La séance d’échanges entre les responsables du ministère des Affaires étrangères et les convoyeurs, tenue dans l’après-midi de ce mercredi 12 juin 2019, loin des micros et caméras, est du goût de l’Imam Abdoul Gafar Sanni. Interrogé à la fin de la rencontre, le président du Groupe Al-Taoufik et président de l’Association islamique pour la charité et la solidarité sociale (AICSS) a salué la séance qui s’est limitée à la seule question de la vaccination à satisfaire…
La
séance d’échanges entre les responsables du ministère des Affaires étrangères
et les convoyeurs, tenue dans l’après-midi de ce mercredi 12 juin 2019, loin des micros et caméras, est du goût de l’Imam Abdoul Gafar Sanni. Interrogé
à la fin de la rencontre, le président du Groupe Al-Taoufik et président de l’Association
islamique pour la charité et la solidarité sociale (AICSS) a salué la séance
qui s’est limitée à la seule question de la vaccination à satisfaire.
Selon
lui, cette séance a permis de faire le point de la vaccination dans les
différentes localités et a été l’occasion de rappeler aux uns et aux autres que
la vaccination des candidats au pèlerinage fait partie des responsabilités du
gouvernement, mais aussi celle des convoyeurs.
L’Imam
Abdoul Gafar Sanni fait donc savoir que les différentes parties peuvent
désormais étudier le dispositif commun à mettre en place pour divulguer l’information
et permettre au candidat au pèlerinage à la Mecque d’être vacciné à temps pour
satisfaire le cinquième pilier de l’islam.
Cotonou abrite depuis ce 12 juin, un double évènement en un, à savoir l’atelier régional d’appropriation de la programmation 2019-2022 de la francophonie, couplé à la 8è réunion statutaire du Réseau des structures et institutions en charge de la francophonie en Afrique de l’ouest (Resifao). A l’occasion de la cérémonie de lancement des assises, le professeur Adolphe Codjo Kpatchavi a exprimé sa joie de voir le Bénin être le pays hôte de ce double évènement à Cotonou, qui réunit douze des 13 pays de la région de l’Afrique de l’ouest, des secrétaires généraux, responsables des commissions nationales de la francophonie. Il a ensuite fait le bilan de la mandature qu’il préside….
Il se tient depuis ce mercredi 12 juin 2019 à l’hôtel Azalaï de Cotonou, un atelier d’appropriation de la programmation 2019-2022 de la francophonie. Ouvert par le secrétaire général du ministère des affaires étrangères, Hervé Djokpè, cet atelier qui regroupe les directeurs, secrétaires généraux, responsables des commissions nationales de la francophonie des pays de la région de l’Afrique de l’ouest revêt plusieurs enjeux.
Manassé AGBOSSAGA
Cotonou
abrite depuis ce 12 juin, un double
évènement en un, à savoir l’atelier
régional d’appropriation de la programmation 2019-2022 de la francophonie,
couplé à la 8è réunion statutaire du Réseau des structures et institutions en
charge de la francophonie en Afrique de l’ouest (Resifao). A l’occasion de la cérémonie
de lancement des assises, le professeur Adolphe Codjo Kpatchavi a exprimé sa
joie de voir le Bénin être le pays hôte de ce double évènement à Cotonou, qui
réunit douze des 13 pays de la région de l’Afrique de l’ouest, des secrétaires généraux, responsables des commissions
nationales de la francophonie. Il a
ensuite fait le bilan de la mandature qu’il préside.
Adolphe Codjo Kpatchavi a notamment mis en lumière, la visite des présidents des autres zones à son organisation pour des échanges et partages d’expérience sur les bonnes pratiques, le renforcement de la plateforme d’échange d’information VIvifao, la réalisation du concours de promotion de la langue française à Niamey et à Ougadougou (Prolaf), le toilettage des textes.
