Vous êtes un nouveau bachelier ou une nouvelle bachelière, détenteur ou détentrice d’un BAC C, D et autres série scientifique. Vous êtes à la recherche d’une filière qui vous ouvrira les portes de l’emploi. Et bien, la Haute école des métiers techniques (HECOMET) a la solution à votre interrogation. En effet, la Haute école des métiers techniques (HECOMET), leader dans le domaine de l’enseignement supérieur …
Vous êtes
un nouveau bachelier ou une nouvelle bachelière, détenteur ou détentrice d’un
BAC C, D et autres série scientifique. Vous
êtes à la recherche d’une filière qui vous ouvrira les portes de l’emploi. Et bien,
la Haute école des métiers techniques (HECOMET) a la solution à votre
interrogation. En effet, la Haute école des métiers techniques (HECOMET),
leader dans le domaine de l’enseignement supérieur organise au profit des nouveaux
bacheliers des séries scientifiques C, D, F et autres une séance d’orientation.
Cette séance
de sensibilisation est prévue pour ce samedi 05 octobre 2019 à 10H00 au siège de l’institution à Atrokpocodji,
derrière PK14, commune d’Abomey-Calavi.
Pour les
bacheliers désireux de prendre part à cette séance et autres personnes qui
souhaitent avoir plus d’informations, composez le 61434747 ou le .97456465 ou encore
consulter le site www.hecomet.net.
La petite finale de la 2ème édition du Tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) se joue ce samedi 05 octobre 2019. A 15h00 sur le terrain en face du bar Terminus au quartier Gbègnigan, sis dans l’arrondissement de Godomey-Togoudo, les joueurs de Zéphyr Fc et d’Ajiha Fc iront à l’assaut de la troisième place…
La petite
finale de la 2ème édition du Tournoi de football Jeunes béninois engagés
(JBE) se joue ce samedi 05 octobre 2019.
A 15h00 sur le terrain en face du bar Terminus au quartier Gbègnigan, sis dans
l’arrondissement de Godomey-Togoudo, les joueurs de Zéphyr Fc et d’Ajiha Fc
iront à l’assaut de la troisième place.
A défaut
de conserver sa couronne après son élimination en en demi-finale face à Déo Fc, Zéphyr Fc mettra sans doute le
paquet pour décrocher cette troisième place.
Les joueurs d’Ajiha Fc, éliminés par leurs homologues d’Ilaci Fc ne l’entendront sans doute pas de cette oreille.
Le Président du comité d’organisation (PCO) de la 2ème édition du tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) lance un appel au public sportif de Togoudo et environ, en prélude à la petite finale (05 octobre) et de la grande finale (06 octobre). A la faveur d’un entretien qu’il nous accordé, Léopold Dovonon a invité le public sportif à effectuer massivement le déplacement dans la discipline. Le PCO en a profité pour lever un coin de voile sur les différents lots prévus aux vainqueurs. Détails !!!
Le Président du comité d’organisation (PCO) de la 2ème édition du tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) lance un appel au public sportif de Togoudo et environ, en prélude à la petite finale (05 octobre) et de la grande finale (06 octobre). A la faveur d’un entretien qu’il nous accordé, Léopold Dovonon a invité le public sportif à effectuer massivement le déplacement dans la discipline. Le PCO en a profité pour lever un coin de voile sur les différents lots prévus aux vainqueurs. Détails !!!
Kpakpato Médias: Démarrée le 4 août dernier, la deuxième édition du tournoi de football Jeunes béninois (JBE) livre son verdict ce dimanche 06 octobre, avec la finale (Déo Fc#Ilaci) et la petite finale (Zéphyr#Ajiha) qui se joue la veille. Dîtes-nous pourquoi avoir repoussé ces deux échéances ?
Léopold Dovonon: Le tournoi de football doté du « trophée JBE » édition 2019 connaitra effectivement son épilogue le week-end prochain. Initialement, nous avons prévu les activités de clôture pour les 14 et 15 septembre derniers. L’organisation de notre tournoi, le sérieux des joueurs et le dynamisme de l’encadrement et de la communication, autant d’éléments ont eu un écho favorable auprès de nos observateurs à l’intérieur comme à l’extérieur du pays et qui ont suscité leur implication pour les activités de clôture. Ainsi quelques autorités techniques du ministère des sports, des centres de formations sportives au Bénin, au Cameroun et aux Etats-Unis sont rentrées en contact avec nous pour s’impliquer dans l’organisation. Aussi, notre leader, Joël VAGNIKIN résident aux Etats-Unis a voulu être de la partie. Autant d’éléments qui nous ont contraints à repousser les activités de clôture pour le week-end du 05 et 06 octobre 2019.
