Notice: Function _load_textdomain_just_in_time was called incorrectly. Translation loading for the updraftplus domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /var/www/clients/client4/web4/web/wp-includes/functions.php on line 6085 La Tribune de Tomèty – Page 2 – Kpakpato Medias
Simon Narcisse Tomèty fait une proposition choc à l’endroit de la Faculté de droit et sciences politiques (Fadesp). Sur son compte officiel, l’Institutionnaliste a catégoriquement recommandé la fermeture de ladite faculté. Et ce, pendant une décennie.
« Il faut fermer pendant 10 ans la faculté de droit pendant 10 ans. Il ya assez de juristes formés déjà », a-t-il posté sur son compte officiel.
Après les réactions ou attaques suscitées suite à son post, l’Universitaire s’est justifié dans un commentaire.
« Si une faculté forme des juristes qui choisissent délibérément de compromettre la science et le vivre ensemble dans un pays, il n’y a pas de solution intermédiaire, il faut immédiatement la fermer pour la réformer. Pourquoi doit-on continuer de former des gens dangereux pour la cohésion nationale? Oui, il faut fermer cette faculté qui devient un danger pour la stabilité de notre pays.
Parfois, on se demande si cette faculté forme des scientifiques ou des marabouts. Tout de même, chacun dans son domaine a bu la science. N’exagérons pas! », a-t-il ajouté.
Une lettre d’adieu à notre chère première dame inégalée et inégalable
Restez fidèles à vos serments, loyaux envers la république, dignes envers Dieu, respectueux en souvenir des ancêtres et compassionnels à l’endroit de la personne humaine. Ce fut votre leitmotiv.
L’Honorable V. Rosine Soglo a incarné son Honorabilité et ce titre d’appellation contrôlée lui convient parfaitement. Je ne sais si 1% de ceux et celles qui nous imposent de les appeler Honorables sont dignes sur le plan de la morale et de l’éthique de porter et d’incarner ce titre de noblesse.
Grande Dame, je salue votre engagement patriotique, votre intelligence de qualité positive, votre constante souci de la solidarité nationale au profit des pauvres. Vous n’êtes pas une chasseuse d’immunité pour vous réfugier au parlement afin d’être assise comme une ventouse sur le banc de l’impunité.
Je vous ai rencontré une seule fois à votre bureau aux 40 logements à l’époque, juste par curiosité pour voir qui est cette brave grande dame qui secoue tous les cocotiers durant le mandat présidentiel remarquable de son cher époux, le Président Nicephore Dieudonné Soglo pour qui je nourris une considération particulière. Celle-ci est liée à ses qualités intellectuelles multidimensionnelles et au redressement économique et social du Bénin de 1991 à 1996. J’ai eu le privilège d’y consacrer un opuscule d’analyse comparée.
Les mots me manquent pour vous décrire et vous peindre Honorable Rosine Soglo; vous avez donné et tout donné jusqu’à votre dernier souffle de vie.
Je m’incline devant votre combativité et votre mémoire.
Vous êtes incomprise parce que vous avez de l’avance sur la plupart des « intellectuels » et politiciens Béninois. Vous n’êtes pas venue à la politique pour faire des affaires mais pour servir la république. Je salue votre citoyenneté responsable.
Deux choses comptent pour l’homme ou la femme vertueux : image et héritage.
Devoir parfaitement accompli et nous sommes fiers du leg. Nous n’avons pas besoin d’un million de femmes de votre genre humain mais juste une centaine pour humaniser ce pays de barbarie, de jalousie et de sournois. Hélas, malgré votre combat sur les droits civils et politiques, vous avez laissé un Bénin où les faux intellectuels pullulent comme des mouches tsé-tsé afin d’endormir tout le monde.
Que la paix éternelle soit sur vous et que toutes les forces positives de la Nature fleurissent votre part du jardin céleste.
Que nos prières vous accompagnent et de là-bas, veillez sur ce peuple meurtri privé du droit de pensée
Un enseignant dit chercheur de mauvaises moeurs est disqualifié pour former des Hommes moralement et éthiquement responsable. La magouille!!!
Il faut fermer pendant deux ans ces universités qui ne sont que des déchetteries afin de repenser l’université à l’Africaine pour mettre fin à ce système merdique qui entretient des enseignants déconnectés qui ne sont que de faux chercheurs.
