Nordic-Bénin Business: Encore une prouesse de l’Apiex qui renforce la diplomatie économique

L’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) est en mode diplomatie économique offensive. Après le forum ‘‘DOING BUSINESS WITH FINLANDE’’, le jeudi 28 février dernier, le « Forum économique Bénin- Belgique », le mercredi 27 mars dernier, Laurent Gangbex a, cette fois-ci, vendu la destination Bénin à la Norvège et aux pays de l’Europe du Nord. C’est à travers la 1ère édition du Bénin-Nordic Business Forum, qui se tient du 03 au 05 avril à Cotonou…

L’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) est en mode diplomatie économique offensive. Après le  forum    ‘‘DOING BUSINESS WITH FINLANDE’’, le jeudi 28 février dernier, le « Forum économique Bénin- Belgique », le mercredi 27 mars dernier, Laurent Gangbes a, cette fois-ci, vendu la destination Bénin à la Norvège et aux pays de l’Europe du Nord. C’est à travers la 1ère édition du Bénin-Nordic Business Forum, qui se tient du 03 au 05 avril à Cotonou.

Manassé AGBOSSAGA

L’ Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) est résolument déterminée  à vendre la destination Bénin aux investisseurs étrangers. Après l’organisation de plusieurs rendez-vous d’affaires dont  le forum    ‘‘DOING BUSINESS WITH FINLANDE’’, le jeudi 28 février dernier, le « Forum économique Bénin- Belgique », le mercredi 27 mars, l’Apiex a, à nouveau, mobilisé des partenaires étrangers pour la promotion des investissements engagée par le président Patrice Talon.

S’appuyant sur l’élan donné par le chef de l’Etat lors de sa visite en Norvège en 2018, l’Apiex a, avec la collaboration de l’Association norvégienne de développement des investissements en Afrique (NABA), organisé la 1ère édition du « Bénin-Nordic Business Forum », du 03 au 05 avril. Ce forum réunit une vingtaine d’entreprises nordiques et plus d’une centaine d’entreprises béninoises qui exercent dans les domaines de l’énergie, de la pêche, de l’agrobusiness, de l’eau et du tourisme.

Vue partielle des participants

La cérémonie officielle de lancement dudit forum s’est tenue ce jeudi 04 avril 2019 à l’hôtel Golden Tulip de Cotonou. A l’occasion, le directeur général de l’Apiex a rassuré ses hôtes qu’ils ne se sont pas trompés en venant au Bénin.  Il a mis en avant la stabilité, la vision et la stratégie pro-business pour attirer l’investissement privé productif, l’assouplissement du code de travail, l’encadrement du droit de grève, la mise en place de tribunaux de commerce, la lutte contre la corruption, le nouveau code des investissements, …

Le Dg Apiex dit alors espérer que les échanges permettront réellement de concrétiser des partenariats mutuellement profitables aux entreprises du Bénin et des pays du Nord.

Et comme pour rassurer  Laurent Ganbges, le directeur de Naba a indiqué que ce premier voyage sur le sol béninois ne sera pas le dernier. Elvind Fjeldstad a ajouté qu’un nouveau chapitre des relations entre les pays nordiques et  le Bénin s’ouvre. Un avis partagé par l’Ambassadeur du Royaume de Norvège, près le Bénin, Jens-Petter Kjemprud, qui n’a pas manqué de saleur les différentes reformes initiées par le président Patrice Talon.

Procédant au lancement du forum, Aurélien Agbénonci a laissé entendre qu’il s’agit d’une belle aventure entre la Norvège et le Bénin. Le ministre des affaires étrangères a indiqué que grâce aux différentes reformes, le Bénin devient de plus en plus attractif.  Il n’a pas manqué d’adresser ses félicitations à l’Apiex, qui selon lui, donne corps à la diplomatie économique.

Talon ne s’est donc pas trompé en portant son choix sur Laurent Gangbes.

Bénin: Les acteurs échangent sur le développement du secteur des drones

L’hôtel Golden Tulip a servi de cadre, ce mardi 02 avril 2019, à l’organisation d’un atelier d’échanges sur le secteur des drones au Bénin. Initiative de Bénin Flying labs (BFL), avec l’appui de l’Agence pour le développement du numérique, Global partners et WeRobotics, cette activité vise à rassembler les acteurs de drones, mais aussi et surtout à échanger sur différents sujets relatifs au développement dudit secteur.

L’hôtel Golden Tulip a servi de cadre,  ce mardi 02 avril 2019,  à l’organisation d’un atelier d’échanges sur le secteur des drones au Bénin. Initiative de Bénin Flying labs (BFL),  avec l’appui de l’Agence pour le développement du numérique, Global partners et WeRobotics, cette activité vise à rassembler les acteurs de drones, mais aussi et surtout à échanger sur différents sujets relatifs au développement dudit secteur.