Un
bilan salué par le représentant du ministre des Affaires étrangères. En effet,
le secrétaire général du ministère des affaires étrangères, Hervé Djokpè a confié
que le Resifao est l’un des plus anciens et le plus dynamique des sept réseaux.
Il a d’ailleurs félicité l’actuelle mandature pour avoir tenu parole en organisant
cette activité à Cotonou.
Hervé
Djokpè a précisé que cet atelier qui se
tient, grâce à l’appui technique et financier du bureau régional de l’Afrique
de l’ouest de l’organisation internationale de la Francophonie sera, entre autres, l’occasion d’actualiser les textes
fondamentaux du réseau, de procéder au renouvellement du bureau et de faire le
point de la mise en œuvre de la feuille de route de l’exercice 2017 2019.
Le directeur représentant régional pour l’Afrique de l’ouest de l’organisation internationale de la francophonie a ajouté que cet atelier qui constitue une activité de suivi du XVIIè sommet de la francophonie sera aussi l’occasion d’échanger sur les activités des pays en 2018, de s’approprier les documents issus du sommet d’Erevan et de partager les priorités portées par la secrétaire générale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo.
Dr Eric Adja a donc fait savoir qu’il reviendra aux différentes commissions nationales de mettre en perspective et en cohérence les initiatives et la feuille de route de la patronne de l’OIF avec les priorités nationales. Ceci pendant deux jours de travaux.
Le directeur représentant régional pour
l’Afrique de l’ouest de l’organisation internationale de la francophonie n’a
pas manqué de rappeler que l’agence de coopération culturelle et technique
(ACCT), devenue agence intergouvernementale
de la francophonie et aujourd’hui Organisation internationale de la francophonie
célébrera son cinquantenaire en mars 2020.
Un évènement
placé sous le sceau d’un nouveau départ francophone, a-t-il confié
5ème puissance du Sud, le Venezuela est un merveilleux « corps » à contempler. Ses villes pleines d’histoire et de culture, et son paysage très varié font du pays un paradis sur terre à découvrir à tout prix…
5ème puissance du Sud, le Venezuela est un merveilleux « corps » à contempler. Ses villes pleines d’histoire et de culture, et son paysage très varié font du pays un paradis sur terre à découvrir à tout prix.
Manassé AGBOSSAGA
Le Venezuela rime avec beauté indescriptible.
C’est une terre remplie d’histoire et de culture. Le Venezuela, c’est aussi et avant tout, un pays
qui contient des paysages multiples et variés.
Ses nombreux atouts font alors
de ce pays, un endroit très visité.
Découvrez à travers ces images, plusieurs sites qui font du pays de Nicolas Maduro un paradis sur terre. Ceci, malgré l’impérialisme américain.
Le Gran Sabana: Le site se trouve au sud-est du pays. Sa particularité, un lieu plein de mystère.
Salto Angel: Unique dans le monde, c’est
la chute d’eau la plus haute sur la planète terre.
– Playa Medina: Il s’agit de l’une des
plus belles plages du pays. Elle est située au nord-est du Venezuela. Une fois sur les lieux,
vous constaterez de vous-mêmes qu’il y a plage dans la plage, comme on dit de l’autre
côté de la Côte d’Ivoire.
– Los Roques : Magnifiquearchipel qui se situe dans la mer des caraïbes.
– Le delta de L’Orenoque: Ce site à la particularité d’être à la fois sauvage
et beau.
– Tepuy Roraima : C’est le plus haut des
Tepuys au Venezuela.
– Parc national Morrocoy: Il se trouve dans la mer des Caraïbes.
– Medanos de Coro : Ces dunes offre un paysage extraordinaire.
– Le safari de los Llanos: Il s’agit incontestablement de l’une des plus grandes réserves naturelles de la planète.
– Ile Marguerite: Très appréciée des touristes, c’est une très belle île avec des plages magnifiques.
– Parc national el Guacharo : Non loin de la ville de Garipe, le parc national donne l’occasion de visiter la grotte qui fait plus de 1200 mètres de profondeur.
