas attendu longtemps avant de voir son étoile brillé sous  le régime de la Rupture.  Quelques mois après l’arrivée du président Talon, il a été nommé au poste d’attaché de presse  à l’Ambassade du Bénin près des Etats-Unis.

Et comme le bonheur ne se refuse pas, l’homme qui a co-animé le débat d’entre deux tours de la présidentielle de 2016 ayant  mis aux prises les candidats Patrice Talon et  Lionel Zinsou a sauté dans le premier vol pour rejoindre le pays de ‘‘l’oncle Sam’’.

Depuis les USA, il est évident que Benjamin Agon ne vit pas la galère ‘‘Rupturienne’’.

Supplice Oscar  Gbaguidi

Supplice Gbaguidi

Célèbre chroniqueur, Supplice Oscar Gbaguidi s’est donné une réputation sur l’émission ‘‘Actu Matin’’ de la télévision Canal 3 Bénin à travers ses tirs contre l’ancien président Boni Yayi.Et comme une prime à ses chroniques pimentées contre le régime défunt, l’ancien directeur de publication du quotidien ‘‘Fraternité’’ a été nommé  en 2016 au poste d’attaché culturel à l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) à Paris.

Avec ce poste ‘‘juteux’’, il est indéniable que Supplice Gbaguidi ne serre pas la ceinture comme ses ex collègues de ‘‘Canal 3 Bénin’’.

Judicaël Ayadokoun

Judicaël Ayadokoun 

Restons à Canal 3 Bénin pour évoquer le cas de Judicaël Ayadokoun. Présentateur du journal télévisé, il  a été appelé à servir à l’Office béninois de sport scolaire et universitaire. En effet, sous l’impulsion du ministre Oswald Homéky, il a été nommé en conseil des ministres (novembre 2016) au poste de Directeur général adjoint  de l’Office béninois de sport scolaire et universitaire.

Il a par la suite bénéficié d’un bonus avec son élection à tête de la Zone Afrique de l’Ouest de la Fédération africaine du sport scolaire.

Entre un titre de simple journaliste présentateur sur une  télévision privée,et un poste de directeur général adjoint de l’Obsu et un titre de patron  de la Zone Afrique de l’Ouest de la Fédération africaine du sport scolaire, il est clair que le bonheur et les avantages se dégagent dans le second camp.

WilfriedLéandre Houngbédji et Edouard Loko

Wilfried Houngbedji

Ancien journaliste au quotidien de service public ‘‘La Nation, Wilfried Léandre Houngbédji joue un rôle clé sous le régime de la rupture. Compagnon fidèle du ministre Pascal Koupaki, il est depuis 2016  le directeur de la communication de la présidence de la République.

C’est donc l’ancien journaliste de ‘‘La Nation’’qui porte la voix de la présidence de la République et par ricochet du gouvernement en matière de communication.

Quant à Edouard Loko, promoteur du quotidien ‘‘Le Progrès’’, il est selon le décret numéro 2016/293 en date du 17 mai 2016,le chargé de mission et responsable média du Chef de l’Etat.

Déjà dans le staff du candidat Patrice Talon devenu président de la République, l’ancien conseiller à la Haac porte la voix du chef de l’Etat.

Si ces responsabilités demandent assez d’effort et de sacrifice, il est aussi évident que les privilèges et avantages liés à ces postes ne sont pas inestimables, et vous mettent à l’abri de la galère ‘‘Rupturienne’’. Et là-dessus,  l’animateur principal de Kpakpato Medias demande à ces derniers de faire preuve de confraternité en pensant,  de temps à autres, à lui.

Merci d’avance.

Manassé AGBOSSAGA

Tenue réussie de la rentrée solennelle du Barreau : Les satisfactions du Bâtonnier Yvon Détchénou

Ouverte le lundi 12 novembre, la rentrée solennelle du Barreau du Bénin a connu son épilogue ce vendredi 16 novembre. Et à l’occasion d’une conférence de presse co- animée avec trois autres de ses collègues, le président de l’Ordre des avocats du Bénin a salué l’organisation et le déroulé des activités.