Manassé AGBOSSAGA

Ils sont nombreux à répondre à l’appel de Bénin Flying (BFL). Pour cause,  hommes et femmes intervenant dans le secteur des drones au Bénin ont honoré de leur présence à l’atelier d’échanges sur le secteur des drones, initiative de Bénin flying labs (BFL), avec la collaboration de l’Agence pour le développemnt du numérique, Global partners et WeRobotics.

Vue partielle des participants

A l’occasion, les uns et les autres ont échangé sur différents sujets relatifs au développement du secteur des drones, qui attire de plus en plus l’intérêt. Le recensement des acteurs du secteur du drone, la conduite du diagnostic du secteur des drones au Bénin et la hiérarchisation des éléments de diagnostic, la cadre réglementaire en vigueur sur les drones au Bénin, la  perception des  acteurs sur le cadre réglementaire en vigueur et les propositions de solutions pour l’amélioration du cadre réglementaire des drones étaient au menu des discussions.

Il faut ajouter que  cette tribune qui a permis le développement de ces différents thèmes s’inscrit dans la continuité de l’activité de recensement des acteurs, et est une phase préparatoire pour une autre activité ayant pour objectif d’analyser l’impact de la réglementation sur l’utilisation des drones au Bénin.

Extrait des propos de Kossi Amessinou

Kossi Amessinou

« … L’Agence pour le développement du numérique (ADN) est une structure centrale de l’administration publique qui coordonne toutes les initiatives qui ont trait au développement du numérique dans le pays. Nous sommes heureux d’avoir l’ADN,  comme partenaire dans cette initiative parce qu’elle porte l’image publique de ce que nous sommes une structure de référence. Elle ouvre avec nous le panel de l’usage des drones à l’ensemble de l’écosystème pour qu’on puisse repérer les autres structures qui sont dans l’ombre qui font peut être la même chose que nous,  qui ont besoin de renforcement de capacités. Nous pouvons les accompagner…

Nous voulons inviter l’ensemble des élus locaux,  en particulier,  qui ont besoin d’avoir la cartographie de leurs espaces  de développement de nous faire confiance,  de nous inviter, nous pouvons tracer avec eux la cartographie globale de leurs espaces de résidence, la cartographie des habitations, qui leur permettra d’avoir la cartographie des rues.  

Ils peuvent avoir toutes ces informations avec une collecte d’information faite avec les drones. Nous avons des  applications qui peuvent aider à construire ces cartographies numériques à coût très abordable…

Pour les acteurs de l’agriculture, ce sont eux d’abord, le développement du Bénin est basé sur l’agriculture. Nous ne pouvons pas aujourd’hui faire  l’agriculture au hasard. Le drone est un outil pour l’agriculture de précision. Avec les acteurs de l’ananas,  par exemple, nous avons mis en place des algorithmes qui nous permettent de dire avec précision le champ (X)  d’ananas aura à produire tel rendement  à telle fréquence ou à telle période de l’année… Nous pouvons dire à un producteur avec précision,  le type de menace qu’il y a sur son champ d’ananas,  pour qu’il prenne les dispositions adéquates. Nous pouvons l’aider avec nos drones à faire de la semi d’engrais… Nos activités sont mises à disposition de façon rationnelle. Cela n’intègre pas des surcouts…donc que les acteurs ne pensent pas que le drone créera de coût supplémentaire dans le processus de production agricole. Il permet plutôt de faire de la rentabilité parce qu’on leur offre le service à un coût moindre que ce que la force physique devrait exigée ».

Emploi: Amègbédji décrypte les réalités et paradoxes, le GRAP concentré sur les débats de développement

Le Groupe de réflexions alternatives et perspectives est en mode développement et mieux-être de la jeunesse. Loin des débats politiques et des jeux d’intérêts personnels, le GRAP présidé par le Professeur Roch David Gnahoui a organisé le jeudi dernier une conférence publique sur la question de l’emploi des jeunes.

Loin des débats politiques, le Groupe de réflexion alternatives et perspectives (GRAP) a les regards tournés vers l’’emploi des jeunes. Pour cause, le GRAP a organisé,  ce jeudi 28 mars 2019, une conférence publique  sous le thème « La création de l’emploi au Bénin : réalités et paradoxe » avec pour orateur principal, Urbain Amègbédji, Directeur général de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi (ANPE).

Manassé AGBOSSAGA

Le Groupe de réflexions alternatives et perspectives  est en mode développement et mieux-être de la jeunesse. Loin des débats politiques et des jeux d’intérêts personnels, le GRAP  présidé par le Professeur Roch David Gnahoui a organisé le jeudi dernier une conférence publique sur la question de l’emploi des jeunes.

En effet, sous l’initiative du GRAP, le Directeur général de l’ANPE a entretenu de nombreux jeunes, mais également les professionnels des médias sur la thématique « La création de l’emploi au Bénin : réalités et paradoxe ».

Avant d’aborder le fond de sa communication, le conférencier a salué le choix de ce thème, indiquant au passage que  la question de l’emploi reste d’actualité.

