Entrepreneuriat: Gatien Adjagboni soucieux de l’autonomisation des jeunes

Entre Gatien Adjagboni et l’autonomisation des jeunes, c’est une question de cœur. Et le président du creuset MITCHITE l’a, à nouveau, démontré. Ce mercredi 21 mars 2018 à l’Université d’Abomey-Calavi, Gatien Adjagboni a apporté sa remarquable contribution à la réussite de la  formation portant sur la création et la gestion d’une entreprise, initiative de VIP Calavi. A l’occasion,  la dizaine de participants a, entre autres,  bénéficié des modules sur le « fonctionnement d’une entreprise », « comment intégrer une entreprise de votre rêve »…

Entre Gatien Adjagboni et l’autonomisation des jeunes, c’est une question de cœur. Et le président du creuset MITCHITE l’a, à nouveau, démontré. Ce mercredi 21 mars 2018 à l’Université d’Abomey-Calavi, Gatien Adjagboni a apporté sa remarquable contribution à la réussite de la  formation portant sur la création et la gestion d’une entreprise, initiative de VIP Calavi. A l’occasion,  la dizaine de participants a, entre autres,  bénéficié des modules sur le « fonctionnement d’une entreprise », « comment intégrer une entreprise de votre rêve », « comment faire de son talent une entreprise », « comment créer une entreprise étant jeune ». Aux côtés de Euloge Ogouwalè, Alex Balogoun, Gatien Adjagboni a saisi ces modules pour  à la fois informer, sensibiliser les participants sur les opportunités et les pratiques de création d’entreprise.

Pour lui, l’idée de créer une entreprise pour fuir le chômage ne doit pas animée un jeune entrepreneur. Le PDG de Tincy invite plutôt les jeunes entrepreneurs a plutôt créé  pour répondre à un besoin de marché. «  L’entrepreneuriat est source de richesse, de valeur ajoutée pour notre société », explique t-il.

Gatien Adjagboni a également fait savoir aux participants qu’il est possible de partir de pas grande chose pour créer une entreprise. L’idée étant en amont la pièce maîtresse, insiste t-il.

Dopés mentalement et psychologiquement par ces mots, les participants n’ont pas regretté d’avoir pris part à cette formation.

Manassé AGBOSSAGA

Lutte contre la corruption: L’ANLC renforce ses liens de collaboration avec les Parquets

Ouvrant le bal des allocutions, Ghislaine Bocovo  a rassuré que cet atelier n’est pas une énième réunion de plus. Renchérissant les propos de la présidente de la Commission Plaintes, dénonciations et investigations de l’ANLC, Jean-Baptiste Elias a ajouté que l’atelier  organisé au profit des procureurs de la généraux près des Cours d’ appel, leurs substituts et les procureurs de la République sous le thème « Contribution des Parquets à la lutte contre la corruption et autres infractions connexes » vise à « instaurer des passerelles de collaboration et une bonne ambiance de travail entre l’ANLC et les …

L’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC) renforce les liens de collaboration avec la justice pour une lutte efficace contre la corruption, Avec l’aval du ministère de la Justice, l’ANLC a organisé ce  mercredi 21 mars 2018 à l’Infosec de Cotonou un atelier au profit des Procureurs généraux près les Cours d’ appel, leurs substituts et les Procureurs de la République près les tribunaux  sous le thème « Contribution des Parquets à la lutte contre la corruption et autres infractions connexes ».

Manassé AGBOSSAGA

Ouvrant le bal des allocutions, Ghislaine Bocovo  a rassuré que cet atelier n’est pas une énième réunion de plus. Renchérissant les propos de la présidente de la Commission Plaintes, dénonciations et investigations de l’ANLC, Jean-Baptiste Elias a ajouté que l’atelier  organisé au profit des procureurs de la généraux près des Cours d’ appel, leurs substituts et les procureurs de la République sous le thème « Contribution des Parquets à la lutte contre la corruption et autres infractions connexes » vise à « instaurer des passerelles de collaboration et une bonne ambiance de travail entre l’ANLC et les magistrats du parquet pour plus d’efficacité dans la répression des faits de corruption et autres infractions connexes ».  Le président de l’ANLC a aussi fait savoir qu’à l’issue de cet atelier d’un jour, il est question d’aboutir à une vision commune de la politique de lutte contre la corruption entre l’ANLC et la justice, de dénicher ensemble les stratégies appropriées à mettre en œuvre pour une lutte efficace contre la corruption et les infractions connexes ;  de définir les modalités d’une collaboration efficace et durable ;  d’identifier et de mettre en place les canaux, les paliers et les passerelles de collaboration fonctionnelle entre les deux institutions.