Manassé AGBOSSAGA

Yvon Détchénou se réjouit de l’organisation de la rentrée solennelle 2018-2019 du Barreau du Bénin. Le président de l’Ordre des avocats du Bénin a livré ses sentiments de satisfaction lors de la conférence de presse co-animée dans la soirée du vendredi 16 novembre à l’hôtel Bénin marina  aux côtés de trois de ses pairs.

Yvon Détchénou a souligné que cette rentrée a été riche et débordante en activité. Le président de l’Ordre des avocats du Bénin a,  dans ce sens,  mis en avant la conférence d’art oratoire, les activités judiciaires, les thématiques professionnelles, les échanges scientifiques, la formation.

Parlant de formation, le président du Barreau du Bénin a adressé un grand merci particulier au Cifaf, à la Carpa et à la Bad.

Il a laissé entendre que cette formation permet d’améliorer le profit des avocats, mais également à ces derniers  de repartir avec une autre vision de certaines réalités de la profession.

Le Bâtonnier Yvon Détchénou a alors exprimé toute sa satisfaction de voir le Bénin abriter cette première académie et espérer que la formation ne s’arrêtera pas là.

L’autre joie du président de l’Ordre des avocats du Bénin, c’est la résolution de la question de l’inter-professionnalité.

Yvon Détchénou a fait savoir que cela permet désormais aux avocats de s’associer à d’autres personnes pour des missions ponctuelles et d’autres compétences pour accompagner le privé.

« C’était un point de conflit depuis plusieurs années. Les discussions ont été assez lourdes,  mais nous avons trouvé l’équilibre nécessaire, les formules nécessaires pour que cela soit une réalité », se félicite Yvon Détchénou.

Il dit toutefois espérer la finalisation de ce règlement d’ici l’année prochaine. Alors de remercier la conférence des barreaux, et tous les avocats de l’espace Uemoa qui ont effectué le déplacement de Cotonou.

Résolutions 1325, 2242,2250 : Le Repsfeco Bénin outille 24 journalistes blogueurs et autres acteurs des médias

Avec le soutien financier de la coopération Suisse et l’appui technique de Care Bénin-Togo, le Réseau paix et sécurité des femmes dans l’espace Cédeao (Repsfeco Bénin ) a outillé 24 journalistes blogueurs et autres acteurs des médias en ligne venus des différents départements du pays sur le contenu des résolutions 1325, 2242 et 2250,  adoptées par le Conseil de sécurité des Nations unies. C’était à travers un atelier de sensibilisation et  de renforcement des capacités tenu ce vendredi 23 novembre 2018 à la salle de conférence de l’Hôtel Viga de Bohicon.

Manassé AGBOSSAGA

 Le Réseau paix et sécurité des femmes dans l’espace Cédeao (Repsfeco Bénin) rapproche les journalistes blogueurs et autres acteurs des médias en ligne des résolutions 1325, 2242 et 2250. Pour cause, le Repsfeco Bénin a, avec l’appui financier de la Coopération Suisse et le soutien  technique de Care Bénin-Togo, organisé un atelier de renforcement des capacités de 24 journalistes blogueurs,  télévisions en ligne et autres sur les dites résolutions.

Le présidium lors de la cérémonie d’ouverture

A l’occasion, Blandine Yaya a, lors de la cérémonie d’ouverture, indiqué que le Repsfeco Bénin a entamé depuis 2017 le renforcement des capacités des journalistes sur les résolutions 1325, 2242 et 2250. La présidente du Repsfeco Bénin a souligné qu’une formation a d’ailleurs été initiée au profit de la cellule des femmes de l’Union des professionnels des médias du Bénin. A cela, Blandine Yaya a évoqué la signature des contrats de partenariat avec 12 organes de presse pour vulgariser les trois résolutions.

Puis de marteler « Cette année, nous avons voulu intensifier la sensibilisation de ces résolutions en renforçant les capacités des journalistes blogueurs, télévisions en ligne, … ».

La présidente du Repsfeco Bénin fait alors savoir aux journalistes présents que l’objectif de cet atelier est de promouvoir les résolutions 1325,2242, et 2250  sur les réseaux sociaux, médias en ligne et autres, car ajoute t- elle « nous savons que beaucoup de béninois sont sur les réseaux sociaux ».

Et au porte-parole des participants de rassurer Blandine Yaya.

