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L’ancien ministre des Fiances de Boni Yayi s’invite dans le débat, arriérés de salaire laissés par le régime défunt. Via un post lapidaire ce dimanche 18 octobre 2020, Komi Koutché promet rétablir « la vérité » dans les jours à venir. Son message.
Bonjour chers amis d’ici et d’ailleurs. Vous êtes nombreux à m’interpeller sur le #débat qui agite l’opinion publique béninoise depuis 48 heures et relatif à la situation des #arriérés dus aux #travailleurs au 05 avril 2016 au titre des implications dues à leur avancement et aux mesures d’incitation prises par les gouvernements auxquels j’ai appartenu.
Alors, je puis vous assurer que je ne me déroberai à aucun devoir de vérité, tant qu’il contribuera à la restauration d’un #Bénin de libre expression.
J’espère que cette fois ci, les autorités de notre pays, contrairement à d’antérieurs débats, accepteront de s’essayer à la confrontation des données afin que le peuple puisse se faire sa propre religion.
À très bientôt donc pour ma #contribution au rétablissement de la #vérité sur ces nouvelles affirmations des autorités de notre pays.
L’ancien préfet de l’Atlantique, Modeste Toboula s’est invité dans le débat de dettes à l’endroit des travailleurs laissées par le régime défunt en 2016, et qui divise Boni Yayi à Patrice Talon. Sur sa page facebook, ce dimanche 18 octobre 2020, c’est en qualité d’ancien syndicaliste qu’il a défendu l’actuel locataire de la marina sur la polémique.
«
Bonjour chèrs tous. J’étais syndicaliste sous la Gouvernance Yayi. En prenant seulement les dettes issues de la revalorisation du point indiciaire de 25 pour cent au profit des travailleurs du ministère des finances à la suite de l’affaire Dangnivo ce qui nous avait conduit à la création de la Coallition des Organisations Syndicales de de l’Administration Publique (COSYNAP) dont j’étais membre fondateur et secrétaire administratif, je peux affirmer que son régime avait bel et bien laissé des dettes.
Mieux, il y avait une grande injustice dans l’octroie des primes de motivation allant d’un ministère à un autre. Nous avons en son temps réclamer l’harmonisation des primes au sein de l’administration publique.
Les incidences financières decoulant de cette revalorisation ont été planifiées pour être appurees en fin de mandat en 2016 mais malheureusement elles n’ont pas été apurées.
Le reversement opéré en son temps a gonflé l’effectif de la fonction publique et a l’époque, bien que faisant parti des cadres reversés, nous avons fustigé la tournure politique extrême de ce dossier et nous nous sommes battu en vain pour freiner l’élan du Gouvernement à cette époque au risque même de creer des inimitiés avec nos camarades travailleurs car nous avions exigé qu’au moins un test soit organisé au profit des agents pour jauger un peu de leur niveau avant le reversement mais hélas. C’est un devoir de vérité. Dieu bénisse notre pays. Éphésiens 4-25 »
Boni Yayi n’est pas rancunier. Il veut le bien de son successeur malgré leurs divergences
Boni Yayi n’est pas rancunier. Il veut le bien de son successeur malgré leurs divergences. Via un post publié sur sa page Facebook, ce dimanche 17 octobre 2020, l’ancien président de la République a confié qu’il prie pour Patrice Talon pour l’aider à réussir son mandat.
Répondant à la supposée dette laissée par son régime à l’endroit des travailleurs, Boni Yayi a aussi fait part de ses bons souhaits à l’endroit du président de la République, après lui avoir offert une bible en 2016.
« Je voudrais demander au Seigneur de toucher son cœur pour qu’il se rapproche de ses concitoyens pour leur dire exactement ce qu’il a fait.
Je prie pour que le Président TALON fasse la volonté du peuple. Qu’il puisse créer les conditions de paix, de stabilité, de sécurité pour tous, tout en garantissant l’État de droit, la démocratie, le respect des droits de l’homme, les libertés fondamentales, la liberté de presse et d’expression. Nous attendons de lui qu’il puisse mettre en place cet environnement pour permettre l’épanouissement de tous les citoyens pour faire de notre pays un havre de paix et une destination attractive pour tous les citoyens du monde », a-t-il confié, avant d’ajouter « Je souhaite que le Président Talon se rapproche de Dieu pour que le plan de développement et de paix que le Tout Puissant des Cieux et de la Terre a réservé au peuple Béninois du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest se réalise à travers sa gouvernance dans tous les compartiments… Bonne chance au Président Talon en cette période sensible où le peuple Béninois doit exercer librement sa souveraineté au cours du prochain scrutin Présidentiel souhaité inclusif, équitable et transparent.
