JIF 2018: L’adresse de Gatien Adjagboni aux femmes béninoises

Le monde entier a célébré le jeudi 8 mars dernier, la 41è édition de la Journée internationale de la femme (JIF). A l’occasion, le président du creuset MITCHITE a adressé un vibrant message aux femmes béninoises. Voici le contenu…

Le monde entier a célébré le jeudi 8 mars dernier, la 41è édition de la Journée internationale de la femme (JIF). A l’occasion, le président du creuset MITCHITE a adressé un vibrant message aux femmes béninoises. Voici le contenu.

JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMME

Aujourd’hui 8 mars 2018, le monde entier célèbre la 41ème Journée Internationale de la Femme.
Depuis 1977, l’organisation des Nations Unies a décrété la date du 08 mars pour célébrer la femme. C’est une occasion de garantir un suivi de l’amélioration des conditions de la femme et de permettre son implication dans l’évolution de l’humanité.
La JIF cette année est placée sous le thème:  » l’heure est venue: les activistes rurales et urbaines transforment la vie des femmes » et s’inscrit dans le fil dun mouvement mondial sans précédent en faveur des droits des femmes de l’égalité et de la justice. La femme représente plus d’un quart de la population mondiale et pourtant elle est laissée pour compte dans chaque aspect de développement.
L’heure est venue pour vous de changer le monde a travers votre activisme.
Vous avez un important rôle à jouer dans le développement de notre nation pour garantir l’atteinte des objectifs du millénaire.
Chères femmes, chères mères, vous faites la fierté de notre continent et je vous encourage telles les amazones du Dahomey, à arracher votre liberté.
J’ai envie de vous dire que j’ai foi en vous et en votre potentiel et je vous réitère tout mon soutien.

Bonne fête à vous chères femmes

Gatien S. ADJAGBONI
Servir Autrement la Communauté

Séance de salubrité à Xwlacodji : La touche spéciale de l’Ong Abed pour célébrer la JIF

L’Organisation non gouvernementale, Association béninoise pour l’éveil et le développement, (Ong Abed) a célébré d’une manière spéciale l’édition 2018 de la Journée internationale de la femme (Jif). Sous le haut parrainage du ministère du Cadre de vie et du développement durable et avec le soutien des femmes de Xwlacodji,  l’Ong Abed a organisé ce samedi 10 mars  une séance de salubrité dans la localité…

L’Organisation non gouvernementale, Association béninoise pour l’éveil et le développement, (Ong Abed) a célébré d’une manière spéciale l’édition 2018 de la Journée internationale de la femme (Jif). Sous le haut parrainage du ministère du Cadre de vie et du développement durable et avec le soutien des femmes de Xwlacodji,  l’Ong Abed a organisé ce samedi 10 mars  une séance de salubrité dans la localité.

Manassé AGBOSSAGA

Loin des chants et danses, l’Ong Abed a célébré l’édition 2018 de la JIF. Dans une démarche écocitoyenne, les responsables de l’Ong ont initié ce samedi 10 mars une séance de salubrité à Xwlacodji. Cette noble initiative a d’ailleurs connu l’adhésion des femmes de  Xwlacodji avec à sa tête, Colette Gnacadja, la participation des agents de la SCB, la présence des chefs quartiers de Xwlacodji  et du  chef du 5è arrondissement de Cotonou.

Et dans une discipline indescriptible, les uns et les autres ont changé le visage de Xwlacodji. Partir du terrain de sport de Xwlacodji, point de départ de la séance, les deux équipes mises sur pied pour la bonne marche  ont nettoyé les différentes rues de la localité. Une équipe a pris d’assaut  la von menant au centre commercial chinois en passant devant la DDSAL, ex DDE et le 5è arrondissement, tandis que le second groupe s’est concentré sur  la von menant au carrefour SCB en passant devant l’OBRGM, la direction de la police environnementale et la Dopa. Et après le grand ménage effectué par les deux équipes, le président de l’Ong Abed,  Stéphane Zinzindohoué, la représentante de la SCB, Maurille Tomindé, la responsable des femmes de Xwlacodji, les deux chefs quartiers  de Xwlacodji, le chef du 5è arrondissement ont livré leurs satisfactions. Ils ont aussi sensibilisé la population sur le comportement à adopter pour un cadre de vie sain, gage d’une bonne santé.