Se prononçant sur le thème, Urbain Amègbédi a évoqué trois grandes réalités au sujet de l’emploi. La première réalité est relative au chômage qui reste très bas avec un taux de chômage de 2,3%,  tandis que le sous emploi est très élevé avec un taux de 72%.

Sur cette première réalité, le DG ANPE conclut que « le Bénin n’a pas un problème de chômage, mais de sous emploi ». Aussi,  a t-il salué le dynamisme des béninois.

La seconde réalité mise en exergue par le conférencier,  c’est la typologie de l’emploi au Bénin. Urbain Amègbédji a indiqué  que sur 100 personnes qui travaillent au Bénin, 81% sont dans l’emploi indépendant, environ 4%  sont dans la fonction publique, et environ 13% dans le privé. Il tire alors la conclusion que l’emploi n’est pas dans le salariat encore moins dan la fonction publique.

Enfin la dernière réalité évoquée par le Directeur général de l’ANPE, c’est les différentes potentialités du Bénin qui ne  sont pas exploitées.

Après avoir développé les réalités de l’emploi au Bénin, le conférencier s’attaque ensuite au paradoxe de l’emploi. Ici, il met en évidence entre autres, le système éducatif béninois, la perception que les béninois ont du diplôme,  le comportement  des jeunes demandeurs d’emploi.

Sur les deux premières réalités, il a fustigé le système éducatif béninois, soulignant au passage que l’usine de fabrication des chômeurs reste l’université. Il a plaidé pour un système éducatif  béninois qui forme et éduque les enfants en les amenant à comprendre que « le diplôme n’est qu’une  présomption de connaissance, une attitude qu’il faut avoir face au développement ».

Sur le dernier point, le Directeur de l’emploi souligne que nos attitudes et comportements alimentaires, vestimentaires et autres accentuent le chômage.

Le GRAP en mode débat de développement

Après ce décryptage, le président du GRAP a expliqué le bien fondé de la rencontre.  Le Doyen de la FADESP, Roch David Gnahoui a indiqué que le creuset qu’il préside entend à travers cette initiative apporter sa contribution à l’emploi des jeunes.

Le président du GRAP, Roch David Gnahoui

Selon lui, le GRAP a besoin de jeunes qui travaillent et qui soient capables de contribuer au développement de la Nation.

Pour Roch David Gnahoui, le choix du thème « La création de l’emploi au Bénin : réalités et paradoxe »vise alors à éclairer et conscientiser les jeunes demandeurs d’emploi.

Mais au-delà des jeunes demandeurs d’emploi, il a indiqué que le GRAP  se veut être une structure ou un creuset qui réfléchit sur les questions de développement, politiques, sociales et, et par ricochet qui accompagne les populations  sur des questions qui touchent au développement, la vie en société. Noble vision, dira t- on.

Urbain Amègbédji, Dg ANPE : « Le taux de chômage est très bas au Bénin. Il est de 2,3% »

Le directeur général de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi (ANPE) donne le vrai visage du chômage au Bénin. Invité à entretenir les hommes des médias, mais également les jeunes autour de la thématique, « la création de l’emploi au Bénin : réalités et paradoxe », par le Groupe de réflexion alternatives et perspectives (GRAP), présidé Roch David Gnahoui, Urbain Amégbédji a fait savoir que le taux de chômage au Bénin n’est pas aussi catastrophique comme on pourrait le croire. Il a indiqué que le Bénin enregistre l’un des taux de chômage les plus bas dans le monde entier…

Le chômage n’est pas aussi criard au 229. Du moins, selon les chiffres donnés par le directeur général de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi (ANPE), Urbain Amégbédji. Orateur principal de la conférence publique organisée par le Groupe de réflexion alternatives et perspectives (GRAP) sous le thème « La création de l’emploi au Bénin : réalités et paradoxe », ce jeudi 28 mars 2019 à Cotonou, il a indiqué que le Bénin enregistre un taux de chômage de 2,3%.

Manassé AGBOSSAGA

Le directeur général de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi (ANPE) donne le vrai visage du chômage au Bénin. Invité à entretenir les hommes des médias, mais également les jeunes autour de la thématique, « la création de l’emploi au Bénin : réalités et paradoxe », par le Groupe de réflexion alternatives et perspectives (GRAP), présidé Roch David Gnahoui, Urbain Amégbédji a fait savoir que le taux de chômage au Bénin n’est pas aussi catastrophique comme on pourrait le croire. Il a indiqué que le Bénin enregistre l’un des taux de chômage les plus bas dans le monde entier.

« Contrairement à ceux que pensent beaucoup de jeunes,  le taux de chômage est très bas.  Il est de 2,3%. », précise t-il.

Urbain Amégbédji fait alors savoir que le Bénin se porte mieux sur ce plan, comparativement aux pays développés à l’instar de la France, des USA,  qui enregistrent des taux de chômage très élevé.

Faisant preuve de bonne foi et d’une honnêteté intellectuelle, le directeur général de l’ANPE  a toutefois indiqué que la situation est moins reluisante au niveau du sous-emploi.