Boni Yayi n’a pas tardé à répondre à Patrice Talon au sujet de la lourde dette laissée par son régime à l’endroit des travailleurs. A travers un post publié sur sa page facebook, ce dimanche 17 octobre, l’ancien président a apporté la contradiction.
Boni Yayi n’a pas tardé à répondre à Patrice Talon au sujet de la lourde dette laissée par son régime à l’endroit des travailleurs. A travers un post publié sur sa page facebook, ce dimanche 17 octobre, l’ancien président a apporté la contradiction. Nous vous proposons le post du président Patrice Talon qui a provoqué la réaction de Boni Yayi.
Le post du président Patrice Talon
« Depuis 2016 sur un total de 94 milliards de FCFA de dettes héritées envers les travailleurs, le Gouvernement a déjà payé, à ce jour, 52 milliards FCFA.
De même, pour 49 milliards FCFA de dettes envers les retraités, nous avons déjà pu payer 26,7 milliards FCFA. A cela s’ajoutent 6,9 milliards FCFA de prime exceptionnelle de motivation aux agents de la santé et 1 milliard FCFA de prime de risque.
En somme, sur un total global de 173 milliards FCFA dus aux travailleurs et retraités avant 2016, 87 milliards FCFA ont été effectivement payés, soit plus de 50% de niveau de paiement.
Maintenir le dialogue avec nos partenaires sociaux et toutes les couches de la population, est l’un des leitmotivs qui sous-tendent l’action de notre gouvernement. C’est fort de cette dynamique que ce vendredi matin au palais de la marina, j’ai reçu les sept (7) Secrétaires généraux confédéraux, afin d’échanger avec eux sur les efforts du Gouvernement relativement à la satisfaction des besoins des travailleurs.
Au terme de nos échanges, nous avons décidé avec effet immédiat de prendre en charge des dettes de 15 milliards FCFA découlant des effets d’engagements divers pris avant 2016 et qui n’étaient pas encore payés jusqu’ici.
Ces efforts considérables ne sont que la résultante des reformes mises en œuvre et des efforts consentis par chaque Béninoise et chaque Béninois ces dernières années.
Je suis conscient de l’immensité des enjeux de développement qui s’imposent à notre pays, mais comme à mon habitude, je veux nous rassurer, qu’à l’encre d’efforts acharnés, nous pouvons, nous devons et nous continuerons d’écrire ensemble les prochaines pages du livre de la révélation de notre beau pays, le Bénin.
Aussi voudrais-je féliciter tout le peuple béninois dont le travail acharné et le soutien permettent de faire ces efforts remarquables au profit de nos travailleurs ».
Je viens de prendre connaissance de la publication du Président Talon et je souhaiterais apporter ma modeste contribution.
Je voudrais demander au Seigneur de toucher son cœur pour qu’il se rapproche de ses concitoyens pour leur dire exactement ce qu’il a fait.
Je prie pour que le Président TALON fasse la volonté du peuple. Qu’il puisse créer les conditions de paix, de stabilité, de sécurité pour tous, tout en garantissant l’État de droit, la démocratie, le respect des droits de l’homme, les libertés fondamentales, la liberté de presse et d’expression. Nous attendons de lui qu’il puisse mettre en place cet environnement pour permettre l’épanouissement de tous les citoyens pour faire de notre pays un havre de paix et une destination attractive pour tous les citoyens du monde.
Je rêve d’un Bénin de transformation radicale sur le plan politique, économique et sociale pour le bonheur de tous et non celui d’un clan.
En ma qualité d’ancien Président du Bénin, prédécesseur immédiat du Président Talon, sur la base des informations qui m’avaient été communiquées par les ministères de tutelle d’alors, je ne me reconnais pas sur une quelconque dette ou arriérés validés en Conseil des ministres à l’endroit des travailleurs. Si ceci se confirmait, les engagements pris de manière consensuelle avec les travailleurs sont soumis aux principes de la continuité de l’État. Ce qui a conduit, et le Président Talon le sait, mon régime à apurer les arriérés salariaux de 180 milliards laissés par les régimes précédents à celui de 2006 au nom de la continuité de l’État. Mieux je rends grâce à Dieu, le Père Céleste d’avoir accompagné nos efforts pour améliorer sensiblement leurs conditions de travail et garantir leur sécurité pour un futur radieux, les travailleurs le savent et les enseignants en particulier de la Maternelle jusqu’au Supérieur.