Pouvez-vous lever un coin de voile sur les
lots prévus pour les meilleures équipes ?
Fidèle à notre promesse, les lots à
gagner se présentent comme suit :
Premier prix : 1 trophée + un Ballon
+ un jeu de maillot + une enveloppe financière de 150.000 FCFA.
Deuxième prix : 1 trophée + un Ballon
+ un jeu de maillot + une enveloppe financière de 80.000 F CFA.
Troisième prix : 1 trophée + un
Ballon + un jeu de maillot + une enveloppe financière de 50.000 F CFA.
Meilleur joueur:1 trophée
Meilleur buteur : 1 trophée
Meilleur arbitre : 1 trophée
Un pronostic à faire sur ces deux matchs.
Que le meilleur gagne! Nous sommes tous des jeunes, et nous agissons
avec des jeunes pour le développement de notre nation. Quelque soit l’équipe
qui remportera le trophée, c’est la jeunesse qui gagne.
Un appel à lancer au public sportif
La plus grande victoire de cette
activité est l’organisation d’un évènement par les jeunes, entre jeunes dans la
gaieté, le respect, la discipline. Ceci reste le leitmotiv du mouvement Jeunes
Béninois Engagés. Ainsi, le comité d’organisation invite le public sportif à se
déplacer massivement dans la discipline le samedi 05 octobre sur l’esplanade du
terrain de bar TERMINUS pour vivre la petite finale à 15h et le concert qui
réunit une quinzaine d’artistes confirmés sur le même podium et le dimanche 06 octobre pour la grande finale, une vraie fête du
football entre jeunes.
L’atelier préparatoire de la revue annuelle des reformes, politiques, programmes et projets communautaires au Bénin de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédeao) a ouvert ses portes ce mercredi 2 octobre 2019 à l’hôtel Novotel de Cotonou. A travers la Cellule de suivi de l’intégration, le Bénin affûte ainsi ses armes pour rester au premier rang en matière de taux de réalisation des reformes, politiques, programmes et projets communautaires de l’Uemoa et de la Cédeao…
L’atelier préparatoire de la revue
annuelle des reformes, politiques, programmes et projets communautaires au
Bénin de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) et de la
Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédeao) a ouvert ses
portes ce mercredi 2 octobre 2019 à l’hôtel Novotel de Cotonou. A travers la
Cellule de suivi de l’intégration, le Bénin affûte ainsi ses armes pour rester
au premier rang en matière de taux de réalisation des reformes, politiques,
programmes et projets communautaires de l’Uemoa et de la Cédeao.
Manassé AGBOSSAGA
Deux allocutions ont marqué le lancement officiel de l’atelier préparatoire de la revue annuelle des reformes, politiques, programmes et projets communautaires au Bénin de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédeao). D’abord, l’allocution du Coordonnateur de la Cellule de suivi de l’intégration régionale, puis celle du directeur de cabinet du ministre des finances, représentant le ministre Romuald Wadagni.
Dans son discours de bienvenue, le Coordonnateur de la Cellule de suivi de
l’intégration régionale au ministère de
l’économie et des finances a notifié que contrairement aux années antérieures,
la spécificité, cette année, est la
prise en compte de l’évaluation de la mise en œuvre des reformes, politiques,
programmes et projets communautaires de la Cédeao au Bénin. Armand Sounton a
ajouté que cette approche se justifie par l’avènement très prochainement de la
monnaie unique au sein des Etats membres de la Cédeao.
En outre, le Coordonnateur de la
Cellule de suivi de l’intégration régionale
au ministère de l’économie et des finances a laissé entendre que les
travaux permettront de trouver des solutions pour atteindre des meilleures
performances en termes de mise en œuvre des reformes communautaires, mais aussi
et surtout de maintenir la dynamique
afin que le Bénin devienne une référence au plan communautaire en la matière.
« L’ambition pour cette année est de maintenir le Bénin au premier rang en matière de taux de réalisation des reformes, politiques, programmes et communautaires de l’Uemoa », a renchéri Armand Sounton, rappelant au passage que le Bénin s’est illustré en 2018 comme le pays de l’Uemoa ayant réalisé le plus grand bond entre 2017 et 2018, soit de 16 points avec un taux de 80,2%.