– Vierge de la paix: Fidèle chrétien catholique, cet endroit est le vôtre. Il se trouve au sommet d’une colline.
– La Ciénaga : On la trouve dans le parc national de Henry Pittier.
– Caracas: Capitale du Venezuela,
la ville offre plain de de bâtiments intéressants à visiter.
– La Transandine: Des villages authentiques. Les personnes qui découvrent pour la première fois la localité se plaisent à faire des balades.
– Chichiriviche : C’est un petit village de pécheur au bord de la mer des Caraïbes.
– La péninsule de Paria: Quand il découvrait le site,Christophe Colomb pensait être en face d’une île. Pourtant, … une péninsule à voir.
– Ile la tortuga: Un endroit sauvage avec des plages de sable blanc.
.– La Colonia Tovar: Fondé par les allemands vers 1800, Colonia Tovar est un village situé dans les montagnes de l’état d’Aragua.
– La grande savane des Tepuys : Ce
sont des formations rocheuses plates et très anciennes. Magnifique !!!
Le blocus économique américain imposé affecte le Cuba, mais n’émoussera pas l’ardeur du peuple cubain à défendre avec dignité leur pays et à le mettre sur la voie du progrès. C’est du moins l’avis de la patronne de la diplomatie cubaine au Bénin…
Le gouvernement américain impose
depuis plus de 60 ans son diktat au peuple cubain. Ce diktat s’accroit avec la
prise de sanctions économiques récentes. Face à la presse, ce vendredi 07 juin
2019, l’Ambassadeur Yenielys Vilma Regueiferos Linares a rassuré que le Cuba
progresse et n’étouffera pas, malgré le blocus économique américain.
Manassé AGBOSSAGA
Le
blocus économique américain imposé affecte le Cuba, mais n’émoussera pas
l’ardeur du peuple cubain à défendre avec dignité leur pays et à le mettre sur
la voie du progrès. C’est du moins l’avis de la patronne de la diplomatie
cubaine au Bénin.
A l’occasion d’une sortie médiatique effectuée dans l’après-midi du vendredi 7 juin, l’Ambassadeur Yenielys Vilma Regueiferos Linares a souligné que le Cuba ne se laissera pas intimidé par ces sanctions arbitraires. Elle a, dans un ton ferme et catégorique, ajouté que le gouvernement américain n’étouffera jamais et n’arrêtera pas le Cuba dans sa marche vers le progrès.
Par
exemple, l’Ambassadeur Yenielys Vilma Regueiferos a fait savoir que le Cuba
progresse dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à
l’horizon 2020. Elle a ajouté que le taux de mortalité infantile était de 4
pour 1000 naissances vivantes, avec une espérance de vie à la naissance de 78
ans, à la fin de l’année 2018.
En
outre, l’Ambassadeur Yenielys Vilma Regueiferos a soutenu que le Cuba a été le
premier pays à valider l’élimination de la transmission du Vih/Sida et de la
syphilis congénitale de la mère à l’enfant. « Un programme universel de
vaccination gratuite contre 13 maladies était appliqué sur l’île. Il n’y avait
pas d’analphabètes et l’Etat consacrait plus des deux tiers de son budget à l’amélioration
des niveaux d’éducation, de santé, de sécurité sociale, de culture, de sport et
de recherche scientifique », a-t-elle ajouté.
Et pourtant
La
patronne de la diplomatie cubaine au Bénin a mis en avant la dignité, la force
morale du peuple cubain pour obtenir ces prouesses malgré le blocus américain.
Elle n’a d’ailleurs pas manqué d’évoquer quelques conséquences du blocus
économique.
Selon
l’Ambassadeur Yenielys Vilma Regueiferos, le blocus a causé des pertes à l’économie
cubaine qui s’élève à plus de 134 milliards de dollars à prix courants. Elle a
souligné que le gouvernement américain a renforcé les sanctions avec des
mesures qui touchent non seulement le peuple cubain, mais le peuple américain
et les pays tiers, respectivement le 17
avril et le 4 juin.