Je suis alors surpris d’apprendre que mon régime a laissé une telle dette à l’endroit de ces travailleurs, cheville ouvrière de la République, qui ont été la cible majeure de mon action à la tête du pays (conditions salariales, primes, pensions, retraites, motivations, formations, contenus pédagogiques, infrastructures scolaires, universitaires et sanitaires, sécurité humaine etc.).
Je suis d’autant plus surpris que dans sa déclaration le Président n’a pas fait allusion au sort réservé aux nombreux travailleurs victimes des licenciements abusifs dans la fonction publique et l’administration depuis 2016 et surtout dans le corps des enseignants, piliers et âmes de notre pays. Nul besoin aussi de faire référence à la loi sur l’embauche qui a eu comme principale conséquence de précariser l’emploi des travailleurs de notre pays.
Je souhaite que le Président Talon se rapproche de Dieu pour que le plan de développement et de paix que le Tout Puissant des Cieux et de la Terre a réservé au peuple Béninois du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest se réalise à travers sa gouvernance dans tous les compartiments.
Bonne chance au Président Talon en cette période sensible où le peuple Béninois doit exercer librement sa souveraineté au cours du prochain scrutin Présidentiel souhaité inclusif, équitable et transparent. Ce sera la seule manière démocratique de savoir l’appréciation du peuple sur ce qu’il a fait à la tête de notre nation au cours des cinq dernières années.
Comme j’ai eu à le faire par le passé à la veille des Législatives exclusives, en ma qualité de son ainé dans la fonction Suprême, je lui recommande de tirer leçon des perturbations graves liées aux dernières Législatives et Communales exclusives pour qu’enfin le Peuple béninois jouisse de son droit inaliénable à choisir librement le citoyen qualifié pour présider nos destinées au cours des cinq prochaines années. Ceci suppose alors la suppression des barrières et verrous de tout genre, porteurs de germes d’exclusion car ils sont sources de destruction de toute nation.
Puisse DIEU, Tout Puissant, bénir notre Patrie commune et notre vivre ensemble ».
L’ancien président de la République du Bénin continue de prouver son humanisme légendaire. Toujours aux côtés des populations, surtout celles qui sont en difficulté, Boni Yayi a rendu une visite surprise aux enfants de feue Prudence Amoussou , victime des violences postélectorales des 30 avril et 1 er mai 2019 à Cadjèhoun.
L’ancien président de la République du Bénin continue de prouver son humanisme légendaire. Toujours aux côtés des populations, surtout celles qui sont en difficulté, Boni Yayi a rendu une visite surprise aux enfants de feue Prudence Amoussou , victime des violences postélectorales des 30 avril et 1 er mai 2019 à Cadjèhoun.
Ce samedi 17 octobre 2020, l’ancien président de la République est allé prendre les nouvelles des enfants de Feue Prudence Amoussou.
Cette visite qui coïncide avec le démarrage de l’année scolaire 2020-2021 a aussi été l’occasion pour Boni Yayi de présenter ses vœux de succès, de réussite et de prodiguer de sages conseils aux enfants.
Comme quoi, Boni Yayi n’a pas oublié les enfants de Feue Prudence Amoussou et toutes les victimes et familles de la crise post-électorale des législatives de 2019.
‘‘L’héroïne de Woria’’ est au cœur d’un duel de générosité à distance. Reçue en audience au palais de la marina le 19 août dernier, par le chef de l’Etat, et élever au rang de chevalier de l’Ordre national du Mérite du Bénin, Sakinatou Harouna a par la suite reçu la visite de Boni Yayi à Tachourou.
‘‘L’héroïne de Woria’’ est au cœur d’un duel de générosité à distance. Reçue en audience au palais de la marina le 19 août dernier, par le chef de l’Etat, et élever au rang de chevalier de l’Ordre national du Mérite du Bénin, Sakinatou Harouna a par la suite reçu la visite de Boni Yayi à Tachourou.