Dans la même lancée, le directeur de cabinet du ministre des finances a rassuré que l’objectif des autorités béninoises est de maintenir le cap en matière de mise œuvre des engagements pris par le Bénin en terme de mise en ouvre des reformes, politiques, programmes et communautaires de l’Uemoa et de la Cédeao.
Hermann Orou Takou a donc invité les participants à faire, pendant ces trois jours de travaux, le point et l’état de la mise en œuvre des reformes de l’Uemoa et de la Cédeao.
Pour mémoire, la Commission de l’Ueoma a organisé en liaison avec la Cellule de suivi de l’intégration régionale du ministère de l’Economie et des finances quatre revues annuelles, depuis son instauration en 2013 par l’institution sous-régionale.
Les membres du comité d’organisation du tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) veulent joindre l’utile à l’agréable. Pour clore en beauté la 2ème édition du tournoi de football JBE, ils ont prévu l’organisation d’un géant concert. L’information a d’ailleurs été confirmée par le vice-président du comité d’organisation du tournoi.
Les membres du comité d’organisation du tournoi de football Jeunes béninois engagés (JBE) veulent joindre l’utile à l’agréable. Pour clore en beauté la 2ème édition du tournoi de football JBE, ils ont prévu l’organisation d’un géant concert. L’information a d’ailleurs été confirmée par le vice-président du comité d’organisation du tournoi.
Selon Fulgence
Acclombessi, un géant concert est prévu à la veille de la finale, soit le
samedi 05 octobre 2019. Il a indiqué que
ce concert se tiendra toujours sur les installations du terrain de football en
face du bar terminus avec assez d’innovations, contrairement à l’édition
précédente.
« Nous
organisons un géant concert sur ce même terrain. Nous aurons une douzaine d’artistes confirmés
pour égayer le public de Togoudo »,
a annoncé Fulgence Acclombessi.
Les
populations de Togoudo et environs sont donc invitées à effectuer le
déplacement ce samedi soir.
Un drame inexplicable est intervenu dans le commissariat de Manta, situé dans la commune de Boukoumbé. Un ressortissant de la localité a été assassiné dans les locaux du commissariat pendant sa garde-à-vue.
Un drame inexplicable est
intervenu dans le commissariat de Manta, situé dans la commune de Boukoumbé. Un
ressortissant de la localité a été assassiné dans les locaux du commissariat pendant
sa garde-à-vue.
Manassé AGBOSSAGA
Les faits remontent dans la nuit du 07 au 08 septembre. Alors qu’il alerte la police et s’y rend lui-même au commissariat de Manta, dans la commune de Boukoumbé, Fidèle Combétti ne reverra plus jamais le jour. Il sera victime d’un crime crapuleux.
Son jeune frère, Ferdinand Combétti revient sur ce drame. « J’ai été personnellement appelé aux environs de 22 heures par le policier qui était à la garde, qui m’a dit honorable, ton grand frère vient d’être conduit ici pour une affaire bizarre. J’ai décidé de le garder en attendant que le commissaire rentre. Je lui ai dit d’accord. Demain, on verra ce qu’il faut faire… »,raconte son jeune frère.
Hélas,
il n’y aura jamais de demain pour Fidèle Combétti. Ferdinand Combétti sera
informé par l’agent de Police de l’assassinat de son frère dans des conditions
horribles.
« Le
même policier me rappelle aux environs de 2 heures de la matinée du dimanche et
il me dit des individus sont venus armés et j’ai fui du commissariat. J’ai fait semblant d’aller cher chercher la
clé et j’ai fui du commissariat. Je ne sais
pas si ton frère sera vivant ou pas… Le
même policier me rappelle à 3 heures du matin pour me dire, tu n’as plus de frère. Ton frère vient d’être tué. Ils ne l’ont pas
tué dans la cellule de garde à vue, mais
ils sont allées le tuer où nous nous
reposons et sur nos habits de service », raconte t-il sur la base
des aveux du policier.
Et
désormais, c’est la grande tristesse dans la Combétti. C’est aussi l’heure des
interrogations. Qui sont ces individus qui ont assassiné Fidèle
Combétti ? Comment cela a-t-il pu arriver dans un commissariat de
police ?
Le gouvernement du président Talon est donc interpellé.