En effet, Urbain Amègbédji a fait savoir que le Bénin enregistre un taux 72% de sous emploi. Il explique que les pays développés se portent à ce niveau mieux que le Bénin.

Loin de cette comparaison, le directeur général de l’ANPE a tenté d’expliquer la différence qui existe entre le chômage et le sous-emploi.  « Le sous-emploi,  c’est le licencié qui fait Zémidjan pour paraphraser. Le master qui vend l’essence, … », explique t-il dans un français raccourci.

Par contre, il a fait savoir que le Bureau international du travail ne considère pas une personne qui exerce une activité et qui a des revenus comme un chômeur.

La différence apportée entre les deux notions, Urbain Amégbédji insiste sur le mal dont souffre alors le Bénin. « La conclusion, le Bénin n’a pas un problème de chômage, mais de sous emploi », souligne t-il.

Aux mauvaises langues qui pourraient s’empresser de remettre en cause les chiffres avancés, Urbain Amègbédji souligne qu’il ne s’agit pas des données avancées par l’ANPE, mais plutôt  des sources sur « l’état des lieux de l’emploi au Bénin, août 2017, réalisé par l’INSAE avec le groupe de la Banque mondiale ».

Pas de place donc à la polémique !

1ère édition de la revue annuelle et de planification du programme TAAT : Le Bénin à l’honneur

Le Bénin et sa capitale sont à l’honneur. Pour cause, Cotonou abrite depuis ce mardi 05 mars 2019, la première édition de la revue annuelle et de planification du programme Technologies pour la transformation de l’Agriculture en Afrique (TAAT). Du 05 au 07 mars, , des acteurs du monde agricole venus de diverses horizons passeront au scanner les activités menées au cours de l’année 2018 afin de déterminer la marche à suivre pour atteindre les objectifs au cours de cette année…

Le Bénin abrite depuis ce mardi 05 2019 à l’hôtel Bénin marina, la première édition de la revue annuelle et de planification du programme Technologies pour la transformation de l’agriculture en Afrique (TAAT). C’est le ministre de l’Agriculture,  Gaston Dossouhoui qui a lancé les travaux.

Manassé AGBOSSAGA

Le Bénin et sa capitale sont à l’honneur. Pour cause, Cotonou abrite depuis ce mardi 05 mars 2019, la première édition de la revue annuelle et de planification du programme Technologies pour la transformation de l’Agriculture en Afrique (TAAT). Du 05 au 07 mars,  des acteurs du monde agricole venus de diverses horizons passeront au scanner les activités menées au cours de  l’année 2018 afin de déterminer la marche à suivre pour atteindre les  objectifs au cours de cette année.

Procédant à l’ouverture des assises, le ministre de l’Agriculture a souligné que le TAAT est « l’un des programmes phares de la Banque africaine de développement pour la mise en œuvre de sa stratégie « nourrir en Afrique ». Gaston Dossouhoui a indiqué que le TAAT, qui vise à booster la productivité de l’agriculture africaine s’appuie sur le savoir et l’innovation pour déployer à grande échelle les technologies éprouvées à travers l’Afrique.

Le but poursuivi est selon le ministre de l’Agriculture de « mettre un terme aux importations alimentaires massives, d’augmenter les revenus des producteurs agricoles, d’améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle ».

Dans son discours, Gaston Dossouhoui a mis l’accent sur la nécessité pour l’Afrique d’adopter  des technologies performantes pour booster sa productivité et augmenter sa production alimentaire.

La cérémonie de lancement de la réunion de suivi et d’évaluation du programme technologique pour la transformation de l’agriculture en Afrique par d’autres allocutions, avant de faire place au débat proprement dit.

MOT DE BIENVENUE DU MINISTRE DE L’AGRICULTURE A L’OUVERTURE DE LA REUNION DE SUIVI ET D’EVALUATION DU PROGRAMME TECHNOLOGIE POUR LA TRANSFORMATION DE L’AGRICULTURE EN AFRIQUE,