En
outre, l’ l’Ambassadeur Yenielys Vilma Regueiferos a fait savoir que l’administration
Trump a décidé de réactiver le titre III de la loi Helms Burton, qui défend la
revendication de biens américains confisqués à Cuba au triomphe de la
Révolution.
Dans
sa déclaration, elle a martelé que les sanctions américaines s’appuient sur de
faux prétexte, notamment celui selon lequel, le Cuba intervient militairement
au Venezuela.
Si
elle a réfuté cette allégation, l’Ambassadeur Yenielys Vilma Regueiferos, a
toutefois rassuré que « la solidarité de Cuba avec le président
constitutionnel Nicolas Maduro Moros et la Révolution bolivarienne est invariable ».
Dans
la même lancée, elle a martelé que le Cuba continuera d’offrir son soutien
solidaire aux autres peuples du monde dans les domaines des soins médicaux et
de la formation des ressources humaines. Ceci, sur le principe « qui
consiste à ne pas donner ce qui nous reste, mais à partager le peu que nous
avons », a précisé l’Ambassadeur.
Depuis 2018, policiers et gendarmes béninois sont réunis dans un seul corps appelé, Police républicaine. Cette fusion s’appuie notamment sur la loi 2017-41, portant création de la Police républicaine en Républicaine du Bénin (RB). A l’occasion d’une conférence publique, le samedi 01 juin dernier à l’Université d’Abomey-Calavi, le Général Célestin Guidimè a dévoilé le dernier pas à franchir pour une parfaite collaboration entre les deux ex-corps.
Manassé AGBOSSAGA
L’ancien directeur adjoint de la police nationale possède la recette pour une parfaite collaboration entre ex-policiers et ex-gendarmes, tous réunis désormais au sein de la Police républicaine. Et ce samedi 1er juin dernier, le Général Célestin Guidimè a, à l’occasion d’une conférence publique sur le thème: «Sécurité et participation citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens», initiative du Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP), dévoilé ladite recette.
Dans un langage de vérité, il a d’abord salué la naissance de la Police républicaine. L’expert Consultant en matière de sécurité et de sureté a souligné que la fusion de la Gendarmerie et de la Police permet de regrouper les forces.
Toutefois, le Général Célestin Guidimè a indiqué que cette fusion doit encore franchir un dernier cap pour une parfaite collaboration entre les deux ex-corps. Selon lui, la fusion organique est faite, les méthodes et les procédures ont été harmonisées, mais reste désormais aux agents et aux responsables de se l’approprier mentalement.
« Il n’y aura pas de fusion, si cette fusion n’est pas venue des mentalités », souligne le Général Guidimè.
Ex-policiers et ex-gendarmes, vous êtes donc interpellés…
Depuis 2018, policiers et
gendarmes béninois sont réunis dans un seul corps appelé, Police républicaine. Cette
fusion s’appuie notamment sur la loi 2017-41, portant création de la Police
républicaine en Républicaine du Bénin (RB). A l’occasion d’une conférence
publique, le samedi 01 juin dernier à l’Université d’Abomey-Calavi, le Général
Célestin Guidimè a dévoilé le dernier pas à franchir pour une parfaite
collaboration entre les deux ex-corps.
Manassé AGBOSSAGA
L’ancien
directeur adjoint de la police nationale possède la recette pour une parfaite collaboration
entre ex-policiers et ex-gendarmes, tous réunis désormais au sein de la Police
républicaine. Et ce samedi 1er juin dernier, le Général Célestin Guidimè a, à l’occasion
d’une conférence publique sur le thème: «Sécurité et participation
citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens», initiative
du Groupe de réflexions alternatives et
perspectives (GRAP), dévoilé ladite recette.