« Mon …motif de satisfaction réside dans le fait que le présent atelier sur le thème « contribution des parquets à  la lutte contre la corruption et autres infractions connexes » qui devient effectif aujourd’hui marque un tournant dans le fonctionnement de l’ANLC que nous voulons toujours plus forte et plus performante », s’est alors réjouit Jean-Baptiste Elias à l’ouverture de l’atelier.

Jif: Pari gagné pour Edith Azifan et les femmes de l’Ong Afudesco

Ce samedi 17 mars, les femmes de l’Ong ont,  avec à leur tête, la brave et dynamique présidente Edith Azifan,  célébré avec faste la Jif. Pour cause, la présidente de l’Ong Afudesco a réservé un cocktail riche et varié pour la réussite de l’évènement. D’abord, dans leurs belles robes confectionnées avec un basin blanc, les femmes de l’Ong Afudesco ont, à travers une caravane,   pris départ de la pharmacie Le Jourdain. Sous les chants de l’équipe de fanfare, elles ont parcouru les grandes artères de la localité avant de rejoindre le Centre des jeunes et loisirs de Togoudo (buvette température)…

Les femmes de l’Organisation non gouvernementale  Association des femmes unies pour le développement économique,   social et culturel ( Ong Afudesco) et leur présidente Edith Azifan ont réussi  ce samedi 17 mars 2018 le pari de l’organisation de l’édition 2018 de la célébration de la Journée internationale de la femme (Jif). Alternant côté festif et moment de réflexions, elles ont immortalisé cet événement au Centre des jeunes et loisirs de Togoudo.

Manassé AGBOSSAGA

Ce samedi 17 mars, les femmes de l’Ong ont,  avec à leur tête, la brave et dynamique présidente Edith Azifan,  célébré avec faste la Jif. Pour cause, la présidente de l’Ong Afudesco a réservé un cocktail riche et varié pour la réussite de l’évènement. D’abord, dans leurs belles robes confectionnées avec un basin blanc, les femmes de l’Ong Afudesco ont, à travers une caravane,   pris départ de la pharmacie Le Jourdain. Sous les chants de l’équipe de fanfare, elles ont parcouru les grandes artères de la localité avant de rejoindre le Centre des jeunes et loisirs de Togoudo (buvette température), lieu réservé pour accueillir les manifestations.

Arrivées sur les lieux dans la joie et dans la gaieté, les femmes de l’Ong Afudesco et les invités ont ensuite écouté avec une attention religieuse le discours d’ouverture de leur présidente. Dans son speech, Edith Azifan a,  d’entrée de jeu,  rappelé  que cette manifestation est le fruit de la contribution financière effective des membres avec à leur tête la présidente, et aussi de quelques mécènes dont l’Ong ‘‘Bien être du Bénin’’.

Après ces mots de reconnaissance et de gratitude, la présidente de l’Ong Afudesco a fait savoir que cette manifestation qui se veut festive, mais aussi et surtout de réflexion se fera sous le thème « Abus  sexuels des enfants au Bénin ». Pour elle, les abus sexuels sapent  le développement personnel d’une part, et celui du pays d’autre part.

« Les femmes ne sont pas à la recherche de l’identification par rapport aux hommes, mais plutôt de l’épanouissement dans la différence », lance t- elle dans ce sens.

Un mélange réflexion-festin-récompense

Après ce discours très ovationné de la présidente de l’Ong Afudesco, la communication sur le thème « Abus  sexuels des enfants au Bénin » a retenu les attentions de l’assistance. Et ici, conformément à l’approche participative, quatre femmes de l’Ong ont tour à tour abordé un pan de la communication. En langue locale fon, elles ont montré les conséquences aux plans légal, physique, économique, … tant pour la jeune fille, que pour l’homme. Ces communications ont eu le mérite de provoquer des débats, des partages d’expérience, des conseils, …

Après cette étape, les femmes de l’Ong Afudesco sont ensuite passées aux chants, danses, à  la dégustation des mets, à  la consommation des boissons. A cette étape, la présidente de l’Ong Afudesco ont sorti leurs belles voix pour entonner les différents chants, et présenter d’agréables pas de danses, montrant ainsi tout leur talent.

