Enseignement supérieur: HECOMET organise une séance d’orientation au profit des bacheliers des séries scientifiques ce samedi

Vous êtes un nouveau bachelier ou une nouvelle bachelière, détenteur ou détentrice d’un BAC C, D et autres série scientifique. Vous êtes à la recherche d’une filière qui vous ouvrira les portes de l’emploi. Et bien, la Haute école des métiers techniques (HECOMET) a la solution à votre interrogation. En effet, la Haute école des métiers techniques (HECOMET), leader dans le domaine de l’enseignement supérieur …

Vous êtes un nouveau bachelier ou une nouvelle bachelière, détenteur ou détentrice d’un BAC C, D et autres série scientifique.  Vous êtes à la recherche d’une filière qui vous ouvrira les portes de l’emploi. Et bien, la Haute école des métiers techniques (HECOMET) a la solution à votre interrogation. En effet, la Haute école des métiers techniques (HECOMET), leader dans le domaine de l’enseignement supérieur organise au profit des nouveaux bacheliers des séries scientifiques C, D, F et autres une séance d’orientation.

Cette séance de sensibilisation est prévue pour ce samedi 05 octobre 2019 à 10H00  au siège de l’institution à Atrokpocodji, derrière PK14, commune d’Abomey-Calavi.

Pour les bacheliers désireux de prendre part à cette séance et autres personnes qui souhaitent avoir plus d’informations, composez le 61434747 ou le .97456465 ou encore consulter le site www.hecomet.net.

Manassé AGBOSSAGA

Tournoi de football JBE: Le match pour la troisième place se joue ce samedi 05 Octobre à Gbègnigan

La petite finale de la 2ème édition du Tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) se joue ce samedi 05 octobre 2019. A 15h00 sur le terrain en face du bar Terminus au quartier Gbègnigan, sis dans l’arrondissement de Godomey-Togoudo, les joueurs de Zéphyr Fc et d’Ajiha Fc iront à l’assaut de la troisième place…

La petite finale de la 2ème édition du  Tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) se joue ce samedi  05 octobre 2019. A 15h00 sur le terrain en face du bar Terminus au quartier Gbègnigan, sis dans l’arrondissement de Godomey-Togoudo, les joueurs de Zéphyr Fc et d’Ajiha Fc iront à l’assaut de la troisième place.

A défaut de conserver sa couronne après son élimination en en demi-finale face  à Déo Fc, Zéphyr Fc mettra sans doute le paquet pour décrocher cette troisième place.

Les joueurs d’Ajiha Fc, éliminés par leurs homologues d’Ilaci Fc    ne l’entendront sans doute pas de cette oreille.

Manassé AGBOSSAGA

Léopold Dovonon, PCO du tournoi de football JBE: « J’invite le public sportif à se déplacer massivement le samedi 05 octobre pour vivre la petite finale et le dimanche 06 octobre pour la grande finale »

Le Président du comité d’organisation (PCO) de la 2ème édition du tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) lance un appel au public sportif de Togoudo et environ, en prélude à la petite finale (05 octobre) et de la grande finale (06 octobre). A la faveur d’un entretien qu’il nous accordé, Léopold Dovonon a invité le public sportif à effectuer massivement le déplacement dans la discipline. Le PCO en a profité pour lever un coin de voile sur les différents lots prévus aux vainqueurs. Détails !!!

Le Président du comité d’organisation (PCO) de la 2ème édition du tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) lance un appel au public sportif de Togoudo et environ,  en prélude à   la petite finale (05 octobre) et de la grande finale (06 octobre). A la faveur d’un entretien qu’il nous accordé, Léopold Dovonon a invité le public sportif à effectuer massivement le déplacement dans la discipline. Le PCO en a profité pour lever un coin de voile sur les différents lots prévus aux vainqueurs. Détails !!!