Dans un langage de vérité, il a d’abord
salué la naissance de la Police républicaine. L’expert
Consultant en matière de sécurité et de sureté a souligné que la
fusion de la Gendarmerie et de la Police permet de regrouper les forces.
Toutefois, le Général Célestin Guidimè
a indiqué que cette fusion doit encore franchir un dernier cap pour une
parfaite collaboration entre les deux ex-corps. Selon lui, la fusion organique
est faite, les méthodes et les procédures ont été harmonisées, mais reste
désormais aux agents et aux responsables de se l’approprier mentalement.
« Il n’y aura pas de fusion, si cette fusion n’est pas venue des mentalités », souligne le Général Guidimè.
Ex-policiers et ex-gendarmes, vous êtes donc interpellés.
Le Centre d’accueil d’éducation et d’intégration du Bénin expose son savoir-faire à l’extérieur. Du moins, les comédiens dudit centre. En effet, les humoristes du Centre d’accueil d’éducation et d’intégration des sourds sont depuis le 22 mai en tournée européenne…
Le
Centre d’accueil d’éducation et d’intégration du Bénin expose son savoir-faire
à l’extérieur. Du moins, les comédiens dudit centre. En effet, les humoristes
du Centre d’accueil d’éducation et d’intégration
des sourds sont depuis le 22 mai en tournée européenne.
Ces
derniers ont presté ou sont appelés à prester sur plusieurs scènes en France et
en Belgique. La délégation composée de 6 comédiens (Carlos Stéphane Dindin, ,
Rissikatou Olakere, Nadège Gninkin, Jorita Agboyidou, Humabelle Da Matha,
Marius Ahanhanzo) et deux encadreurs (Raymond Sèkpon, Hippolyte Ahouigbamey) s’est déjà illustrée à Toulouse au Festival
international de théâtre Eclair de scène. Les Ambassadeurs béninois ont d’ailleurs
reçu un trophée à cette étape.
Outre au Festival international de théâtre Eclair de scène, les comédiens ont également démontré tout leur talent et créativité à Bruxelles, en Belgique. Sans trembler, les Ambassadeurs béninois ont offert deux présentations de théâtre et de danse. La première à l’Institut Royal des sourds et aveugles, la seconde au siège l’Asunoes-Belgique.
Ensuite, le périple s’est poursuivi de l’autre côté d’Auxerre en France, avec une exposition d’objet d’art.
Toujours
au pays de Emmanuel Macron, mais cette fois-ci à Besançon, les comédiens du Centre
d’accueil d’éducation et d’intégration auront à présenter un spectacle de
théâtre et de danse.
Cette tournée européenne, qui prend fin le 7 mai procahin n’aurait pas été possible sans la contribution de la Fondation Claudine Talon, Aunoes-France, Asunoes-Belgique, Félixcienne Bankolé, lucie Scalabrino et d’autres généreux donateurs.
A l’initiative du Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP), le Général Célestin Guidimè a entretenu jeunes, hommes et femmes de diverses couches sur une question d’actualité. Pour cause, l’ancien directeur adjoint de la Police nationale a, face à des interlocuteurs qui ont bravé la pluie ce 1 er juin, développé le thème « Sécurité et participation citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens ».
En collaboration avec la Chaire Unesco, le Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP) a organisé le samedi 1er juin dernier à l’Université d’Abomey-Calavi, une conférence publique sur le thème «Sécurité et participation citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens ». Le Grap présidé par le Doyen Roch David Gnahoui entend ainsi mettre l’accent sur la participation citoyenne collective à l’œuvre de protection des personnes et des biens.
Manassé AGBOSSAGA
A
l’initiative du Groupe
de réflexions alternatives et perspectives
(GRAP), le Général Célestin Guidimè a entretenu jeunes, hommes et femmes de diverses
couches sur une question d’actualité. Pour cause, l’ancien directeur adjoint de
la Police nationale a, face à des interlocuteurs qui ont bravé la pluie ce 1 er juin,
développé le thème « Sécurité et participation
citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens ».