Parlant de talent, le mérite de 24  femmes qui ont réussi à se rendre autonomes et qui s’illustrent dans le coaching des autres femmes a été reconnu. La présidente de l’Ong a offert à ces dernières des ustensiles de cuisine. Face à ce geste, les lauréates n’ont pas manqué de témoigner leur gratitude. Elles ont promis maintenir le cap.

Appel à l’aide

Très satisfaite de ces mots de gratitude, mais aussi de la cérémonie, Edith Azifan, qui se bat depuis 14 ans avec son Ong  pour l’émancipation et le bien-être de la femme a promis continuer le combat. Toutefois pour que ces actions touchent un grand nombre de femmes, elle appelle  les bonnes volontés à l’accompagner.

« Je suis satisfaite. Les femmes sont très contentes,  seulement que ce que nous détenons ne nous suffit pas pour aller de l’avant. Si nous pouvons trouver des mécènes,  je pense que nous allons plus travailler et plus aider la femme à recouvrir sa liberté. Nous voulons saisir cette occasion pour manifester notre reconnaissance à tous ceux qui voudraient nous aider maintenant et à l’avenir pour la prospérité des activités de l’Ong », a-t-elle plaidé.

Aux bonnes volontés de répondre à l’appel de cette brave et ‘‘dynamique ‘‘Dame’’ !

Parrain de la 2è édition du concours ‘‘Top Niveau 2018’’: Gatien Adjagboni promeut les initiatives intellectuelles et culturelles

Partageant sans doute les propos du parrain, la promotrice du concours  Ulaye Amina a expliqué que  « TOP NIVEAUX » est un jeu concours inter-collèges initié dans le but de corriger les lacunes en milieu scolaire et religieux. Elle a ajouté  que cela permettra d’optimiser et de rehausser le niveau Culturo-intellectuel des élèves en vue d’obtenir une pépinière qualifiée. Et parlant de pépinière qualifiée, Aboudoulaye Amina du Collège Espérance Divine s’est positivement illustrée en décrochant la palme d’or de la 2è édition du concours ‘‘Top Niveau 2018’’…

Le président du creuset MITCHITE vient à nouveau de prouver son attachement aux initiatives intellectuelles et culturelles. Pour cause, Gatien Adjaboni a parrainé la 2è édition du concours ‘‘Top Niveau 2018’’, dont le lancement a eu lieu ce samedi 17 mars dans la salle polyvalente de Blue Zone à Zongo sous le thème « La famille, la religion, l’école, pôles par excellence de l’éducation ».

A l’occasion, le parrain très soucieux du bien-être intellectuel et culturel a fait savoir aux 20 participants à ce concours et aux initiateurs que l’école et la religion restent des sanctuaires.

« Chaque enfant qu’on éduque… est un avenir meilleur qu’on prépare. La jeunesse doit se rendre à l’évidence qu’elle est le porte flambeau du Bénin. Le Bénin d’alors est en train de perdre aujourd’hui ses valeurs. Nous devrions ardemment travailler pour retrouver l’appellation quartier latin de l’Afrique qu’on nous connaissait », a enfin exhorté le chantre du ‘‘Servir autrement la communauté’’.

Partageant sans doute les propos du parrain, la promotrice du concours  Ulaye Amina a expliqué que  « TOP NIVEAUX » est un jeu concours inter-collèges initié dans le but de corriger les lacunes en milieu scolaire et religieux. Elle a ajouté  que cela permettra d’optimiser et de rehausser le niveau Culturo-intellectuel des élèves en vue d’obtenir une pépinière qualifiée. Et parlant de pépinière qualifiée, Aboudoulaye Amina du Collège Espérance Divine s’est positivement illustrée en décrochant la palme d’or de la 2è édition du concours ‘‘Top Niveau 2018’’.