C’est le ministre d’Etat, chargé du plan et du développement qui a procédé au lancement officiel de la 10è conférence des ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle, dénommée ‘‘Conférence de Cotonou’’. En présence du représentant résident de l’Uemoa, des ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle des pays de l’Uemoa ou de leurs représentants, des experts, des partenaires techniques et financiers et autres, Abdoulaye Bio Tchané a remercié les uns et les autres pour le choix porté sur le Bénin pour l’organisation de cet évènement sous régional.
L’hôtel Golden Tulip de Cotonou a servi de cadre, ce vendredi 27 septembre 2019, à la cérémonie officielle de lancement de la 10è conférence des ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle, dénommée ‘‘Conférence de Cotonou’’. Cette rencontre qui coïncide avec le 10ème anniversaire du Cadre de concertation des ministres en charge de l’emploi et de la formation professionnelle a pour objectif de repréciser les rôles de chaque acteur au sein dudit Cadre pour le développement de la formation professionnelle et la promotion de l’emploi dans l’espace Uemoa.
Manassé AGBOSSAGA
C’est
le ministre d’Etat, chargé du plan et du développement qui a procédé au
lancement officiel de la 10è conférence des ministres en charge de l’emploi et
de la formation professionnelle, dénommée ‘‘Conférence de Cotonou’’. En
présence du représentant résident de l’Uemoa, des ministres en charge de l’emploi et de la formation
professionnelle des pays de l’Uemoa ou
de leurs représentants, des experts, des partenaires techniques et financiers et autres, Abdoulaye Bio Tchané a remercié les uns et les autres pour le choix
porté sur le Bénin pour l’organisation de cet évènement sous régional.
Mais
avant, le représentant résident de l’Ueoma a, dans son discours, souligné que ce rendez-vous sous régional
annuel a été initié en vue d’apporter des réponses idoines aux défis du chômage
et du sous emploi des jeunes dans
l’espace Uemoa. Pour Komlan Agbo, la conférence de Cotonou doit donc marquer un
tournant décisif pour le cadre de concertation des ministres en charge de l’emploi et de la
formation professionnelle, installé en 2009 à Bamako.
« Cette
conférence qui coïncide avec le 10ème anniversaire du Cadre de
concertation nécessite de repasser en revue
toutes les recommandations prises et éventuellement d’examiner les
moyens déployés pour leur mise en ouvre effective et de définir les
perspectives nécessaires pour un meilleur fonctionnement du cadre », a
ajouté le représentant résident de l’Uemoa.
Dans
le même sens, le ministre en charge de la formation professionnelle et de l’enseignement
secondaire et président en exercice du Cadre de concertation a insisté sur la nécessité de repréciser les
rôles de chaque acteur au sein du cadre de concertation pour le développement
de la formation professionnelle et la
promotion de l’emploi, après dix ans
d’existence.
Mahougnon
Cakpo confie d’ailleurs que le thème « renforcer et pérenniser
les acquis du cadre de concertation pour le développement de la formation
professionnelle et la promotion de l’emploi dans l’espace Uemoa : rôles et
implications des acteurs », qui a servi de boussole aux experts sera
partagé avec les ministres pour atteindre ce résultat.
En
tout cas, cela y va du bonheur des jeunes diplômés d’emploi.
L’ancien directeur de l’école de la nouvelle conscience n’a pas fait de cadeau aux acteurs politiques béninois. A travers une série de post, Simon Narcisse Tomèty a dénoncé les politiciens béninois, toutes tendances confondues…
Simon Narcisse Tomèty dit ses vérités aux acteurs politiques béninois. Sans citer de nom et sans distinction, l’Institutionnaliste des reformes publiques a ouvertement critiqué les politiciens béninois sur sa page facebook, à travers une série dénonciations, de questionnements, et autres
Manassé AGBOSSAGA
L’ancien
directeur de l’école de la nouvelle conscience n’a pas fait de cadeau aux
acteurs politiques béninois. A travers une série de post, Simon Narcisse Tomèty a dénoncé les
politiciens béninois, toutes tendances confondues.
Dans
son réquisitoire, il a laissé entendre que les partis politiques et politiciens
béninois, dans leur grande majorité, ne
servent à rien.
« A
quoi servent le partis politiques au Bénin ? A rien, Si ce n’est pour des campagnes électorales
sans éducation politique…A quoi servent les partis politiques au Bénin ? A rien, si ce n’est pour ternir l’image de notre pays
à l’international, si ce n’est pour promouvoir des paresseux avides d’argent, des profiteurs, distribués de gros salaires… La
politique ne sert plus à rien au Bénin, c’est du voyeurisme », se désole ’
t-il.