Stéphane Zinzindohoué  a,  dans ce sens,  promis revenir avec des poubelles et bien d’autres matériels.

C’est dire que l’Ong Abed milite pour la protection de l’environnement.

Wilfried Adélakoun: : «‘‘Pourquoi pas moi ?’’, c’est un appel pour dire que nous avons tous le droit d’être heureux »

Et de deux (02) pour Wilfried Adélakoun. Juriste de formation, l’homme a lancé ce samedi 10 mars 2018 à l’Université d’Abomey-Calavi son deuxième ouvrage, après ‘‘C’est encore possible’’. Intitulé ‘‘Pourquoi pas moi’’, cet ouvrage de 114 pages retrace les expériences personnelles de l’auteur ainsi que celles de certaines personnalités pour inviter la jeunesse à garder espoir. Et dans cet entretien qu’il a accordé à Kpakpato Médias à la fin de la cérémonie, Wilfried Adélakoun  apporte plus de précisions sur les du choix du titre, la cible, ses ambitions personnelles, …

Et de deux (02) pour Wilfried Adélakoun. Juriste de formation, l’homme a lancé ce samedi 10 mars 2018 à l’Université d’Abomey-Calavi son deuxième ouvrage, après ‘‘C’est encore possible’’. Intitulé ‘‘Pourquoi pas moi’’, cet ouvrage de 114 pages retrace les expériences personnelles de l’auteur ainsi que celles de certaines personnalités pour inviter la jeunesse à garder espoir. Et dans cet entretien qu’il a accordé à Kpakpato Médias à la fin de la cérémonie, Wilfried Adélakoun  apporte plus de précisions sur les du choix du titre, la cible, ses ambitions personnelles, …

 

Kpakpato Médias: Vous lancez officiellement ce samedi 10 mars 2018 votre second ouvrage intitulé, ‘‘Pourquoi pas moi ?’’ Dites-nous ce qui justifie le choix de ce titre ?

D’abord,  c’est un cri de cœur. ‘‘Pourquoi pas moi ?’’,  pour inviter toute la jeunesse à savoir son avenir inéluctable, c’est un mot sur lequel  je reviens à chaque fois. Je suis de ceux-là qui disent ou qui sont pour la thèse selon laquelle chacun doit réussir sa vie.  Donc ‘‘Pourquoi pas moi ?’’;  c’est plus qu’une interrogation.  C’est mon leitmotiv personnel, parce que je sais que tel que vous êtes ici réunis,  au cours d’une circonstance  vous vous êtes posés la question ‘‘Pourquoi pas moi ?’’, parce que vous avez votre entourage, vos amis qui vont en Europe qui réussissent,  après qui viennent dans les grosses caisses, qui travaillent aujourd’hui pendant que  vous vous êtes au même stade de la vie. Vous vous posez la question, mais qu’est ce qui se passe et moi je suis toujours sur le même chemin contrairement aux autres.  Donc ‘‘Pourquoi pas moi?’’, c’est un appel.  C’est une exhortation pour inviter toute le monde à comprendre effectivement que nous avons tous le droit d’être heureux,  le droit d’avoir une vie professionnelle accomplie, le droit de se marier, etc … Donc Pourquoi pas moi ? ,  pour dire que nous avons tous le droit d’être heureux.

Pourrait- on dire qu’il s’agit d’une autobiographie ?