  • Monsieur le Représentant Résident de la BAD –
  • Monsieur le Représentant du Directeur général de l’IITA – Monsieur le Directeur de l’Agriculture et de l’Agro-Industrie de la BAD – Monsieur le Responsable du Bureau de Coordination Technique (Clearinghouse) du Programme TAAT –
  • Mesdames, Messieurs les Responsables des Compacts du Programme TAAT –
  • Mesdames, Messieurs Mesdames, Messieurs,
  • Permettez-moi, tout d’abord, de vous souhaiter la bienvenue au Bénin. Le Bénin est plus qu’honoré d’accueillir la première réunion de revue annuelle et de planification du programme TAAT. Cet atelier permettra de faire le point de ce qui a été fait au courant de l’année 2018 et déterminer la marche à suivre pour atteindre nos objectifs au cours de l’année 2019.
  • Je voudrais saisir cette tribune pour remercier chaleureusement Monsieur le Président de la Banque africaine de développement (BAD) pour son leadership dans le développement de l’agriculture africaine, et particulièrement pour l’établissement du programme TAAT. Je remercie l’ensemble des partenaires qui ont adhéré pleinement à ce projet qui devra contribuer significativement à la transformation de l’agriculture africaine, et vous tous ici présents qui avez pu à si brève échéance modifier vos itinéraires en moins d’une semaine pour permettre la tenue de la réunion à Cotonou.
  • Mesdames, Messieurs,
  • Le Programme TAAT (‘Technologies pour la Transformation de l’Agriculture en Afrique) est l’un des programmes phares de la BAD pour la mise en œuvre de sa stratégie « Nourrir l’Afrique ». Nous avons été heureux d’apprendre que dans le cadre de cette stratégie, la BAD compte investir dans le secteur agricole de ses pays membres régionaux 24 milliards USD au cours des dix prochaines années pour transformer l’agriculture d’un secteur de subsistance en un moteur de développement économique.
  • Le programme TAAT, qui vise à booster la productivité de l’agriculture africaine, mise sur le savoir et l’innovation pour déployer à grande échelle les technologies éprouvées à travers l’Afrique afin de mettre un terme aux importations alimentaires massives, augmenter les revenus des producteurs agricoles, améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et créer des emplois pour nos jeunes en milieu rural. Les actions qui sont développées dans le cadre du programme TAAT devraient permettre de générer près de 120 millions de tonnes de production alimentaire supplémentaire et contribuer à sortir près de 130 millions d’Africains de la pauvreté d’ici à l’an 2025.
  • Mesdames, Messieurs,
  • Si nous sommes tous réunis ici aujourd’hui, c’est parce que nous avons foi en cette initiative et sommes convaincus que la transformation de l’agriculture ne pourra se faire sans l’apport des technologies adaptées. Pour atteindre nos objectifs, il faut qu’en plus de la maitrise des outils et produits techniques pour l’agriculture, nous puissions combiner de façon judicieuse volonté politique, environnement économique et institutionnel favorable, infrastructures adéquates, meilleur accès au marché et préservation de nos ressources naturelles.
  • Mesdames, Messieurs,
  • La transformation de l’agriculture africaine est une nécessité aujourd’hui. En 2015, l’Afrique a importé pour 35 milliards de dollars US des produits alimentaires que l’Afrique elle-même pouvait produire. Si nous ne changeons pas nos façons de faire, en 2030 notre facture d’importations alimentaires va tripler et s’élever à 110 milliards de dollars US. Rappelons que cet argent se paie sans crédit et va créer des emplois et enrichir les producteurs des pays d’où nous importons pendant que nos producteurs restent dans la pauvreté et nos jeunes sont sans emplois. Ce paradigme doit changer.
  • Le programme TAAT attaque ce défi à la base : augmenter la productivité. Les rendements de nos cultures sont de loin inférieurs à ceux des autres régions du monde, souvent même moins de la moitié. A ce rythme, nous ne pouvons pas être compétitifs. L’Afrique a besoin d’adopter des technologies performantes pour booster sa productivité et augmenter sa production alimentaire. C’est ce que le programme TAAT nous amène. Cependant, à lui seul, le programme TAAT ne pourra pas relever le défi. Pour réussir, les technologies performantes du programme TAAT doivent arriver dans les mains des millions de petits producteurs africains. Pour y arriver, les activités du programme TAAT doivent s’intégrer dans les projets nationaux de développement agricole qui eux peuvent atteindre des millions de producteurs. C’est le défi que j’adresse aux experts des Compacts de TAAT. Les produits et services provenant de vos technologies performantes doivent être adoptés par les services nationaux de vulgarisation, les organisations des producteurs, et les opérateurs du secteur privé pour qu’ils soient adoptés à grande échelle par des millions d’agriculteurs.
  • Mesdames, Messieurs
  • Je ne saurai terminer mon propos sans réitérer mes remerciements au Président de la BAD pour son courage et sa détermination à transformer l’agriculture africaine. L’investissement de 120 millions de dollars US consenti par la BAD pour financer le programme TAAT aura certainement un effet déclencheur pour la transformation de l’agriculture africaine. Je remercie aussi la Fondation Bill et Melinda Gates qui dès le départ a investi dans le programme TAAT. J’invite les autres partenaires au développement, la Banque Mondiale, le FIDA, AGRA, l’Union Européenne, les partenaires bilatéraux et les organisations caritatives à appuyer les activités du programme TAAT. Mes remerciements s’adressent également à tous les experts venus participer à cette première revue annuelle du programme TAAT.
  • Mesdames, Messieurs
  • En souhaitant pleins succès à vos travaux, je déclare ouverte la réunion de revue annuelle et de planification du programme TAAT pour l’année 2019.
  • Que Dieu fortifie et bénisse le Programme TAAT.
  • Je vous remercie de votre