Manassé AGBOSSAGA

Décentralisation : L’ANCB œuvre pour l’adoption des textes adaptés aux besoins des acteurs

En réalité, l’Atelier national de préparation des inputs des communes dans le cadre de la relecture des lois sur la décentralisation qui a réuni pendant deux jours les cadres des ministères de la Décentralisation, de l’Education, de l’Agriculture, de l’Energie, du Cadre de vie, de la société civile, des partenaires techniques et financiers intervient dans le cadre de la relecture des textes de lois encadrant la décentralisation au Bénin. Après deux ateliers régionaux organisés, les différents acteurs se sont donc réunis à Cotonou pour restituer les données et valider les données  collectées et les recommandations issues desdits ateliers régionaux…

Le Chant d’Oiseau de Cotonou a servi de cadre du mardi 13 au mercredi 14 mars 2018  à l’organisation de l’Atelier national de préparation des inputs des communes dans le cadre de la relecture des lois sur la décentralisation. Initiative de l’Association nationale des communes du Bénin (ANCB) avec l’appui technique et financier de l’Agence belge de développement (Enabel), cet atelier a permis aux participants de faire des propositions concrètes pour rendre le mécanisme juridique mieux adapté aux besoins des acteurs.

Manassé AGBOSSAGA

En réalité, l’Atelier national de préparation des inputs des communes dans le cadre de la relecture des lois sur la décentralisation qui a réuni pendant deux jours les cadres des ministères de la Décentralisation, de l’Education, de l’Agriculture, de l’Energie, du Cadre de vie, de la société civile, des partenaires techniques et financiers intervient dans le cadre de la relecture des textes de lois encadrant la décentralisation au Bénin. Après deux ateliers régionaux organisés, les différents acteurs se sont donc réunis à Cotonou pour restituer les données et valider les données  collectées et les recommandations issues desdits ateliers régionaux. L’objectif principal est d’élaborer un document de plaidoyer relatif à l’intégration des acquis des communes dans la relecture des textes de loi sur la décentralisation. Les propositions faites par les uns et les autres touchent quatre secteurs à savoir la santé, l’éducation, l’agriculture et l’Energie, mais également et surtout les domaines tels que la politique, la compétence des communes et la mobilisation des ressources.   Pour ce qui est des dispositions et textes, la loi n°97-028 du 15 janvier 1999 portant organisation de l’administration territoriale de la République du Bénin, la loi n°97-029 du 15 janvier 1999 portant organisation des communes en République du Bénin, la loi n°98-006 du 9 mars 2000 portant régime électoral, communal et municipal en République du Bénin, la loi n°98-007 du 15 janvier 1999 portant régime financier des communes en République du Bénin, la loi n°2007-28 du 23 novembre 2007 fixant les règles particulières applicables aux élections des membres des conseillers communaux ou municipaux et des membres des conseillers communaux ou municipaux et des membres des conseils de villages ou de quartier de ville en République du Bénin et la loi n°200ç-17b portant modalités de l’intercommunalité au Bénin ont fait objet de relecture.

A l’ouverture de l’atelier, le président de l’Ancb a indiqué que 15 ans après l’installation des premiers conseils communaux, certaines dispositions des textes et lois sur la décentralisation sont caduques, lacunaires, anachroniques face aux évolutions notées. Pour Luc Atropko cet atelier permettra donc de faire des propositions concrètes pour meubler le contenu du document de plaidoyer qui sera défendu au cours des différentes étapes du processus d’élaboration du code général des collectivités territorial au Bénin.

Paralysie du système éducatif: Paul Koudoukpo dédouane les enseignants et accuse Talon

C’est à travers un communiqué de presse en date du 16 mars 2018 dont votre blog Kpakpato Médias a reçu copie que le président de l’Union nationale des associations des parents d’élèves et d’étudiants du Bénin  (Unapeeb) a accusé l’actuel locataire de la marina d’être l’unique responsable de la crise que traverse l’école béninoise. Sans détour, Paul Koudoukpo a fustigé l’attitude de Patrice Talon face aux revendications des enseignants. Pour le président de l’Unapeeb, les

L’école béninoise est depuis plusieurs mois secouée par une profonde crise. Les enseignants de la maternelle, du primaire, du secondaire, et du supérieur ont abandonné craies, stylos, fiches de notes,… pour transmettre le savoir à leurs apprenants. Et loin d’accabler les enseignants, Paul Koudoukpo, président de l’Union nationale des associations des parents d’élèves et d’étudiants du Bénin  (Unapeeb) accuse plutôt le président de la République, Patrice Talon, seul responsable selon lui de cette situation.