De
la définition des concepts, à la politique sécuritaire en passant par les dispositions
légales, le Général Célestin Guidimè a martelé que la sécurité reste une
question préoccupante pour les Etats modernes. Si l’Etat se doit d’assurer la
sécurité des personnes et des biens, le conférencier a toutefois insisté sur la
participation individuelle et collective.
Et
là-dessus, l’expert Consultant en matière de sécurité et de sureté a fait
savoir qu’il existe un cadre légal qui permet aux citoyens de participer à
l’œuvre collective de sécurité. Il a mis en avant les Comités locaux de sécurité,
qui constituent un cadre formel de coproduction de sécurité.
Aussi
a-t-il cité, les populations, les élus locaux, les médias, les chasseurs, les
leaders religieux, les brigades civiles de sécurité, qui constituent des
acteurs civils. D’ailleurs pour le conférencier, l’Etat ne peut pas se passer de ces différents acteurs.
« La
sécurité de nos populations et de leurs biens ne peut pas se faire sans la participation des populations… C’est
une donnée fondamentale de toute stratégie de sécurité. Notre système de
sécurité ne peut pas se passer de cette
grande armée civile de 10 millions d’habitants.
C’est essentiel », a-t-il soutenu.
Le
Général Guidimè recommande alors à l’Etat de mettre en place un système de
sécurité qui s’appuie sur la participation active des populations.
« Il
faut que notre stratégie de sécurité s’appuie sur la coproduction de la
sécurité de services régaliens, ensemble
dans des modalités bien étudiées où les services régaliens s’appuient sur les
populations et vice-versa…Certes, l’Etat
est conservateur, l’Etat ne veut pas se départir de ses attributions en
matière de sécurité, mais il faut qu’on évolue, sinon ça ne peut pas
marcher », souligne t-il.
En
attendant, le président du Grap confie que le choix de cette thématique n’est
pas anodin. Roch David Gnahoui a mis en avant les enlèvements de touristes
français à Cotonou et autres. Pour lui, la sécurité est donc une préoccupation
majeure qui touche notre modèle démocratique.
Tout
comme le conférencier, le doyen de la Fadesp a insisté sur la participation
collective à l’œuvre de sécurité des personnes et des biens.
«La sécurité, c’est une question de droit de participation collective. Il ne faut pas que les gens restent en retrait de cette sécurité… chacun doit pouvoir participer à la sécurité du pays. C’est vrai, que c’est la mission principale de l’Etat, mais il ne faut pas attendre l’Etat pour que la sécurité soit un élément », a-t-il soutenu.
Un
message visiblement compris par les personnes présentes à la conférence
publique, au vue des questions et
réponses.
Les sanctions américaines contre le peuple Vénézuélien ne perturbent pas le président Nicolas Maduro. Loin de céder à la panique, il se concentre sur les chantiers de développement entamés par ses prédécesseurs notamment Chavez. Le social reste une grande priorité pour le président bolivarien. Il consacre assez de ressources pour la construction de logements sociaux…
L’impérialisme
américain attaque le Venezuela avec les mensonges et les sanctions. Mais,
Nicolas Maduro reste accroché au socialisme bolivarien et réagit avec inclusion.
Pour le grand bonheur de son peuple, il développe à merveille les différents
programmes de construction de logement, faisant du Venezuela, le leader mondial
en la matière.
Manassé
AGBOSSAGA
Les sanctions américaines contre le peuple
Vénézuélien ne perturbent pas le président Nicolas Maduro. Loin de céder à la
panique, il se concentre sur les chantiers de développement entamés par ses prédécesseurs
notamment Chavez. Le social reste une grande priorité pour le président
bolivarien. Il consacre assez de ressources pour la construction de logements
sociaux.