C’est possible,  parce que d’abord je relate mes expériences personnelles. J’ai 25 ans. Je ne suis pas vieux. Je ne suis pas aussi jeune. Je suis au milieu. Je relate mon histoire. J’ai vécu une adolescence compliquée. Déjà mon papa qui est décédé quand j’avais 3 ans. Vous savez quand on a l’âge de 3 ans, on est encore bébé. On ne connaît rien. On est inconscient. Et après le décès,  il y a eu  beaucoup de choses qui se sont produites dans ma famille. Heureusement que j’ai eu une mère formidable qui a su jouer à la fois le rôle du père et de la mère. Donc c’est un peu ça.  Je relate mon histoire. Je relate également les expériences professionnelles de certains hommes que j’ai connus, parce que j’ai voyagé un peu.  J’ai rencontré pas mal d’Hommes célèbres,  même ici au Bénin, par exemple vous avez vu Sèssimè tout à l’heure.  J’ai été avec le président Ajavon, le président Jean-Baptiste Satchivi , Fati,…  La liste est longue. Donc ce sont les expériences personnelles et professionnelles des autres et les difficultés personnelles pour montrer aux gens que moi-aussi je suis passé par des difficultés et je vais y arriver.

Vous êtes à votre second ouvrage. Le premier s’intitule ‘‘C’est encore possible’’. Qu’est-ce qui réunit cet ouvrage au second que vous venez de lancer ?

C’est d’abord deux ouvrages qui sont orientés vers le développement personnel. Donc des ouvrages qui sont destinés à stimuler, à impacter, à motiver la jeunesse. Littéralement quand on dit ‘‘C’est encore possible’’,  la première question qu’on se pose, qu’est ce qui est possible ?  Et bien oui c’est notre réussite, c’est notre bonheur, c’est notre épanouissement.

A qui s’adresse cet ouvrage ?

Primo, c’est pour la jeunesse.  J’ai même  abordé la question de l’âge,  parce qu’il y a une partie où j’ai titré la réussite a-t-elle besoin d’âge ?

Donc, la cible principale,  c’est la jeunesse parce que je suis jeune,  et vous savez le langage des jeunes, la relève appartient à la jeunesse, le futur appartient à la jeunesse.  Donc c’est d’abord la jeunesse qu’il faut motiver, à qui il faut donner espoir, qu’il faut impacter jusqu’à ce qu’elle puisse réussir sa vie.

Deuxio, c’est aussi pour les personnes âgées.

Quelles sont les actions prévues pour passer ce message, et par ricochet donner une grande visibilité à votre ouvrage ?

Nous travaillons en équipe. J’étais en Côte d’Ivoire.  Je suis maintenant au Bénin. Je réside à Porto-Novo. Et pour la petite histoire, je suis béninois.  On me sollicite pour des communications, des conférences que je donne gratuitement.  Je viens pour stimuler la jeunesse béninoise. Je viens travailler avec la jeunesse béninoise. Rassurez-vous,  je vais atteindre mon objectif,  parce que quand je veux quelque chose,  je fais tout pour l’avoir. Je fais tout pour l’avoir et je sais que je vais séduire la jeunesse béninoise.

Pour conclure

Je demande aux gens de lire mon livre, de l’acheter, parce que l’écrivain a aussi besoin de nourrir  de son art.

J’ai un message, si vous voulez un message divin nous avons tous le droit d’être heureux.  Nous avons le droit de réussir notre vie.  Il n’y a pas des gens qui réussissent, et des gens qui échouent.  Je dis non. Vous avez aussi le droit de réussir votre vie.  Gardez espoir !  Ayez un rêve. Si vous lisez l’ouvrage, vous verrez de quoi je parle. Il y a beaucoup d’astuces qui sont à l’intérieur.

Réalisation : Manassé AGBOSSAGA

Vie associative: Rolcc célèbre ses 12 ans d’existence

Engagé depuis plus d’une décennie dans le combat contre le chômage, le Réseau des organisations de lutte contre le chômage (Rolcc) a célébré ce samedi 10 mars 2018 ses douze (12) années d’existence. La cérémonie a eu pour cadre l’hôtel Codiam de Cotonou…

Engagé depuis plus d’une décennie dans le combat contre le chômage, le Réseau des organisations de lutte contre le chômage (Rolcc) a célébré ce samedi 10 mars 2018 ses douze (12) années d’existence. La cérémonie a eu pour cadre l’hôtel Codiam de Cotonou.