Manassé AGBOSSAGA

C’est à travers un communiqué de presse en date du 16 mars 2018 dont votre blog Kpakpato Médias a reçu copie que le président de l’Union nationale des associations des parents d’élèves et d’étudiants du Bénin  (Unapeeb) a accusé l’actuel locataire de la marina d’être l’unique responsable de la crise que traverse l’école béninoise. Sans détour, Paul Koudoukpo a fustigé l’attitude de Patrice Talon face aux revendications des enseignants. Pour le président de l’Unapeeb, les enseignants, mais également les étudiants  qui sont en grève depuis des mois pour « exiger  les statuts particuliers des enseignants, de la maternelle, du primaire et du secondaire », pour exiger « le recrutement des vacataires comme enseignants de carrière, leur formation avec tous les droits qui en découlent » pour exiger «   la mise à disposition des écoles, collèges,
lycées et universités des conditions de travail appropriés , pour exiger « l’emploi à la fin de la formation »,… font face à l’indifférence du chef de l’Etat.

« Le président Talon reste sourd à ces cris et se refuse à satisfaire les justes revendications des travailleurs en général et des enseignants en particulier et opte pour les intimidations et menaces. C’est cette attitude du Chef de l’État, que personne ne
comprend depuis ses ministres jusqu’au béninois lambda, qui fait craindre à tous les parents, aux élèves et étudiants du public comme du privé (les fondés des établissements scolaires privés compris) une ANNÉE BLANCHE. Une année blanche n’est jamais du fait des enseignants mais toujours du fait du gouvernement et de son chef », insiste le président de l’Unapeeb. Et face à cela, Paul Koudoukpo appelle les parents d’élèves et d’étudiants ainsi que tout le peuple béninois  à « s’organiser de mille manières et sous diverses formes pour exiger du président Talon la  satisfaction des revendications de liberté et de bien-être des enseignants pour arrêter la grève, et une Année blanche ».

Son appel sera-t-il entendu ?

 

Entrepreneuriat: Gatien Adjagboni dissipe les craintes des étudiants de l’ISEG

supérieur d’expertise et de gestion (ISEG). Invité par le directeur de l’ISEG pour entretenir ses apprenants sur l’entreprenariat, le PDG de TINCY SA a, comme il sait  si bien le faire, boosté le mental de ces derniers en la matière. Sous le thème « Jeunesse et Entrepreneuriat » Gatien Sèdami ADJAGBONI a…

Gatien Adjagboni s’est adonné à son exercice favori à l’Institut
supérieur d’expertise et de gestion (ISEG). Invité par le directeur de l’ISEG pour entretenir ses apprenants sur entrepreneuriat, le PDG de TINCY SA a, comme il sait  si bien le faire, boosté le mental de ces derniers en la matière. Sous le thème « Jeunesse et Entrepreneuriat » Gatien Sèdami ADJAGBONI a
rappelé aux étudiants de l’ISEG, la principale source de réussite, l’objectif personnel et les priorités.
Pour le PDG de TINCY, le manque d’expérience ne doit pas être une raison pour
renoncer à son projet. « Même si vous manquez d’expérience, de moyens et de contacts, vous avez un atout majeur: vous êtes jeunes et formés. Voilà pourquoi vous devrez réussir. La jeunesse, c’est la créativité et le goût du risque », a rassuré le communicateur.
Visiblement en quête du savoir, les étudiants de l’ISEG ont été envahis d’émotion quand l’élu consulaire à la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin  (CCIB) a, comme dans un cours d’histoire,  raconté la genèse de la création de
TINCY S.A.
De l’élaboration du business plan au financement, Gatien Adjagboni a livré à ces interlocuteurs les astuces pour ne pas rebrousser chemin dès les premières difficultés. Sidérés et satisfaits des leçons de Gatien Adjagboni qui à l’occasion a sans doute dissiper leurs craintes, les étudiants de l’ISEG ont plaidé pour la pérennisation de l’initiative.