Il faut évaluer individuellement chaque enseignant-chercheur à travers ses protocoles de recherche, le lien avec le développement et les résultats de recherche. Vous comprendrez immédiatement que les grades CAMES ne relèvent que de l’arnaque.
La dissolution de l’Onasa (Office national d’appui à la sécurité alimentaire) est une erreur. Si l’onasa est mal géré et un gouffre financier, cette appréciation reste valable pour toutes les administrations béninoises. Doit-on privatiser ou faire disparaître l’administration publique?
« Le débat sans fin sur l’ONASA au nom de la faim des populations
La dissolution de l’Onasa (Office national d’appui à la sécurité alimentaire) est une erreur. Si l’onasa est mal géré et un gouffre financier, cette appréciation reste valable pour toutes les administrations béninoises. Doit-on privatiser ou faire disparaître l’administration publique?
Un pays d’eau qui n’est pas capable de constituer six mois de réserve alimentaire pour nourrir ses enfants, c’est une faute lourde inadmissible et indéfendable.
La continuité de l’offre de services publics en alimentation est un droit basique pour ceux qui ont lu la théorie des besoins encore appelée la pyramide de Maslow..
Dommage pour le Bénin que les statistiques agricoles ne puissent être auditées. Si la production cotonnière est bonne et qu’on vienne nous dire que celle des vivriers surtout du maïs est mauvaise, il y a un problème sérieux qui se pose. Qu’est que le maïs sous coton est devenu au Bénin? Le faux débat du commerce transfrontalier des vivriers me fait honte. Pour avoir coordonné l’élaboration du livre blanc et de la politique nationale des frontières, on ne peut pas me manipuler en considérant que je suis un ignorant sur cette problématique du commerce transfrontalier des vivriers.
J’ai pratiqué deux Directeurs Généraux de l’Onasa dont monsieur Napporn puis monsieur Afanou. Ce sont des cadres honnêtes et patriotes qui avaient bien géré l’onasa en leur temps pour disponibiliser le maïs dans toutes les communes à des prix raisonnables.
Réformer ce n’est pas que liquider. C’est aussi restructurer pour garantir la continuité de l’offre de services publics alimentaires durant les périodes de disettes.
On aurait pu restructurer au lieu de faire disparaître l’onasa. C’est une faute lourde du gouvernement surtout dans un contexte d’agriculture pluviale et de changements climatiques. C’est une imprudence.
Je suis contre cette mesure de disparition de l’onasa et j’assume ma position sans la moindre hypocrisie ».
Je n’ai jamais plaidé pour la disparition du CAMES mais je dénonce son impuissance réformatrice et sa tendance à se transformer en un guichet automatique de distribution de faux grades académiques à des gens pompeusement appelés enseignants-chercheurs. Ce point de vue, je l’assume totalement car je n’écris pas en l’air.
CAMES et l’eau du bain : pas d’amalgame
Je n’ai jamais plaidé pour la disparition du CAMES mais je dénonce son impuissance réformatrice et sa tendance à se transformer en un guichet automatique de distribution de faux grades académiques à des gens pompeusement appelés enseignants-chercheurs. Ce point de vue, je l’assume totalement car je n’écris pas en l’air.
Qu’on me dise l’impact du CAMES sur nos universités, la science, la technologie et le développement humain en Afrique. C’est de cela qu’il s’agit.
A mon âge, je n’ai plus rien à cirer avec des titres-gadgets. Nous ne pouvons pas nous taire sur la tricherie intellectuelle. Un grade se mérite et son méritant doit prouver la valeur de son grade non seulement sur les étudiants mais sur le développement humain.
Je répète encore avec force qu’une université n’est pas un couvent universel à vocation multiple. C’est un lieu de penseurs, de production de savoirs et d’innovations pour le développement humain. La souveraineté nationale est un concept vide de sens si son socle stratégique n’est pas la science et la technologie. J’interpelle le monde universitaire de bon droit.
Il faut réformer le CAMES et l’inculturer pour qu’il devienne un instrument d’accélération de la science et de la technologie en Afrique. C’est de cela qu’il s’agit et non de l’exotisme pathologique dans lequel vivotent nos universités béninoises en particulier.