Mais, l’ancien président de la République ne s’est pas arrêté là. Quelques jours plus tard, il a, selon la volonté, de l’héroïne, offert une moto de marque Bajaj à la jeune mère et à son époux.
Mais visiblement, le Gouvernement n’entend pas se faire ravir la vedette.
Le Mercredi dernier, la ministre des affaires sociales, Véronique Tognifodé était à Tchaourou pour échanger avec Saknatou Harouna et ses proches sur les dispositions à prendre pour surmonter au plus vite les difficultés liées au démarrage de ses activités commerciales.
En août dernier, Sakiatou Harouna avait fait preuve d’un courage remarquable en sauvant cinq personnes de la noyade sur le fleuve Okpara
Le porte-parole du Gouvernement réagit à la réplique de Boni Yayi à Patrice Talon après son interview à Jeune Afrique. Après le point du Conseil des Ministres de ce mercredi 30 septembre 2020, Alain Orounla a tenté de repréciser les propos du chef de l’Etat dans Jeune Afrique.
Le porte-parole du Gouvernement réagit à la réplique de Boni Yayi à Patrice Talon après son interview à Jeune Afrique. Après le point du Conseil des Ministres de ce mercredi 30 septembre 2020, Alain Orounla a tenté de repréciser les propos du chef de l’Etat dans Jeune Afrique.
S’il se dit heureux de la lecture de l’interview par l’ancien président de la République, le ministre de la Communication fait remarquer que ce ne dernier n’a pas eu une bonne compréhension des propos adressés à Nicéphore Soglo et à lui.
« Je me réjouis comme beaucoup de mes collègues de ce que le président Yayi Boni ait pris le temps de lire l’interview très structuré donné par le président de la République. Je crois que comme la plupart des béninois il a apprécié la teneur, la tonalité des réponses apportées par le président de la République sans tabou et sans langue de bois. Je m’aperçois tout simplement que le président Yavi Boni n’a pas du bien comprendre les propos du président de la République à son endroit », souligne le porte-parole du Gouvernement avant de préciser « car loin d’être une menace ou des invectives comme il a pu le relever dans sa réponse, il s’agissait tout simplement, d’une invitation renouvelée du président de la république qui avait déjà eu l’occasion lors du discours du 01 août d’inviter ses prédécesseurs à la modération, à la sagesse, en toute humilité à l’aider à construire ce pays donc.. Il ne s’agissait ni de menace ni d’invective… la preuve est que, il est rare de pouvoir riposter une menace lorsqu’on est réellement menacé ».
Orounla qui explique la pensée de Talon, Yayi appréciera, surtout la chute du ministre de la Communication.
En amour, il est, de nos jours, difficile de trouver une femme capable de rester indéfiniment à vos côtes malgré les vicissitudes de la vie. En politique, cela s’observe doublement.
En amour, il est, de nos jours, difficile de trouver une femme capable de rester indéfiniment à vos côtes malgré les vicissitudes de la vie. En politique, cela s’observe doublement.
Ce n’est pas Boni Yayi qui nous dira le contraire, lui, qui sous ses dix ans, avait des milliers de femmes qui prétendaient l’aimer jusqu’à la mort.
La preuve, quand l’ancien président lançait une de ses phrases magiques, « les femmes, vous êtes belles, je vous aime », ces dernières répondaient par l’affirmatif.
Seulement voilà, le temps a fini par révéler celles qui étaient vraiment sincères avec Boni Yayi. Le temps, second nom de Dieu a révélé ces femmes qui étaient avec Boni Yayi pour les nominations, les privilèges, les intérêts.
Par contre, le temps a aussi révélé des femmes qui étaient avec Boni Yayi par conviction, par amour.
Là-dessus, deux femmes sortent du lot. Il s’agit de Naomie Azaria et Dafia Abiba.
La première, ancienne directrice générale du Port, première femme ministre des Sports, et ancienne ministre de la famille n’a pas lâché Bony Yayi pour continuer de jouir des privilèges du pouvoir.
Malgré la galère, Naomie Azaria est toujours aux côtés de son leader. Elle fait d’ailleurs partie du bureau du parti ‘‘Les Démocrates’’.
Comme elle, Dafia Abiba a prouvé que toutes les ex–femmes FcBe ou qui se réclamaient de la mouvance présidentielle sous le régime du changement et de la refondation n’étaient pas matérialistes.
L’ancienne maire de Kérou et député de la 7è législature est encore aux côtés de Boni Yayi.