Manassé AGBOSSAGA

Simon Narcisse Tomèty: « Notre pays a besoin d’un débat général »

Comme beaucoup de citoyens, Simon Narcisse Tomèty est d’avis que le Bénin traverse depuis plusieurs années une profonde crise. Et pour l’Institutionnaliste et ancien Directeur de l’Ecole de la nouvelle conscience seule la voie du dialogue franc entre les fils et filles de ce  pays permettra au Bénin d’éviter l’abîme. Sur sa page facebook, Simon Narcisse Tomèty a alors publié  un message piquant dans lequel il a appelé à la tenue d’un débat national pour définir un modèle de développement…

Comme beaucoup de citoyens, Simon Narcisse Tomèty est d’avis que le Bénin traverse depuis plusieurs années une profonde crise. Et pour l’Institutionnaliste et ancien Directeur de l’Ecole de la nouvelle conscience seule la voie du dialogue franc entre les fils et filles de ce  pays permettra au Bénin d’éviter l’abîme. Sur sa page facebook, Simon Narcisse Tomèty a alors publié  un message piquant dans lequel il a appelé à la tenue d’un débat national pour définir un modèle de développement.

« Depuis 2012 j’alertais sans arrêt mais il y a trop d’apprentis sorciers qui empêchent que nos voix portent considérant que tous les alerteurs sont des quémandeurs de sous et des chercheurs de postes. Ça nous fait très mal de voir comment le Bénin est malmené et humilié. Le retour à la confiance sera très difficile mais pas impossible. Notre pays a besoin d’un débat général et les propos entendus de Paris à Cotonou ces jours-ci nous confortent dans notre conviction que les Béninois doivent se parler franchement et qu’on puisse débattre de modèle de développement et de système de gouvernance », a plaidé l’Institutionnaliste.

L’actuel locataire de la marina appréciera sans doute cet appel qui ressemble à celui du Front pour le sursaut patriotique (FSP).

Manassé AGBOSSAGA

Dégel de la crise/Secteur éducatif: Cédric Hounnou montre la voie à suivre à Patrice Talon

Le secteur éducatif vibre depuis plusieurs semaines aux rythmes des mouvements de débrayage. Pour une sortie de crise, et éviter ainsi une « catastrophe scolaire », Cédric Hounnou, jeune leader et citoyen engagé a fait des pertinentes propositions au président de la République, Patrice Talon. C’est à travers une lettre ouverte dont Kpakpato Médias a reçu copie. Voici le contenu…

Le secteur éducatif vibre depuis plusieurs semaines aux rythmes des mouvements de débrayage. Pour une sortie de crise, et éviter ainsi une « catastrophe scolaire », Cédric Hounnou, jeune leader et citoyen engagé a fait des pertinentes propositions au président de la République, Patrice Talon. C’est à travers une lettre ouverte dont Kpakpato Médias a reçu copie. Voici le contenu.

Lettre ouverte, à Monsieur Patrice TALON, Président de la République

Monsieur le Président de la République
Vous imaginez les sentiments qui sont les miens en ce moment précis où l’immense honneur m’échoit de vous adresser cette lettre ouverte. J’aurais voulu comme vous être dans l’extase. Hélas, le monde scolaire souffre et agonise. Vous le savez très bien, l’école béninoise est en berne. Les enseignants sont allés à la recherche du bonheur et les classes sont vides. La poussière est désormais reine là où jadis craie, stylos et cahiers étaient roi.

Monsieur le Président de la République
Mon coeur est en fête chaque fois que vous posez un acte en faveur du développement. Vous êtes à tous égards un chef d’État audacieux. Mais, j’ose vous mettre la puce à l’oreille : le courage, la témérité que vous affichez face aux enseignants risque de conduire le Bénin et vous dans l’abîme. L’année blanche résonne chaque jour, un peu plus fort dans les têtes et dans les cœurs. De sa demeure aussi lointaine que trente années de vie, l’année blanche semble avoir le parrainage conséquent pour enclencher l’irrésistible marche du mal. Dès lors, on peut se demander ce que vaut un chef d’État, qui plus est, un compétiteur-né s’il n’est pas capable d’assurer et de garantir l’éducation dans son pays ?
Vous savez -j’imagine- , que la réussite d’une Nation passe irrémédiablement par la famille et que c’est de l’harmonie du couple que naît la réussite familiale. Je dois vous dire avec la plus grande solennité possible que cette harmonie, gage du bonheur et de réussite chez l’enseignant et sa famille réside dans les huit décrets des précieux statuts particuliers.