Kpakpato Médias: Démarrée le 4 août dernier, la deuxième édition du tournoi de football Jeunes béninois (JBE) livre son verdict ce dimanche 06 octobre, avec la finale (Déo Fc#Ilaci) et la petite finale (Zéphyr#Ajiha) qui se joue la veille. Dîtes-nous pourquoi avoir repoussé ces deux échéances ?

Léopold Dovonon: Le tournoi de football  doté du « trophée JBE » édition 2019 connaitra effectivement son épilogue le week-end prochain. Initialement, nous avons prévu les activités de clôture pour les  14 et 15 septembre derniers. L’organisation de notre tournoi, le sérieux des joueurs et le dynamisme de l’encadrement et de la communication, autant d’éléments ont eu un écho favorable auprès de nos observateurs à l’intérieur comme à l’extérieur du pays et qui ont suscité leur implication pour les activités de clôture. Ainsi quelques autorités techniques du ministère des sports, des centres de formations sportives au Bénin, au Cameroun et aux Etats-Unis sont rentrées en contact avec nous pour s’impliquer dans l’organisation. Aussi, notre leader, Joël VAGNIKIN résident aux Etats-Unis a voulu être de la partie. Autant d’éléments qui nous ont contraints à repousser les activités de clôture pour le week-end du 05 et 06 octobre 2019.

 Pouvez-vous lever un coin de voile sur les lots prévus pour les meilleures équipes ?

Fidèle à notre promesse, les lots à gagner se présentent comme suit :

Premier prix : 1 trophée + un Ballon + un jeu de maillot + une enveloppe financière de 150.000 FCFA.

Deuxième prix : 1 trophée + un Ballon + un jeu de maillot + une enveloppe financière de 80.000 F CFA.

Troisième prix : 1 trophée + un Ballon + un jeu de maillot + une enveloppe financière de 50.000 F CFA.

Meilleur joueur:1 trophée

Meilleur buteur : 1 trophée

Meilleur arbitre : 1 trophée

 Un pronostic à faire sur ces deux matchs.

Que le meilleur gagne!  Nous sommes tous des jeunes, et nous agissons avec des jeunes pour le développement de notre nation. Quelque soit l’équipe qui remportera le trophée, c’est la jeunesse qui gagne.

Un appel à lancer au public sportif

La plus grande victoire de cette activité est l’organisation d’un évènement par les jeunes, entre jeunes dans la gaieté, le respect, la discipline. Ceci reste le leitmotiv du mouvement Jeunes Béninois Engagés. Ainsi, le comité d’organisation invite le public sportif à se déplacer massivement dans la discipline le samedi 05 octobre sur l’esplanade du terrain de bar TERMINUS pour vivre la petite finale à 15h et le concert qui réunit une quinzaine d’artistes confirmés sur le même podium et  le dimanche 06 octobre  pour la grande finale, une vraie fête du football entre jeunes.

Réalisation: Manassé AGBOSSAGA

Reformes, politiques, programmes et projets communautaires de l’Uemoa et de la Cédeao: Le Bénin affûte ses armes pour rester la référence

L’atelier préparatoire de la revue annuelle des reformes, politiques, programmes et projets communautaires au Bénin de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédeao) a ouvert ses portes ce mercredi 2 octobre 2019 à l’hôtel Novotel de Cotonou. A travers la Cellule de suivi de l’intégration, le Bénin affûte ainsi ses armes pour rester au premier rang en matière de taux de réalisation des reformes, politiques, programmes et projets communautaires de l’Uemoa et de la Cédeao…

L’atelier préparatoire de la revue annuelle des reformes, politiques, programmes et projets communautaires au Bénin de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédeao) a ouvert ses portes ce mercredi 2 octobre 2019 à l’hôtel Novotel de Cotonou. A travers la Cellule de suivi de l’intégration, le Bénin affûte ainsi ses armes pour rester au premier rang en matière de taux de réalisation des reformes, politiques, programmes et projets communautaires de l’Uemoa et de la Cédeao.