Dafia Abiba et Naomie Azaria : merci de rester de bonnes épouses.
Patrice Talon et ses partisans fustigent l’engagement de Boni Yayi, après son départ de la marina. Pour ces derniers, l’ancien président de la République devrait se retirer de la vie politique après ces deux mandats. Mais répondant à Patrice Talon suite à son entretien dans Jeune Afrique, Boni Yayi n’a pas manqué d’évoquer ce sujet.
Patrice Talon et ses partisans fustigent l’engagement de Boni Yayi, après son départ de la marina. Pour ces derniers, l’ancien président de la République devrait se retirer de la vie politique après ces deux mandats. Mais répondant à Patrice Talon suite à son entretien dans Jeune Afrique, Boni Yayi n’a pas manqué d’évoquer ce sujet.
Dans sa réponse, il a montré qu’il n’est pas le premier, encore moins le seul ancien chef d’Etat à suivre de près la vie politique de son pays après la présidence.
Boni Yayi cite le cas du Malawi ou encore de la plus grande puissance du monde, à savoir les Etats-Unis, où Barack Obama milite pour l’élection de Joe Biden, sans que cela ne choque Donald Trump.
« Si le Président estime que mon adhésion au parti ‘‘Les Démocrates’’ s’assimile à un comportement de compétiteur, que diraient alors les Américains du Président Obama qui fait le tour de l’Amérique parce que convaincu que c’est dans un élan de démocratie et d’unité dans la diversité des projets de société qu’il dirige le parti ‘‘Démocrate’’ en Amérique et qu’il cautionne et parraine le candidat Démocrate, Joe BIDEN à la prochaine présidentielle américaine. Le Président Trump ne s’en offusque pas. Naturellement, les institutions démocratiques sont fortes et indépendantes chez l’oncle SAM. En Afrique le Malawi s’est-il plaint des activités politiques de l’ex-présidente BANDA aujourd’hui au côté du nouveau Président élu pour un nouveau Malawi ? », fait remarquer l’ancien président du Bénin.
Puis de préciser « La fin de mandats ne signifie pas la mort ou la soumission si la gouvernance ne convient pas… Puisque le Président démolit les œuvres de ses prédécesseurs et tente de les empêcher de s’exprimer, je crois que pour lui, ma résidence doit être au cimetière… Je ne suis pas influençable, lui-même le sait. J’ai des Droits et j’en ferai usage. Je n’ai peur de personne sauf de mon Dieu qui m’a créé ».
Walaye, Yayi ne pouvait donner aussi meilleure réponse que ça !
Membre fondateur de ‘‘Les Démocrates’’, Boni Yayi a levé un coin de voile sur les raisons de son adhésion au parti. A travers un post publié sur sa page facebook dans la nuit du lundi 28 septembre, l’ancien président de la République qui à l’occasion répondait à Patrice Talon après son interview à Jeune Afrique, a notamment mis en avant son attachement à la démocratie et aux libertés, qui selon lui, n’existent plus sous le régime de la Rupture.
Membre fondateur de ‘‘Les Démocrates’’, Boni Yayi a levé un coin de voile sur les raisons de son adhésion au parti. A travers un post publié sur sa page facebook dans la nuit du lundi 28 septembre, l’ancien président de la République qui à l’occasion répondait à Patrice Talon après son interview à Jeune Afrique, a notamment mis en avant son attachement à la démocratie et aux libertés, qui selon lui, n’existent plus sous le régime de la Rupture.
« J’ai fait l’option conformément à la constitution de militer dans le Parti « Les Démocrates » pour le retour de notre Démocratie de l’Etat de Droit et du respect des Libertés Fondamentales, gage de notre marche vers la Bonne gouvernance de nos affaires, laquelle détermine, la paix , la stabilité, la sécurité de tous , le développement et la prospérité partagée », a-t-il indiqué.
L’ancien président d’honneur du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe) émet d’ailleurs des réserves sur les reformes politiques initiées par son successeur.
« Je ne crois pas aux réformes personnelles qui instaurent la dictature et les conflits d’intérêts au sommet de l’Etat au profit d’une minorité, qui esclavagiste le Peuple », fait savoir Boni Yayi.
Ceux qui s’interrogeaient sur les raisons de la présence de Boni Yayi chez ‘‘Les Démocrates’’ sont donc situés.