Preuve, le gouvernement Bolivarien a, malgré le
blocus américain, construit et livré
2.599 678 logements et a récupéré 1 144090.
Ces prouesses sont les conséquences du suivi
régulier de la Gran Mision Vivienda venezuela (GMVV) dirigée par le
ministre idemaro villaroe, mais aussi d’un
autre projet social la grande Mission Barrio Nuevo Barrio Tricolor.
Mieux, le président bolivarien reconnu et aimé
par son peuple n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. En effet, le gouvernement
de Nicols Maduro compte étendre également la GMVV au pont de La Tiendita, à la
frontière avec la Colombie, dans l’Etat de Tachira. Une zone dans laquelle le 23 février, l’impérialisme américain et ses soutiens ont
tenté d’envahir le Venezuela sous le prétexte de l’envoi d’aide humanitaire ».
Mais n’empêche, Nicolas Maduro entend respecter
l’article 82 de la Magna Carta
bolivarienne qui stipule « toute personne a droit à un logement adéquat,
sûr, confortable, et hygiénique avec des services de base essentiels qui
comprennent un habitat qui humanise les relations familiales, de voisinage et
communautaires ».
Pour donc y parvenir, le gouvernement américain
a donc apporté des améliorations aux différents projets. Par exemple, le système industriel a été
réorganisé. La production et la
distribution du ciment et de l’acier ont dû être contrôlées pour atteindre leur
véritable destination. De l’avis de beaucoup d’observateurs, ce choix s’avère
payant, puisque les vénézuéliens vivent
beaucoup mieux aujourd’hui que dans la IV république, car ils participent à la
fois à la planification et à la construction du lieu où ils vivent.
Le deuxième forum international intitulé « Venezuela
leader mondial du droit au logement » organisé dans le cadre huitième
anniversaire de la Gran Mision Vivienda venezuela (GMVV) les 29 avril au 02 mai
à l’hôtel Alba à Caracas, a d’ailleurs été l’occasion pour le gouvernement
bolivarien de sensibiliser le monde
capitaliste à la GMVV où les droits fondamentaux sont subordonnés aux
profits des entreprises.
Ces derniers ont sans doute eu l’occasion de
comprendre que le socialisme bolivarien, c’est avant tout la participation, l’inclusion,
la justice, la paix, …
Le Dg du Groupe CMA CGM approuve l’organisation des journées portes ouvertes du Port de Cotonou. Interrogé en marge de la cérémonie de lancement, Tuwendaabo Hervé Zongo, dont la société intervient dans le transport maritime et dans tout ce qui est offre de solution logistique, s’est réjouit de la tenue de cet évènement historique, les 24 et 25 mai derniers…
Le
Directeur général (Dg) de la Société CMA CGM approuve la Journée porte ouverte
du Port de Cotonou. Présent à la cérémonie de lancement de ladite journée, ce
vendredi 24 mai 2019, Tuwendaabo Hervé Zongo a salué l’initiative, louant au
passage les mérites de la nouvelle administration portuaire avec à sa tête,
Jorys Thys.
Manassé AGBOSSAGA
Le
Dg du Groupe CMA CGM approuve l’organisation des journées portes ouvertes du Port
de Cotonou. Interrogé en marge de la cérémonie de lancement, Tuwendaabo Hervé
Zongo, dont la société intervient dans le transport maritime et dans tout ce
qui est offre de solution logistique, s’est réjouit de la tenue de cet
évènement historique, les 24 et 25 mai derniers.
Pour
le Dg de la société CMA CGM, cet évènement permet de mettre en lumière le monde
maritime. Tuwendaabo Hervé Zongo soutient
que les journées portes ouvertes permettent de mettre en relation les
acteurs et de reprendre contact avec la population pour signifier à cette
dernière que le « transport logistique est au cœur de tous les métiers ».
Il ajoute que ce type d’évènement permet d’amener les profanes à s’approprier
le langage maritime.