Manassé AGBOSSAGA

Deux allocutions ont marqué le lancement officiel de l’atelier préparatoire de la revue annuelle des reformes, politiques, programmes et projets communautaires au Bénin de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédeao). D’abord, l’allocution  du Coordonnateur de la Cellule de suivi de l’intégration régionale, puis celle du directeur de cabinet du ministre des finances, représentant le ministre Romuald Wadagni.

Le Coordonnateur de la Cellule de suivi de l’intégration régionale, Armand Sounton

Dans son discours de bienvenue, le  Coordonnateur de la Cellule de suivi de l’intégration régionale  au ministère de l’économie et des finances a notifié que contrairement aux années antérieures, la spécificité,  cette année, est la prise en compte de l’évaluation de la mise en œuvre des reformes, politiques, programmes et projets communautaires de la Cédeao au Bénin. Armand Sounton a ajouté que cette approche se justifie par l’avènement très prochainement de la monnaie unique au sein des Etats membres de la Cédeao.

En outre, le Coordonnateur de la Cellule de suivi de l’intégration régionale  au ministère de l’économie et des finances a laissé entendre que les travaux permettront de trouver des solutions pour atteindre des meilleures performances en termes de mise en œuvre des reformes communautaires, mais aussi et surtout de  maintenir la dynamique afin que le Bénin devienne une référence au plan communautaire en la matière.

« L’ambition pour cette année est de maintenir le Bénin au premier rang en matière de taux de réalisation des reformes, politiques, programmes et communautaires de l’Uemoa », a renchéri Armand Sounton, rappelant au passage que le Bénin s’est illustré en 2018 comme le pays de l’Uemoa ayant réalisé le plus grand bond entre 2017 et 2018, soit de 16 points avec un taux de 80,2%.

Dans la même lancée, le directeur de cabinet  du ministre des finances a rassuré que l’objectif des autorités béninoises est de maintenir le cap   en matière de mise œuvre des engagements pris par le Bénin en terme de  mise en ouvre des  reformes, politiques, programmes et communautaires de l’Uemoa et de la Cédeao.

Hermann Takou

Hermann Orou Takou a donc invité les participants à faire, pendant ces trois jours de travaux,   le point et l’état de la mise en œuvre des reformes de l’Uemoa et de la Cédeao.

Vue partielle…

Pour mémoire, la Commission de l’Ueoma a organisé en liaison avec la Cellule de suivi de l’intégration régionale du ministère de l’Economie et des finances quatre revues annuelles, depuis son instauration en 2013 par l’institution sous-régionale.

…des …
…participants.

Sport/Culture: Fulgence Acclombessi annonce la tenue d’un géant concert ce 05 octobre, veille de la finale du tournoi de football JBE

Les membres du comité d’organisation du tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) veulent joindre l’utile à l’agréable. Pour clore en beauté la 2ème édition du tournoi de football JBE, ils ont prévu l’organisation d’un géant concert. L’information a d’ailleurs été confirmée par le vice-président du comité d’organisation du tournoi.

Les membres du comité d’organisation du tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) veulent joindre l’utile à l’agréable. Pour clore en beauté la 2ème édition du tournoi de football JBE, ils ont prévu l’organisation d’un géant concert. L’information a d’ailleurs été confirmée par le vice-président du comité d’organisation du tournoi.

Selon Fulgence Acclombessi, un géant concert est prévu à la veille de la finale, soit le samedi 05 octobre  2019. Il a indiqué que ce concert se tiendra toujours sur les installations du terrain de football en face du bar terminus avec assez d’innovations, contrairement à l’édition précédente.

« Nous organisons un géant concert sur ce même terrain.  Nous aurons une douzaine d’artistes confirmés pour égayer le public de Togoudo »,  a annoncé Fulgence Acclombessi.

Les populations de Togoudo et environs sont donc invitées à effectuer le déplacement ce samedi soir.

Manassé AGBOSSAGA    

Commune de Boukoumbé: Qui a assassiné Fidèle Combétti pendant sa garde-à-vue au commissariat de Manta ?