J’entends beaucoup de commentaires sur le CAMES qui ne lui sont pas favorables. Vous avez des professeurs CAMESIENS qui ne savent pas utiliser l’ordinateur, d’autres n’ont aucun cours en ligne sur une plateforme… Que vaut l’impact du CAMES alors? Rien à mon sens.
J’ai eu le privilège de rencontrer le professeur V. Kiniffo dans les années 80 à Ouagadougou quand était il etait à la tête du CAMES, c’était encore la belle époque. J’honore ici sa mémoire.
Le CAMES est devenu une vieillerie décadente, une institution éclopée banalisée par les politiciens et à juste titre.
Je compare le CAMES à ce machin de grande chancellerie de l’ordre national qui distribue des grades aux non méritants dans les pays africains.
Il faut réformer le CAMES et chaque pays doit contribuer à sa résilience. C’est mon voeu le plus ardent. On est pas enseignant-chercheur pour soi mais pour servir son peuple et la communauté des humains.
Les prix des produits alimentaires connaissent depuis plusieurs semaines une augmentation dans les marchés. Dans tous les ménages, c’est le grand désarroi. Face à cette situation, Simon Narcisse Tomèty pose le diagnostic et fait de pertinentes propositions. ..
Les prix des produits alimentaires connaissent depuis plusieurs semaines une augmentation dans les marchés. Dans tous les ménages, c’est le grand désarroi. Face à cette situation, Simon Narcisse Tomèty pose le diagnostic et fait de pertinentes propositions. Lire le développement de l’universitaire à travers une tribune intitulée ‘‘Économie agricole extravertie : quand la terre a soif et affamée, les hommes deviennent misérables’’!!!
Économie agricole extravertie : quand la terre a soif et affamée, les hommes deviennent misérables
Je questionne la fiabilité des statistiques agricoles et agroalimentaires. La vie chère n’est pas une fatalité, c’est un choix économique découlant d’une certaine idéologie politique.
Si un pays d’eau du sud au nord, d’est en ouest n’est pas capable de disposer d’un stock alimentaire de six (6) mois au moins pour traverser une période de soudure alimentaire, alors il faut se poser les bonnes questions suivantes :
1) quelle est l’idéologie politique qui gouverne un tel pays?
2) est-ce que ce pays produit d’abord pour sa souveraineté et sa sécurité alimentaires avant de s’adonner aux cultures d’exportation faussement appelées cultures de rente?
3) est-ce que les paysans sont soutenus dans leurs efforts d’intensification de la production vivrière ?
4) existe-t-il une structuration en filière avec des chaînes de valeurs pour combattre les commerçants véreux de facteurs de production et des productions afin de faciliter l’accès pour toutes et tous à la nourriture?
Ne soyons pas naïfs; si un pays n’est pas fiable au niveau de ses prévisions et réalisations de production alimentaire, c’est que les statistiques agroalimentaires sont fausses. Ne soyons pas surpris de la faim dans les villes face aux périodes de dérèglement climatique : sécheresse et inondations.
Le Bénin regorge de statisticiens et d’economètres talentueux en ingénierie agricole et agroalimentaire.
Si les stocks de sécurité alimentaire sont capables d’alimenter villes et campagnes sur six mois en période de soudure, les transferts transfrontaliers ne peuvent pas substantiellement modifier la structure des prix à la consommation sur les marchés intérieurs.
En matière d’idéologie politique, il faut éviter que les cultures d’exportation soient privilégiées et les productions vivrières reléguées au rang des spéculations secondaires alors qu’elles constituent le socle de la souveraineté alimentaire.
L’indépendance d’un pays commence d’abord par le degré de son autosuffisance alimentaire sur les douze mois de l’année. D’ailleurs, la nourriture est le support du souffle de la vie, le moyen le plus précieux pour maîtriser les dépenses de santé.
On a vu la révolution du pain au Soudan. Il ne faut jamais s’amuser avec le ventre d’un peuple.