Le
professeur Tomèty poursuit et enfonce le
clou. L’institutionnaliste des reformes
publiques traite les politiciens béninois
de tous les noms d’oiseau et soutient que ces derniers sont à la base des maux qui minent le Bénin
après 59 ans d’indépendance. « Etre politicien au Bénin, c’est exactement se comporter comme une mouche
attirée par le goût du sucre … Plus de 90% des politiciens béninois n’ont pas
de culture politique, ils n’ont aucune vie militante et d’engagement… Les politiciens
béninois sont les premiers producteurs d’insécurité au Bénin. Tout leur est
permis avec protection… La politique au Bénin a pour principe :
escroquerie et tuer ceux qui sont capables de gérer le pays », révèle l’ancien directeur de l’Ecole de la
Nouvelle conscience.
Face
à ce triste constat, le directeur du Café africain des néo philosophes confie qu’aucun politicien du 229 ne mérite
son respect. « Je
ne dois aucun respect à un politicien béninois. il est indigne de mon respect. Je ne vois pas le service qu’il rend au
peuple ».
Candidat déclaré à la présidentielle de 2021, Simon Narcisse Tomèty ne fera t-il pas les frais de ses déclarations pimentées à l’endroit de la classe politique béninoise?
Face
à la presse ce jeudi 26 septembre 2019, Emmanuel Tiando ne s’est pas contenté
de répondre aux accusations de Jean-Baptiste Elias. Le président de la Commission
électorale nationale autonome (Céna) a apporté
des clarifications au sujet des accusations liées àla
partialité de la Céna dans le traitement des dossiers de candidatures aux
dernières élections législatives du 28 avril 2019, et a taclé le président de l’Autorité nationale de
lutte contre la corruption (ANLC).
Manassé
AGBOSSAGA
Le
président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) a fait d’une
pierre deux coups. Emmanuel Tiando a pris le soin de répondre, point par point,
aux accusations de Jean-Baptiste Elias, mais aussi et surtout, de donner des
coups à ce dernier.
En
effet, le président de la Céna a d’abord fait remarquer que les faits évoqués par
Jean-Baptiste Elias, lors de son passage sur Soleil Fm le 15 septembre dernier, ne sont pas nouveaux.
Emmanuel
Tiando souligne qu’il s’agit des faits déjà évoqués par la Céna lors de sa
sortie médiatique en date du 13 mars 2019. Mieux le président de la Céna
rappelle que ces faits ont fait l’objet de plusieurs recours infructueux devant
la Cour constitutionnelle.
Toujours
au titre des remarques, Emmanuel Tiando confie que le dossier de traitement des
dossiers de déclaration de candidatures a fait l’objet de plusieurs séances de
travail entre la Céna et une délégation
de l’ANLC.
Mélange d’explication et de coup
Abordant
les faits, Jean-Baptiste Elias a mis en avant la transparence de la Céna dans
le traitement des dossiers. Il a d’ailleurs indiqué que l’examen préliminaire
des dossiers a été effectué par un comité de cadres qui l’a soumis à l’examen
de la plénière avec toutes les observations d’irrégularités apparues dans chaque
dossier.
Le
président de la Céna ajoute que chaque observation a fait l’objet de débat sur
son importance par rapport aux dispositions du code électoral et sur la
pertinence de son maintien au nombre des griefs à retenir.
Emmanuel
Tiando précise que la plénière a, à l’unanimité,
décidé de ne pas prendre en compte les
observations de manquements communes à toutes les listes et celles qui dépendent
de l’administration.
Parlant
de manquement, Emmanuel Tiando souligne que les cas de discordance des lieux de
naissance entre la carte d’électeur et d’autres pièces produites par certains
candidats évoqués par Jean-Baptiste Elias
n’est pas à imputer aux intéressés.
Emmanuel
Tiando indique que cette discordance est la conséquence de la reforme
territoriale intervenue en 1978. « Kérou faisait partie de Koundé de même
que Comé faisait partie de Grand Popo, Ifagni de Sakété, Kalalé et Pèrèrè de
Nikki. C’est au vu des mutations induites par cette reforme territoriale que la
Céna n’a pas pu censurer ces discordances, d’autant plus que plusieurs
candidats ont produit des certificats d’individualité’ », explique t-il.