Un drame inexplicable est intervenu dans le commissariat de Manta, situé dans la commune de Boukoumbé. Un ressortissant de la localité a été assassiné dans les locaux du commissariat pendant sa garde-à-vue.

Un drame inexplicable est intervenu dans le commissariat de Manta, situé dans la commune de Boukoumbé. Un ressortissant de la localité a été assassiné dans les locaux du commissariat pendant sa garde-à-vue.

Manassé AGBOSSAGA

Les faits remontent dans la nuit du 07 au 08 septembre. Alors qu’il alerte la police et s’y rend lui-même au commissariat de Manta, dans la commune de Boukoumbé,  Fidèle Combétti ne reverra plus jamais le jour. Il sera victime d’un crime crapuleux.

Son jeune frère, Ferdinand Combétti revient sur ce drame. « J’ai été personnellement appelé aux environs de 22 heures par le policier qui était à la garde,  qui m’a dit honorable,  ton grand frère vient d’être conduit ici pour une affaire bizarre.  J’ai décidé de le garder  en attendant que le commissaire rentre. Je lui ai dit d’accord.  Demain, on verra ce qu’il faut faire… »,raconte son jeune frère.

Le corps sans vie de Fidèle Combétti dans les locaux du commissariat de Manta

Hélas, il n’y aura jamais de demain pour Fidèle Combétti. Ferdinand Combétti sera informé par l’agent de Police de l’assassinat de son frère dans des conditions horribles.

« Le même policier me rappelle aux environs de 2 heures de la matinée du dimanche et il me dit des individus sont venus armés et j’ai fui du commissariat.  J’ai fait semblant d’aller cher chercher la clé et j’ai fui du commissariat.  Je ne sais pas si ton frère sera vivant ou pas…  Le même policier me rappelle à 3 heures du matin pour me dire,  tu n’as plus de frère.  Ton frère vient d’être tué. Ils ne l’ont pas tué dans la cellule de garde à vue,  mais ils sont allées le tuer où nous nous  reposons et sur nos habits de service », raconte t-il sur la base des  aveux du policier.

Et désormais, c’est la grande tristesse dans la Combétti. C’est aussi l’heure des interrogations. Qui sont ces individus qui ont assassiné Fidèle Combétti ?  Comment cela a-t-il pu arriver dans un commissariat de police ?

Le gouvernement du président Talon est donc interpellé.

Conférence de Cotonou: Le rôle de chaque acteur au sein du Cadre de concertation des ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle redéfini

C’est le ministre d’Etat, chargé du plan et du développement qui a procédé au lancement officiel de la 10è conférence des ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle, dénommée ‘‘Conférence de Cotonou’’. En présence du représentant résident de l’Uemoa, des ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle des pays de l’Uemoa ou de leurs représentants, des experts, des partenaires techniques et financiers et autres, Abdoulaye Bio Tchané a remercié les uns et les autres pour le choix porté sur le Bénin pour l’organisation de cet évènement sous régional.

L’hôtel Golden Tulip de Cotonou a servi de cadre, ce vendredi 27 septembre 2019, à la cérémonie officielle de lancement de la 10è conférence des ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle, dénommée ‘‘Conférence de Cotonou’’. Cette rencontre qui coïncide avec le 10ème anniversaire du Cadre de concertation des  ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle  a pour objectif de repréciser les rôles de chaque acteur au sein dudit  Cadre pour  le développement de la  formation professionnelle et la promotion de l’emploi dans l’espace Uemoa.

Manassé AGBOSSAGA

C’est le ministre d’Etat, chargé du plan et du développement qui a procédé au lancement officiel de la 10è conférence des ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle, dénommée ‘‘Conférence de Cotonou’’. En présence du représentant résident de l’Uemoa, des ministres  en charge de l’emploi et de la formation professionnelle des pays de l’Uemoa  ou de leurs représentants, des experts, des partenaires techniques et financiers  et autres, Abdoulaye Bio Tchané  a  remercié les uns et les autres pour le choix porté sur le Bénin pour l’organisation de cet évènement sous régional. 