‘‘DOING BUSINESS WITH FINLANDE’’: L’Apiex concrétise le rêve de Talon

En collaboration avec l’organisation finlandaise FINNPARTNERSHIHP, l’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) a organisé le jeudi 28 février à l’hôtel Golden Tulip de Cotonou, un forum dénommé ‘‘DOING BUSINESS WITH FINLANDE’’. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la stratégie de promotion des investissements engagées par le gouvernement du président Talon, mais aussi et surtout s’appuie sur l’élan donné par le chef de l’Etat lors de sa visite en Norvège…

En collaboration avec l’organisation finlandaise FINNPARTNERSHIHP,  l’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) a organisé le jeudi 28 février à l’hôtel Golden Tulip de Cotonou, un forum  dénommé   ‘‘DOING BUSINESS WITH FINLANDE’’. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la stratégie de promotion des investissements engagées par le gouvernement du président Talon, mais aussi et surtout s’appuie sur l’élan donné par le chef de l’Etat lors de sa visite en Norvège.

Manassé AGBOSSAGA

L’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) est en phase avec la vision du  président Patrice Talon. Conformément à l’ambition du chef de l’Etat de promouvoir  les investissements, surtout ceux provenant de l’Europe, l’Apiex a organisé un forum Bénin/Finlande dénommé  ‘‘DOING BUSINESS WITH FINLANDE’’. Ceci avec le soutien de  l’organisation finlandaise FINNPARTNERSHIHP.

Une vingtaine d’entreprises finlandaise conduite par la représentante de FINNPARTNERSHIHP,  Kaisa Arkkila et une trentaine d’entreprises béninoise, présentes dans les activités de l’agro business, du  bois, du  tourisme, de la construction et du  numérique étaient représentées.

 « Ce forum s’inscrit dans le cadre de la stratégie de promotion des investissements engagée par le gouvernement du président Patrice Talon. Elle cible en particulier les investissements en provenance de l’Europe du Nord. Elle s’appuie fortement sur l’élan donné par le président de la République lors de sa visite en Norvège en novembre 2018 et le fameux « discours d’Oslo » qui a suscité de la part des opérateurs économiques des pays nordiques un vif intérêt pour notre pays », a, d’entrée de jeu, martelé le directeur général de l’Apiex, Laurent Gangbes.

Il a ensuite indiqué qu’à travers cette rencontre, l’Apiex entend convaincre les entreprises finlandaises que le gouvernement du Bénin a engagé de nombreuses réformes tant législatives qu’économiques pour faire du Bénin « le champion africain de l’investissement privé ».

Dans le même sens, l’administrateur provisoire de la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin (CCIB) a souligné que le Bénin est une mine d’opportunité,  une terre de sécurité et d’hospitalité que les entreprises finlandaises doivent saisir pour investir.

De quoi rassurer, la représentante de FINNPARTNERSHIHP,  Kaisa Arkkila, qui n’a pas manqué de remercier les autorités béninoises pour l’organisation de ce forum. L’Apiex a donc vu juste en concrétisant le rêve de Talon.

Bénin: L’Apiex présente les réformes pour un climat des affaires rassurant

L’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) veut vendre la destination Bénin. Pour cause, l’Apiex a organisé, au profit des opérateurs économiques, une séance de communication sur les reformes relatives au climat des affaires…

L’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex)  a organisé, ce vendredi 01 mars 2019 à l’hôtel Golden Tulip,  une  séance de communication sur les reformes relatives au climat des affaires. Directeurs des institutions étatiques, membres des groupes techniques de travail, opérateurs économiques et autres étaient de la partie.

Manassé AGBOSSAGA

L’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex) veut vendre la destination Bénin. Pour cause, l’Apiex a organisé, au profit des opérateurs économiques, une  séance de communication sur les reformes relatives au climat des affaires.

A l’occasion, le  président du Conseil d’administration de l’Apiex,  Alain Hinkati, et  le directeur général Laurent Gangbes ont mis en avant la stratégie mise en œuvre par le gouvernement, tant au niveau stratégique, notamment  avec la mise en place du comité interministériel des investissements,  qu’au niveau opérationnel avec l’Apiex comme interlocuteur unique des investisseurs.

Le directeur des études et projets d’investissement,  Eric Akoutey a ensuite présenté le dispositif de promotion des investissements et les reformes du Programme d’actions du gouvernement relatives au climat des affaires.

Ce double exposé a laissé place à plusieurs communications dont « la création d’entreprise », présentée par le Directeur général de l’Apiex, Laurent Gangbes, le « paiement des taxes et impôts »,  présentée par le directeur général des impôts, Nicolas Yenoussi, « le transfert de propriété », présentée par le directeur général de l’Agence nationale du domaine et du foncier (ANDF), Jules Kougblénou, le « commerce frontalier », présentée par le directeur général des douanes et droits indirect,  Charles Sacca Bocco, « l’exécution des contrats/ Règlement de l’insolvabilité », présentée par le président du tribunal de commerce de Cotonou, « l’obtention de prêts », par le le directeur pays de crédit info volo.