Monsieur le Président de la République
Vous savez aussi – je parie- que l’homme se distingue de la bête par son contrôle, son raisonnement, son choix, sa puissance d’attachement. Il est alors urgent que les enseignants et vous débouchiez à la lumière, après un si long parcours dans ce qu’il convient d’appeler  » un tunnel étroit ». Sous vos yeux présidentiels, la pourriture avance à grands pas. Mais l’espérance m’habite encore que vous n’allez pas laisser la situation pourrir davantage. C’est de l’humus sale et nauséabond que jaillit la plante verte. Vous pouvez encore sauver le pays de la catastrophe scolaire. Les menaces de radiation, de constat d’abandon de poste ou encore les défalcations sur salaires, apparaissent comme enfoncer une porte ouverte. La principale porte de sortie reste le retour à la table de négociations avec des garanties de bonne foi.

Monsieur le Président de la République
Vous l’avez dit devant les caméras françaises. Vous ne voulez pas louper l’opportunité que vous offre votre poste actuel pour entrer dans l’histoire. Je voudrais vous supplier de ne pas inscrire votre nom dans la triste histoire.

Je vous prie Monsieur le Président de la République d’y penser.

Respectueusement,

Cotonou, le 09 mars 2018.

Appel d’offres/Ministère du cadre de vie: L’ANLC déniche un marché de surfacturation

Première sortie médiatique du président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC) pour le compte de l’année 2018. Ce jeudi 16 mars 2018, Jean-Baptiste Elias a rencontré les hommes des médias pour leur faire part d’une affaire de surfacturation de plus de 328 millions dans un appel d’offres de matériels roulants au profit du ministère du cadre de vie, après les irrégularités dans le concours de recrutement de 94 agents à la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss) révélés en 2017…

Première sortie médiatique du président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC) pour le compte de l’année 2018. Ce jeudi 16 mars 2018, Jean-Baptiste Elias a rencontré les hommes des médias pour leur faire part d’une affaire de surfacturation de plus de 328 millions dans un appel d’offres de matériels roulants au profit du ministère du cadre de vie, après les irrégularités dans le concours de recrutement de 94 agents à la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss) révélés en 2017.

Siméon AKOGBE
Ça sent mauvais au ministère du Cadre de vie et du développement durable.   L’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC) vient de dénicher une affaire de  surfacturation de plus de 328 millions dans un appel d’offres de matériels roulants. Et face aux hommes  des médias, Jean-Baptiste Elias a fait savoir que cette affaire remonte au 20 décembre 2017.

En effet, le président de l’ANLC a indiqué qu’après des investigations suite à des alertes, l’institution qu’il préside a constaté de graves dysfonctionnements au niveau de l’acquisition de 23 véhicules pick-up, de 84 motos d’intervention et un lot de pièces de rechange pour un montant d’environ 1 milliard de francs cfa au profit du Projet de Gestion des Forêts et Terroirs Riverains.  Sans détour, Jean-Baptiste Elias a martelé que cet appel d’offres a fait objet d’actes de collision et de surfacturation.  Face à ces irrégularités, le président de l’ANLC plaide pour l’annulation pure et simple de ces marchés et des sanctions administratives..

« L’autorité de régulation de marché public que nous avons saisi de ce dossier l’a étudié et a estimé que les fautes étaient très graves pour apporter des sanctions administratives à tous ceux qui ont connu ce dossier. Il s’agit d’une suspension d’un an avec la personne responsable des marchés publics et de six mois de tous les membres de la commission de passation de marchés publics qui ne doivent plus connaitre l’étude d’un dossier d’appel d’offres pendant toute la durée précité », a lancé Jean-Baptiste Elias.

En attendant, Jean-Baptiste Elias se réjouit et fait savoir que les investigations de l’ANLC permettront  de faire une économie pour  les caisses de l’Etat.