Mais avant, le représentant résident de l’Ueoma a, dans son discours,  souligné que ce rendez-vous sous régional annuel a été initié en vue d’apporter des réponses idoines aux défis du chômage et du  sous emploi des jeunes dans l’espace Uemoa. Pour Komlan Agbo, la conférence de Cotonou doit donc marquer un tournant décisif pour le cadre de concertation des  ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle, installé en 2009 à Bamako.

« Cette conférence qui coïncide avec le 10ème anniversaire du Cadre de concertation nécessite de repasser en revue  toutes les recommandations prises et éventuellement d’examiner les moyens déployés pour leur mise en ouvre effective et de définir les perspectives nécessaires pour un meilleur fonctionnement du cadre », a ajouté le représentant résident de l’Uemoa.

Dans le même sens, le ministre en charge de la formation professionnelle et de l’enseignement secondaire et président en exercice du Cadre de concertation  a insisté sur la nécessité de repréciser les rôles de chaque acteur au sein du cadre de concertation pour le développement de la  formation professionnelle et la promotion de l’emploi,  après dix ans d’existence.

Mahougnon Cakpo  confie d’ailleurs  que le thème « renforcer et pérenniser les acquis du cadre de concertation pour le développement de la formation professionnelle et la promotion de l’emploi dans l’espace Uemoa : rôles et implications des acteurs », qui a servi de boussole aux experts sera partagé avec les ministres pour atteindre ce résultat.

En tout cas, cela y va du bonheur des jeunes diplômés d’emploi.

Bénin: Les vérités de Narcisse Tomèty à toute la classe politique béninoise

L’ancien directeur de l’école de la nouvelle conscience n’a pas fait de cadeau aux acteurs politiques béninois. A travers une série de post, Simon Narcisse Tomèty a dénoncé les politiciens béninois, toutes tendances confondues…

Simon Narcisse Tomèty dit ses vérités aux acteurs politiques béninois. Sans citer de nom et sans distinction, l’Institutionnaliste des reformes publiques a ouvertement critiqué les politiciens béninois sur sa page facebook, à travers une série dénonciations, de questionnements, et autres

Manassé AGBOSSAGA

L’ancien directeur de l’école de la nouvelle conscience n’a pas fait de cadeau aux acteurs politiques béninois. A travers une série de  post, Simon Narcisse Tomèty a dénoncé les politiciens béninois, toutes tendances confondues.

Dans son réquisitoire, il a laissé entendre que les partis politiques et politiciens béninois, dans leur grande majorité,  ne servent à rien.

« A quoi servent le partis politiques au Bénin ? A rien,  Si ce n’est pour des campagnes électorales sans éducation politique…A quoi servent les partis politiques au Bénin ?  A rien,  si ce n’est pour ternir l’image de notre pays à l’international, si ce n’est pour promouvoir des paresseux avides d’argent,  des profiteurs, distribués de gros salaires… La politique ne sert plus à rien au Bénin, c’est du voyeurisme », se désole ’ t-il.

Le professeur Tomèty  poursuit et enfonce le clou.  L’institutionnaliste des reformes publiques  traite les politiciens béninois de tous les noms d’oiseau et soutient que ces derniers  sont à la base des maux qui minent le Bénin après 59 ans d’indépendance. « Etre politicien au Bénin,  c’est exactement se comporter comme une mouche attirée par le goût du sucre … Plus de 90% des politiciens béninois n’ont pas de culture politique, ils n’ont aucune vie militante et d’engagement… Les politiciens béninois sont les premiers producteurs d’insécurité au Bénin. Tout leur est permis avec protection… La politique au Bénin a pour principe : escroquerie et tuer ceux qui sont capables de gérer le pays »,  révèle l’ancien directeur de l’Ecole de la Nouvelle conscience.