Manassé AGBOSSAGA 

A travers une cérémonie fort simple tenue à l’hôtel Codiam de Cotonou, les membres du Rolcc accompagnés à l’occasion par le Réseau des Ong pour les objectifs du développement durable (Rodd), qui comprend 410 Ong reparties sur toute l’étendue du territoire national ont célébré le 12è anniversaire de leur creuset. « Si on a pu traverser les 12 ans, ça se félicite », s’est réjouit le coordonnateur national du Rolcc.

Après quoi, Maurice Gbèmènou a rappelé que le Rolcc, connu en 2005 sous la dénomination de Centrale nationale des demandeurs d’emploi, est né de certains jeunes sortis de l’université pour participer et réfléchir aux problèmes du chômage et de l’emploi. Et à en croire ses propos, le  Rolcc s’est battu et s’est donné la visibilité nécessaire pour inverser la tendance. Maurice Gbèmènou rappelle à cet effet qu’après 12 années d’existence, le Rolcc est aujourd’hui représenté dans plusieurs structures dont l’organe consultatif de la jeunesse et a permis à plusieurs jeunes de s’ouvrir les portes de l’entreprenariat. Et de lancer « Rolcc, n’est pas une structure qui vient quémander chez les gens. On réfléchit.  On vient vous voir avec des projets ».

Comme pour corroborer les propos de ce dernier, la présidente du Rodd ajoute « Le Rodd est fier de vous… Pendant 12 ans vous avez inculqué à la jeunesse comment se battre et ne attendre personne, ni l’Etat, ni les amis, ni les parents… ».

Rappelant que le  Rolcc est  membre fondateur du Rodd et  assure le secrétariat général du conseil d’administration, Carmen Garba Mathrani a indiqué que les actions entreprises par le Rolcc depuis 12 ans cadrent parfaitement avec celles du  réseau à savoir la professionnalisation des Ong, et leur alignement sur chacun des Odd.

Après quoi,  une présentation sur le Rolcc et son site (www.rolcc.org), sur les actions à venir, un  débat sur le thème « Marché de travail et les créneaux porteurs au profit de la jeunesse », une visite des stands des produits locaux… sont venus mettre un terme à cette cérémonie.

Entreprenariat/TEEP: Gatien Adjagboni transmet son expérience à plus de 200 jeunes

La salle de conférence de la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin (CCIB) a servi de cadre ce samedi 3 mars 2018 à  une séance d’information et de bilan de la campagne d’orientation pour le TEEP mise en place par le Réseau national des alumnis de la Fondation Tony Elumelu du Bénin (Renateb). A l’occasion, plus de 200 jeunes entrepreneurs et aspirants ont bénéficié des pertinents conseils du Président directeur général (PDG) de TYNCY et président de la Commission de l’économie et des investissements de la CCIB, Gatien Adjagboni…

La salle de conférence de la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin (CCIB) a servi de cadre ce samedi 3 mars 2018 à  une séance d’information et de bilan de la campagne d’orientation pour le TEEP mise en place par le Réseau national des alumnis de la Fondation Tony Elumelu du Bénin (Renateb). A l’occasion, plus de 200 jeunes entrepreneurs et aspirants ont bénéficié des pertinents conseils du Président directeur général (PDG) de TYNCY et président de la Commission de l’économie et des investissements de la CCIB, Gatien Adjagboni.

Manassé AGBOSSAGA

Le PDG de TYNCY vole au secours des jeunes entrepreneurs et aspirants. Présent à la séance d’information et de bilan de la campagne d’orientation pour le TEEP mise en place par le Réseau national des alumnis de la Fondation Tony Elumelu du Bénin (Renateb), Gatien Adjagboni a partagé avec plus de 200 jeunes sa riche expérience d’opérateur économique. Sous le thème ‘‘Entreprendre : mythe ou réalité’’, le parrain de l’évènement a fait savoir à son auditoire, très attentif à sa communication,  que le chemin de l’entrepreneur est parsemé d’embûches. L’Opérateur économique a insisté sur le fait que  la réussite d’une entreprise est conditionnée par la détermination,  l’exigence,  une feuille de route et une anticipation permanente.