« C’est bien de théoriser mais l’idéologie qui n’est pas suivie d’effets ne sert à rien. Le dossier du président Laurent GBAGBO était une occasion de montrer qu’on pouvait agir. Je me suis dit que si je ne le fais pas, je ne pourrais plus me regarder dans une glace. Lorsqu’on est confronté à sa propre responsabilité d’agir et qu’on ne fait rien alors on est panafricain en carton »
« Une jeune dame mais une grande avocate : Habiba Touré, la panafricaniste
« C’est bien de théoriser mais l’idéologie qui n’est pas suivie d’effets ne sert à rien. Le dossier du président Laurent GBAGBO était une occasion de montrer qu’on pouvait agir. Je me suis dit que si je ne le fais pas, je ne pourrais plus me regarder dans une glace. Lorsqu’on est confronté à sa propre responsabilité d’agir et qu’on ne fait rien alors on est panafricain en carton »
Habiba TOURE, avocate de Laurent GBAGBO.
Cette avocate est éprise de JUSTICE et de VÉRITÉ et je m’incline devant la force de l’engagement de son panafricanisme. Laurent GBAGBO et sa Côte d’Ivoire natale ont gagné non pas une bataille mais une guerre de DIGNITÉ HUMAINE.
Quand on a passé dix ans en exil punitif et en incarcération après HUMILIATION, on en sort toujours avec des séquelles et c’est vrai, mais GBAGBO est parvenu à l’autre rive sans être noyé. Nous rendons grâce à l’Éternel et à l’humanité entière d’avoir déversé sur lui les grâces de l’espérance pour qu’il n’abandonne jamais. Il a tenu bon. C’est un Grand Homme comparable à Nelson Mandela.
En tant que panafricaniste du devoir, je tiens à saluer le talent professionnel, la lucidité et la bravoure de Maître Habiba Touré, dont la constance dans le panafricanisme non monnayable force notre admiration.
La loyauté envers son client étant une valeur déterminante de la constance entre un avocat et son client, surtout un client panafricaniste comme le Grand frère Laurent GBAGBO, il faut des panafricanistes non véreux pour porter le fardeau de ce combat de dignité humaine et de libération de l’Afrique avec lui.
Merci Maître Habiba Touré pour la mission accomplie et cette victoire glorieuse.
La loyauté d’un avocat fait la crédibilité de sa signature. Nous sommes fiers de vous chère Maître ».
Le monde va mal parce que chacun d’entre nous est complice des injustices insupportables et de nos indifférences enfouies dans un confort opportuniste qui ne peut sauver ni l’individu ni la république.
« Et quand j’y pense : suis d’ici et de partout
Les fractures sociales structurelles engendrent inévitablement des radicalisations insidieuses qui se traduisent finalement par le terrorisme.
Le monde va mal parce que chacun d’entre nous est complice des injustices insupportables et de nos indifférences enfouies dans un confort opportuniste qui ne peut sauver ni l’individu ni la république.
Le territoire est lié au terrorisme car découlant de la maltraitance des terroirs c’est-à-dire les terres qui ont vu naître toutes les générations revendiquant une histoire commune, un passé comme et un patrimoine commun. Le terrorisme est une remise en cause d’une civilisation mais quelles en sont les causes profondes?
Dans mes cours de géographie empruntés à l’ouvrage de Guy Di MEO, on aménage le territoire pour éviter le déménagement du territoire par ses habitants. Cet enseignant chercheur a raison de mettre ainsi le doigt sur les fractures territoriales sans démagogie et sans complaisance. Une vérité scientifique qui n’est pas dite devient un poison pour l’état d’esprit.
Les intellectuels sont dans leurs pays mais très peu maîtrisent en réalité les défis territoriaux pour éviter le terrorisme. Le mal africain de beaucoup de cadres africains se situe au niveau de ce faux attachement au territoire.
Plus je triangule mes échanges et mes lectures sur les fractures territoriales, conséquences des fractures sociales, plus je me rends compte de l’urgence que les Africains dépassent leur cloisonnement intellectuel pour repenser chacun de nos pays à partir d’un idéal africain et panafricain.
Ma génération a raté toutes les occasions de cette interconnexion supranationale et elle se réfugie dans un nationalisme étriqué qui ne peut plus régler nos problèmes contemporains très exigeants en interdépendance des Etats et des Peuples.
Pour avoir travaillé sur des politiques transfrontalières et la coopération transfrontalière d’initiative locale, je me rends compte de la nécessité d’ouvrir un vrai débat idéologique et scientifique sur le territorialisme et l’humanisme.