Faisant
d’une pierre deux coups, le Dg CMA CGM s’est prononcé sur la gestion de la
nouvelle administration portuaire. Il a adressé un satisfécit à la nouvelle
équipe dirigeante. Selon Tuwendaabo Hervé Zongo, il y a un changement positif
depuis 1 an.
« Depuis
un an, nous remarquons qu’il y a des
efforts. Il y a plus d’efforts. Il y a
une bonne collaboration. Il y a une dynamique », a-t-il soutenu.
Les Etats-Unis, le Canada, l’Angleterre, la Confédération helvétique, et l’Union européenne sont interpelés pour sauver le Venezuela et son peuple en souffrance. Face à la presse nationale, le vendredi 24 mai dernier, l’Ambassadrice de la République Bolivarienne au Bénin a adressé huit (08) demandes à ces Nations, au sujet des nombreuses sanctions du gouvernement américain…
La République Bolivarienne fait face depuis 2014 à plusieurs sanctions, notamment celles des Etats-Unis. A l’occasion d’une conférence de presse, le vendredi 24 mai 2019 à l’Infosec, l’Ambassadrice, Belen Teresa Orsini Pic a démontré les conséquences néfastes de ces sanctions sur les populations, adressant au passage, huit (08) demandes aux Etats-Unis, au Canada, à l’Angleterre, à la Confédération helvétique, ainsi qu’à l’Union européenne.
Manassé AGBOSSAGA
Les
Etats-Unis, le Canada, l’Angleterre, la
Confédération helvétique, et l’Union européenne sont interpelés pour sauver le
Venezuela et son peuple en souffrance. Face à la presse nationale, le vendredi
24 mai dernier, l’Ambassadrice de la République Bolivarienne au Bénin a adressé
huit (08) demandes à ces Nations, au sujet des nombreuses sanctions du
gouvernement américain.
Après
avoir mis en évidence, les nombreux retards dans les programmes de santé, de
développement, les fonds vénézuéliens bloqués, conséquence du « blocus
américain », contre le peuple de Nicolas Maduro, Belen Teresa Orsini Pic a, en premier lieu,
appelé à « débloquer le Venezuela immédiatement ».
Elle
a ensuite appelé au respect « des droits fondamentaux du peuple
vénézuélien à l’autodétermination et au développement économique et
social », mais également au respect « des principes et règles
fondamentaux du droit international, en particulier la Charte des Nations
unies ».
Dans
sa déclaration, l’Ambassadrice de la République Bolivarienne au Bénin a fait
savoir que « les mesures coercitives unilatérales imposées au peuple
vénézuélien constituent une violation massive de leurs droits fondamentaux et
l’application intentionnelle de souffrances qui menacent leur vie, leur santé
et leur intégrité ».
Dans
ce sens, Belen Teresa Orsini Pic à
« condamner fermement le blocus économique, financier et commercial contre
le Venezuela en tant que crime contre l’humanité, contraire à l’ordre
international et à la Charte des Nations unies ».
Elle
a alors appelé les gouvernements des Etats-Unis, de l’Union européenne, du Canada, d’Angleterre et de la Confédération
helvétique à débloquer le Venezuela et à reconnaître le droit de l’Etat
d’utiliser ses ressources économiques pour garantir les droits fondamentaux de
la population vénézuélienne ».
Belen
Teresa Orsini Pic va plus loin et interpelle le Conseil des droits de l’homme et
le Commissariat aux droits de l’homme de l’Onu. La patronne de la diplomatie
vénézuélienne au Bénin a d’ailleurs demandé à
ces différentes instances d’« ouvrir une enquête afin de déterminer
les responsabilités en matière de violation des droits humains des sociétés
financières privées qui appliquent de manière arbitraire et illégale la conservation
et l’appropriation des ressources publiques vénézuéliennes ».
Vivement
que ces nombreux appels soient pris en compte pour le bonheur du brave
peuple vénézuélien!