Ces différentes communications ont fait l’objet de riche débats dans la grande courtoise. Preuve donc que les bases sont posées pour un climat des affaires rassurant qui attire les investisseurs.

‘‘La Cour constitutionnelle et le peuple au Bénin’’ : Nouvel ouvrage de Moïse Laléyè

Après la publication de l’ouvrage « Le Cames : la nébuleuse qui entrave l’essor du bénin et de l’Afrique », ou encore « La décentralisation et le développement des territoires au Bénin », le professeur Oladé Okunlola Moïse Laléyè vient, à nouveau, de mettre un produit sur le marché livresque. Il a lancé, ce jeudi 28 février à la salle de conférence de la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin, le livre « La Cour constitutionnelle et le peuple au Bénin : du juge constitutionnel institué à un procureur suzerin »…

Après la publication de l’ouvrage  « Le Cames : la nébuleuse qui entrave l’essor du bénin et de l’Afrique », ou encore « La décentralisation et le développement des territoires au Bénin »,  le professeur Oladé Okunlola Moïse Laléyè vient,  à nouveau,  de mettre un produit sur le marché livresque. Il a lancé,  ce jeudi 28 février à la salle de conférence de la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin,  le livre « La Cour constitutionnelle et le peuple au Bénin : du juge constitutionnel institué à un procureur suzerin ». 

Manassé AGBOSSAGA

Un nouvel opus pour le professeur de droit public Oladé Okunlola Moïse Aléyè. Il a lancé le jeudi dernier un ouvrage nouvel ouvrage intitulé  « La Cour constitutionnelle et le peuple au Bénin: du juge constitutionnel institué à un procureur suzerin ».

 Fruit de nombreuses  réflexions depuis 2012, l’ouvrage comporte au total 683 pages, subdivisé en six chapitres.  Il est préfacé par le magistrat Pierre E. Ehoumi, membre de la première mandature de la Cour constitutionnelle. Lavant propos et la postface portent respectivement les signatures de l’Académicien Norbert Mahouton Hounkonou et du  Révérend Père Eric Arnaud Aguénounon.

Avec la bénédiction de ces hommes de valeurs sans oublier, l’Harmattan, la maison d’édition, Moïse Laléyè a retracé l’histoire constitutionnelle du Bénin depuis la révolution à nos jours, avec à la clé les différentes décisions de la Cour constitutionnelle. L’auteur entend donc à travers  cet ouvrage « ouvrir un débat sur la Cour constitutionnelle au regard d’une évaluation objective de sa production juridictionnelle, voire institutionnelle ». Pour lui, la justice constitutionnelle pourrait ainsi retrouver son sens et sa mission républicaine.

Lors de sa prise de parole, Moïse Lalèyé s’est d’ailleurs plaint de la « décadence ou déchéance «  de la Cour constitutionnelle du Bénin. A en croire ses propos, cette décadence a commencé dès la deuxième mandature, conséquence de la politisation des institutions de la République, mais aussi et surtout la sacralisation de l’argent.

L’auteur rappelle que la Cour constitutionnelle est un moyen d’action de la volonté du peuple à garantir la liberté, la justice et l’état de droit.

Il souligne que toute décision qui serait en contradiction avec les 40 articles de la constitution,  qui se repose sur l’affirmation des libertés et de l’Etat de droit constituerait donc une trahison.

Pour le présentateur Vincent Folly, le lancement de cet ouvrage ce 28 février est pleine de sens, puisque rappelle t-il, elle rime avec la date anniversaire de la Conférence des forces vives de la Nation, mais également cadre avec l’actualité sociopolitique nationale.

Un avis partagé par Jacques Ayadji, l’honorable Louis Vlavonou, Célestine Zannou, Affo Djobo et autres tous présents au lancement du livre, disponible dans les librairies au prix de 45.000Fcfa

‘‘Toboula Gate’’ : Intox, le président de l’Ordre des Géomètres Experts n’a jamais été interpelé

Archi faux ! Le président de l’Ordre des géomètres experts du Bénin est libre de ses mouvements. L’information relayée par certains médias et sur les réseaux sociaux faisant état de l’interpellation du président l’Ordre des géomètres experts du Bénin dans ce qu’on pourrait qualifier ‘‘Toboula Gate’’ est une pure invention…

Archi faux ! Le président de l’Ordre des géomètres experts du Bénin est libre de ses mouvements. L’information relayée par certains médias et sur les réseaux sociaux faisant état de l’interpellation du président l’Ordre des géomètres experts du Bénin dans ce qu’on pourrait qualifier ‘‘Toboula Gate’’ est une pure invention.

En effet, le président de l’Ordre des experts géomètres du Bénin reste à ce jour Romuald Arcadius Ogoubiyi. Il est libre et circule comme l’air. Ce dernier a même accordé un entretien à Kpakpato Médias et à certains médias qui ont pris le soin d’aller à la source de l’information.

A l’occasion,  Romuald Arcadius Ogoubiyi a apporté quelques clarifications.