S’inspirant sans doute de ce message, Steve Hoda, Responsable du Réseau national des lauréats Tony Elumelu Fondation a invité  tous les jeunes porteurs de projets à postuler afin que le Bénin puisse tirer un nombre important de lauréats. Dans cette lancée, il a présenté  les différents avantages que porte le projet TEEP 2018, qui pour cette année a reçu 151672 candidatures béninoises pour 1000 projets à retenir en Afrique.

Faut-il le souligner la séance d’information et de bilan de la campagne d’orientation pour le TEEP mise en place par le Réseau national des alumnis de la Fondation Tony Elumelu du Bénin (Renateb) a également connu la participation de Success Story, du représentant de la banque Uba, Serge Sansuamon qui en a profité pour  présenter  les différentes opportunités de prêt dans cette institution financière.

De quoi amener les participants à plaider pour la pérennisation de ce rendez-vous.

Fraude et évasion fiscale : La Direction des Impôts affûte ses armes de contrôles

La grande salle de l’Infosec a abrité ce mercredi 7 mars 2018 le séminaire du Forum mondial sur la transparence et l’échange de renseignements à des  fins fiscales. Initié par le Forum mondial avec l’appui du  ministère de l’Economie et des finances, ce séminaire vise à doter l’administration fiscale béninoise d’un système de renseignements à des fins fiscales efficaces dans la lutte contre la fraude et l’évasion fiscale…

La grande salle de l’Infosec a abrité ce mercredi 7 mars 2018 le séminaire du Forum mondial sur la transparence et l’échange de renseignements à des  fins fiscales. Initié par le Forum mondial avec l’appui du  ministère de l’Economie et des finances, ce séminaire vise à doter l’administration fiscale béninoise d’un système de renseignements à des fins fiscales efficaces dans la lutte contre la fraude et l’évasion fiscale.

Manassé  AGBOSSAGA

 

Avant l’ouverture officielle du séminaire, le Directeur général des Impôts a indiqué   que ce rendez-vous marque le début du processus devant aboutir au bénéfice par la Dgi du Bénin au programme d’accompagnement du Forum mondial. Mais en attendant, Nicolas Yènoussi a souligné que l’objectif du séminaire du forum mondial sur la transparence et l’échange de renseignements à des  fins fiscales est de « doter l’administration fiscale béninoise d’un système de renseignements à des fins fiscales efficaces dans lutte contre la fraude et l’évasion fiscale ».  Et là-dessus, le directeur général des Impôts confie  que le continent africain perd chaque année plus de 50 milliards de dollars du fait des sorties illicites de capitaux.

D’où la joie du directeur de cabinet du ministre des Finances de voir à travers ce rendez-vous une solution à ces pertes. Pour Servais Adjovi, ce séminaire permettra de déceler les actions nocives engagées par certains contribuables pour éroder la base d’imposition et payer moins d’impôts. « Ces assises vous permettront à coup sûr, de vous approprier l’approche du Forum en matière d’échanges de renseignements et lutte contre la fraude et l’évasion fiscale pour mieux affuter vos armes de vérifications, de contrôles et d’échanges de renseignements », a-t-il ajouté.

Pourvu qu’il en soit ainsi pour l’accroissement des recettes.

8è édition de la JAB: Gatien Adjagboni aux côtés des artisans

Les artisans du Bénin étaient à l’honneur ce  vendredi 2 mars 2018. Sous la houlette de la Confédération nationale des artisans du Bénin, ils ont célébré la 8è édition de la Journée des artisans du Bénin (JAB). Présent à leur côté, Gatien Adjagboni a réaffirmé son appartenance à cette couche socioprofessionnelle…

Les artisans du Bénin étaient à l’honneur ce  vendredi 2 mars 2018. Sous la houlette de la Confédération nationale des artisans du Bénin, ils ont célébré la 8è édition de la Journée des artisans du Bénin (JAB). Présent à leur côté, Gatien Adjagboni a réaffirmé son appartenance à cette couche socioprofessionnelle.