Face à ce triste constat, le directeur du Café africain des néo philosophes  confie qu’aucun politicien du 229 ne mérite son respect.    « Je ne dois aucun respect à un politicien béninois.  il est indigne de mon respect.  Je ne vois pas le service qu’il rend au peuple ».

Candidat déclaré à la présidentielle de 2021, Simon Narcisse Tomèty ne fera t-il pas les frais de ses déclarations pimentées à l’endroit de la classe politique béninoise?

Wait and See !

Accusé de partialité dans le traitement des dossiers de candidatures lors des législatives: Emmanuel Tiando clarifie et tacle Jean-Baptiste Elias

Face à la presse ce jeudi 26 septembre 2019, Emmanuel Tiando ne s’est pas contenté de répondre aux accusations de Jean-Baptiste Elias. Le président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) a  apporté des clarifications au sujet des accusations liées à la partialité de la Céna dans le traitement des dossiers de candidatures aux dernières élections législatives du 28 avril 2019, et a  taclé le président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC).

Manassé AGBOSSAGA

Le président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) a fait d’une pierre deux coups. Emmanuel Tiando a pris le soin de répondre, point par point, aux accusations de Jean-Baptiste Elias, mais aussi et surtout, de donner des coups  à ce dernier.

En effet, le président de la Céna a d’abord fait remarquer que les faits évoqués par Jean-Baptiste Elias, lors de son passage sur Soleil Fm le  15 septembre dernier,  ne sont pas nouveaux.

Emmanuel Tiando souligne qu’il s’agit des faits déjà évoqués par la Céna lors de sa sortie médiatique en date du 13 mars 2019. Mieux le président de la Céna rappelle que ces faits ont fait l’objet de plusieurs recours infructueux devant la Cour constitutionnelle.

Toujours au titre des remarques, Emmanuel Tiando confie que le dossier de traitement des dossiers de déclaration de candidatures a fait l’objet de plusieurs séances de travail entre la  Céna et une délégation de l’ANLC.

Mélange d’explication et de coup

Jean-Baptiste Elias

Abordant les faits, Jean-Baptiste Elias a mis en avant la transparence de la Céna dans le traitement des dossiers. Il a d’ailleurs indiqué que l’examen préliminaire des dossiers a été effectué par un comité de cadres qui l’a soumis à l’examen de la plénière avec toutes les observations d’irrégularités apparues dans chaque dossier.

Le président de la Céna ajoute que chaque observation a fait l’objet de débat sur son importance par rapport aux dispositions du code électoral et sur la pertinence de son maintien au nombre des griefs à retenir.

Emmanuel Tiando précise que  la plénière a, à l’unanimité, décidé de ne pas prendre en compte  les observations de manquements communes à toutes les listes et celles qui dépendent de l’administration.

Parlant de manquement, Emmanuel Tiando souligne que les cas de discordance des lieux de naissance entre la carte d’électeur et d’autres pièces produites par certains candidats évoqués par Jean-Baptiste Elias   n’est pas à imputer aux intéressés.

Emmanuel Tiando indique que cette discordance est la conséquence de la reforme territoriale intervenue en 1978. « Kérou faisait partie de Koundé de même que Comé faisait partie de Grand Popo, Ifagni de Sakété, Kalalé et Pèrèrè de Nikki. C’est au vu des mutations induites par cette reforme territoriale que la Céna n’a pas pu censurer ces discordances, d’autant plus que plusieurs candidats ont produit des certificats d’individualité’ », explique t-il.

Emmanuel Tiando saisit alors la perche pour donner des pics à Jean-Baptiste Elias quand ce dernier met en avant ce cas pour tenter de décrédibiliser la Céna. « Dénoncer ces prétendues insuffisances relève d’une méconnaissance grave de l’évolution de l’administration territoriale béninoise », ironise le président de la Céna.

Sur l’injustice liée à deux façons de traiter les dossiers au ministère de l’intérieur et à la Céna, Emmanuel Tiando rappelle qu’il s’agit de deux organes différents, qui n’ont pas établi une méthodologie commune pour l’étude des dossiers.