Confusion

En réalité, Clément Dari, cité comme président de l’Ordre des géomètres experts n’est pas exact. S’il est vrai que ce dernier est interpelé dans cette affaire qui a vu le préfet du Littoral démis de ses fonctions et placer sous mandat de dépôt, il est aussi vrai qu’il n’est et n’a jamais été le président de cette organisation respectée et respectable.

« Je tiens à vous rassurer que Monsieur Dari Clément,  qui est un géomètre expert, membre de l’Ordre es géomètres experts du Bénin n’a jamais été dans le passé ou à un moment donné le président de l’Ordre des géomètres experts du Bénin », a clarifié Romuald Arcadius Ogoubiyi. Il a ajouté que la  situation dans laquelle se retrouve son collègue est liée à l’exercice de sa profession.

Au sujet de cette confusion,  Romuald Arcadius Ogoubiyi a confié que l’Ordre a saisi son Conseil pour la conduite à tenir.

Affaire à suivre !

Manassé AGBOSSAGA

Production livresque: Le Colonel Stéphane Adégnika publie ‘‘BENIN: RALLUMONS NOS LAMPES’’

Le lieutenant Colonel Kolawolé A. Stéphane Serges Adégnika vient de mettre un produit sur le marché livresque. Spécialiste des questions de leadership, de planification et de conduite des opérations militaires terrestres et interarmées, l’Officier supérieur a lancé ce vendredi 08 février 2019 à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou, son ouvrage intitulé ‘‘BENIN: RALLUMONS NOS LAMPES’’. ..

Le lieutenant Colonel Kolawolé A. Stéphane Serges Adégnika vient de mettre un produit sur le marché livresque. Spécialiste des questions de leadership, de planification et de conduite des opérations militaires terrestres et interarmées, l’Officier supérieur a lancé ce vendredi 08 février 2019 à l’hôtel Azalaï   de la plage de Cotonou, son  ouvrage intitulé ‘‘BENIN: RALLUMONS NOS LAMPES’’.

Manassé AGBOSSAGA

‘‘BENIN: RALLUMONS NOS LAMPES’’ est avant tout un essai de 59 pages.  Structuré en trois chapitres (Le Bénin, un Etat avec une souveraineté fragile ; les objectifs du développement du Bénin ; Changement de perspectives), l’ouvrage vise « à inciter les pouvoirs publics à mettre sur pied des équipes ouvertes pour générer les idées novatrices et faire la critique d’hypothèses considérées comme admises ».  Ce chef-d’œuvre ambitionne également un « début de réflexion stratégique sur le devenir du Bénin des trente prochaines années, dans un monde irréversiblement confronté à la mondialisation ».

Somme toute, ‘‘BENIN: RALLUMONS NOS LAMPES, Penser et agir différemment’’ est une contribution au débat sur la géopolitique en Afrique, particulièrement en Afrique de l’Ouest.

Dans son intervention, l’auteur qui s’est confondu en remerciement vis-à-vis de l’Etat et du peuple béninois, a laissé entendre que cet ouvrage est le fruit de son amour pour le Bénin.

 « J’ai écrit par amour pour ma patrie…Face aux obstacles qui minent le développement du Bénin, j’ai choisi de consigner mes propositions dans cet écrit », confie t-il.

Et au professeur Germain Gonzalo de saluer la qualité de l’ouvrage. Il a indiqué que cette œuvre est le fruit de longues réflexions de l’auteur. A en croire ses propos, le lieutenant-colonel Kolawolé A. Stéphane Serges Adégnika a travaillé dans une vision rétrospective, actuelle et lointaine, soulevant des problèmes pertinents comme la maitrise des connaissances (ODD, OMD), la corruption.

Dans le même sens, l’Honorable Arifari Bako, parrain de l’évènement a ajouté que l’auteur a fait le diagnostic du mal développement du Bénin sur le court et le moyen terme. Il reste alors persuadé que cet  ouvrage peut être conseillé dans les cours de socio politique, géopolitique relation internationales, géo stratégie…

De quoi amener le Colonel Fructueux Gbaguidi à donner des idées à l’auteur en lui proposant la sortie de l’ouvrage ‘‘Maintenons nos lampes’’, après ‘‘Allumons nos lampes’’.

Il a aussi rendu un vibrant hommage au lieutenant Colonel Kolawolé A. Stéphane Serges Adégnika, qu’il dit avoir particulièrement connu en 2007 en République démocratique du Congo, à l »poque chef de la Cellule logistique du 4è bataillon. « Sous stress,  c’est l’Officier qui sait faire des propositions, toujours disponible », a témoigné le chef d’Etat major de l’armée de terre.

Toujours dans la rubrique hommage, l’honorable Antoine Kolawolé Idji a salué les qualités du lieutenant Colonel Kolawolé A. Stéphane Serges Adégnika, qui était son aide de camp, de 2003 à 2007 lorsqu’il était le président de l’Assemblée nationale.

L’ouvrage‘‘BENIN: RALLUMONS NOS LAMPES’’ n’est donc pas volé.