Manassé AGBOSSAGA

Le président de la Commission de l’économie et des investissements de la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin (CCIB) était aux côtés des artisans le vendredi dernier dans le cadre de la célébration de la 8è édition de la journée des artisans du Bénin. Gatien Adjagboni a, à l’occasion, félicité les organisateurs, et   saluer les  efforts du bureau de la Confédération nationale des artisans du Bénin. Tout en soulignant l’importance des artisans dans l’architecture de développement, il a tenu à réaffirmer son appartenance à cette couche socioprofessionnelle. « Je reste convaincu et ceci sans me tromper que les artisans façonnent notre environnement et l’impactent positivement, qu’ils en sont conscients et appréhendent bien sûr leur rôle immuable dans notre cité.  Je veux ici leur marquer mon attachement car je reconnais étant des leurs », a fait savoir le PDG de TYNCY.

Loin des calculs politiques et autres discours hypocrites, Gatien Adjagboni a salué la vision et l’anticipation du gouvernement du Nouveau départ qui à travers son Programme d’actions a prévu développer l’artisanat. Puis d’insister sur l’importance de l’artisanat « l’artisanat est pour notre nation un cadre valorisant et particulièrement accueillant en ce qu’il est une entreprise à taille humaine qu’il favorise les échanges et le partage du savoir ».

Et à Pierre Kinnoumin, président des artisans de la zone 4 de Cotonou d’inviter les siens à plus de professionnalisme dans le métier, car pour lui l’artisanat a de beaux jours devant lui.

Dans cette lancée, le vice-président de l’Union des chambres interdépartementales de métiers du Bénin,  Séraphin Fadei appelle  les artisans à se fédérer et à prévoir la création de labels garantissant la qualité des produits. Pendant ce temps, il a  réitéré le soutien de l’Ucim aux efforts que fournit chaque zone.

Une marche avec pour itinéraire la place de l’étoile rouge au CPA, une  visite guidée des stands et une fête de réjouissance entre artisans sont entre autres les autres ingrédients de cette 8è édition  des artisans du Bénin célébrée sous le thème « l’artisanat, socle d’un développement économique et durable ».

Ruine de l’école béninoise: L’appel de l’Unapeb aux parents d’élèves

L’Union nationale des associations des parents d’élèves et d’étudiants du Bénin (Unapeb) n’est pas indifférente à la crise qui secoue l’école béninoise. A travers un communiqué signé de son président, Paul Koudoukpo et dont nous avons reçu copie, l’Unapeb a réagi aux grèves qui frappent les différents secteurs de l’éducation…

L’Union nationale des associations des parents d’élèves et d’étudiants du Bénin (Unapeb) n’est pas indifférente à la crise qui secoue l’école béninoise. A travers un communiqué signé de son président, Paul Koudoukpo et dont nous avons reçu copie, l’Unapeb a réagi aux grèves qui frappent les différents secteurs de l’éducation, appelant au passage les élèves et parents d’élèves « à rejeter les mensonges du pouvoir contre les enseignants, à refuser  de faire le jeu dangereux de division et de dénigrement des enseignants qui se dévouent pour l’instruction ». Pour l’Unapeb, les élèves et parents d’élèves doivent par contre exiger du pouvoir de Talon la satisfaction des revendications de liberté et de bien être des enseignants. Cela y va de l’arrêt de la ruine de    l’école, précise le communiqué.

Nous vous proposons le communiqué de l’Unapeb

Manassé AGBOSSAGA

 

*UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DES PARENTS*

*D’ÉLÈVES ET D’ÉTUDIANTS DU BÉNIN (UNAPEEB)*

Enregistrée sous le n° 2004/0409 DEP-ATL-LITT/SG/SAG-Assoc  du 15 septembre 2004, publiée au JORB,

115è Année n° 22 du 15 novembre 2004.  02 BP : 117 Porto-Novo Tél : (00229) 20 24 57 03 / 90 91 72 50  E mail unapeeb2003@yahoo.fr

 

*APPEL AUX PARENTS D’ÉLÈVES ET D’ÉTUDIANTS*

*ATTENTION A LA PERTE DE NOS SACRIFICES ET DES EFFORTS DE NOS ENFANTS*

 

Chers parents d’élèves et d’étudiants,

Que L’École au Bénin soit en ruine, tout le monde au Bénin et à l’extérieur du Bénin, s’en convient depuis plus de dix ans, bien avant l’arrivée de Patrice Guillaume TALON au pouvoir !  Mais depuis son arrivée au pouvoir, c’est la descente vertigineuse aux enfers, comme dans beaucoup de secteurs de la vie sociale et économique.