Emmanuel
Tiando saisit alors la perche pour donner des pics à Jean-Baptiste Elias quand
ce dernier met en avant ce cas pour tenter de décrédibiliser la Céna. « Dénoncer
ces prétendues insuffisances relève d’une méconnaissance grave de l’évolution
de l’administration territoriale béninoise », ironise le président de la
Céna.
Sur
l’injustice liée à deux façons de traiter les dossiers au ministère de l’intérieur
et à la Céna, Emmanuel Tiando rappelle qu’il s’agit de deux organes différents,
qui n’ont pas établi une méthodologie commune pour l’étude des dossiers.
« La
Céna n’est pas un service relevant du ministère de l’intérieur. Son fonctionnement
repose sur son autonomie organisationnelle et délibérante. Etablir une
comparaison entre la méthodologie du ministère de l’intérieur et celle de la
Céna relève d’un mauvais procès d’autant plus que ces deux institutions n’ont
pas établi une plateforme méthodologique commune pour l’étude des dossiers »,
lance le président de la Céna.
Face
à cela, Emmanuel Tiando fait savoir que Jean-Baptiste Elias qu’il surnomme « le
justicier national » a manqué de professionnalisme et d’objectivité au
cours de sa dernière sortie médiatique contre la Céna.
Le président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) interpelle ouvertement le président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC), suite à son passage sur l’émission ‘‘Sans langue de bois’’ de Soleil Fm, le dimanche 15 septembre dernier. A la faveur d’un point de presse effectué ce jeudi 26 septembre 2019 au siège de l’institution, Emmanuel Tiando a adressé une série de questions à Jean-Baptiste Elias en réponse à ses accusations sur l’impartialité de la Céna dans le traitement des dossiers de candidatures aux dernières élections législatives du 28 avril 2019…
Le président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) interpelle ouvertement le président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC), suite à son passage sur l’émission ‘‘Sans langue de bois’’ de Soleil Fm, le dimanche 15 septembre dernier. A la faveur d’un point de presse effectué ce jeudi 26 septembre 2019 au siège de l’institution, Emmanuel Tiando a adressé une série de questions à Jean-Baptiste Elias en réponse à ses accusations sur la partialité de la Céna dans le traitement des dossiers de candidatures aux dernières élections législatives du 28 avril 2019.
Manassé
AGBOSSAGA
Pour
le président de la Céna, les déclarations de Jean-Baptiste Elias sur la radio
privée de l’opposant Sébastien Ajavon suscitent des questionnements. Dans cette lancée, Emmanuel Tiando adresse alors une
série de questions au président de l’ANLC, tant dans la forme que dans le fond.
« Pourquoi
c’est maintenant, soit près de 5 mois après la tenue des législatives que
monsieur Elias Jean-Baptiste revient sur des faits largement connus de l’opinion
publique sans y apporter un élément nouveau alors que ces faits ont été l’objet
de recours devant la Cour constitutionnelle qui a débouté purement et
simplement les requérants ?
Cette
initiative relève t- elle d’une stratégie visant à discréditer la Céna en vue
de sa déstabilisation ? Ou bien a-t-elle comme objectif la justification
de quelque chose ? Ou encore a-t-elle pour but de se prémunir contre
quelque chose ?
Monsieur
Elias voudrait il insinuer qu’il existerait des soupçons de corruption dans le
processus de l’étude des dossiers des candidatures ? Si tel était le cas
pourquoi ne pas dénoncer avec des preuves ces faits de corruption
et surtout en identifiant les corrupteurs et les corrompus quels qu’ils soient ?
La
loi portant lutte contre la corruption autorise t- elle Monsieur Elias à rendre
publique sur les médias ce genre d’accusation ?
Monsieur
Elias affirme qu’il dispose de documents émanant de la Céna. Nous voudrions
savoir quelle est la nature de ces documents ? S’agit il de documents de
travail qui n’engagent pas forcément la responsabilité de la plénière ou des
décuisions effectivement prises par elle ?
De
qui détient-il ces documents puisqu’aucun cadre n’est sensé les détenir ? »,
s’interroge, entre autres, le président de la Céna.
Mais
comme s’il avait les réponses à ces différentes questions, Emmanuel Tiando conclut
« la démarche et les objectifs de la sortie médiatique de Monsieur Elias
Jean-Baptiste suscitent des questions qui s’analysent en une intention
manifeste de nuire à la crédibilité de la Céna à des fins inavoués ».