« La Céna n’est pas un service relevant du ministère de l’intérieur. Son fonctionnement repose sur son autonomie organisationnelle et délibérante. Etablir une comparaison entre la méthodologie du ministère de l’intérieur et celle de la Céna relève d’un mauvais procès d’autant plus que ces deux institutions n’ont pas établi une plateforme méthodologique commune pour l’étude des dossiers », lance le président de la Céna.

Face à cela, Emmanuel Tiando fait savoir que Jean-Baptiste Elias qu’il surnomme « le justicier national » a manqué de professionnalisme et d’objectivité au cours de sa dernière sortie médiatique contre la Céna.

Réponse du berger à la bergère, dira t- on.

Après la sortie du président de l’ANLC sur Soleil Fm au sujet des législatives: Série de questions de Tiando à Elias

Le président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) interpelle ouvertement le président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC), suite à son passage sur l’émission ‘‘Sans langue de bois’’ de Soleil Fm, le dimanche 15 septembre dernier. A la faveur d’un point de presse effectué ce jeudi 26 septembre 2019 au siège de l’institution, Emmanuel Tiando a adressé une série de questions à Jean-Baptiste Elias en réponse à ses accusations sur l’impartialité de la Céna dans le traitement des dossiers de candidatures aux dernières élections législatives du 28 avril 2019…

Le président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) interpelle ouvertement  le président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC), suite à son passage sur l’émission ‘‘Sans langue de bois’’ de Soleil Fm, le dimanche 15 septembre dernier. A la faveur d’un point de presse effectué ce jeudi 26 septembre 2019 au siège de l’institution, Emmanuel Tiando a adressé une série de questions à Jean-Baptiste Elias en réponse à ses accusations sur la partialité de la Céna dans le traitement des dossiers de candidatures aux dernières élections législatives du 28 avril 2019.

Manassé AGBOSSAGA

Pour le président de la Céna, les déclarations de Jean-Baptiste Elias sur la radio privée de l’opposant Sébastien Ajavon suscitent des questionnements.  Dans cette  lancée, Emmanuel Tiando adresse alors une série de questions au président de l’ANLC, tant dans  la forme que dans  le fond.

« Pourquoi c’est maintenant, soit près de 5 mois après la tenue des législatives que monsieur Elias Jean-Baptiste revient sur des faits largement connus de l’opinion publique sans y apporter un élément nouveau alors que ces faits ont été l’objet de recours devant la Cour constitutionnelle qui a débouté purement et simplement les requérants ?

Cette initiative relève t- elle d’une stratégie visant à discréditer la Céna en vue de sa déstabilisation ? Ou bien a-t-elle comme objectif la justification de quelque chose ? Ou encore a-t-elle pour but de se prémunir contre quelque chose ?

Monsieur Elias voudrait il insinuer qu’il existerait des soupçons de corruption dans le processus de l’étude des dossiers des candidatures ? Si tel était le cas pourquoi ne pas dénoncer avec des preuves ces faits  de corruption  et surtout en identifiant les corrupteurs  et les corrompus quels qu’ils soient ?

La loi portant lutte contre la corruption autorise t- elle Monsieur Elias à rendre publique sur les médias ce genre d’accusation ?

Monsieur Elias affirme qu’il dispose de documents émanant de la Céna. Nous voudrions savoir quelle est la nature de ces documents ? S’agit il de documents de travail qui n’engagent pas forcément la responsabilité de la plénière ou des décuisions effectivement prises par elle ?

De qui détient-il ces documents puisqu’aucun cadre n’est sensé les détenir ? », s’interroge, entre autres, le président de la Céna.

Mais comme s’il avait les réponses à ces différentes questions, Emmanuel Tiando conclut « la démarche et les objectifs de la sortie médiatique de Monsieur Elias Jean-Baptiste suscitent des questions qui s’analysent en une intention manifeste de nuire à la crédibilité de la Céna à des fins inavoués ».

Elias appréciera !