Voilà pourquoi les enseignants sont en grève depuis des mois pour exiger : l’arrêt de la ruine de L’École s’entend en termes des statuts particuliers des enseignants de la maternelle, du primaire et du secondaire ; cela s’entend du recrutement des vacataires comme enseignants de carrière, leur formation subséquente avec tous les droits qui en découlent. Il s’entend également de la mise à disposition des écoles, collèges, lycées et universités des conditions de travail appropriés (enseignants qualifiés et en nombre suffisant, classes, laboratoires, bibliothèques, salles informatiques, cantines, restaurants, bourses, transports, résidences) et enfin l’emploi à la fin de la formation.

C’est l’arrêt de la ruine de l’École que nos enfants réclament à travers leurs diverses manifestations et grèves, quand ils crient : « Nous, élèves ou étudiants, voulons : a) réussir à l’école avec le succès aux examens ; b) réussir dans la vie avec un emploi décent. »

Malgré cette ruine de l’École qui s’approfondit tous les jours davantage, les parents d’élèves et d’étudiants consentent toutes sortes de sacrifices afin d’accompagner leurs enfants.

Malgré ce tableau décourageant, beaucoup d’apprenants, des écoles, des lycées et collèges comme des universités ne se découragent pas. Ils s’échinent et font des efforts surnaturels pour se faire former.

Mais voilà que depuis plus de deux mois le pouvoir de Talon laisse perdurer la grève des enseignants en refusant de donner satisfaction aux revendications légitimes de ceux-ci. Il y a lieu que l’on s’inquiète et que l’on se demande si le Président Talon veut faire perdre aux parents d’élèves et d’étudiants  tous les sacrifices qu’ils ont consentis et consentent encore  pour le compte de cette année académique, puis multiplier par zéro les efforts de leurs enfants !

Car la menace d’une année blanche pointe à l’horizon. Car de manière  abusive et contre toutes les lois de la République en la matière, le Président Talon après avoir voulu retirer le droit de grève aux travailleurs et aux enseignants, fait défalquer les salaires travailleurs de tous les secteurs, donc des enseignants aussi.

Chers parents d’élèves et d’étudiants,

La situation de l’École est sérieuse et grave ! Elle nous interpelle tous. Chacun devra jouer ses atouts personnels et se mettre ensemble avec les autres parents pour utiliser tous les voies et moyens pour dissuader le Président Talon afin qu’il évite à l’École, aux parents d’élèves et d’étudiants, aux élèves et étudiants ainsi qu’à tout le peuple béninois de connaître des sacrifices et des efforts vains avec une année blanche 2017-2018

L’UNAEEB appelle toutes ses sections, tous les parents d’élèves à rejeter les mensonges du pouvoir contre les enseignants, à refuser de faire le jeu dangereux de division et de dénigrement des enseignants qui se dévouent pour l’instruction de nos enfants. Nous devons demander plutôt au Président TALON de satisfaire les revendications de liberté et de bien-être des enseignants pour arrêter la ruine de l’École.

Cotonou, le 26 février 2018

Pour le Bureau Exécutif National de l’UNAPEEB,

Le Président,

Paul K. KOUDOUKPO

Publication de l’ouvrage ‘‘La Force de la Persévérance’’: Et de Cinq pour Alain Adihou !