« Nous nous engageons ici et maintenant à produire des articles divers pour permettre à la population cible de s’approprier le contenu de ces différentes résolutions. Vous pouvez d’ores et déjà compter sur notre engagement, notre professionnalisme, quitte à vulgariser à long terme cette résolution »,         a rassuré Ben Michodigni. 

Après quoi, Simon Donhissou, représentant le  Directeur départemental des affaires sociales et de la microfinance a officiellement lancé les travaux.

Riche journée en connaissance

La présidente Blandine Yaya lors de sa communication

Cette ouverture officielle a permis à Blandine Sintondji Yaya de présenter aux participants le Repsfeco et la résolution 1325.  

Blandine Yaya a rappelé que le Respefco est un réseau sous régional,  créé sous l’égide du Centre de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédeao)  pour le développement du  genre, depuis 2009. Elle a ajouté que ce  réseau a pour objectif principal d’œuvrer pour la participation des femmes dans tous les processus de paix, de promouvoir les droits humains des femmes et des filles en particulier.

Pour ce qui est de la présentation sur la Résolution 1325, elle a fait savoir que cette  dernière a été  adoptée le 31 octobre 2000. Blandine Yaya a indiqué que cette résolution vise la  participation des femmes dans les processus de paix, notamment la prévention des conflits, la gestion des conflits, les opérations de maintien de la paix et de consolidation de la paix.  Elle a ajouté que cette résolution se penche également sur la protection des droits des femmes, sur la lutte contre les violences faites aux femmes, notamment  les violences sexuelles.

Florence Eniayehou, membre Repsfeco, lors de sa communication

Blandine Yaya a ensuite laissé place à Florence Eniayehou pour entretenir les participants sur les résolutions 2242 et 2250. Elle a ajouté que ces résolutions adoptées en 2015 complètent la 1325. Toutefois, Florence Eniayehoua fait savoir que la résolution 2240  aborde la participation des femmes dans les activités de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent, la participation des femmes dans les actions humanitaires, la  lutte implacable contre les auteurs des violences  basées sur le genre, , tandis que la résolution 2250 se penche sur la thématique jeunes,  paix et sécurité.

Ces trois communications ont fait objet de riches débats. Le tout dans une bonne ambiance.

Les stratégies de vulgarisations des différentes résolutions, la synthèse  sur les types de production à retenir, l’évaluation de l’atelier ont enfin mis un terme à une riche journée en connaissance pour les participants.

L’uns des trois groupes de travail

Nous y reviendrons !

Distinction des meilleurs acteurs du développement à l’échelle continentale: La 16ème Tam Tam d’Afrique Awards annoncée pour le 1er décembre 2018

Loin d’être un concert de musique ou de théâtre, le Grand prix International de Récompenses des Meilleurs Acteurs du Développement Africain dénommé ‘’Tam-Tam d’Afrique Awards’’ est à sa 16ème édition cette année 2018 et connaitra la participation de 12 pays africains et plusieurs participants et invités d’honneur de plusieurs secteurs d’activités des pays de la sous région

C’est une soirée de mérite et d’hommages spécifiquement dédié aux acteurs panafricain qui contribue au développement de nôtre cher continent noir à travers leurs différents domaines de fonctions.

La particularité de cette 16ème édition réside sur la qualité exceptionnelle de l’organisation et surtout le travail abattu par l’équipe du jury.

L’Afrique couronnera encore l’effort de ses dignes filles et fils à travers une soirée prestige d’honneur et d’hommage car les actes doivent faire école pour des générations futures.

C’est au bout de l’ancienne corde qu’on tisse la nouvelle dit-on ! Un grand moment de retrouvailles, d’échanges et de convivialité pour trouver des nouvelles issues de contribution au développement de l’Afrique entre acteurs de plusieurs secteurs.

Même si l’effort et l’action positive reste un grand vecteur de développement, l’unification des fils et filles du continent reste la nouvelle porte de développement de l’Afrique, un horizon de complémentarité qui nous amènera à transformer le continent noir en un village planétaire ou la libre circulation serait commune et les échanges commerciaux seront le même car la barrière des frontières serait lever sans équivoque.

Comme en 2017, c’est l’une des somptueuses salles de l’hôtel Azalai de Cotonou qui servira de cadre à cet évènement continental.

Cell Communication Tam Tam D’Afrique