Nos pays sont en panne de stratégies de développement à long terme avec une faible capacité nationale de prospective. Rien n’est modélisé comme socle et levier de notre avenir et devenir. Nous nous enfermons dans nos réformettes d’autosatisfaction sans le sens critique. Nous tournons en rond sans arrêt nos certitudes approximatives et recyclons nos nos belles jongleries intellectuelles comme des innovations de progrès pour sauver nos pays alors même qu’aucune culture administrative d’évaluation normative et de capitalisation sociale ne sous-tend nos exploits approximatifs.
Les gens de ma classe d’âge doivent être honnêtement plus humbles car ils savent plus facilement mettre leurs pays à leurs services et pas assez serviteurs de leurs peuples.
Je m’accuse en premier et c’est pourquoi je ne cède pas au micronationalisme destructeur de l’idéal et de l’espérance africains et panafricains. C’est le témoignage de ma propre interpellation comme voyageur ».
Simon Narcisse Tomèty dresse le tapis rouge à Jérôme Carlos. Sur sa page facebook, l’Institutionnaliste et Directeur du Café africain des néo-philosophes a loué les qualités professionnelle, intellectuelle et humaine du Journaliste-Chroniqueur…
Simon Narcisse Tomèty dresse le tapis rouge à Jérôme Carlos. Sur sa page facebook, l’Institutionnaliste et Directeur du Café africain des néo-philosophes a loué les qualités professionnelle, intellectuelle et humaine du Journaliste-Chroniqueur.
« Profond respect et grande admiration pour ce grand homme que j’appelle affectueusement DOYEN. Monsieur Jérôme Carlos est une fleur résiliente qui n’est jamais fanée quel que soit le temps qu’il fait. C’est l’un des très rares vrais penseurs et d’une très grande capacité de clarification conceptuelle au Bénin et en Afrique. Heureusement, qu’il est là pour mettre de la lumière dans la conscience de ceux qui ont encore le cœur apprenant », a écrit l’ancien Directeur de l’Ecole de la Nouvelle Conscience sur le réseau social.
Dans une tribune, intitulée ‘‘L’Afrique avec sa classe politique ordurière’’, Simon Narcisse Tomèty critique sévèrement les politiciens africains, même s’il prend le soin de rendre un hommage à l’ancien président Laurent Gbagbo. L’Institutionnaliste de reformes publiques et directeur du Café africain des néophilosophes accuse ces derniers d’être « les principales causes du terrorisme ». Lire son développement
L’Afrique avec sa classe politique ordurière
Pour ceux qui viennent en politique en Afrique c’est pour DÉFORMER l’État en faisant semblant de le RÉFORMER afin de mettre en place un réseau de mafieux pour siphonner les deniers publics et élargir le spectre de la pauvreté par l’insémination de la peur et la marchandisation de toutes les institutions publiques, surtout les hautes.
Les politiciens et les dirigeants africains sont les PRINCIPALES CAUSES DU TERRORISME en Afrique et ils sont les premiers terroristes du continent. C’est pourquoi, le discours « FAIRE TAIRE LES ARMES » est de la pure DÉMAGOGIE car l’AFRIQUE SERA LE PLUS GRAND BRASIER DU MONDE DANS LE FUTUR et il l’est déjà d’ailleurs avec la plus grande proportion de foyers de tension et de personnes déplacées dans le monde.
Les classes politiques africaines sont constituées de DÉMAGOGUES, de GOURMANDS, de GRANDS VOLEURS, D’INTELLECTUELS DE PETITESSE D’ESPRIT et de BADAUDS aux ordres.
Reformer l’État, ce n’est pas le privatiser par déformation pour assouvir ses désirs insatiables de pouvoir. Le pouvoir n’est que la convergence des souffles de bienfaisance pour limiter la souffrance des peuples. C’est pourquoi, la politique est au service des âmes souffrantes et non pour l’enrichissement illicite et un train de vie indécent des dirigeants en qui le peuple place sa confiance à un moment donné.
Quand le pouvoir rend fou et ne se conçoit plus dans l’amour pour la patrie et les droits humains, c’est que ce pouvoir est motivé par des forces maléfiques tendant à dominer la souveraineté du peuple. Quand c’est ainsi, un tel pouvoir finit toujours comme celui incarné par Ben Ali, Mobutu, Bokassa, Siad Barre, Idi Amin Dada, Yaya Jame, Charles Taylor, Sunny Abasha…