La deuxième partie, c’est comment est-ce que je me suis nourri de persévérance pour me sortir de cette situation difficile. Et le troisième chapitre de cette deuxième partie, c’est tout ce que j’ai fait pour me reconstruire, pour reconstruire mon image, pas l’image que les autres m’ont collée, pas le nom que les autres m’ont donné.  Donc j’ai réaffirmé qui je suis. Je me suis reconstruit mes images positives pour me relever », explique l’auteur…

L’anicien ministre chargé des relations avec les Institutions du Feu Général Mathieu Kérékou vient de sortir son 5è ouvrage. Après ‘‘Pour que l’Afrique se relève’’,  ‘‘Kérékou, la Lépi et moi’’,… Alain Adihou a lancé ce samedi 24 février 2018 au Chant d’Oiseau de Cotonou son 5è chef-d’œuvre littéraire, intitulé ‘‘La Force de la Persévérance’’. De 205 pages avec deux grandes parties et édité par la ‘‘Croix du Bénin’’, ce nouveau essai de l’Expert en Gouvernance et Développement revient sur sa gestion des affaires publiques, sur le dossier Lépi,  sur son expérience carcérale, son endurance, …

« Le livre comprend deux parties principales.  Une première partie où sous forme d’épisode,  j’ai raconté des choses vécues, des choses entendues, des confidences, … Et en lisant cette première partie,  vous allez comprendre combien notre pays le Bénin est difficile à vivre, combien les forces occultes sont appelées, sont au service  du mal commun, combien les forces occultent déterminent les comportements des hommes politiques.

La deuxième partie, c’est comment est-ce que je me suis nourri de persévérance pour me sortir de cette situation difficile. Et le troisième chapitre de cette deuxième partie, c’est tout ce que j’ai fait pour me reconstruire, pour reconstruire mon image, pas l’image que les autres m’ont collée, pas le nom que les autres m’ont donné.  Donc j’ai réaffirmé qui je suis. Je me suis reconstruit mes images positives pour me relever », explique l’auteur.

Pour lui, cet essai peut donc inspirer toutes les personnes qui vivent dans la souffrance, et qui sont victimes de la méchanceté humaine.

« C’est un livre qui n’est pas uniquement adressé au monde politique. Il est adressé à tous ceux qui s’intéressent aux relations qu’ils entretiennent avec les autres amis, les autres confrères, les hommes. Donc tout ce qui est problème, tout ce qui est relation. Tous ceux qui vivent des questions de mesquinerie et de méchanceté, comment est- ce qu’ils peuvent s’organiser par eux-mêmes pour s’en sortir. C’est un livre in fine de développement personnel », ajoute le militant actif de l’Union fait la Nation.

Manassé AGBOSSAGA

Festival Laguimages: Adjagboni rehausse l’évènement et prouve son amour pour le 7è art

Gatien Adjagboni a sponsorisé l’édition 2018 du   festival Laguimages, qui vise à promouvoir le cinéma africain. Et présent au lancement du festival ce jeudi 22 févier 2018 à la salle de cinéma canal Olympus à Wologuèguèdè, le président du creuset ‘‘MITCHITE’’  a martelé que  le développement d’une nation passe par tous les compartiments dont celui de la culture…

Gatien Adjagboni a encore planté un arbre de développement pour sa communauté. Fidèle à son crédo, le chantre du ‘‘Servir autrement la communauté’’ a apporté sa modeste contribution à la 8è  édition du festival Laguimages dont le thème s’intitulait « les métiers du cinéma ».

En effet, Gatien Adjagboni a sponsorisé l’édition 2018 du   festival Laguimages, qui vise à promouvoir le cinéma africain. Et présent au lancement du festival ce jeudi 22 févier 2018 à la salle de cinéma canal Olympus à Wologuèguèdè, le président du creuset ‘‘MITCHITE’’  a martelé que  le développement d’une nation passe par tous les compartiments dont celui de la culture. Pour Gatien Adjagboni, la culture constitue incontestablement un vecteur essentiel d’intégration et se situe au cœur des débats actuels sur l’identité, la cohésion, l’harmonie sociale  et le développement durable. Il a alors adressé ses félicitations aux initiateurs du festival Laguimages qui a connu son épilogue ce dimanche 25 février, avec à  la clé la diffusion de plusieurs films africains.

Tout est bien qui finit bien, dira t-on.

Manassé AGBOSSAGA